Playlist (136)

cololi, veux tu bien arrêter de fumer de la moquette, s'il te plait ? C'est très mauvais pour ta santé mentale

Aujourd’hui:

• Chostakovitch: Symphonie nº6 en si mineur, op. 54:

Evgeny Mravinsky / Orchestre Philharmonique de Leningrad
En public, Moscou, I.1972
Melodiya
Je n’aime pas tellement les symphonies de Chostakovitch en général, mais j’ai eu l’impression que celle-ci était assez ratée (le Largo initial, en particulier m’a fait l’impression d’un truc assez étal qui ne va nulle part - et les deux brefs mouvements suivants sont si lourdement caricaturaux dans le genre «fausse joie sarcastique»...) Dommage, parce que j’ai adoré le grain du Philharmonique de Leningrad dans cet enregistrement.

• Jacques Lenot: Chiaroscuro (2006) pour piano et orchestre:

Winston Choi (piano), Jean Deroyer / Ensemble Multilatérale
Paris, XI.2010
Intrada
Une œuvre magnifique, très éloquente et d’un grand classicisme formel (la partie de piano constitue comme un récitatif mélodique, l’orchestre tantôt dialogue par groupes avec le soliste, tantôt tisse un arrière-plan atmosphérique). Le langage est simple, sobre et direct: atonal et post-sériel, mais peu agressif et très directionnel; l’orchestration évite aussi bien les chatoiements boulézo-spectraux que les collages texturistes pour s’en tenir à des couleurs très «premier XXᵉ» (quelque part entre le Bartók nocturne et Hindemith.) Le résultat est très expressif (et assez inquiet) et cependant pudique - vraiment quelque chose de très personnel.

Mikhail Ippolitov-Ivanov
* Cortège du Sardar (Esquisses Caucasiennes op.10)
Taiwan Soloist Symphony Orchestra
(chef inconnu)



/watch?v=Q-hzkMf9HvM

Bach:Concertos BWV 592, 593, 594, 595 et 596 ; Fugue BWV 578 ; Fantaisie BWV 563 ; Canzona BWV 588 ; choral BWV 754 (André Isoir à l'orgue de l'Abbatiale de Saint-Cyprien en Périgord) .

Une organisation générale, quelque chose de franc dans l'articulation, une palette de couleurs fraîches et drues qui doit beaucoup à Bernstein ; mais un charme, une certaine nonchalance pour ne pas dire un sourire dans le phrasé qui regarde autant du côté de Vienne (Süsskind, son professeur ?) que de Beecham :

Jacobus VAET
Requiem - Missa pro defunctis

Voir ICI

Wagner : Tristan et Isolde Acte II (Bohm)

Les popofferies de la Nuit...






Au programme ce soir :    A. Borodine – N. Rimsky-Korsakov – I. Stravinsky – D. Chostakovitch  

1) Alexandre Borodine (1833-1887) :

Danses polovtsiennes

= Grzegorz Fitelberg, Orchestre philharmonique de Londres

(Decca, avril 1946)

Dommage que la prise de son (remarquable pour l'époque) manque un peu de poids car la direction survoltée du maestro polonais
emporte ces danses dans une ivresse qui pousse les pupitres anglais dans leurs retranchements. Par exemple la danse des hommes
qui s'élance avec une vélocité anthologique : panique dans les rangs, le clarinettiste s'affole, les trombones savonnent, précipités à un tempo
(180 à la noire dans un vivo surpiqué de double-croches !) que n'osa aucun autre chef.

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Tristan et Isolde Acte I (Bohm)

R.Wagner
Tristan et Isolde
Acte I

Rundfunkchor Leipzig & Staatskapelle Dresden & Carlos Kleiber
Margaret Price & Brigitte Fassbaender
Eberhard Büchner & René Kollo & Dietrich Fischer-Dieskau

Label DG

L'entrée de B.F.!

Wagner : Tristan et Isolde Acte III (Bohm)

Windgassen campe un Tristan halluciné et possédé.
Très impressionnant.

MA version.

2) Nikolaï Rimsky-Korsakov (1844-1908) :

La Grande Pâque russe, ouverture Op. 36

= Ievgueni Svetlanov, Philharmonia Orchestra

(Hyperion, décembre 1989)

Introduction très flegmatique, puis le chef se réveille et précipite alors ses pupitres.
Bonne version, mais le propos semble survolé, et les intentions trop velléitaires.
En outre, certains mélanges instrumentaux sonnent creux.

Jean Françaix, Les bosquets de Cythère, Thierry Fischer et l'Ulster Orchestra. Un plaisir de musique ! L'introduction donne le ton : quand Poulenc acquiert la maîtrise ravélienne. ou rousselienne ; c'est kif kif, pour dire que cette musique a émerveillé ma soirée.

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Tristan et Isolde Acte III (Bohm)
Windgassen campe un Tristan halluciné et possédé.
Très impressionnant.
MA version.

Ah tiens, je t'aurais plutôt vu fan de l'ample lyrisme et de l'Isolde frémissante de la version Bernstein.

Behrens dans l'Acte II de Bohm en lieu et place de Nilsson ça aurait été idéal.  

J'adore la direction de Bohm, intense, cursive et habitée à souhait.
L'acte III de Windgassen est anthologique.
Côté Bernstein, Hofmann me dérange pas mal en Tristan, surtout avec des tempos aussi étendus.
Et j'ai de plus en plus de mal avec Kleiber qui sonne artificiel et fabriqué.

3) Nikolaï Rimsky-Korsakov (1844-1908) :

La Grande Pâque russe, ouverture Op. 36

= Ievgueni Svetlanov, Orchestre symphonique de l'URSS

(Melodiya, 1984)

De la poigne, du caractère mais là encore (comme dans sa version postérieure avec le Philharmonia) Svetlanov semble trop inégal,
parfois distrait, et la pâte apparait plus aigre qu'avec l'orchestre anglais.
Dommage car les carillons et l'hymne final scintillent avec ardeur.
Désolé, je suis peut-être un peu sévère avec Svetlanov, mais figurez-vous que je réécoute des versions en quête d'un Mélomaniac d'Or  

Debussy, Deux Arabesques. Planès
Debussy, Suite bergamasque. Planès
Debussy, Children's Corner. Planès
Debussy, Images, I et II. Planès

pour l'ile déserte

Alifie t'a refilé sa manie de la monomanie on dirait

arnaud bellemontagne a écrit:

Behrens dans l'Acte II de Bohm en lieu et place de Nilsson ça aurait été idéal.  
J'adore la direction de Bohm, intense, cursive et habitée à souhait.
L'acte III de Windgassen est anthologique.

On est bien d'accord. (Beau Kurwenal de Waechter, aussi.)

arnaud bellemontagne a écrit:

Côté Bernstein, Hofmann me dérange pas mal en Tristan, surtout avec des tempos aussi étendus.

Ce n'est pas le meilleur des Tristan, mais il ne me dérange pas (pas plus que Kollo, en tout cas.)

arnaud bellemontagne a écrit:

Et j'ai de plus en plus de mal avec Kleiber qui sonne artificiel et fabriqué.

Oui - et bien plus à cause des afféteries de la direction et des maniérismes de DFD que pour Margaret Price enregistrée la bouche sur le micro.

anaëlle a écrit:

Debussy, Deux Arabesques.  Planès
Debussy, Suite bergamasque.  Planès
Debussy, Children's Corner.  Planès
Debussy, Images, I et II.  Planès
pour l'ile déserte

Aujourd’hui, pour changer de tous ces gens qui écoutent de belles choses:

• Chostakovitch: Symphonie nº2 en si majeur «À Octobre», op. 14:

Guennadi Rojdestvenski / Orchestre Symphonique du Ministère de la Culture d’URSS, Chœur Symphonique d’État de l’URSS / Rosalia Peregidova
1985
Venezia
Le début, très atonal, m’a beaucoup plu - ensuite, c’est davantage du Chostakovitch habituel, mais en plus expérimental. Je ne dirais pas forcément que j’ai aimé, mais ça a retenu mon attention de bout en bout. Voir ici.

• Liszt: Rhapsodies hongroises, S. 359 n°1-6 (orch. Liszt et Franz Doppler):

Martin Haselböck / Orchester Wiener Akademie
Raiding, X.2012
CPO
Autant je n’aime pas ces rhapsodies au piano, autant là, en version orchestrale, ça a un côté bastringue franchement réjouissant (ça oscille entre du Berlioz kitsch et du Johann Strauss déjanté, avec cithare et cymbalum pour la couleur locale) - encore accentué par l’orchestre sur crincrins qui pouët-pouëtte à qui mieux mieux.
(On rappelle que Liszt est aussi le compositeur de Via crucis, de
la Sonate en si mineur, des Années de pèlerinage et de beaux lieder trop méconnus.)

Benedictus a écrit:

Autant je n’aime pas ces rhapsodies au piano, autant là, en version orchestrale, ça a un côté bastringue franchement réjouissant (ça oscille entre du Berlioz kitsch et du Johann Strauss déjanté, avec cithare et cymbalum pour la couleur locale) - encore accentué par l’orchestre sur crincrins qui pouët-pouëtte à qui mieux mieux.

Écoute plutôt Dorati (Mercury), tu vas tomber du fauteuil

Catégorie orchestrale -rang 147°/250




En 1964 auprès de Stravinsky à droite, Robert Craft (1923-2015)


4) Igor Stravinsky (1882-1971) :

Le Chant du Rossignol, poème symphonique

= Robert Craft, Orchestre symphonique de la Columbia

(CBS, janvier 1967)

J'ai découvert Le Rossignol bien après avoir entendu ce poème symphonique tiré de l'opéra, que je connais depuis fort longtemps puisqu'il figurait sur un de mes premiers
albums stravinskyens. En l'occurrence une musicassette qui le couplait avec Petrouchka par Charles Dutoit à Montréal (Decca, 1986), que j'avais achetée à sa parution.
Version transparente, aux perspectives nettes mais un peu froide. En tout cas je fus d'emblée conquis par cet orientalisme à la fois luxuriant et d'une délectable
subtilité d'instrumentation, même si sur ma chaine hifi de l'époque le magnétophone masquait un peu la finesse des passages délicats, à la limite du silence.
Mon premier enregistrement en CD fut celui de Riccardo Chailly (Decca), robuste et plutôt carré. Puis Lorin Maazel à Berlin (DG), aux couleurs plus crues.
Puis Ernest Ansermet à Genève (le créateur en 1919 !), aéré, savoureux, incomparablement poétique. Et le fringant Antal Dorati à Londres (Mercury).
Aussi Constantin Silvestri avec le Philharmonia (HMV), Fritz Reiner à Chicago (RCA), les trois Boulez (CBS, Erato, préférables à DG...).
Et quelques autres (Kegel, Schwarz, Kitaïenko...) mais avec ces disques-là on a fait le tour du meilleur.
.
Enfin presque puisque la version choisie pour ce Mélomaniac d'Or honore un chef qui se rapprocha de Stravinsky dès 1948,
et fut associé au legs enregistré par le compositeur lui-même chez CBS.
On n'a jamais fait mieux que son interprétation orgiaque (l'évocation de la cour impériale, la marche chinoise...), frétillante (le jeu du rossignol mécanique),
turgescente (même dans le calme épisode du chant du pêcheur), drue mais non sèche, qui atteint une incroyable densité expressive sans lourdeur.
Et quelle flagrance : Craft presse tous les tubes de couleur de son orchestre !
L'ébouriffante vitalité du tempo n'empêche pas une précision rythmique et timbrale de chaque instant.
La prise de son s'avère elle-aussi exceptionnelle de relief et de chatoiement !

Sibelius : Symphonie n°4 (P.Jarvi)

Encore une fois le côté plein et dense des cordes de cette orchestre saute aux oreilles.

Ca ne me fera certes pas adorer cette quatrième symphonie dont l'austérité continue à me rebuter, mais la qualité de l'interprétation est vraiment à saluer.

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Tristan et Isolde Acte III (Bohm)

Windgassen campe un Tristan halluciné et possédé.
Très impressionnant.

MA version.

.

Bartok: Concerto pour violon n°1/Capuçon, Roth



Je recommande!

5) Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Symphonie n°6 en si mineur, Op. 54

= Adrian Boult, Orchestre philharmonique de Londres

(Everest, août 1958)

Très bonne lecture, attentive, densément sculptée dans le Largo que le chef anglais anime avec une émotion non dissimulée.
Boult embraye l'Allegro à vive allure, au point que ses pupitres (cors, par exemple) peinent à toujours trouver la virtuosité d'un Haitink, somptueux à Amsterdam (Decca).
Il prend un peu mieux ses aises dans le Presto final, articulé avec précaution, véhiculant un humour bon enfant là où on souhaiterait davantage de causticité,
à l'instar de Jansons à Oslo (Emi), d'une célérité diabolique.
Superbe prise de son, prestation très incarnée du London Philharmonic : un choix audiophile qui interprétativement cède de peu aux meilleures références
de la discographie (Haitink, Jansons, Reiner pour citer quelques anciennes valeurs sûres).

Beethoven: Symphonie n° 9 en ré mineur op. 125 (Margiono, Remmert, Schasching, Holl, Arnold Schoenberg Chor, Orchestre de Chambre d'Europe, Harnoncourt) .

Xavier a écrit:

Bartok: Concerto pour violon n°1/Capuçon, Roth



Je recommande!

Je te rejoins.

Beethoven, les 5 concertos pour piano
Uchida, Rattle, BPO

Sibelius :Symphonie n°5 (P.Jarvi)

Un peu déçu. Ca manque d'élan, il y a quelque chose d'un peu distendu et figé dans la direction qui étouffe le lyrisme vibrant qu'on est en droit d'attendre dans cette oeuvre (notamment dans le troisième mouvement).

Les crincrins de la Nuit...





Au programme ce soir :     L. Beethoven – B. Bartók – E. Ysaÿe – F. Delius – D. Milhaud  

Ruggiero Ricci (1918-2012)


1) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Concerto pour violon en ré majeur, Op. 61

= Ruggiero Ricci, violon ; Adrian Boult, Orchestre philharmonique de Londres

(Decca, février 1952)

 Archet un peu trop sec dans le Larghetto, mais pour le reste le jeune violoniste italien livrait là une vision particulièrement lyrique,
épaulé par orchestre charnu et savoureux drivé par un Boult des grands jours, remarquable d'élan et de lisibilité (écoutez l'introduction de l'Allegro !)
Le chef anglais disait de ce concerto qu'il requiert « un bon exécutant mais aussi un grand homme », et cet opus que Ricci jouait déjà depuis plus de deux décennies
(première fois à New York en novembre 1929) montre qu'à trente-trois ans il possédait déjà une remarquable sensibilité.

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Tristan et Isolde Acte II (Bohm)

R.Wagner
Tristan et Isolde
Acte II

Rundfunkchor Leipzig & Staatskapelle Dresden & Carlos Kleiber
Margaret Price & Brigitte Fassbaender
René Kollo & Dietrich Fischer-Dieskau & Kurt Moll & Werner Götz

Label DG

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les "Melot" se sont dévoilés

2) Béla Bartók (1881-1945) :

Concerto pour violon n°2

= Itzhak Perlman, violon ; André Previn, Orchestre symphonique de Londres

(Emi, octobre 1973)

3) Eugène Ysaÿe (1858-1931) :

Sonate pour violon en ré mineur, Op. 27 n°3
Sonate pour violon en mi mineur, Op. 27 n°4

= Leila Josefowicz, violon

(Philips, septembre 1995)

Aujourd’hui:

• Hindemith: Symphonia Serena¹. Die Harmonie der Welt²:

Herbert Blomstedt / Gewandhausorchester Leipzig
Leipzig, IV.1996¹; VI.1997²
Decca
Plus je réécoute ces œuvres (que beaucoup trouveront sans doute ennuyeuses), plus j’y prends de plaisir et d’intérêt. Voir ici.

4) Frederick Delius (1862-1934) :

Violin Sonata No.1
Violin Sonata No.2
Violin Sonata No.3

= Yehudi Menuhin, violon ; Eric Fenby, piano

(Emi, octobre 1978)

Benedictus a écrit:

Aujourd’hui:

• Hindemith:

Herbert Blomstedt / Gewandhausorchester Leipzig
Leipzig, IV.1996¹; VI.1997²
Decca
Plus je réécoute ces œuvres (que beaucoup trouveront sans doute ennuyeuses), plus j’y prends de plaisir et d’intérêt. Voir ici.

Mais c'est coul Hindemith !

Wagner : Parsifal Acte I (Levine 85)

ovni231 a écrit:

Mais c'est coul Hindemith !

Moi, j'adore, mais je connais beaucoup de monde qui le trouve ennuyeux.

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Parsifal Acte I (Levine 85)

• Gossec: Symphonies, Œuvre XII: n°5 en mi bémol majeur et n°1 en ré majeur:

Guy Van Waas / Les Agrémens
Bolland, X.2002
Ricercar
Et puis ce son d’orchestre très clair, ces textures fines et qui claquent...  
(Très envie d’essayer leur Haydn, du coup.)

5) Darius Milhaud (1882-1974) :

Sonate pour violon n°2, Op. 40

= Ion Voicu, violon ; Monique Haas, piano

(Decca, juin 1967)

Scriabine: Sonates n°5 et 7/Nakano



Beaucoup d'intégrales de ces sonates sont parues dernièrement… aucune n'a de grand intérêt. Au mieux, c'est passable, et encore, comme ici.

Schoenberg: Gurre-Lieder (Haveman, Jovanovich, Mahnke, Netherlands Female Youth Choir, Domkantorei Köln, Männerstimmen des Kölner Domchores, Vokalensemble Kölner Dom, Chor des Bach-Vereins Köln, Kartäuserkantorei Köln, Gürzenich-Orchester Köln, Markus Stenz) . C'est très bien chanté ; l'orchestre est très bon, mais l'équilibre entre les chœurs et l'orchestre n'est pas idéal (les chœurs sont couverts par l'orchestre) et les percussions sont perdues au fond de la salle (beaucoup de détails sont inaudibles, comme les chaînes. J'aime entendre les chaînes ).

Debussy: La mer ; Prélude à l'après-midi d'un faune ; Jeux ; Children's Corner (Caplet) (Orchestre National de Lyon, Märkl).

SCHUBERT
Lieder

Voir ICI

Anaxagore a écrit:

Schoenberg: Gurre-Lieder (Haveman, Jovanovich, Mahnke, Netherlands Female Youth Choir, Domkantorei Köln, Männerstimmen des Kölner Domchores, Vokalensemble Kölner Dom, Chor des Bach-Vereins Köln, Kartäuserkantorei Köln, Gürzenich-Orchester Köln, Markus Stenz) . C'est très bien chanté ; l'orchestre est très bon, mais l'équilibre entre les chœurs et l'orchestre n'est pas idéal (les chœurs sont couverts par l'orchestre) et les percussions sont perdues au fond de la salle (beaucoup de détails sont inaudibles, comme les chaînes. J'aime entendre les chaînes ).

J'en ai parlé ICI

Rubato a écrit:

Anaxagore a écrit:

Schoenberg: Gurre-Lieder (Haveman, Jovanovich, Mahnke, Netherlands Female Youth Choir, Domkantorei Köln, Männerstimmen des Kölner Domchores, Vokalensemble Kölner Dom, Chor des Bach-Vereins Köln, Kartäuserkantorei Köln, Gürzenich-Orchester Köln, Markus Stenz) . C'est très bien chanté ; l'orchestre est très bon, mais l'équilibre entre les chœurs et l'orchestre n'est pas idéal (les chœurs sont couverts par l'orchestre) et les percussions sont perdues au fond de la salle (beaucoup de détails sont inaudibles, comme les chaînes. J'aime entendre les chaînes ).

J'en ai parlé ICI

Ah oui en effet ... et je vois d'ailleurs que tu as aussi été gêné par ces chœurs lointains ... .

Edgar Varèse : Amériques pour grand orchestre        1918-21 / Boulez
 +

Bruckner, symphonie 6, Günter Wand, NDR Symphony Orchestra, live 1988

J.S.Bach
Suite N°2 pour luth en do mineur

Jean Rondeau (clavecin)
Arrangement du même

label Erato

Et là
/watch?v=TOp09_SqP5w

Alexander Jocheles (piano)
Arrangement Egon Petri


Epure musicale