Playlist (136)

Ravélavélo a écrit:

J S Bach
* Variations Goldberg BWV 988
Glenn Gould, piano
1 LP CBS 'Masterworks', 1982



Toujours émouvant de réécouter Gould au piano.
Coup de chance d'avoir mis la main sur cet album.
Écoute en suivant la partition (Henle).

Un disque génial.

docteur mabuse a écrit:

Iskender a écrit:

Penderecki : Concerto pour alto - Robert Kamara, Polish sinfonia Iuventus orchestra, Maciej Tworek

Intéressant ... Tu n'aurais pas une photo de la pochette par hasard ? 

Vincent Dumestre et Le Poème Harmonique
Aux marches du palais
Plaisir d'amour

À partir d'ici

arnaud bellemontagne a écrit:

Ravélavélo a écrit:

J S Bach
* Variations Goldberg BWV 988
Glenn Gould, piano
1 LP CBS 'Masterworks', 1982

Toujours émouvant de réécouter Gould au piano.
Coup de chance d'avoir mis la main sur cet album.
Écoute en suivant la partition (Henle).

Un disque génial.

Oui, tout-à-fait !
J'ai découvert cet enregistrement sur le tard, en 1985, grâce à une émission de radio.

Guillaume de Machaut
* Messe de Nostre-Dame
Anonyme de XIVe Siècle
* Messe de Tournai
Ensemble vocal Guillaume Dufay
Les Saqueboutiers de Toulouse
Arsène Bedois
1 LP Erato, 1981

George Gershwin
* Rhapsody in Blue
* An American in Paris
London Symphony Orchestra
André Previn, piano et direction
1 LP Angel EMI, 1971

Brahms, symphonie 2, Günter Wand, NDR-Sinfonieorchester, live 1996

Vincent Dumestre et Le Poème Harmonique
Daniel Brel - Quatre Chemins de mélancolie

Bof !  

Voir ICI

Rimsky-korsakov Capriccio Espagnol  Ancerl/orchestre philharmonic tchèque

Rimsky-korsakov La Grande Pâque russe  Markevitch / Concertgebouw

Rimsky-Korsakov Symphonie n°2 "Antar"  Svetlanov / orchestre national de l'urss

Rimsky-korsakov  Sheherazade  Gergiev / Kirov

Alors ?

Les jolis Chœurs de la Nuit...





Au programme ce soir :     C. Orff – S. Rachmaninov – F. Schubert – R. Vaughan Williams

Mélomaniac a écrit:

Les jolis Chœurs de la Nuit...





Au programme ce soir :     C. Orff – S. Rachmaninov – F. Schubert – R. Vaughan Williams

O fortuna
Velut luna
....

Rubato a écrit:

Alors ?

J'ai bien aimé

Ah, ben ça, c'est sûr que La fille au roi Louis, c'est autre chose que Carl Orff...

1) Carl Orff (1895-1982) :

Carmina Burana, cantiones profanae

Lynne Dawson, soprano
John Daniecki, ténor
Kevin McMillan, baryton
Herbert Blomstedt, Chœurs et Orchestre symphoniques de San Francisco

(Decca, mai 1990)

Benedictus a écrit:

Ah, ben ça, c'est sûr que La fille au roi Louis, c'est autre chose que Carl Orff...

Le 31 du mois d'août est particulièrement jouissif !

Ah ça oui!

2) Sergueï Rachmaninov (1875-1945) :

Les Cloches, symphonie chorale Op. 35

George Shirley, ténor
Phillis Curtin, soprano
Michael Devlin, baryton
Eugene Ormandy, Chœurs de la Temple University, Orchestre de Philadelphie

(RCA, mars 1973)

Ormandy avait déjà enregistré cette œuvre en février 1954 (Columbia).
Elle est ici chantée dans une version anglaise due à la remarquable linguiste Fanny Copeland, qui traduisit les paroles russes de Constantin Balmont,
qui avait lui-même réalisé l'adaptation d'après d'Edgar Poe (Rachmaninov ignorait d'ailleurs que l'écrivain américain était l'auteur du texte original !)
Quand on est habitué à entendre cette cantate dans la langue russe, l'oreille perd quelques repères, mais rien de rédhibitoire,
pas d'accent outrancièrement yankee dans la prestation du chœur de Philadelphie.
Mes versions préférées restent celles d'Ashkenazy à Amsterdam (Decca), Svetlanov et Kondrachine (Melodiya),
mais le chef hongrois (qui grava d'inoubliables lectures des trois symphonies) livre ici un témoignage très abouti, et splendidement capté,
paru à l'occasion du centième anniversaire de la naissance du compositeur.

Je poursuis mon exploration de l’œuvre de Schulhoff:

• Schulhoff: Landschaften, op. 26. Menschheit, op. 28:

Doris Soffel (mezzo-soprano), Gerd Albrecht / Deutsches Symphonie-Orchester Berlin
Berlin-Dahlem, XI.1999
Orfeo «Musica Rediviva»

Totalement enthousiasmé par ces deux «symphonies pour voix et orchestre» (en fait, plutôt des cycles de lieder très intégrés): ici, c’est un Schulhoff postromantique et très mahlérien, expansif mais intense que l’on entend. Deux chefs-d’œuvre du genre dans une interprétation idéale. Voir ici.

3) Franz Schubert (1797-1828) :

Die Nacht
Die Nachtigall
Wehmuth
Der Gondelfahrer
Mondenschein
Nachthelle
Das Dörfchen
Die Einsiedelei
Sehnsucht
Grab und Mond
Frühlingsgesang
Liebe
Widerspruch
An den Frühling
La Pastorella
Ständchen
Der Entfernten

Karl Kent, ténor
Norman Mackenzie, piano
Mary Akerman, guitare
Robert Shaw Chamber Singers

(Telarc, octobre 1992)

Robert Shaw (1916-1999) fut avec Margaret Hillis un des chefs de chœur les plus populaires des États-Unis.
Avec sa chorale, il joua et enregistra les pages de Schubert dès 1949, à l'époque où il collaborait avec Toscanini.
Structuré en trois parties, ce programme illustre quelques thèmes chers au compositeur : la nature, la nuit, la mélancolie...
Interprétation très chaleureuse, et captée dans une acoustique aérée qui distille un plaisir sans ombre. Vraiment remarquable

4) Ralph Vaughan Williams (1872-1958) :

Three Shakespeare Songs
Willow Song
O Mistress mine

= David Willcocks, Chœur du King's College de Cambridge

(Argo, août 1959)

Paul Dukas
* La Péri
Orchestre symphonique de Montréal
Charles Dutoit



/watch?v=UIQjwMGNXhQ

Ravélavélo a écrit:

Paul Dukas
* La Péri
Orchestre symphonique de Montréal
Charles Dutoit



/watch?v=UIQjwMGNXhQ

Dukas L'apprenti sorcier  Philharmonia/Igor Markevitch

Dukas La Péri  Ulster Orchestra/Yan Pascal Tortelier

Franz SCHUBERT
Winterreise
Thomas Bauer / Jos van Immerseel

Voir ICI

Respighi Trilogie Romaine Boston/Ozawa

greg skywalker a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Paul Dukas
* La Péri
Orchestre symphonique de Montréal
Charles Dutoit



/watch?v=UIQjwMGNXhQ

Dukas L'apprenti sorcier  Philharmonia/Igor Markevitch

Dukas La Péri  Ulster Orchestra/Yan Pascal Tortelier

Merci pour tes deux références, je vais écouter.

Gounod : Faust (Carlo Rizzi, 1993 : Jerry Hadley (Faust), Cecilia Gasdia (Marguerite), Samuel Ramey (Méphistophélès), Susanne Mentzer (Siébel), Alexandru Agache (Valentin), Brigitte Fassbaender (Marthe), Philippe Fourcade (Wagner))

Vraiment une très belle version... à placer à côté de Plasson et Prêtre (77 à la Scala hein!!).
Plus de détails ICI

J S Bach
The Little Bach Book (compil.)
Glenn Gould, piano
1 LP CBS 'Masterworks', 1980

Franz SCHUBERT
Winterreise

Peter Harvey: baryton
Gary Cooper: pianoforte

Voir ICI

¶ Messiaen, Regards sur l'Enfant Jésus, Martin Helmchen (Alpha)
Un peu blanc, mais impeccable.

¶ Messiaen, Catalogue d'oiseaux, extrait, Yvonne Loriod

¶ Bischoff, Symphonie n°1, Rheinland-Pfalz State Philharmonic, W.A. Albert
Pas très complexe ni subtil, mais charmant et roboratif.

Les Maestros de la Nuit...





Au programme ce soir :   J. Haydn – L. Beethoven – J. Kalliwoda – A. Berg

Hindemith Symphonie "Mathis der maler"   Esa-pekka Salonen/Los Angeles
Pour Hindemith , c'est cool : tu crois que sa musique est rébarbative , un peu ennuyeuse pour les premières écoutes , et petit à petit sa musique grandit en vous . c'est magique !

1) Joseph Haydn (1732-1809) :

Symphonie n°45, en fa dièse mineur
Symphonie n°94, en sol majeur

= Fritz Lehmann, Orchestre Philharmonique de Berlin

(DG, août 1950 - mai 1954)

Philip Glass, symphonie 11, Dennis Russell Davies, Bruckner Orchester Linz

J'avais déjà entendu un peu de Glass mais pas plus que cela. Malheureusement, toutes les symphonies ne sont pas disponibles en streaming. Je trouve cela intéressant en tout cas, j'en suis rendu au mouvement II.

2) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Symphonie n°7 en la majeur, Op. 92

= Guido Cantelli, Philharmonia Orchestra

(HMV, mai 1956)

Lecture très autoritaire, lumineuse et stricte, mais qui manque un peu de corps.

Eusèbe a écrit:

Benedictus a écrit:

Ah, ben ça, c'est sûr que La fille au roi Louis, c'est autre chose que Carl Orff...

Le 31 du mois d'août est particulièrement jouissif !

Quand on était petites avec une proche amie, on avait mal compris le gros mot du refrain. On entonnait souvent à tue-tête, à l'encontre de toute logique : "Buvons un coup, buvons en deux / À la santé des amoureux ! / À la santé du roi de France ! / Et même pour le roi d'Angleterre, qui nous a déclaré la guerre". Je me souviens encore du jour où on s'est rendu compte de notre erreur.

Oriane a écrit:

Quand on était petites avec une proche amie, on avait mal compris le gros mot du refrain [...] : "Buvons un coup, buvons en deux / À la santé des amoureux !

Ah zut, moi je pensais que c'était tirer et non boire...

3) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Symphonie n°8 en fa majeur, Op. 93

= Osmo Vänskä, Orchestre du Minnesota

(Bis, janvier 2006)

Mélomaniac a écrit:

Oriane a écrit:

Quand on était petites avec une proche amie, on avait mal compris le gros mot du refrain [...] : "Buvons un coup, buvons en deux / À la santé des amoureux !

Ah zut, moi je pensais que c'était tirer et non boire...

Voilà: Oriane évoquait un souvenir d'enfance d'une rafraîchissante innocence... et puis Mélo est arrivé.

Au fait, Oriane, tu as écouté le disque Aux marches du Palais du Poème Harmonique?

Catégorie orchestrale -rang 237°/250




Christoph Spering (1959-)


4) Johann Kalliwoda (1801-1866) :

Symphonie n°5 en si mineur, Op. 106

= Christoph Spering, Das Neue Orchester

(CPO, novembre 2004)

Parmi les répertoires subalternes que j'affectionne, j'ai dû faire des choix pour que ces 250 Mélomaniac d'Or s'ouvrent à la diversité tout en respectant
un certain sens de la hiérarchie envers les compositeurs majeurs qui me nourrissent depuis toujours.
Je voulais en tout cas honorer ce Tchèque qui écrivit ses sept symphonies entre 1825 et 1843, lorsqu'il était Maître de chapelle
à la Cour du Prince Carl Egon II de Fürtsenberg, à Donaueschingen.
Le Musikalisches Konversationslexikon (1875) estimait qu'elles font partie « des meilleures et des plus remarquables après Beethoven ».
Il y manque peut-être la prégnance des thèmes musicaux qui caractérise les grands opus du romantisme, mais en tout cas ce langage brille par sa force,
la fraicheur de ses tournures, et un sens du discours qui maintient l'intérêt jusque dans les idées adventices.
Et surtout par son instrumentation fort efficace, celle de quelqu'un qui dirigea Beethoven en concert et en a certainement appris la gestion des dynamiques,
la tension rythmique, l'ingéniosité des contrechants, cette habileté à valoriser les motifs dans leur juste parure, à faire exploser les tutti,
toutes qualités selon les chroniques de Robert Schumann « dignes d'un maître de l'orchestre et d'une cinquième symphonie » [celle de Beethoven, bien sûr].
.
La Symphonie n°5 de Kalliwoda date de 1840.
Elle débute par une édifiante fanfare, se prolonge par un énoncé lyrique aux violoncelles (0'28) poursuivi par le basson et autres bois dans une atmosphère dolente
qui se majorise en cours de route.
Puis explosion : un vigoureux thème s'élance en contrepoint aux cordes (2'01, allegro con brio), une seconde section (3'14) plus modérée anime l'exposition.
Tous ces influx se développent avec sensibilité et une adroite éloquence. Les ruptures évoquent clairement Beethoven, jusqu'à une conclusion martelée.
En guise de second mouvement : un espiègle Scherzo où s'insère un trio (1'37) taquiné par cors et bassons sur des relances des violons ; conclusion là encore
expéditive, fracassante, typique de ce compositeur.
On s'attendrait ensuite à un Adagio mais l'œuvre nous offre plutôt un Allegretto grazioso paré d'une superbe mélodie d'essence schubertienne, qui s'anime avec mobilité.
Ce qui m'a fait choisir cette symphonie parmi les sept de l'auteur : un formidable finale, tempétueux, trépidant, que j'avais d'ailleurs sélectionné dans mon Blind test
consacré à l'histoire de la Symphonie au XIX° Siècle. Un motif fièrement claironné aux bois féconde un rondo qui n'ose rien moins qu'une course à l'abîme.
La tension nait de cet impetus polarisé avec des phases de détente (faussement badines, pour mieux feindre) qui maintiennent le suspense par le contraste du clair-obscur.
Vraiment un tour de force formel et rhétorique, dans une dialectique de lyrisme et de fougue slave qui annonce Dvorak, enfiévré par des assauts de véhémence.
.
Pour servir adéquatement cet idiome, Das neue Orchester a selon son habitude opté pour des instruments d'époque (cordes en boyau, cuivres naturels...)
et joue au diapason surbaissé ce qui offre ici une palette très étudiée, aux timbres gouleyants, et une solennité très en phase avec cette symphonie dramatique.
La virtuosité de cet ensemble allemand (fondé en 1988), sa pertinence stylistique avaient déjà été saluées par la critique (plusieurs Diapason d'or).
Et son chef, Christoph Spering, nous livre une interprétation sans guère de concurrence à ce niveau d'inspiration et de brio.
Frieder Bernius avec la Hofkapelle de Stuttgart (Orfeo) s'avère plus conventionnel, aux arômes et aux traits bien moins typés que cette version chez CPO.
Réalisé à Cologne, l'enregistrement s'épanouit dans une acoustique précise et ample qui sert parfaitement la finesse, la saveur et les reliefs de cette musique.

Kara Karayev : Symphonie No. 3 (1964)
Orchestre de chambre du Conservatoire de Leningrad
Yuri Aliev, direction

5) Alban Berg (1885-1935) :

Drei Orchesterstücke, Op. 6

= Colin Davis, Orchestre symphonique de la Radio bavaroise

(Philips, décembre 1983)

Benedictus a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Oriane a écrit:

Quand on était petites avec une proche amie, on avait mal compris le gros mot du refrain [...] : "Buvons un coup, buvons en deux / À la santé des amoureux !

Ah zut, moi je pensais que c'était tirer et non boire...

Voilà: Oriane évoquait un souvenir d'enfance d'une rafraîchissante innocence... et puis Mélo est arrivé.  

Au fait, Oriane, tu as écouté le disque Aux marches du Palais du Poème Harmonique?

Tu veux dire que le vulgus est arrivé … mais est-il nécessaire de tisser un lien avec ses goûts esthétiques ?

Jean Sibelius
* Symphonie no. 4
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan
1 LP DG, 1966

Franz Schubert
Winterreise
Hanz Jörg Mammel: ténor
Arthur Schoonderwoerd: pianoforte

Voir ICI

Antonio Vivaldi
Per Archi: Concertos pour cordes
* Sinfonia RV 146
* Concerto RV 156
* Concerto no. 3 op. 11
* Concerto RV 159
* La Folia (Sonate de chambre no. 12)
* Concerto RV 271 'L'Amoroso'
* Concerto RV 151 'Alla rustica'
* Concerto RV 138
Angèle Dubeau et La Pietà
1 K7 Analekta 'fleur de lys', 1997

Shostakovich : Sonates pour piano (Favorin & Mangova)

Ecouté ce matin, première fois que j'écoutais cette symphonie, intéressante.