Playlist (125)

Mozart : Symphonies 40 & 41 - Levine, Chicago.
Brahms : Symphonie 1 - Abbado, Berlin. Version intéressante mais je n'accroche toujours pas au style Brahms symphonique.
Elgar : Variations Enigma - Boult, LPO. Je ne sais pas si c'est la version ou l’œuvre en elle-même mais je m'attendais à un peu autre chose.

Les Baroqueries du dimanche...





Au programme ce soir :   G. Frescobaldi – N. Lebègue – J.S. Bach – J.H. Schein – M. Marais – A. Vivaldi – C. Balbastre – D. Scarlatti

W. A. Mozart
Les Quatuors avec piano
* Quatuor en sol mineur K.478
Domus (Virgin Classics, 1991)

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Les enregistrements RVW d'Haitink sont très pâles.
Alors pour une oeuvre aussi clairsemée que la 3° : pastel sur pastel, le résultat va te sembler assez délavé...

Et la version Handley (celle que j'écoutais) ?

Le son est un peu plus habité.
Sinon, pour ne pas se poser de question, choisir Boult (chez Emi, ou de préférence lors de sa première intégrale Decca, en mono mais prégnant).

greg skywalker a écrit:

Falla  El sombrero de tres picos     OSR/Ansermet 1961
Excellente prise de son !!    Mélo  connais tu d'autres Ansermet de meme tonneau   ?

Euh, tu parles de l'intérêt interprétatif ou de la prise de son ?
Pour la qualité sonore, l'acoustique de la salle genevoise (le Victoria Hall) était réputée, et confiée aux bons soins de la fine fleur du staff technique de Decca. Au temps du mono, Arthur Haddy, Gil Went, James Timms, Karl Brugger. Puis à l'ère stéréo (dès mai 1954) Roy Wallace, James Brown, James Lock (1963), Colin Moorfoot (1965).
Difficile de distinguer un enregistrement plutôt qu'un autre. Hormis quelques mono un peu acides, les captations stéréo sont à peu près toutes magnifiques.

1) Girolamo Frescobaldi (1583-1643) :

Il primo Libro delle Fantasie a Qvattro

= Francesco Tasini, orgue de la Basilique San Martino de Bologne

(Tactus, août 2005)

Un recueil publié en 1608, alors que Frescobaldi revenait de s'instruire en Flandres, et allait se voir confier les orgues de la prestigieuse Basilique San Pietro de Rome.
Quatre séries de trois fantaisies, de complexité croissante, respectivement sur un, deux, trois et quatre sujets.
A 25 ans, le compositeur affirme déjà son génie du clavier, de la polyphonie et de la science harmonique.

Église Notre-Dame-de-Guibray de Falaise (France, -Calvados)


2) Nicolas Lebègue (1631-1702) :

Suite du Ier ton

= Thierry Maeder, orgue Parisot de l'église Notre-Dame-de-Guibray de Falaise

(Pierre Vérany, juin 1996)

Un instrument trop rarement enregistré.
Très beau disque, récompensé par un Diapason d'or à sa sortie.
Amplement mérité pour l'interprétation gouailleuse (mais digne !) des pièces du troisième Livre : étonnante souplesse rythmique, là où nombre d'exécutants restent perclus de rigidité.
Là, je m'en tiens à un programme plus sévère, tiré du premier Livre.
Mais écoutez par exemple comment Maeder fait danser la célèbre Simphonie sur le bémol fa qui ouvre le CD en fanfare. Quel rebond, quelle respiration !

lucien a écrit:

Golisande a écrit:

(Et je suis ravi que de plus en plus de membres de ce forum s'y convertissent )

pourquoi on ne se convertit pas plutôt à Mahnkopf ou à Spahlinger ?

Pourquoi on ne se convertit pas plutôt à Eshpaï ou à Chtchédrine ?

Varèse : Amériques (Boulez)
G. Corrette : Messe du 8° ton pour l'orgue à l'usage des Dames Religieuses et utile à ceux qui touchent l'orgue (Saorgin)

Dvorak : Symphonie n°9 "du Nouveau Monde"

C'est décidé, je me lance à la découverte de Dvorak. Il faut relativiser l'influence de la musique noire et amérindienne sur cette Symphonie. Dvorak dit ne rien reprendre, mais s'inspirer du style de la musique amérindienne. Il s'inspirerait aussi beaucoup de la musique européenne. Cependant, on sent bien qu'on s'éloigne souvent des influences tchèques. Le deuxième mouvement est mon préféré. D'après ce que j'ai lu, les mouvements lents seraient sa grande spécialité.


Prochaine écoute : Concerto pour sitar de Ravi Shankar (eh oui, ça existe).

Et d'ailleurs, il y a en a un deuxième, de concerto pour sitar...

Plus une Symphonie pour orchestre et sitar de 2010, plutôt un 3ème concerto en fait : /watch?v=eo7uTJYq5p4

Et ce double CD, qui reprend les concerto et ajoute des pièces (pour sitar et autres instruments : violon, flute, etc.).

AlexCorzoma a écrit:

Dvorak : Symphonie n°9 "du Nouveau Monde"

Et en choisissant Fricsay tu as su trouver tout seul la meilleure version de la discographie !

3) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Aria variata en la mineur, BWV 989

= Robert Hill, clavecin

(Hänssler, mars 1999)

J'a-doore cette oeuvre de jeunesse, qui gazouille dans le style italien.
On la joue aussi parfois à l'orgue (au disque, par exemple Vernet à San Simpliciano de Milan), mais à mon avis seul le clavecin lui offre toute sa pétillante loquacité.
Zut, je vais passer pour un mélomane superficiel qui s'entiche de musiques superficiellement décoratives  

Mélomaniac a écrit:

AlexCorzoma a écrit:

Dvorak : Symphonie n°9 "du Nouveau Monde"

Et en choisissant Fricsay tu as su trouver tout seul la meilleure version de la discographie !

Tout seul, en m'aidant du forum.
Vos conseils me sont souvent utiles.

Franz Schubert
Les Chefs-d'oeuvre de l'Histoire de la Musique
* Quintette op.114 'La Truite'
Danielle Dechenne, piano
Colorado String Quartet
* Rondo en La majeur D 438
Emmy Verhey, violon
Colorado String Quartet
e.f.s.a., 1987



Version standard du Quintette.
Première écoute du Rondo D.438, belle découverte.

4) Johann Hermann Schein (1586-1630) :

Banchetto musicale

n°16, Suite en la mineur
n°2, Suite en ré mineur
n°6, Suite en la mineur
n°20, Suite en mi mineur

= Jordi Savall, Hespèrion XX

(Emi, janvier 1983)

Pas de quoi grimper au lustre, mais dans le genre épulaire ça s'écoute avec plaisir en ripaillant.

Portrait of Vladimir Horowitz
* Domenico Scarlatti: L.430 en la majeur & 483 en mi majeur (K.532 & 322)
* W. A. Mozart: Sonate no.11 en La  majeur K.331
* L. v. Beethoven: Sonate ' Clair de Lune' no.14, op.27 no.2
Vladimir Horowitz, piano
CBS, 1966



Surtout pour la très spirituelle et très romantique Sonate en mi de Scarlatti que je connais et vénère dans la version d'Andrés Segovia à la guitare.

Villa-Lobos Uirapuru, ballet (1917)  Odense/Jan Wagner  


Court ballet (18 minutes) pour Serge Diaghilev et les ballets russes en tournée au Brésil en 1917 : villa-lobos a écouté Debussy et Stravinsky , c'est clair . Luxuriant comme d'hab avec villa-lobos .
Superbe prise de son  je recommande ce disque , une bonne introduction à  villa-Libos (le cd comprend la 4eme Bachianas Brasileiras et le ballet tardif l'emperor Jones )

francisco Mignone  Maracatu de chico rei , ballet (1933) Sao Paulo symphony orchestra / John Neschling  



Respighi sous les tropiques (le Respighi dans Fetes Romaines) , un zeste de carl Orff (?) , un brin de Samba . C'est too much , mais j'aime bien ; après ça ,la cure de messes de palestrina s'impose ...
Bon , à midi au resto j'ai pris des profiteroles au chocolat , donc ce ballet  matche le thème de la journée : la gourmandise .


Arturo Marquez  Danzon n°2  Dudamel  
La cerise du gâteau . A voir youtube : watch?v=EkeIcuSC4A0

5) Marin Marais (1656-1728) :

Troisième Livre : Suite en do mineur, Suite en sol mineur

Jérôme Hantaï, basse de viole
Pierre Hantaï, clavecin
Alix Verzier, basse de viole

(Virgin, avril 1996)

Un disque formidable, que j'avais acheté à sa parution,
et qui vingt ans après confirme son rang suprême dans la discographie violistique louis-quatorzienne.

Mélomaniac a écrit:

greg skywalker a écrit:

Falla  El sombrero de tres picos     OSR/Ansermet 1961
Excellente prise de son !!    Mélo  connais tu d'autres Ansermet de meme tonneau   ?

Euh, tu parles de l'intérêt interprétatif ou de la prise de son ?
Pour la qualité sonore, l'acoustique de la salle genevoise (le Victoria Hall) était réputée, et confiée aux bons soins de la fine fleur du staff technique de Decca. Au temps du mono, Arthur Haddy, Gil Went, James Timms, Karl Brugger. Puis à l'ère stéréo (dès mai 1954) Roy Wallace, James Brown, James Lock (1963), Colin Moorfoot (1965).
Difficile de distinguer un enregistrement plutôt qu'un autre. Hormis quelques mono un peu acides, les captations stéréo sont à peu près toutes magnifiques.

Les deux (l'intérêt interprétatif  et de la prise de son ) . je  connais juste le Falla et les Rimsky . j'ai vu les coffrets , c'est cher ...

greg skywalker a écrit:

Villa-Lobos Uirapuru, ballet (1917)  Odense/Jan Wagner  


Court ballet (18 minutes) pour Serge Diaghilev et les ballets russes en tournée au Brésil en 1917 : villa-lobos a écouté Debussy et Stravinsky , c'est clair . Luxuriant comme d'hab avec villa-lobos .
Superbe prise de son  je recommande ce disque , une bonne introduction à  villa-Libos (le cd comprend la 4eme Bachianas Brasileiras et le ballet tardif l'emperor Jones )

Tiens, ça me tente !
Pour les Bachianas Brasileiras, je ne suis jamais allé au delà de la 5ème. Simplement parce qu'elle est trop belle, donc j'ai coincé. J'ai adoré une de ses symphonies, et le Choro n°1 est une de mes pièces pour guitare préférée. J'irai du coup découvrir ce CD après mon Ravi Shankar.

Pécou  Symphonie du Jaguar (2002)    

Après d'avoir surmonter le début du premier mvt , avec un choeur de femmes me faisant penser ces rires d'hyenes ...  ça améliore .
En fait , j'aime bien . c'est très colorée , pulsée , un sens du discours . le language et l'orchestration sont atypiques , mais c'est pas un défaut.
L'exotisme est partout . Franchement , après 4 écoutes , je trouve que Lucien avait  raison d'inserer cette symphonie de son BT "symphonies apres 1970)

Les 7 quatuors de Bacewicz. Une grande découverte.

6) Antonio Vivaldi (1678-1741) :

Concertos Op. 8, Rv.269, 315, 293, 297

= James Galway, flûte ; Solistes de Zagreb

(RCA, novembre 1976)

Franchement très bien cette transcription des Quatre Saisons par le virtuose irlandais, qui ne tire pas la couverture à lui,
sait dialoguer avec l'orchestre sans le dominer (grâce aussi à une prise de son fine et équilibrée),
et remplace l'écriture violonistique avec un goût parfait.

Bruno Luong a écrit:

Les 7 quatuors de Bacewicz. Une grande découverte.

Ah, oui, un corpus admirable, dense, divers (on parcourt les tendances esthétiques et les langages de la fin des années 30 au milieu des années 60) et en même temps toujours personnel.

Matthias Pintscher : un despertar pour violoncelle et orchestre (2016)
Alisa Weilerstein
Boston Symphony Orchestra (François-Xavier Roth)

L. v. Beethoven
* Sonates 'Le Printemps' & 'à Kreutzer'
Emmy Verhey, violon
Carlos Moerdijk, piano
e.f.s.a, enregistrement public à Amsterdam, juillet 1990

greg skywalker a écrit:

Les deux (l'intérêt interprétatif  et de la prise de son ) . je  connais juste le Falla et les Rimsky . j'ai vu les coffrets , c'est cher ...

Les coffrets musique française / musique russe ?

Vu que j'affectionne particulièrement Ansermet, ce label et cette période discographique, je ne suis peut-être pas un conseiller suffisamment dissuasif

En tout cas, pour ses Ravel, Debussy, Honegger, Roussel, Berlioz, Bizet, Delibes, Stravinsky (Petrouchka, L'Oiseau avec l'OSR et le NPO, Les Noces, Renard...), Prokofiev, Bartok, Tchaikovsky, Sibelius, et même le répertoire germanique (Beethoven, Brahms, Schumann...), il y a des choses fabuleuses à thésauriser.

7) Claude Balbastre (1724-1799) :

La De Caze
La d'Héricourt
La Ségur
La Monmartel
La Boullongne
La Castelmore
La Courteille
La Bellaud

= Jean-Patrice Brosse, clavecin Kroll du Château de Beauvoir

(Pierre Vérany, octobre 1999)

Encore un disque que j'avais acquis à sa parution.
Un instrument touffu, et lourdement capté, qui convient bien à Balbastre, son inspiration épaisse et simpliste (abusant des procédés) qui annonce la fin de règne du répertoire.
Mais aussi une séduction flagrante, une force de persuasion, et une contagieuse joie de vivre.

Claude Debussy
* La Mer
* Prélude à l'après-midi d'un faune
* Danse - Tarentelle styrienne (orch. Ravel)
Orchestre de la Suisse Romande
Ernest Ansermet (Decca London, 1955 à 1960)

A cause de l'infatigable Alex :

         

www.deezer.com/fr/album/314559                               www.deezer.com/fr/album/314606                            /watch?v=eo7uTJYq5p4

Werner Heider (1930–) :
— Konturen pour violon et orchestre (1962–64)
— Bezirk pour piano et orchestre (1968)
— –einander pour trombone et orchestre (1970)
Saschko Gawriloff, violon
Ernst Gröschel, piano
Armin Rosin, trombone
Nürnberger Symphoniker (Werner Heider)



je réécoute : c’est excellent.
en plus, comme tous les Colosseum que j’ai numérisés, le pressage est très bon et le disque en très bon état.

8 ) Domenico Scarlatti (1685-1757) :

Sonate en mi majeur, K. 380
Sonate en la majeur, K. 208
Sonate en la mineur, K. 175
Sonate en la majeur, K. 322
Sonate en ré mineur, K. 213
Sonate en ut majeur, K. 159

= John Williams, guitare

(CBS, octobre 1971)

Ravélavélo a écrit:

Surtout pour la très spirituelle et très romantique Sonate en mi de Scarlatti que je connais et vénère dans la version d'Andrés Segovia à la guitare.

Bloups a écrit:

Elgar : Variations Enigma - Boult, LPO. Je ne sais pas si c'est la version ou l’œuvre en elle-même mais je m'attendais à un peu autre chose.

A savoir ?
Et par rapport à ce que tu imaginais : plutôt déçu ou enthousiasmé ?

Mélomaniac a écrit:

8 ) Domenico Scarlatti (1685-1757) :

Sonate en mi majeur, K. 380
Sonate en la majeur, K. 208
Sonate en la mineur, K. 175
Sonate en la majeur, K. 322
Sonate en ré mineur, K. 213
Sonate en ut majeur, K. 159

= John Williams, guitare

(CBS, octobre 1971)

Ravélavélo a écrit:

Surtout pour la très spirituelle et très romantique Sonate en mi de Scarlatti que je connais et vénère dans la version d'Andrés Segovia à la guitare.

Oui, bonsoir Mélo!

Merci pour la mention de John Williams!
En complément de programme je rajoute les transcriptions pour instruments à vent op.17 de Dimitri Chostakovitch: Pastorale en ré mineur K.9 et Capriccio en Mi K.20.

Spoiler:

Gershwin  Rhapsody in Blue


Bonne rentrée

Les 2 trios pour cordes de Hindemith.
Le trio pour corde de Schoenberg (l'un de ces dernier opus).

Histoire de prolonger l'enchantement du concert d'hier soir :

Haydn : Symphonie n°84 (Bernstein)

Philippe Manoury (1952–) :
— Le Livre des claviers pour six percussionnistes (1987–88)
— Métal pour sextuor de sixxens (1995)
Third Coast Percussion

Bruno Maderna : Aura pour orchestre        1972 / Frankfurt RSO (Tamayo)

Bruno Maderna : Amanda pour orchestre de chambre         1966 / Frankfurt RSO (Tamayo)
 +

Une brochette d'interprétations favorites des sonates de Beethoven:


Sonate n°1 en fa mineur, op. 2.
Anatoly Vedernikov, 1968.

Sonate n°14 en do dièse mineur, opus 27.
Aline van Barentzen, ?.

Sonate n°23 en fa mineur, op. 57.
Annie Fischer, 1978.

Sonate n°29 en si bémol majeur, opus 106.
John Ogdon, 1967.
Sviatoslav Richter, Blythburgh, 1975.
Maria Yudina, ? : un jeu assez sec, et comme l'envie d'en découdre!

Sonate n°30 en mi majeur, opus 109.
Rudolf Firkušný, 1959.

Sonate n°31 en la bémol majeur, opus 110.
Myra Hess, 1953.
Annie Fischer, 1978.

Je suis aussi tombée sur une mauvaise Hammerklavier de Gilels (bancale, molle, et parsemée de pains monumentaux). Bon, on va dire que ce n'était pas son jour ...

Brahms Concerto pour piano n°2

C'est beaucoup plus bruyant et énervé que les autres oeuvres de Brahms auxquelles je suis habitué.

Plus bruyant et énervé que le concerto n°1 , les symphonies 1 et 3 (pour ne pas parler du finale tonitruant de la 2) ?

Oui c'est vrai que j'aurais plutôt mis ça du côté du Brahms apollinien.

En fait les oeuvres de Brahms que je mets régulièrement ce sont le requiem, le concerto pour violon, la sonate pour piano n°3, les variations sur un thème de Schumann opus 9, et de temps en temps la symphonie n°4 et le sextuor n°1.

Donc vraiment pas des trucs violents (il y a un peu d'animation dans le sextuor n°1 mais c'est tout).

Costin Cazaban (1946–) :
— Flutes à vide pour flutes et bande (1985)
— Zig-zag pour deux contrebasses (1974)
— Croisements recherchés, choral et évasion pour clarinette et trio à cordes (1980)
— Naturalia pour piano et bande (1975)
— Antimemoria pour quatuor à cordes (1977)
Pierre-Yves Artaud, flute
Fernando Grillo, contrebasse
Adrian Tomescu, piano
Musica Nova Ensemble

Iancu Dumitrescu (1944–) :
— Pierres sacrées, musique acousmatique pour pianos préparés, plaques et objets métalliques (1991)
— Harryphonies (alpha) pour contrebasse solo et ensemble (1985)
— Grande Ourse pour deux bassons, piano préparé, percussion et bande magnétique (1983)
— Harryphonies (epsilon) pour solistes et orchestre (1986)
Fernando Grillo, contrebasse
Melvin Poore, tuba
Victor Arsene et Barry Webb, trombones
Ensemble Hyperion (Iancu Dumitrescu)
Orchestre National de Roumanie (Iosif Conta et Iancu Dumitrescu)

Iancu Dumitrescu (1944–) :
— Galaxy, musique acousmatique pour gongs, harryphones, plaques métalliques et percussions (1993)
— Movemur et Sumus (III) pour trois contrebasses et percussion (1978)
Ion Ghiță, Ovidiu Bădilă, Ștefan Thomasz
Georgeta Scurtu, Sorin Scurtu
— Relief (II) pour deux orchestres et piano (1975)
Alexandrina Zorleanu
Orchestre National de Roumanie (Iosif Conta)
— Memorial / Alternances pour quatuor à cordes (1967–68)
Quatuor Philharmonia
— Bas-reliefs symphoniques pour orchestre (1977)
Orchestre Philharmonique de Bucarest (Mircea Cristescu)

Shankar : Morning Love
Shankar : Concerto pour sitar n°1

J'ai beaucoup aimé. Concernant le concerto, ce que j'ai trouvé dommage, c'est que l'orchestre ne soit pas vraiment mis en avant. Il est là seulement pour accompagner le sitar, que je trouve trop mis en avant. Après, je pense que c'est le problème du sitar : c'est un instrument très sonore, très planant. C'est peut-être un des plus beaux sons au monde. Il méritait son concerto.


Villa-Lobos : Uirapuru
Villa-Lobos : Bachianas Brasileiras n°4 (version pour orchestre)
Villa-Lobos : The Emperor Jones

Greg Skywalker m'a donné envie de m'y mettre.
Villa-Lobos, un des plus grands compositeurs d'Amérique du Sud. Un géant, au Brésil. A découvrir, pour ses Bachianas Brasileiras. La cinquième est la plus connue. Je découvre la quatrième, qui est sublime. Les deux autres œuvres du CD, des musiques de ballet, valent également le coup.