Playlist (133)

DLM a écrit:

C'est pas tout à fait la Vienne de Mélo cependant.

Flûte, alors !
il manquait la bannière avec un titre en Comic Sans MS, c'est ça ?

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Something Just Like This (adaptations multiples des Chainsmokers)

charmant.

[quote=DavidLeMarrec] H. Andriessen [/quote]

Cela ressemble à quoi ?

**********************************

Tischenko
Le terme "choucroute" se référait plutôt à mon impression de longueur et à la structure de la symphonie en elle même (orchestre + 2 solistes). (faites pas trop gaffe aux titres que je donne, c'est juste pour donner l'illusion de rationalité et de thématique ordonnées dans ma playlist)

Meow

anaëlle a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Something Just Like This (adaptations multiples des Chainsmokers)

charmant.

Oui, voilà.

Citation :

DavidLeMarrec a écrit:

H. Andriessen

Cela ressemble à quoi ?

C'est du tonal postromantico-décadent tardif. Ce n'est pas neuf ni audacieux (surtout pour quelqu'un né en 1892 et qui a composé jusque dans les années 70 !), donc ça ne te fera rien découvrir de majeur, mais ça entre tout à fait dans tes goûts néanmoins. Sans doute le compositeur néerlandais dont le style se rapproche le plus de van Gilse, je dirais (très loin des Pijper, Vermoolen…).

Citation :

Tischenko
Le terme "choucroute" se référait plutôt à mon impression de longueur et à la structure de la symphonie en elle même (orchestre + 2 solistes). (faites pas trop gaffe aux titres que je donne, c'est juste pour donner l'illusion de rationalité et de thématique ordonnées dans ma playlist)

Je l'ai bien sûr lu comme ça. Mais mettre ce bijou délicat qu'est Gilse 2 ou ce cri épique glaçant qu'est Tichtch' 6 sur le même plan que les gros machins sirupeux de Wagner, ça avait quelque chose d'instinctivement révoltant.

Nous avons bien goûté la saveur du pastiche.

Je vote pour le trollicide !

DavidLeMarrec a écrit:

Nous avons bien goûté la saveur du pastiche.

Citation :

Je l'ai bien sûr lu comme ça

C'était avant tout pour lulu et ovni.

Citation :

DavidLeMarrec a écrit:

H. Andriessen

Cela ressemble à quoi ?

C'est du tonal postromantico-décadent tardif. Ce n'est pas neuf ni audacieux (surtout pour quelqu'un né en 1892 et qui a composé jusque dans les années 70 !), donc ça ne te fera rien découvrir de majeur, mais ça entre tout à fait dans tes goûts néanmoins. Sans doute le compositeur néerlandais dont le style se rapproche le plus de van Gilse, je dirais (très loin des Pijper, Vermoolen…). [/quote]

cool, je note!

Matthias Pintscher : Bereshit pour grand ensemble        2011-12 / EIC (Pintscher)

Matthias Pintscher : Uriel pour violoncelle et piano        2011-12 / Couturier, Vassilakis

Carl Nielsen : Symphonie n°4 op.29 "Inextinguible" - New York Philharmonic, Alan Gilbert
vs
Carl Nielsen : Symphonie n°4 op.29 "Inextinguible" - Royal Stockholm Philharmonic orchestra, Sakari Oramo

GOSSEC : Le Triomphe de la République (Fasolis)
         J'ai vraiment beaucoup aimé. C'est grave ? Les passages orchestraux sont vraiment très beaux et, si les paroles sont parfois bien gratinées (peut-être aussi pour cette raison aussi), certains airs ou ensembles m'ont enchanté pour leur libéralité mélodique.

MOZART : Nocturne en ré majeur, K286 (Volkov)
         En live au Royal Albert Hall avec l'orchestre écossais de la BBC. Œuvre qui a pour unique intérêt d'être avant l'heure "spatialisée", car composés pour quatre orchestres (notés "Écho 1", "Écho 2", etc.) qui était disposé à plusieurs endroits du jardin dans lequel l'oeuvre était donnée (et il y a donc des jeux d'échos mais c'est sinon très peu substantiel).

[J'ai supprimé par mégarde ce que j'avais écrit sur la Cinquième de Vaughan Williams.]

À suivre.

Joseph Bodin de Boismortier
Six Sonates pour Flûte op. 91

Wilbert Hazelzet, flûte
Gerard de Wit, clavecin

c'est détendant

Bruckner, symphonie n°3, Daniel Barenboim, Berliner Philmarmoniker (intégrale 2 du chef)

aurele a écrit:

Bruckner, symphonie n°3, Daniel Barenboim, Berliner Philmarmoniker (intégrale 2 du chef)

Bon courage.

De mon côté, suite du cycle Andriessen, début du cycle Holst.

--

Cycle Hendrik Andriessen

¶ H. Andriessen – Symphonie Concertante – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)
Finalement, j'aime davantage les symphonies 3 & 4 : un petit côté pastiche par endroit, plus accessible mais un peu moins nourrissant. Très chouette néanmoins, ce n'est pas comme s'il existait par ailleurs des symphonies concertantes intéressantes (Szymanowski à la rigueur, mais Mozart, Langgaard ou Prokofiev, bof quand même).
¶ H. Andriessen – Chantecler – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)

¶ H. Andriessen – Symphonie n°4 – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)
Début sombre, mais de beaux moments de lyrisme ensuite !
¶ H. Andriessen – Libertas venit – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)
Commande de l'Orchestre du Brabant pour célébrer les dix ans de la libération de la province. Une lente marche, qui se pare d'échos menaçants (Dies iræ inclus), se charge de chants de guerre, et exprime avec lyrisme la fin de l'oppression. Quelque part entre le 1812 de Tchaïkovski et le Chant funéraire de Magnard, mais beaucoup moins spectaculaire que l'un et l'autre.
¶ H. Andriessen – Capriccio – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)
¶ H. Andriessen – Canzona – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)

¶ H. Andriessen – Intégrale pour orgue – Benjamin Saunders (Brilliant)
Corpus très homogène, pas forcément à écouter d'une traite comme je l'ai fait, mais de toute beauté : d'une subtilité sans ostentation, sorte de Tournemire batave.

Et réécoutes :

¶ H. Andriessen – Symphonie n°4 – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)
¶ H. Andriessen – Libertas venit – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)
¶ H. Andriessen – Capriccio – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)
¶ H. Andriessen – Canzona – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)
¶ H. Andriessen – Libertas venit – Symphonique des Pays-Bas (Enschede), Porcelijn (CPO)

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Cycle Holst

¶ Holst – Les Planètes– Chicago SO, Levine (DGG)
Oh !  Après tant de tentatives infructueuses, j'y ai enfin pris du plaisir !  Ce n'est pas très subtil, mais extrêmement neuf (et vraiment pillé par la musique de film épique américaine, de Williams à Horner).
¶ RVW – Fantaisie Greensleeves– Chicago SO, Levine (DGG)
¶ RVW – Fantaisie Tallis– Chicago SO, Levine (DGG)
J'aime bien ces œuvres, mais c'est juste parce que j'étais trop occupé pour changer le disque que je les ai entendues aujourd'hui.

¶ Holst – Mars pour orgue– arrangement et exécution par Stangier (Acousence)
Beaucoup plus raide, forcément.
¶ Holst – Les Planètes pour quatre mains– ZOFO Duet (Dorian Sono Luminus)
Change totalement le visage de ces pièces, et on y entend le lien direct avec Debussy, dans Venus ; ainsi que d'autres filiations ailleurs.

¶ Holst – Symphonie en fa– Ulter O, Falletta (Naxos)
Vraiment très sympathique, couleurs locales et médiévalisantes !  Pas un chef d'œuvre, mais roboratif !

¶ Holst – A Fugal Overture– LPO, Boult (Lyrita)
Profusif (mais assez peu fugué), très sympathique.
¶ Holst – A Somerset Rhapsody– LPO, Boult (Lyrita)
Jolie cantilène.
¶ Holst – Beni Mora– LPO, Boult (Lyrita)
Hit absolu dans l'histoire de se forum. Très sympa dans le genre de la caricature coloniale (moi j'aime bien ces trucs bigarrés qui ne ressemblent à rien). Sa caractéristique majeure est son final, avec le motif de flûte qui se répète en boucle sans moduler, pendant toute la pièce !
¶ Holst – Hammersmith– LPO, Boult (Lyrita)
Très méditatif, ample et sombre, puis pépiant de façon farouche, assez riche.

Claude Debussy
Estampes
Images livre I
Etudes livre II
L'Isle Joyeuse

Nelson Goerner

Respighi : Metamorphoseon (La Vecchia)

On a là une superbe fresque postromantique qui se déploie avec une étonnante variété de caractères.

Une bien belle découverte (merci Benedictus) !

Ludwig von Beethoven
Sonate Hammerklavier
Bagatelles op. 126

Nelson Goerner

une version au firmament de l'absolu superlatif du Parnasse de l'élite de la crème du meilleur de la fleur de la quintessence de la discographie, dans les versions récentes, elle me semble à mettre avec celle de Murray Perahia parmi les très grandes. C'est qu'il existe encore des pianistes dignes de ce nom (et oui, j'ai des scoops et des révélations à faire   ...)


Mieczysław Weinberg
Sonates pour violon

Yuri Kalnits, violon
Michael Csányi-Wills, piano

L'intégrale du violon et piano de Weinberg, un compositeur que je connais très mal          

Matthias Pintscher : Songs from Solomon's garden pour baryton et orchestre de chambre        2009 / Hughes, EIC (Pintscher)

Michael Jarrell : ...es bleibt eine zitternde Bebung... pour clarinette, violoncelle et orchestre         2007 / Molinari, Demenga, WDR Sinfonieorchester (Rundel)
 +
Michael Jarrell : ...mais les images restent... pour piano        2003 / Formenti
 +

Morton Feldman (1926–1987) : Half a minute is all I’ve time for pour clarinette, trombone, violoncelle et piano (1972)
Ensemble Musikalische Werkstatt Warschau
Wilfried Jentzsch (1941–) : Streichquartett 72 (1972)
Berner Streichquartett
Alfred Schnittke (1934–1998) : Lebenslauf pour quatre métronomes, trois percussionnistes et piano (1982)
Sabine Roderburg, Christian Roderburg, Karl-Josef Kels, Karl Hausgenoss, Michael Brod
Georg Kröll (1934–) : Capriccio sopra mi pour alto, violoncelle et contrebasse (1982)
trio basso Köln
Hans-Joachim Hespos (1938–) : bi 7 à trois pour sept instruments (1988)
Michael Niesemann, David Smeyers, Malte Burba, Uwe Dierksen, Eberhard Maldfeld, Frank Zschäbitz (Johannes Harneit)
Jakob Ullmann (1958–) : Alakata pour huit instruments (1990) : « Madrigal II »
Gruppe Neue Musik Hanns Eisler (Christian Münch)
György Kurtág (1926–) : Életút pour deux cors de basset et deux pianos end quarts de ton (1992) : I, II
Beate Zelinsky, David Smeyers, Tamara Stefanović, Nenad Lečić
Gérard Grisey (1946–1998) : Vortex Temporum pour piano et cinq instruments (1994–96) : I
Klaus Steffes-Holländer, ensemble recherche (Kwamé Ryan
Matthias Pintscher (1971–) : Figura I pour quatuor à cordes et accordéon (1998)
Teodoro Anzellotti, Arditti String Quartet
Robert HP Platz (1951–) : up down strange charm pour 14 instruments (1999)
Klangforum Wien (Emilio Pomàrico)

Jean-Sébastien Bach
Transcriptions pour pianos et 4 mains

Gyorgy Kurtag
Gottes Zeit ist die allerbeste Zeit - Sonatine, BWV 106
Nun komm' der Heiden Heiland, BWV 599
Allein Gott in der Höh' sei Ehr, BWV 711
Dies sind die heil'genzehn Gebot', BWV 635
Herr Christ, der ein'ge Gottes-Sohn, BWV 601
Aus tiefer Not schrei ic zu dir, BWV 687
Gott, durch deine Güte, BWV 600
Christe, du Lamm Gottes, BWV 619
Alle Menschen müssen sterben, BWV 643
Das Alte Jahr vergangen ist, BWV 614
O Lamm Gottes, unschuldig, BWV 618
Nun komm' der Heiden Heiland, BWV 599

Max Reger
Gavottes I & II de la suite No. 3 en ré majeur, BWV 1068

Franz-Xaver Gleichauf
Prelude et fugue en do majeur, BWV 545
Pastorale en fa majeur, BWV 590

Duo Stephanie Kai-Win Ho & Saar Ahuvia

Label New focus recordings

Bruckner, symphonie 5, Daniel Barenboim, Berliner Philarmoniker

G. F. Haendel
* Le Messie
Airs et Choeurs
London Symphony Orchestra & Chorus
Sir Adrian Boult
Decca, 1961

Igor Stravinsky
* Suite no.1
The Academy of St. Martin-in-the-Fields
Sir Neville Marriner

Jānis Mediņš (1890-1966): 24 dainas pour piano
Arthur Ozoliņš
1976, Kaibala Records

Günther Becker (1924–2007) : Hommage à Joseph Haydn – 3. Streichquartett mit obligatem Flexaton (1988)
Orpheus-Quartett
Alfred Schnittke (1934–1998) : Moz-Art pour deux violons (1975/76)
Luis Michal, Martha Carfi
Jürg Baur (1918–2010) : Et respice finem. Späte Impressionen pour quatuor à cordes (1993)
Auryn-Quartett
Moritz Eggert (1965–) : Trio (aus Klaviertrio Nr. 2) pour trio avec piano (1990)
Muriel Cantoreggi, Sebastian Hess, Moritz Eggert
Helge Jörns (1941–) : Bläserquintett Nr. 2 – Reflexionen zu op. 19 von Arnold S. (1998)
Rosetti-Bläserquintett
Klaus K. Hübler (1956–2018) : Erstes Streichquartett – Hommage à Alban Berg (1977) : I
Modern Art Quartett
Dieter Schnebel (1930–2018) : Webern-Variationen pour ensemble variable (1972)
Rundfunk-Sinfonieorchester Saarbrücken (Hans Zender)
Reinhard Wolschina (1952–) : 8 Bagatellen für 8 Instrumente – in memoriam Hanns Eisler (1998)
ensemble on_line vienna

Gustav Holst
* La suite de St Paul
Academy of St. Martin-in-the-Fields
Sir Neville Marriner

Citation :

À suivre.

Georg Friedrich HAAS : Concerto grosso n°1 (Hornroh Modern Alphorn Quartet, Scottish BBC Orchestra, Volkov)
         Entendu aussi en live au RAH, en trouple avec le Nocturne de Mozart et la Symphonie Alpestre. Il s'agit d'un concerto pour quatre cors alpins et grand orchestre. Les cors alpins sont de tonalités différentes et il y a en réalité six instruments que les cornistes alternent. J'ai trouvé ça très inégal, souvent lassant, car Hass semble vouloir épuiser, étirer au maximum chacune de ses idées ("tiens, c'est pas mal comme motif rythmique, si je le répétais 456 fois en en variant le spectre harmonique ?"). Mais j'ai été plus d'une fois saisi par sa science d'orchestrateur : à de nombreux moments, j'avais l'impression d'être à bord d'un charriot sur rail tournant au milieu des montagnes, car le son semblait avancer en faisant des ronds, en se balançant d'une partie de l'orchestre à l'autre et je n'arrivais même pas à comprendre comment il s'y prenait pour faire des effets "de balance" si convainquants...

Edward ELGAR : Pomp and Circumstance (BBC Orchestra, Sir Andrew Davis - Chandos)
         Mon péché mignon.

Georg BÖHM : Vater unser im Himmelreich (B. Alard - HM)
         Pièce superbe, intensément affligée. J'ignore sur quel orgue c'est joué (car écouté en streaming), mais l'instrument a par moment comme des sonorités de cornemuse (cela confère une touche un peu grotesque et pathétique à la pièce).

Howard HANSON : The Lament for Beowulf (Seattle Symphony Chorale and Orchestra, Schwartz - Naxos)
         Du gros poème symphonique avec choeur, un peu chargé, mais à l'atmosphère plutôt prenante.

Friedrich GULDA : Concerto pour violoncelle et orchestre de vents (Deutsche Staatsphilharmonie Rheinland-Pfalz, N. Alstaedt, Joël - Claves)
         Une merveille. Mélange réjouissant de genres, de styles différents, avec des alliages de timbres fabuleux (dans « Idylle » notamment). C'est drôle, c'est émouvant, c'est beau : j'adore.

Janacek : Suite pour orchestre à cordes
Britten : Variations sur un thème de Frank Bridge

Par l'Orchestre de chambre de Norvège. Quels équilibres, quelle précision de la part des musiciens ! Même lorsque la musique n'atteint pas des sommets d'inspiration (Janacek), il reste à écouter la fabuleuse mécanique de cet ensemble.

Giuseppe Verdi
Ouvertures
* La Forza del Destino
* Giovanna d'Arco
* Luisa Miller
* I Vespri siciliani
* Nabucco
* La Battaglia di Legnano
New Philharmonia Orchestra
Riccardo Muti
EMI Angel, 1977

Ottorino Respighi
* Les Oiseaux
Academy of St. Martin-in-the-Fields
Sir Neville Marriner

Ravélavélo a écrit:

Giuseppe Verdi
Ouvertures
* La Forza del Destino
* Giovanna d'Arco
* Luisa Miller
* I Vespri siciliani
* Nabucco
* La Battaglia di Legnano
New Philharmonia Orchestra
Riccardo Muti
EMI Angel, 1977

Tu es fin prêt pour le festival Verdi.

luisa miller a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Giuseppe Verdi
Ouvertures
* La Forza del Destino
* Giovanna d'Arco
* Luisa Miller
* I Vespri siciliani
* Nabucco
* La Battaglia di Legnano
New Philharmonia Orchestra
Riccardo Muti
EMI Angel, 1977

Tu es fin prêt pour le festival Verdi.

Évidemment, j'ai pensé à toi à l'écoute de ce disque.
Verdi est un brillant orchestrateur.
J'aime surtout La Forza del Destino qui sert de thème dans le film Jean de Florette.

Ravélavélo a écrit:

luisa miller a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Giuseppe Verdi
Ouvertures
* La Forza del Destino
* Giovanna d'Arco
* Luisa Miller
* I Vespri siciliani
* Nabucco
* La Battaglia di Legnano
New Philharmonia Orchestra
Riccardo Muti
EMI Angel, 1977

Tu es fin prêt pour le festival Verdi.

Évidemment, j'ai pensé à toi à l'écoute de ce disque.
Verdi est un brillant orchestrateur.
J'aime surtout La Forza del Destino qui sert de thème dans le film Jean de Florette.

La forza a été donnée en 2014 avec une très belle distribution mais dans une mise en scène exaspérante; je doute que ce soit rejoué aussi vite, ou alors avec les vainqueurs du concours Voci Verdiani.

Debussy : Transcriptions de La Mer, Nocturnes et Images pour 2 pianos (Heisser et Pludermacher)

Le labo du maître.

Bogusław Schäffer (1929–) : Musica ipsa pour orchestre d’instruments graves (1962)
WOSPR Katowice (Jan Krenz)
Bogusław Schäffer (1929–) : Course J pour orchestre symphonique de chambre et de jazz (1962)
WOSPR Katowice (Wojciech Michniewski)
Bogusław Schäffer (1929–) : Konstrukcje laczne pour orchestre à cordes (1960)
WOSPR Katowice (Jerzy Swoboda)
Bogusław Schäffer (1929–) : Topofonica pour 40 instruments (1960)
OF Kielce (Bogdan Olędzki)

Giacinto Scelsi
Yamaon, I presagi, 3 Pezzi, Anahit, Oknagon

Roland Hermann
Annette Bik
Pierre-Stéphane Meugé
Klangforum Wien
Hans Zender

mwouais, on a beau dire, au bout d'un moment c'est un peu casse-ponpon en bruit de fond c'est plaisant...

Ce n'est peut-être pas à écouter d'un bloc…
Anahit est une pièce extraordinaire… le reste du programme, c'est plus dispensable.

Anahit et Okanagon.

Bogusław Schaeffer (1929–) : Koncert na fortepian nr 3 pour piano, ordinateur et orchestre (1989–90)
Bogusław Schaeffer, piano
WOSPR Katowice (Bogdan Olędzki)
Marek Choloniewski, électronique

Serge Garant (1929–1986) :
— Quintette pour flute, hautbois, violoncelle, piano et percussion (1978)
— Offrande I pour 18 instruments et soprano sur support (1969) *
— Amuya pour 20 instruments (1968)
— ... chant d’amours pour soprano, mezzo, baryton, violoncelle, 12 instruments et support (1975)
* Pauline Vaillancourt, soprano
Yolande Parent, soprano
Marie Laferrière, mezzo
Michel Ducharme, baryton
Alain Aubut, violoncelle
Ensemble de la SMCQ (Walter Boudreau)

Michaël Jarrell : Congruences pour flûte midi, hautbois, ensemble et électronique        1988-89 / EIC (Eötvös)
 +
Anthony Cheung : Dystemporal pour vingt-trois musiciens         2012 / EIC (Mälkki)

Anthony Cheung : SynchroniCities pour huit musiciens et électronique        2012 / Talea Ensemble (Baker)

Anthony Cheung : Windswept cypresses pour flûte, alto, harpe et percussions         2005 / Crawford, Weisser, Gott

Anthony Cheung : Running the (full) gamut pour piano        2008 / Cheung
 +
Anthony Cheung : Centripedalocity pour sept musiciens         2008 / Talea Ensemble (Baker)
 +

Dominik Karski (1972–) :
— Glimmer pour flute alto et flute basse (2002)
— Streamforms pour flute basse amplifiée (2003)
— Veiled Voice pour deux flutes (2002)
— open cluster M45 pour flute basse amplifiée (2003)
— Veiled Words pour deux flutes alto et deux tam-tams (2013)
— 112 Iphigenia pour flute seule (2009)
— Streamforms III pour flute, flute alto et harpe (2015)
Ewa Liebchen, flutes
Rafał Jędrzejewski, flutes
Zofia Dowgiałło-Zych, harpe

Beethoven, Op. 101 & 106


Liszt Sonate en Si mineur


Un petit caviar: Liszt Etude transcendentale en Ré-b majeur.  Jamais enregistrée sur disque. 1952.  Staline était encore la.


Gilels-Liszt-1952

Carl Nielsen ; Symphonie nº2 « Les quatre tempéraments » - New York philharmonic, Alan Gilbert.

Décidément très réussis, les enregistrements de Nielsen par Gilbert.

¶ Holst – Scherzo – LPO, Boult (Lyrita)
¶ Holst – Japanese Suite – LSO, Boult (Lyrita)

¶ (Yves) Ramette –Symphonie n°5– Philharmonique de la Radio des Pays-Bas, Jan Stulen (Navona)
♪♪ Quoique du second XXe, complètement tonal – c'était un organiste… –, et on y entend beaucoup d'effets reçus de Beethoven et Mahler, quoique l'harmonie soit clairement du (début du…) XXe siècle. Anachronique, mais assez bien fait.


¶ Diepenbrock – Lieder orchestraux (anniversaire vol.3) – Philharmonique de la Radio des Pays-Bas, London Promenade O, Residentie Den Haag, Otterloo, van der Berg et autres
¶ Diepenbrock – Lieder orchestraux (bissé)
♪♪ De très belles mises en musique de poèmes célèbres en néerlandais, allemand (Heine, Brentano, Novalis) et français (Baudelaire, Verlaine), d'un beau lyrisme calme, de beaux miroitements orchestraux, et une très belle poésie, français inclus – on peut songer, en particulier dans la Bonne Chanson, à une sorte de Fauré qui aurait un talent d'orchestrateur beaucoup plus diaphane et irisé, plus rural aussi.
♪♪ Évidemment, Otterloo procure un relief tout particulier à ses participations, et pour ne rien gâcher, les poèmes français sont interprétés par Bernard Kruysen ! Vraiment un disque à entendre.

¶ (Benjamin) Wallfisch – Speed – Philharmonique de la Radio des Pays-Bas, B. Wallfisch (Quartz)
♪♪ L'occasion de vérifier la considérable maîtrise technique de l'orchestre (j'en vois de plus haute renommée, comme la Radio du Danemark ou le Royal Philharmonic, qui auraient probablement un peu plus de peine à tenir ce type de stress test), avec des sur-suraigus impeccablement justes, des articulations rythmiques complexes parfaitement nettes, des timbres inaltérés par l'effort.
♪♪ Cette pièce de 13 minutes explore des atmosphères très différentes et assez figuratives. Rien d'original, on retrouve les cliquetis en nuage, les rafales de cuivres varésiens, des suspensions plus chostakovitcho-herrmannien… car tout en utilisant les outils de l'orchestre du XXe siècle, Wallfisch écrit une musique complètement tonale, une sorte de Connesson qui aurait pris en compte Ligeti et Murail. Et cela fonctionne assez bien, à défaut de révolutionner quoi que ce soit.

¶ Michael Torke (1961-) – Livre des Proverbes – Philharmonique de la Radio des Pays-Bas, de Waart (Ecstatic Records & Decca)
♪♪ Quelque part entre l'atmosphère déhanchée de Bernstein et quelque chose de plus minimalisme, pas si éloigné des harmonies pures de Gregory Spears (Fellow Travelers, pour ceux qui ont le tort de ne pas lire CSS), très simple, très agréable, doucement dansant.

¶ Wagner-Vlieger – Suite des Meistersinger– Philharmonique de la Radio des Pays-Bas, de Waart (Challenge Records)
¶ Wagner-Vlieger – Deux entractes tragiques– Philharmonique de la Radio des Pays-Bas, Otto Tausk(Challenge Records)
Ça ressemble beaucoup à Rosamunde de Schubert…

Iskender a écrit:

Carl Nielsen ; Symphonie nº2 « Les quatre tempéraments » - New York philharmonic, Alan Gilbert.

Décidément très réussis, les enregistrements de Nielsen par Gilbert.

Je ne veux pas rainer sur ta parade, mais je crois que c'est avec Bostock la seule intégrale qui, pour moi, ne fonctionne pas. Pas possible d'être aussi terne et mou dans cette musique ! Non pas que ce soit mauvais (ou, comme Bostock-Liverpool, assez loin de l'esprit), mais faire ça avec cet orchestre, c'est rageant, surtout quand on voit ceux de moindre notoriété qui font des étincelles dans cette merveilleuse discographie.

Pardon de t'avoir contredit, j'espère que ça ne te privera pas d'apprécier la suite de ton écoute…

(Mais je ne puis trop t'inviter à essayer les autres qui te restent à découvrir après celle-là.)

Aucun problème David. Le forum n’est que plus interessant quand il y a interaction et que les posts suscitent des réponses. Elles ne peuvent pas toujours aller dans le même sens et sachant l’intérêt que tu portes au cycle Nielsen ça m’intérrsse d’avoir ton avis sur cette version.
(Et puis je ne m’étais pas gêné non plus pour ne pas abonder dans ton sens concernant les Sibelius de Storgårds... )

Xavier a écrit:

Ce n'est peut-être pas à écouter d'un bloc…
Anahit est une pièce extraordinaire… le reste du programme, c'est plus dispensable.

lulu a écrit:

Anahit et Okanagon.

j'ai écouté par morceaux, il y a un côté fascinant/hypnotique, une sorte de progression/développement sur lequel je peux me concentrer, mais sur quel critères est-ce que tu trouves qu'une pièce spectrale (ou peut-être pré-spectrale pour Scelsi) est bien écrite et qu'une autre est dispensable ?

Iskender a écrit:

Aucun problème David. Le forum n’est que plus interessant quand il y a interaction et que les posts suscitent des réponses. Elles ne peuvent pas toujours aller dans le même sens et sachant l’intérêt que tu portes au cycle Nielsen ça m’intérrsse d’avoir ton avis sur cette version.
(Et puis je ne m’étais pas gêné non plus pour ne pas abonder dans ton sens concernant les Sibelius de Storgårds... )

Je veux bien que tu dises un mot de ce que tu as aimé dans cette version dans le fil adéquat, parce que si tu en as écouté d'autres récentes, je ne vois vraiment pas ce qui t'a manifestement particulièrement séduit ici, ça m'intéresse.

Morloch a écrit:

Xavier a écrit:

Ce n'est peut-être pas à écouter d'un bloc…
Anahit est une pièce extraordinaire… le reste du programme, c'est plus dispensable.

lulu a écrit:

Anahit et Okanagon.

j'ai écouté par morceaux, il y a un côté fascinant/hypnotique, une sorte de progression/développement sur lequel je peux me concentrer, mais sur quel critères est-ce que tu trouves qu'une pièce spectrale (ou peut-être pré-spectrale pour Scelsi) est bien écrite et qu'une autre est dispensable ?

Pour moi franchement il y a un fossé entre Anahit et les autres que tu as citées: il y a une plus grande richesse de timbres, il y a une construction formelle bien plus audible (et même une progression dramatique), il y a des bribes de tonalité (on entend des accords parfaits furtivement à deux reprises, mais ça s'entend mieux chez Wyttenbach que chez Zender, j'aime moins cette version), bref c'est plus varié et plus inspiré à mon sens, de très loin.

Voir ici: https://classik.forumactif.com/t848-giacinto-scelsi-1905-1988