Playlist (136)

xoph a écrit:

j'ai vraiment très souvent des idées en or

Cet hommage mérite un cadeau

Pizzetti Assassinio Nela Catredale

La première écoute  (sur youtube , version dvd avec Raimondi ) . J'adore ! 1h20 de bonheur.  Musique somptueuse très lyrique

Les dévotions du dimanche...





Au programme ce soir :    J. Pachelbel – J. Haydn – L. Cherubini – D. Buxtehude

Igor Markevich
Icare

Arnhem Philharmonic Orchestra & Lyndon-Gee Christopher

Label Marco Polo

Une suggestion de Rav-Phäel tirée du fil "cinq oeuvres à faire découvrir"

Non seulement une oeuvre, mais aussi I.M. compositeur.

Merci

L'église Michaelerkirche de Vienne (Autriche)


1) Johann Pachelbel (1653-1706) :

Magnificat VII. toni -fugues v-viii
Magnificat IV. toni -fugues v-viii

= Jürgen Essl, orgue Sieber de l'église Saint-Michel de Vienne

(CPO, avril 2010)

Beethoven : 9ème Symphonie (Seiji Ozawa, 2018 : Rie Miyake, Mihoko Fujimura, Kei Fukui, Markus Eiche)
Pas mal, mais rien de transcendant je trouve.




Britten : War Requiem (Kurt Masur, 2000 : Christine Brewer, Anthony Dean Griffey, Gerald Finley)

Moui... un peu terne je trouve. Sans doute parfaitement en place, mais ça manque du côté fin du monde qu'on trouve chez Britten (ou un peu chez Jansons ou Noseda!). Et puis j'ai beau admirer au plus haut point Christine Brewer, ça manque un peu de nerf ses interventions...

Polyeucte a écrit:

Britten : War Requiem (Kurt Masur, 2000 : Christine Brewer, Anthony Dean Griffey, Gerald Finley)
Moui... un peu terne je trouve. Sans doute parfaitement en place, mais ça manque du côté fin du monde qu'on trouve chez Britten (ou un peu chez Jansons ou Noseda!). Et puis j'ai beau admirer au plus haut point Christine Brewer, ça manque un peu de nerf ses interventions...

Je ne connais pas ce live, mais la version studio de Masur à New York (avec Carol Vaness, Jerry Hadley et Thomas Hampson) est vraiment très aboutie - en effet pas aussi «apocalyptique» que Britten (ou Giulini live), mais très profonde et méditative, assez irréelle dans les moments «suspendus» et d'une magnifique atmosphère poétique dans les solos de ténor et de baryton. (Et puis Jansons ou Noseda, ça ne me tente pas trop - en revanche Pappano est vraiment pas mal.)

2) Joseph Haydn (1732-1809) :

Messe n°11 en ré mineur, "Missa in angustiis"

Felicity Lott, soprano
Carolyn Watkinson, contralto
Maldwyn Davies, ténor
David Wilson-Johnson, basse
Trevor Pinnock, English Concert & Choir

(Archiv, septembre 1986)

Benedictus a écrit:

Je ne connais pas ce live, mais la version studio de Masur à New York (avec Carol Vaness, Jerry Hadley et Thomas Hampson) est vraiment très aboutie - en effet pas aussi «apocalyptique» que Britten (ou Giulini live), mais très profonde et méditative, assez irréelle dans les moments «suspendus» et d'une magnifique atmosphère poétique dans les solos de ténor et de baryton.

Ah il faudra peut-être que je l'écoute alors cette version studio...

Citation :

(Et puis Jansons ou Noseda, ça ne me tente pas trop - en revanche Pappano est vraiment pas mal.)

C'est marrant parce que justement, j'avais écouté ces trois là à peu de distance... Elles datent un peu de la même période. Et pour moi justement c'est Pappano qui est en dessous, trop tendre...

Polyeucte a écrit:

Citation :

(Et puis Jansons ou Noseda, ça ne me tente pas trop - en revanche Pappano est vraiment pas mal.)

C'est marrant parce que justement, j'avais écouté ces trois là à peu de distance... Elles datent un peu de la même période. Et pour moi justement c'est Pappano qui est en dessous, trop tendre...

Alors si maintenant c'est Polyeucte qui veut des versions méchantes et moi qui défend celles qu'il trouve trop gentilles...
(En fait, je n'ai écouté ni Jansons ni Noseda.)

Benedictus a écrit:

Polyeucte a écrit:

Citation :

(Et puis Jansons ou Noseda, ça ne me tente pas trop - en revanche Pappano est vraiment pas mal.)

C'est marrant parce que justement, j'avais écouté ces trois là à peu de distance... Elles datent un peu de la même période. Et pour moi justement c'est Pappano qui est en dessous, trop tendre...

Alors si maintenant c'est Polyeucte qui veut des versions méchantes et moi qui défend celles qu'il trouve trop gentilles...    
(En fait, je n'ai écouté ni Jansons ni Noseda.)

Pour War Requiem oui, je veux trembler ou m'envoler... mais pas de milieu... J'ai écouté pendant des années uniquement Britten... et ai été bouleversé par un concert dirigé par Ingo Metzmacher. Du coup, j'attends des émotions fortes.
Et j'avais trouvé Pappano un peu terne et mou. Loin du tranchant que j'y attends.

3) Luigi Cherubini (1760-1842) :

Missa solemnis en sol majeur, pour le couronnement de Louis XVIII

= Riccardo Muti, Chœurs et Orchestre philharmoniques de Londres

(Emi, mars 1988)

Wagner : Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg Acte II (Solti II)

4) Dieterich Buxtehude (1637-1707) :

Danket dem Herren, denn er ist so freundlich, BuxWV 181
Gott der Vater wohn uns bei, BuxWV 190
Ich ruf zu dir, Herr Jesu Christ, BuxWV 196
Nun freut euch, lieben Christen g'mein, BuxWV 210
Te Deum en ré majeur, BuxWV 218

= Harald Vogel, orgue Schnitger de l'église Saint Jacques de Hambourg

(MDG, 1986-1993)

Sur le colosse de la Jacobikirche, que j'ai déjà entendu sur place, et dont la réputation (en termes de puissance, d'ampleur, de variété des couleurs) n'est pas usurpée.
Il s'agit du plus grand instrument du XVII^e siècle : 60 jeux sur quatre claviers, et pédale avec deux 32' ce qui est rarissime pour cette époque !
Les registrations détaillées sont indiquées dans le livret.
Très intéressant pour suivre le choix des jeux dans les volets du Nun freut euch et du Te Deum qui durent chacun plus d'un quart d'heure.
L'approche patiente et mesurée de Vogel, spécialiste de ce répertoire, n'exploite cependant pas tout le potentiel de ces pages narratives.
Et la prise de son pourrait montrer davantage de relief, comme dans le volume 1 de l'intégrale buxtehudienne de Schauerte chez Syrius sur le même instrument,
une des plus démonstratives captation d'orgue que je connaisse.

Wagner : Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg Acte III (Solti II)


C'est peut être dans cet opéra que l'art wagnérien des ensembles atteint son plus haut niveau d'aboutissement.

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg Acte III (Solti II)
C'est peut être dans cet opéra que l'art wagnérien des ensembles atteint son plus haut niveau d'aboutissement.

Exactement, Wagner y va même un peu au-delà de lui-même, dans ce domaine: le sublime quintette est une sorte de hapax dans son œuvre.
Et puis cette science du contrepoint orchestral et choral, d'un bout à l'autre de l'opéra!

Ginastera, concerto No. 2
Wiayin Wang, BBC PO, Juanjo Mena

Je préfère le 1er concerto, mais le 2e n'est pas mal, surtout c'est bien interprété (grâce à Wang) comme ici.

Wagner: Siegfried (Jerusalem, Evans, Clark, Tomlinson, von Kannen, Kang, Svendén, Leidland, Orchestre du Festival de Bayreuth, Barenboim) .

https://classik.forumactif.com/t6031p600-wagner-ring-barenboim-kupfer-dvd#1136526

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg Acte III (Solti II)
C'est peut être dans cet opéra que l'art wagnérien des ensembles atteint son plus haut niveau d'aboutissement.

Exactement, Wagner y va même un peu au-delà de lui-même, dans ce domaine: le sublime quintette est une sorte de hapax dans son œuvre.
Et puis cette science du contrepoint orchestral et choral, d'un bout à l'autre de l'opéra!

Oui, vraiment.

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg Acte III (Solti II)


C'est peut être dans cet opéra que l'art wagnérien des ensembles atteint son plus haut niveau d'aboutissement.

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg Acte III (Solti II)
C'est peut être dans cet opéra que l'art wagnérien des ensembles atteint son plus haut niveau d'aboutissement.

Exactement, Wagner y va même un peu au-delà de lui-même, dans ce domaine: le sublime quintette est une sorte de hapax dans son œuvre.
Et puis cette science du contrepoint orchestral et choral, d'un bout à l'autre de l'opéra!

Richard Wagner
Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg
Acte III

Bayreuth 1968
Karl Böhm

Sans doute le R.W. plus séduisant, plus lyrique.

Oui, moins épique...mais pas moins inspiré.

Je mets les Maîtres au même niveau que Tristan et Parsifal... le Ring, c'est à part tellement ça n'est comparable à rien de connu.

--------

Sibelius : Symphonie n°2 (P.Jarvi)

arnaud bellemontagne a écrit:

Oui, moins épique...mais pas moins inspiré.

Je mets les Maîtres au même niveau que Tristan et Parsifal... le Ring, c'est à part tellement ça n'est comparable à rien de connu.  

--------

Sibelius : Symphonie n°2 (P.Jarvi)

Ah! Tristan, au-delà de tout! Toute résistance est vaine !

arnaud bellemontagne a écrit:

le Ring, c'est à part tellement ça n'est comparable à rien de connu.  

À part Star Wars (et LULLY), bien sûr.

Au niveau de Tristan et de Parsifal ? Non faut quand même pas déconner.

Entre hier et aujourd’hui:

• Wagner: Lohengrin:

Kwangchul Youn, Johan Botha, Adrianne Pieczonka, Falk Struckmann, Petra Lang, Eike Wilm Schulte, Semyon Bychkov / WDR Sinfonieorchester Köln, WDR Rundfunkchor Köln, NDR Chor, Prager Kammerchor
En public, Cologne, V-VI.2008
Hänssler
Presque déçu par cette version à la première écoute (partielle et un peu distraite), au contraire totalement émerveillé à la seconde (intégrale et attentive.) Je tâcherai d’en parler plus longuement dans le fil adéquat quand j’aurai plus de temps.

• Couperin: Messe à l'usage ordinaire des paroisses pour les fêtes solennelles (avec plain-chant baroque alterné):

Jean-Charles Ablitzer (orgue historique de la basilique Saint-Nazaire et Saint-Celse de Carcassonne), Marcel Pérès / Ensemble Organum
Carcassonne, XII.1986
Harmonic Records
Réécouté ce matin: c’est décidément magnifique! (Voir ici.) Encore merci à David et Mélo pour la suggestion.

Sibelius: Symphonie n°4/P.Järvi

Sibelius: Symphonie n°5/P.Järvi

Cololi a écrit:

Au niveau de Tristan et de Parsifal ? Non faut quand même pas déconner.

Je persiste et signe, il y a la même richesse et une puissance d'inspiration équivalente même si le registre est moins ténébreux (Tristan) et élégiaque (Parsifal)

Idem pour moi, et ce n'est pas du tout ce que je me disais au début!

Ca paraît moins fulgurant et moins inouï au premier abord, et pourtant...

Cololi a écrit:

Au niveau de Tristan et de Parsifal ? Non faut quand même pas déconner.

arnaud bellemontagne a écrit:

Je persiste et signe, il y a la même richesse et une puissance d'inspiration équivalente même si le registre est moins ténébreux (Tristan) et élégiaque (Parsifal)

Xavier a écrit:

Idem pour moi, et ce n'est pas du tout ce que je me disais au début!
Ca paraît moins fulgurant et moins inouï au premier abord, et pourtant...

Pareil qu'Arnaud et Xavier (sauf que j'ai pour ma part toujours beaucoup beaucoup aimé les Meistersinger.)

Je trouve même les Maîtres et Parsifal assez supérieurs à Tristan, du point de vue de la forme… Tristan reste assez lyrique, ses motifs très identifiés et audibles, on est loin de la complexité des Maîtres (qui sont en outre bien plus roboratifs !).

(Je n'osais pas le dire, mais...)

Je crois pour ma part que les Meistersinger ne sont pas loin d’être mon opéra de Wagner préféré.


Sinon :
• Berlioz, Harold en Italie(Roth/Les Siècles/Zimermann) x 3 [il faut que je réécoute les versions que je connais déjà, mais je crois que c’est pour moi la meilleure interprétation de l’œuvre]
• Cilea, Adriana Lecouvreur [acte I et II] (Levine)
• Rossini, Il viaggio a Reims (Abbado 1984) [Je découvre cette œuvre, après un glotto-pèlerinage à Rouen pour entendre Vidal en Comte Ory : c’est INCROYABLO-GÉNIAL !!!]
• « Le Triomphe de l’amour » (Piau/Les Paladins/Corréas)

Vous croyez que ça m'impressionne cet unanimisme

Comme d'habitude, vous en venez à des aspects formels. J'adore les Maîtres … mais à côté de l'expérience Tristan ...

Mais non il n'y a pas d'unanimisme qui vaille. En ce qui me concerne, les Meistersinger constituent l'opéra de maturité de Wagner (post-Lohengrin, quoi) qui me résiste encore. Je ne trouve pas ça mauvais, loin de là, mais je ne ressens pas du tout le même enthousiame que pour Tristan, la Tétralogie et (dans une moindre mesure pour ce dernier, mais quand même) Parsifal.

Qui trop embrase, mal éteint ; mais là, Seigneur ! c'est une qualité et comme toujours avec Cziffra, je me laisse embarquer !

Cololi a écrit:

 Vous croyez que ça m'impressionne cet unanimisme

Comme d'habitude, vous en venez à des aspects formels. J'adore les Maîtres … mais à côté de l'expérience Tristan ...

Non mais c'est sûr, quand on vient de l'opéra italien, Tristan est plus facile.

Ravel: Daphnis et Chloé, La Valse (Chœurs et Orchestre de l'Opéra National de Paris, Ph. Jordan) . Approche très chorégraphique, précise et raffinée de Jordan. L'orchestre est superbe. J'aime beaucoup ...

Beethoven: Symphonie n° 6 en fa majeur op. 68 (Orchestre de Chambre d'Europe, Harnoncourt) .

Bach: Toccatas et fugues BWV 565, 564, 538 et 540 ; Aria BWV 587 ; Fantaisie BWV 542 ; Trio BWV 583 ; Fugue BWV 542 (André Isoir à l'orgue de l'Abbatiale de Saint-Cyprien en Périgord) .

Adalbéron a écrit:

• Rossini, Il viaggio a Reims (Abbado 1984) [Je découvre cette œuvre, après un glotto-pèlerinage à Rouen pour entendre Vidal en Comte Ory : c’est INCROYABLO-GÉNIAL !!!]

Ouiii!!!

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

 Vous croyez que ça m'impressionne cet unanimisme

Comme d'habitude, vous en venez à des aspects formels. J'adore les Maîtres … mais à côté de l'expérience Tristan ...

Non mais c'est sûr, quand on vient de l'opéra italien, Tristan est plus facile.

Oh la perfidie!

Cololi a écrit:

 Vous croyez que ça m'impressionne cet unanimisme

Comme d'habitude, vous en venez à des aspects formels. J'adore les Maîtres … mais à côté de l'expérience Tristan ...

Roupoil a écrit:

Mais non il n'y a pas d'unanimisme qui vaille. En ce qui me concerne, les Meistersinger constituent l'opéra de maturité de Wagner (post-Lohengrin, quoi) qui me résiste encore. Je ne trouve pas ça mauvais, loin de là, mais je ne ressens pas du tout le même enthousiame que pour Tristan, la Tétralogie et (dans une moindre mesure pour ce dernier, mais quand même) Parsifal.

les Meistersinger constituent l'opéra de maturité de Wagner (post-Lohengrin, quoi)


Je suis avec vous deux !
Les Maîtres en fin de compte sont "classiques". Je ne ressens pas ce sentiment de fin du Monde qui anime/traverse Tristan et en partie la Walkyrie, malgré l'Annonce faite à Sieglinde.

Florent Schmitt : Quintette pour piano et cordes op.51, Quatuor de Berne-Werner Bärtschi

Un quintette sous forte influence de celui de Franck, mais en encore plus imposant (presque une heure pour trois mouvements !). Peut-être trop imposant d'ailleurs dans la mesure où Schmitt peine quand même un peu à maintenir un intérêt constant sur la durée, mais il y a vraiment pas mal de très beaux moments, il mérite une petite place parmi les (nombreux) beaux quintettes de la période composés en France.

Pour l'anecdote, ma première nomination en temps que prof titulaire (en 2005) s'est faite au lycée Florent Schmitt. Sauf qu'en cherchant où se trouvait ledit lycée, je me suis rapidement aperçu ... qu'il n'existait pas ! Il venait en effet de changer de nom (pour Alexandre Dumas) et ça n'avait pas été mis à jour chez tout le monde, manifestement...

Beethoven: Symphonies n° 7 en la majeur op. 92 et n° 8 en fa majeur op. 93 (Orchestre de Chambre d'Europe, Harnoncourt) .

Wagner : Tristan et Isolde Acte I (Bohm)

Sibelius : Symphonie n°3 (P. Jarvi)

La première minute a des accents très mahleriens.

L.van Beethoven
* 12 Variations en sol majeur sur " See, the conqu’ring Hero Comes "-Judas Maccabaeus/G.F.Haendel
* 7 Variations en mi bémol majeur sur " Bei Männern, welche Liebe fühlen " -Die Zauberflöte/W.A.Mozart
* 12 Variations en fa majeur sur " Ein Mädchen oder Weibchen " -Die Zauberflöte/W.A.Mozart

François-Frédéric Guy (piano) & Xavier Phillips (violoncelle)

Label Evidence

arnaud bellemontagne a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

 Vous croyez que ça m'impressionne cet unanimisme

Comme d'habitude, vous en venez à des aspects formels. J'adore les Maîtres … mais à côté de l'expérience Tristan ...

Non mais c'est sûr, quand on vient de l'opéra italien, Tristan est plus facile.

Oh la perfidie!  

Attendue !

Tristan est juste la plus grande expérience artistique de tous les temps, alors qu'est-ce que tu veux que ça me fasse