Playlist (119)

Christian Gerhaher - Genia Kühmeier - Werne Güra


4) Joseph Haydn (1732-1809) :

Les Saisons, oratorio en quatre parties

Le Printemps
L'Été

Genia Kühmeier, soprano
Werner Güra, ténor
Christian Gerhaher, baryton

Nikolaus Harnoncourt, Choeur Arnold Schoenberg, Concentus Musicus de Vienne

(DHM, juin-juillet 2007)

Scriabine:Symphonie n°3 (Pletnev)

Une somptueuse odyssée postromantique.

Côté version, ça me plaît autant qu'Ashkenazy (voire plus).

Anton Bruckner - Symphonie n° 7

Daniel Barenboim
Berliner Philharmoniker

Jean-Claude Risset : Dialogues pour flûte, clarinette, piano, percussions et électronique        1975 / Decoust
 +

Pipus a écrit:

Anton Bruckner - Symphonie n° 7

Daniel Barenboim
Berliner Philharmoniker

Jean-Claude Risset : Songes pour bande magnétique        1979 / -

Ludwig van Beethoven
* Concerto no.5 'Empereur'
Christoph Eschenbach, piano
Boston Symphony Orchestra
Seiji Osawa (DGG, 1974)

bAlexb a écrit:

Pipus a écrit:

Anton Bruckner - Symphonie n° 7

Daniel Barenboim
Berliner Philharmoniker

J'ai un mauvais a priori à faire disparaître sur Bruckner (lourdeur... vous voyez de quoi je parle) et je trouve ici que c'est plus large et ample que lourd. Et peut-être plus consonant qu'un Mahler.

Ceci étant dit, je tiens quand même à dire que pour la première fois depuis 6 mois que j'ai emménagé, ma charmante voisine a délicatement tapé sur le mur mitoyen Je suis passé en mode casque.

Edgar Varèse : Amériques pour grand orchestre        1918-21-27 / Boulez
 +

Pipus a écrit:

bAlexb a écrit:

Pipus a écrit:

Anton Bruckner - Symphonie n° 7

Daniel Barenboim
Berliner Philharmoniker

J'ai un mauvais a priori à faire disparaître sur Bruckner (lourdeur... vous voyez de quoi je parle) et je trouve ici que c'est plus large et ample que lourd. Et peut-être plus consonant qu'un Mahler.

Ceci étant dit, je tiens quand même à dire que pour la première fois depuis 6 mois que j'ai emménagé, ma charmante voisine a délicatement tapé sur le mur mitoyen Je suis passé en mode casque.

Il faut être honnête, là le son n'y est pas (1928 ; j'adore:DD ) mais quel geste souverain et en trois dimensions si j'ose dire ; sans épaisseur pourtant, sans rien de superflu (l'essentiel, pour ne pas dire l'essence : à la fois parfum et carburant) :



Sinon, deux interprétations à connaître, à mon avis pour leur humanité puissante et sans affectation (et sans "descendre" jusqu'à Harnoncourt, qui n'a pas besoin qu'on plaide en sa faveur parce qu'il parle d'évidence) :





Mais il y en a tellement, en réalité (Böhm, par exemple, en concert en 77 à la Radio bavaroise )...

Pipus a écrit:

bAlexb a écrit:

Pipus a écrit:

Anton Bruckner - Symphonie n° 7
Daniel Barenboim
Berliner Philharmoniker

J'ai un mauvais a priori à faire disparaître sur Bruckner (lourdeur... vous voyez de quoi je parle) et je trouve ici que c'est plus large et ample que lourd. Et peut-être plus consonant qu'un Mahler.

Je crains cependant que Barenboim / Berliner ne soit tout de même pas le plus apte à dissiper les soupçons de lourdeur...
Pour la seule 7ᵉ, Andreae / Wiener Symphoniker (Music & Arts) pour les anciens ou Venzago / Symphonieorchester Basel (CPO) pour les récents me semblent a priori mieux faire l’affaire. En revanche, attention: dans Bruckner, quand on gagne en lisibilité et en tension, on perd aussi en consonance.

Après la version placide et sans caractère de Petrenko, celle nerveuse et brouilonne d'Ashkenazy et celle "Apocalypse Now " de Rozhdestvensky, celle de Cluytens révèle un tout autre paysage symphonique. Quelle maîtrise du matériau et quel sens du récit ! L'orchestre a du nerf, de la chair et monte au front comme un seul homme.

Prise de son de 1958, Salle Wagram. Quelque part dans le temps le secret de ces prises vastes, profondes, à la directionalité franchement affichée semble s'être perdu. À part un important souffle de bande, c'est aussi clair et fouillé qu'une carte d'état-major.

Benedictus a écrit:

Pipus a écrit:

bAlexb a écrit:

Pipus a écrit:

Anton Bruckner - Symphonie n° 7
Daniel Barenboim
Berliner Philharmoniker

J'ai un mauvais a priori à faire disparaître sur Bruckner (lourdeur... vous voyez de quoi je parle) et je trouve ici que c'est plus large et ample que lourd. Et peut-être plus consonant qu'un Mahler.

Je crains cependant que Barenboim / Berliner ne soit tout de même pas le plus apte à dissiper les soupçons de lourdeur...  
Pour la seule 7ᵉ, Andreae / Wiener Symphoniker (Music & Arts) pour les anciens ou Venzago / Symphonieorchester Basel (CPO) pour les récents me semblent a priori mieux faire l’affaire. En revanche, attention: dans Bruckner, quand on gagne en lisibilité et en tension, on perd aussi en consonance.

J'avais cette inquiétude avec le double B, mais finalement je ne trouve pas que le résultat soit si lourd, du moins pas autant que je le craignais. C'est ample, imposant... huileux mais pas visqueux. Ceci dit je vais comparer avec une version plus sèche. Merci à vous

Deux autres versions de la 7ème par Schuricht qui sont  étonnantes - et totalement différentes l'une de l'autre: avec l'Orchestre de la Résidence de La Haye (également appelé le Philharmonique de La Haye) et avec le Philharmonique de Berlin sur Testament (attention il y en a plusieurs). Étonnement garanti, surtout en comparaison de Barenboïm.

Si je puis me permettre : il ne faut pour Bruckner ni Barenboïm, ni les versions baroqueuses.
Va voir du côté de Jochum ... tu ne peux pas te tromper en écoutant ça, c'est l'esprit même de cette musique. (au moins tu pourras dire que si tu n'aimes pas ... ou moyennement ... que ça ne sera pas faute à la version)

Wagner:Les Maîtres Chanteurs Acte II (Kempe)

De plus en plus appréciable cette version.

Franz Schubert (1797-1828)
Winterreise

Hans Jörg Mammel, ténor / Arthur Schoonderwoerd, pianoforte

écouté sur les conseils de David le Marrec (pour les interprètes en tout cas), suite à une interrogation quant à l'apport du pianoforte dans le Lied Schubertien. Tout à fait convainquant pour moi: présence singulière (et parfois incisive) du pianoforte sans être jamais écrasante, modelé de la voix sans avoir à forcer. J'aime beaucoup.
Pas vraiment pour le soleil radieux du voyage d'hiver, mais pour l'alliage éclairant des sonorités et interprètes. Pour le voyage d'hiver: pas vraiment de smiley.

Les Nuits de la glotte...






Au programme ce soir :   G. Rossini - W.A. Mozart - A. Bruckner - C. Debussy

Sylvia McNair - Lucia Valentini Terrani - Luciana Serra - Cheryl Studer - Raúl Giménez - William Matteuzzi - Samuel Ramey
Ruggero Raimondi - Enzo Dara - Lucio Gallo - Giorgio Surian - Claudio Otelli - Barbara Frittoli - Bojidar Nikolov


1) Gioachino Rossini (1792-1868) :

Le Voyage à Reims, opéra en un acte

Corrina : Sylvia McNair, soprano
Marquise Melibea : Lucia Valentini Terrani, mezzo-soprano
Comtesse de Folleville : Luciana Serra, soprano
Madame Cortese : Cheryl Studer, soprano
Belfiore : Raúl Giménez, ténor
Comte Libenskof : William Matteuzzi, ténor
Lord Sidney : Samuel Ramey, baryton-basse
Don Profondo : Ruggero Raimondi, baryton-basse
Baron Trombonok : Enzo Dara, basse
Don Alvaro : Lucio Gallo, baryton-basse
Don Prudenzio : Giorgio Surian, baryton-basse
Don Luigino : Guglielmo Mattei, baryton
Maddalena : Nicoletta Curriel, mezzo-soprano
Antonio : Claudio Otelli, baryton
Modestina : Barbara Frittoli, soprano
Zefirino, Gelsomino : Bojidar Nikolov, ténor

Claudio Abbado, Choeur de la Radio de Berlin, Orchestre philharmonique de Berlin

(Sony, live octobre 1992)

Superbe ! Ça c'est de la glotte virevoltante ! et néanmoins intelligente.

Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Concerto 3 pour le pianoforte avec accompagnement d'orchestre (un par partie)

Arthur Schoonderwoerd / Cristofori

Vesselina Kasarova


2) Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Cosi fan Tutte : Ah, scostati!... Smanie implacabili, che m'agitate
Les Noces de Figaro : Non so più son, cosa faccio
Idoménée : Non ho colpa, e mi condanni - Ah, qual gelido orror... Il padre adorato
Mithridate : Venga pur, minacci e frema - Già dagli occhi il velo è tolto
Don Juan : Vedrai, carino - In quali eccessi, o Numi... Mi tradi, quell'alma ingrate
Lucio Silla : Il tenero momento
La Clémence de Titus : Ecco il punto, oh Vitellia... Non più di flori vaghe catene - Deh, per questo istante solo

= Vesselina Kasarova, mezzo-soprano ; Colin Davis, Orchestre de la Staaskapelle de Dresde

(RCA, septembre 1996)

Après Rossini, on reste là dans de la glotte acrobatique.
Dès le premier air, on est fixé sur l'autorité de la chanteuse et sur ses moyens vocaux.
Vraiment superbe et impressionnant !
Le chef semble même parfois un peu dépassé par tant de ductilité et de vélocité.
Enfin, comme chacun sait, Mozart c'est très difficile à bien diriger, outre l'agencement des lignes il faut leur conserver leur impetus, et Davis peine un peu à porter ces deux paramètres à leur point de fusion -au sens de fondre et de se fondre, comme nuancerait notre belle plume BAlexB  

Maud Cunitz - Gertrude Pitzinger - Lorenz Fehenberger - Georg Hann


3) Anton Bruckner (1824-1896) :

Te Deum

Maud Cunitz, soprano
Gertrude Pitzinger, contralto
Lorenz Fehenberger, ténor
Georg Hann, basse

Eugen Jochum, Choeurs et Orchestre symphonique de la Radio bavaroise

(DG, juillet 1950)

Enregistrement plutôt rare -il ne s'agit pas de la version stéréo plus tardive (juillet 1965) qui avait été notamment rééditée dans la collection Originals de DG.

Frederica Von Stade


4) Claude Debussy (1862-1918) :

La Damoiselle élue

Frederica Von Stade, mezzo-soprano ; Susanne Mentzer, récitant

Seiji Ozawa, Choeur du Festival de Tanglewood, Orchestre symphonique de Boston

(CBS, octobre 1983)

Pour conclure cette soirée électrisante, un peu de poésie apaisante.

Ludwig van Beethoven
* Concerto op.61
Wolfgang Schneiderhan, violon
Orchestre philharmonique de Berlin
Eugen Jochum (DGG, 1962).

Scriabine:Poème de l'Extase (Maazel)
Scriabine:Sonate n°3 (Glemser)

Chostakovitch : Quatuor à cordes n°15 (Borodine)

En petit comité avec 4 amis mélomanes. Je les ai initiés à la musique de Delius, qu'aucun d'eux ne connaissait. Avec un exposé sur la vie, la carrière et l'esthétique du compositeur. Au programme, en tout ou en extraits: La Calinda, Florida Suite, concerto pour piano, A Mass of Life, Summer Night on the River, sonate no 3 pour violon et piano.

.....................................................................

Ce matin, comparaison de 4 versions de la Suite du Mandarin merveilleux de Bartok. Eugene Ormandy et l'orchestre de Philadelphie (Sony et EMI); Jean Martinon et l'orchestre de Chicago (RCA); Hugh Wolff et le Philharmoonia Orchestra (Teldec). Il y a quelques semaines j'avais écouté le ballet entier dans les versions de Dorati (LSO Mercury et Detroit Symphony Decca), et Dutoit Montréal (encore Decca).

Une partition tellement riche et qui foisonne de couleurs et d'effets sonores au point où aucune version n'est semblable à l'autre: quand ce n'est pas le chef, c'est l'orchestre ou les preneurs de son qui donnent une perspective différente.

Les Nuits de la glotte...






Au programme ce soir :   G. Rossini - B. Britten - M. Ravel

Dvorak:Symphonie n°8 (Rowicki)

En voilà une belle découverte.

La version originale en allemand de Fennimore and Gerda de Frederick Delius.

Découpage en 11 tableaux enchaînés. Action très fluide, portée par commentaire orchestral très agissant. La musique est très belle.

Cecilia Gasdia - Lucia Valentini Terrani - Lella Cuberli - Katia Ricciarelli - Francisco Araiza - Samuel Ramey - Ruggero Raimondi - Enzo Dara -
Leo Nucci - Giorgio Surjan - Oslavio Di Credico - Raquel Pierotti - Luigi De Corato - Ernesto Gavazzi - William Matteuzzi


1) Gioachino Rossini (1792-1868) :

Le Voyage à Reims, opéra en un acte

Corrina : Cecilia Gasdia, soprano
Marquise Melibea : Lucia Valentini Terrani, mezzo-soprano
Comtesse de Folleville : Lella Cuberli, soprano
Madame Cortese : Katia Ricciarelli, soprano
Belfiore : Edoardo Gimenez, ténor
Comte Libenskof : Francisco Araiza, ténor
Lord Sidney : Samuel Ramey, baryton-basse
Don Profondo : Ruggero Raimondi, baryton-basse
Baron Trombonok : Enzo Dara, basse
Don Alvaro : Leo Nucci, baryton-basse
Don Prudenzio : Giorgio Surjan, baryton-basse
Don Luigino : Oslavio Di Credico, baryton
Maddalena : Raquel Pierotti, mezzo-soprano
Delia : Antonella Bandelli, soprano
Antonio : Luigi De Corato, baryton
Modestina : Bernadette Manca di Nissa, contralto
Zefirino : Ernesto Gavazzi, ténor
Gelsomino : William Matteuzzi, ténor

Claudio Abbado, Choeur philharmonique de Prague, Orchestre de chambre d'Europe

(DG, août 1984)

Décidément, Claudio a enregistré sans arrêt le Voyage à Reims...

arnaud bellemontagne a écrit:

Dvorak:Symphonie n°8 (Rowicki)

En voilà une belle découverte.

Oui dans le genre nerveux, fin et dégraissé, Rowicki reste très bien.
Par curiosité, tu peux comparer le même orchestre avec Kertesz (Decca), puis avec Dorati (Mercury) -je suis sûr que tu vas adorer cette version-là.
Le Finale cravaché par Dorati c'est une tuerie !

xoph a écrit:

Franz Schubert (1797-1828)
Winterreise

Hans Jörg Mammel, ténor / Arthur Schoonderwoerd, pianoforte

écouté sur les conseils de David le Marrec (pour les interprètes en tout cas), suite à une interrogation quant à l'apport du pianoforte dans le Lied Schubertien. Tout à fait convainquant pour moi: présence singulière (et parfois incisive) du pianoforte sans être jamais écrasante, modelé de la voix sans avoir à forcer. J'aime beaucoup.
Pas vraiment pour le soleil radieux du voyage d'hiver, mais pour l'alliage éclairant des sonorités et interprètes. Pour le voyage d'hiver: pas vraiment de smiley.

C'est vrai que le duo fonctionne vraiment très bien – comme Häfliger-Dähler ou van Egmont-Crawford… pas sûr que ce serait aussi opérant avec un autre attelage. (D'ailleurs Prégardien-Staier, très bien, n'apporte pas vraiment de nouveauté en termes d'équilibres et de coloris, et même de discours.)

Wilfred Brown


2) Benjamin Britten (1913-1976) :

Songs from the Chinese, Op. 58

The big chariot - The old lute - The autumn wind - The herd-boy - Depression - Dance song

= Wilfred Brown, ténor ; John Williams, guitare

(CBS, juillet 1969)

Après cette plâtrée rossinienne, je voulais entendre quelque chose qui tranche...
Le traitement de la voix chez Britten est vraiment particulier, cette étrangeté ressort à nu quand elle est accompagnée par les cordes pincées.

Frederica Von Stade


3) Maurice Ravel (1875-1937) :

Shéhérazade

Asie - La Flûte enchantée - L'Indifférent

= Frederica Von Stade, mezzo-soprano ; Seiji Ozawa, Orchestre symphonique de Boston

(CBS, octobre 1979)

Pilar Lorengar - Yvonne Minton - Luciano Pavarotti - Hans Sotin


4) Gioachino Rossini (1792-1868) :

Stabat Mater

Pilar Lorengar, soprano
Yvonne Minton, mezzo-soprano
Luciano Pavarotti, ténor
Hans Sotin, basse

István Kertész, Choeurs et Orchestre symphoniques de Londres

(Decca, décembre 1970 - mars 1971)

Hymnus Paradisi de Herbert Howells est un classique de la musique chorale anglaise. Composée en 1938 comme un requiem "privé" pour son fils mort de la polio, l'œuvre ne fut créée (par le compositeur) qu'à la demande expresse de Vaughan-Williams.

Superbe interprétation de la part du chef et des choeurs. J'ai quelques réserves sur la prestation de la soprano Joan Rodgers. Il faudrait que je compare avec les 2 autres versions que je possède pour faire un choix éclairé. Toites trois ont leurs mérites, dont celui d'avoir chacune un couplage différent et fort intéressant !

Brahms crépusculaire

ovni231 a écrit:

Décidément, Claudio a enregistré sans arrêt le Voyage à Reims...

C'est lui qui l'a remis au goût du jour en 1984 en le dirigeant au Rossini Opéra Festival (Pésaro, Italie). Et pour autant que je sache avec lui à la direction, je crois qu'il n'y a que deux CDs donc non, il ne l'a pas "enregistré sans arrêt"

Scriabine: Prométhée ou "le Poème du Feu" (Gergiev)
Scriabine: Sonate n°4 (Hamelin)

Haendel : Orlando (René Jacobs - B'Rock Orchestra, 2013 : Bejun Mehta, Sophie Karthäuser, Kristina Hammarström, Sunhae Im, Konstantin Wolff)

Génial vraiment ce que font Jacobs et Mehta... dommage de ne pas avoir un Zoroastre de même niveau... Wolff c'est un peu grisâtre...


Annette Dasch : Armida (Extraits d'oeuvres autour d'Armide par Gluck, Haendel, Jommelli et Haydn)

J'ai vraiment beaucoup ce disque... l'intensité du phrasé, la beauté du timbre...

Mélomaniac a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Dvorak:Symphonie n°8 (Rowicki)

En voilà une belle découverte.

Oui dans le genre nerveux, fin et dégraissé, Rowicki reste très bien.
Par curiosité, tu peux comparer le même orchestre avec Kertesz (Decca), puis avec Dorati (Mercury) -je suis sûr que tu vas adorer cette version-là.
Le Finale cravaché par Dorati c'est une tuerie !

Ecoute de Kertesz prévue ce soir.

Polyeucte a écrit:

Annette Dasch : Armida (Extraits d'oeuvres autour d'Armide par Gluck, Haendel, Jommelli et Haydn)

J'ai vraiment beaucoup ce disque... l'intensité du phrasé, la beauté du timbre...

Absolument d'accord !
Il faut aussi connaître son album Mozart pour lequel on peut reprendre chacun de tes qualificatifs.

(EDIT : j'y ajouterais volontiers le sens de l'histoire, à la fois la manière de conter/raconter et de s'inscrire dans l'histoire de l'interprétation, doublement informée si j'ose dire.)