Playlist (137)

Inspirations
D’Anglebert | Forqueray | Rameau
Mélisande McNabney, clavecin
1 CD ATMA Classique, 2019



Une étoile montante, la petite-fille de Bernard et Mireille Lagacé.

anaëlle a écrit:

... et puis du Damso, Django, Sneazzy ...

Mais c'est du rap, ça.

Je vais te dénoncer à Xavier.

Rav-phaël a écrit:

Boris Tchaïkovski, Symphonie 2, Orchestre Philharmonique de Moscou et Kirill Kondrashin. Suivant la "liste–conseils" de David, je lance des bouts de Popov, Chtcherbatchov, sans jamais avoir envi d'aller plus loin, et puis ce cher Boris ; ah ! voilà des manières musicales que j'aime tout à fait !, même si j'avoue m'y être ennuyé dans certaines longueurs... Top ça aussi !!

Ce n'est pourtant ma première fois avec ces musiques russes, mais c'est par contre le bon moment. Ça y est, ça commence à fonctionner  !

Quelle version ? Live 1967 ou Studio 1969 ?

Aucune idée, j'étais sur spotify.. 

Rav-phaël a écrit:

Aucune idée, j'étais sur spotify.. 

Bien, alors c'est le live du 17 octobre 1967.

Excellent d'ailleurs ; je ne sais pas si tu me conseilles l'autre  .

arnaud bellemontagne a écrit:

anaëlle a écrit:

... et puis du Damso, Django, Sneazzy ...

Mais c'est du rap, ça.

Je vais te dénoncer à Xavier.

David cite du Booba dans le texte et commente Bigflo et Oli ( ), alors je glisse subrepticement quelques références, presque plus pour me dire que David a écouté Damso que pour savoir ce qu'il en pense - il préférera Bigflo et Oli ...

*****

Bartok, Contrastz. Peterkova, Demeterova, Cibulkova
moui

Rav-phaël a écrit:

Excellent d'ailleurs ; je ne sais pas si tu me conseilles l'autre  .

Étonnant d'ailleurs que tu n'aies pas pu reconnaître la distinction entre un live et un enregistrement en condition studio. Okay, nous étions en URSS mais tout de même... Les deux versions sont complémentaires. Il y a également Vladimir Fedoseyev qui l'a enregistré avec l'Orchestre Symphonique de la Radio de Moscou dans les années 1980. Mais avant de collectionner les versions à l'oreille ou sur platine, il y a tellement de choses à entendre de Boris Alexandrovich : six quatuors à cordes, quatre symphonies (priorité pour la "Sébastopol" après la 2e), quatre concertos (clarinette, violoncelle, violon, piano), le Thème et Huit Variations pour grand orchestre, Musique pour orchestre, la Symphonie de chambre (contemporaine de la 2e symphonie), Quatre Préludes pour orchestre de chambre, la Sinfonietta de 1953, la Partita dédiée à Slava Rostropovich, le quintette pour piano (version Quatuor Borodine et compositeur obligatoire), le trio pour piano, les sonates, les cycles vocaux... Bref.

Ravélavélo a écrit:

Mélisande McNabney, clavecin
Une étoile montante, la petite-fille de Bernard et Mireille Lagacé

J'ignorais ! Merci pour cette précision.

ovni231 a écrit:

Étonnant d'ailleurs que tu n'aies pas pu reconnaître la distinction entre un live et un enregistrement en condition studio. Okay, nous étions en URSS mais tout de même...

Tu sais, le principe de la communication par messages, sur informatique, entre deux activités : on lit sans lire, mais on répond (va savoir comment... des bêtises, forcément...). Je n'ai pas remarqué que tu me proposais de choisir entre un Live et un Studio ...

Les crincrins de la Nuit...





Au programme ce soir :    N. Paganini – D. Chostakovitch – C. Saint-Saëns – C. Franck – E. Bloch

1) Niccolò Paganini (1782-1840) :

Concerto n°1 en ré majeur, Op. 6
Concerto n°2 en si mineur, Op. 7

= Ivry Gitlis, violon ; Stanislaw Wislocki, Orchestre philharmonique de Varsovie

(Philips, 1966)

 

Rodion Chtchedrine, Concerto pour orchestre n° 1, Orchestre Philharmonique de Moscow et Kirill Kondrashin.

Bon, par contre, c'est pénible ces noms russes, on ne sait jamais comment il faut les écrire...

2) Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Concerto pour violon n°1 en la mineur, Op. 77

= Itzhak Perlman, violon ; Zubin Mehta, Orchestre philharmonique d'Israël

(Emi, juillet 1988)

Excellente interprétation, captée en public à Tel Aviv.
Je ne me souviens pas que Perlman, durant sa carrière, ait enregistré le second concerto.

Rav-phaël a écrit:

ovni231 a écrit:

Étonnant d'ailleurs que tu n'aies pas pu reconnaître la distinction entre un live et un enregistrement en condition studio. Okay, nous étions en URSS mais tout de même...

Tu sais, le principe de la communication par messages, sur informatique, entre deux activités : on lit sans lire, mais on répond (va savoir comment... des bêtises, forcément...). Je n'ai pas remarqué que tu me proposais de choisir entre un Live et un Studio ...

Sans rancune, tu es tout pardonné !

Albert Spalding (1888-1953)


3) Camille Saint-Saëns (1835-1921)  :

Rondo capriccioso

= Albert Spalding, violon ; André Benoist, piano

(Edison, mai 1915)

Rav-phaël a écrit:

Rodion Chtchedrine, Concerto pour orchestre n° 1, Orchestre Philharmonique de Moscow et Kirill Kondrashin.

Bon, par contre, c'est pénible ces noms russes, on ne sait jamais comment il faut les écrire...

Non, non, juste un accent aigu, sinon c'est parfait ! Encore que j'ai plutôt l'habitude de la translittération anglo-saxone, à savoir : Shchedrin.
Ou plus simple encore, copie-colle les noms en cyrillique depuis wikipedia.

Le soir du 5 mai 1974, avec Evguéni Svetlanov à la tête de son orchestre académique de l'URSS, le compositeur plus furieux que jamais interprétait sur le vif des microphones de la firme d'État Melodiya ses trois concertos pour son instrument adoré (bien que jouant magistralement de l'orgue à ses heures perdues) ; un moment anthologique dans l'histoire de la discographie contemporaine.

Mélomaniac a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Mélisande McNabney, clavecin
Une étoile montante, la petite-fille de Bernard et Mireille Lagacé

J'ignorais ! Merci pour cette précision.

Ça me fait plaisir de partager l'information, l'album est disponible pour l'écoute en ligne sur le site de Radio-Canada pour encore cinq jours.

https://www.icimusique.ca/albumsenecoute/1032/melisande-mcnabney-inspirations-clavecin-atma

4) César Franck (1822-1890) :

Sonate pour violon en la majeur

= Augustin Dumay, violon ; Maria-João Pires, piano

(DG, octobre 1993)

5) Ernest Bloch (1880-1959) :

Sonate pour violon et piano n°2

= Jascha Heifetz, violon ; Brooks Smith, piano

(RCA, décembre 1955)

Braunfels: Vorspiel und Prolog der Nachtigall/Farcas, H.Albrecht

+

2 Hölderlin-Gesänge, Auf ein Soldatengrab/Volle, H.Albrecht

G. F. Haendel
* Ouverture + Sinfonia (Salomon)
Les Violons du Roy
Bernard Labadie
1 CD ATMA Baroque, 2007

Braunfels: Abschied vom Walde/Vogt, H.Albrecht



Don Juan/H.Albrecht

+

W. A. Mozart
* Concerto no.22 en mi bémol
Alfred Brendel, piano
Orchestre de Chambre de Vienne
Paul Angerer
1 CD 'Au Coeur du Classique' no.26



Je ne m'attendais pas de trouver le nom d'Alfred Brendel sur ce CD.

Saarioho, Grall Théâtre
Koh, Ensemble Curtis 20/21

BA Zimmermann
Concerto pour violob
Josefowiz, Lintu, O. Symphonie de la Radio Finlandaise

Chausson, Poème de l'amour et de la mer, Véronique Gens / Alexandre Bloch, Orchestre National de Lille

Berlioz: Symphonie Fantastique op. 14 (Detroit Symphony Orchestra, Paray) . Version extraordinaire ; ça n'a pas pris une ride ...

Langgaard: Symphonie n° 1 (Danish National S.O., Dausgaard) .

Ravélavélo a écrit:

Inspirations
D’Anglebert | Forqueray | Rameau
Mélisande McNabney, clavecin
1 CD ATMA Classique, 2019



Une étoile montante, la petite-fille de Bernard et Mireille Lagacé.

C'est quand même un peu un amer échec parental, d'appeler sa fille Mélisande et qu'elle finisse ploum-ploumeuse de clavessin.

anaëlle a écrit:

David cite du Booba dans le texte et commente Bigflo et Oli ( ), alors je glisse subrepticement quelques références, presque plus pour me dire que David a écouté Damso que pour savoir ce qu'il en pense - il préférera Bigflo et Oli ...

C'est-à-dire que Damso a l'air un peu dépressif, quoi… Sa violence est tellement stéréotypée et dite avec une telle fatigue qu'on a plutôt de la peine pour lui. (Au moins La Fouine a pour lui le ridicule, ça pimente.)

Anaxagore a écrit:

Berlioz: Symphonie Fantastique op. 14 (Detroit Symphony Orchestra, Paray) . Version extraordinaire ; ça n'a pas pris une ride ...

Oui, ça va à toute berzingue!

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Debussy : Quatuor (Quartetto Italiano)

Braunfels: 3 chinesische Gesänge opus 19, Romantische Gesänge opus 58/Nylund, H.Albrecht



Magnifique!!

Les dévotions du dimanche...





Au programme ce soir :    J.S. Bach – G.P. Palestrina – F. Mendelssohn – M. Duruflé – O. Messiaen

Braunfels: Die Gott minnende Seele opus 53/Kühmeier, H.Albrecht

+

Chostakovitch, symphonie 7, Andris Nelsons/Boston Symphony Orchestra

Braunfels: La Mort de Cléopâtre/Merbeth, H.Albrecht

DavidLeMarrec a écrit:

[
C'est-à-dire que Damso a l'air un peu dépressif, quoi… Sa violence est tellement stéréotypée et dite avec une telle fatigue qu'on a plutôt de la peine pour lui. (Au moins La Fouine a pour lui le ridicule, ça pimente.)

Dépressif, oui. Sa violence est peut être stéréotypée - c'est du rap ... - mais il est tellement au dessus des autres ...
J'ignorais que La Fouine rappait encore, je viens d'écouter.

Église Kristine Kyrka de Falun (Suède)


1) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Chorals "de Leipzig", BWV 651-668

= Hans Fagius, orgue de chœur Magnusson de l'église Kristine Kyrka de Falun

(Bis, mai 1983)

Après-midi très mélomaniacquisant :

¶ Castelnuovo-Tedesco : pièces pour violoncelle & piano
¶ Kalliwoda, toutes les symphonies (réparties entre Spering, Bernius et l'orchestre de Pilsen).
¶ Copland, Rodeo (Colorado SO, Litton)
¶ Grofé, Grand Canyon Suite (Gould)

anaëlle a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

[
C'est-à-dire que Damso a l'air un peu dépressif, quoi… Sa violence est tellement stéréotypée et dite avec une telle fatigue qu'on a plutôt de la peine pour lui. (Au moins La Fouine a pour lui le ridicule, ça pimente.)

Dépressif, oui. Sa violence est peut être stéréotypée - c'est du rap ... - mais il est tellement au dessus des autres ...
J'ignorais que La Fouine rappait encore, je viens d'écouter.  

Très bien, convaincs-moi. Je dois écouter quels titres ?

DavidLeMarrec a écrit:

Après-midi très mélomaniacquisant :
¶ Grofé, Grand Canyon Suite (Gould)

Effectivement, j'avais pensé à l'inclure dans les Mélomaniac d'or.

DavidLeMarrec a écrit:

Après-midi très mélomaniacquisant:

¶ Castelnuovo-Tedesco : pièces pour violoncelle & piano
¶ Kalliwoda, toutes les symphonies (réparties entre Spering, Bernius et l'orchestre de Pilsen).
¶ Copland, Rodeo (Colorado SO, Litton)
¶ Grofé, Grand Canyon Suite (Gould)

anaëlle a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

[
C'est-à-dire que Damso a l'air un peu dépressif, quoi… Sa violence est tellement stéréotypée et dite avec une telle fatigue qu'on a plutôt de la peine pour lui. (Au moins La Fouine a pour lui le ridicule, ça pimente.)

Dépressif, oui. Sa violence est peut être stéréotypée - c'est du rap ... - mais il est tellement au dessus des autres ...
J'ignorais que La Fouine rappait encore, je viens d'écouter.  

Très bien, convaincs-moi. Je dois écouter quels titres ?

Y a du laisser-aller David

2) Giovanni Pierluigi da Palestrina (1525-1594) :

Stabat Mater
Hodie beata virgo
Senex puerum portabat
Magnificat primi toni
Litaniae de Beata Virgine Maria

= David Willcocks, Chœur du King's College de Cambridge

(Argo, août 1963)

Braunfels: 4 chants japonais/Merbeth, H.Albrecht

3) Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Elijah, oratorio Op. 70

-Part I-

Isobel Baillie, soprano
Gladys Ripley, contralto
James Johnston, ténor
Harold Williams, baryton
Malcolm Sargent, Société chorale d'Huddersfield, Orchestre philharmonique de Liverpool

(Columbia, juin 1947)

Un enregistrement qui commémorait le centenaire de la disparition du compositeur, et qui reste le premier des deux que Sargent consacra à cet oratorio,
-le second neuf ans plus tard, avec d'autres solistes.
Superbe Williams dans le rôle-titre, flamboyant à souhait.
Comme dans le Messiah ou le Dream of Gerontius, Sargent resitue toutes ces œuvres dans la tradition interprétative du XIX° siècle,
romantisée, à grand effectif, qui ne s'encombre pas de rechercher la précision, la justesse, mais privilégie la spontanéité et la ferveur.
On est loin de tout dégraissage philologique, mais le pouvoir d'émotion d'une telle approche reste intact, d'autant que la prise de son s'avère très présente et définie.

Église Saint-Étienne-du-Mont de Paris (France)


4) Maurice Duruflé (1902-1986) :

Prélude, Adagio et Choral varié sur "Veni ceator"

= Vincent Warnier, orgue Cliquot Cavaillé-Coll Beuchet-Debierre de l'église Saint-Étienne-du-Mont de Paris

(BNL, avril 1998)

Un des orgues parisiens que je préfère. Il connut une longue histoire depuis sa construction en 1777 par Cliquot, et en 1956 fut revu par Duruflé qui présida
aux modifications apportées par la maison Beuchet-Debierre en 1956.
On peut ainsi dire que cet instrument correspond à l'idéal sonore néoclassique conçu par le compositeur dont nous entendons ici le magnifique polyptyque sur le choral pentecôtiste.
L'enregistrement fait entendre l'alternance de plain-chant par l'ensemble vocal Sourisse

anaëlle a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

[
C'est-à-dire que Damso a l'air un peu dépressif, quoi… Sa violence est tellement stéréotypée et dite avec une telle fatigue qu'on a plutôt de la peine pour lui. (Au moins La Fouine a pour lui le ridicule, ça pimente.)

Dépressif, oui. Sa violence est peut être stéréotypée - c'est du rap ... - mais il est tellement au dessus des autres ...
J'ignorais que La Fouine rappait encore, je viens d'écouter.  

+1000

Je lui ai conseillé aussi de s’y mettre

5) Olivier Messiaen (1908-1992) :

Messe de la Pentecôte

= François Espinasse, orgue Puget de l'église Notre-Dame de la Dalbade de Toulouse

(Hortus, juillet 2002)

Achevons ce programme avec une autre œuvre consacrée à la Pentecôte.

Franz Schubert
Schwanengesang
Matthew Rose / Malcom Martineau

Le Lied par une voix de basse, ça reste quand même particulier.

Voir ICI

DavidLeMarrec a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Inspirations
D’Anglebert | Forqueray | Rameau
Mélisande McNabney, clavecin
1 CD ATMA Classique, 2019



Une étoile montante, la petite-fille de Bernard et Mireille Lagacé.

C'est quand même un peu un amer échec parental, d'appeler sa fille Mélisande et qu'elle finisse ploum-ploumeuse de clavessin.

anaëlle a écrit:

David cite du Booba dans le texte et commente Bigflo et Oli ( ), alors je glisse subrepticement quelques références, presque plus pour me dire que David a écouté Damso que pour savoir ce qu'il en pense - il préférera Bigflo et Oli ...

C'est-à-dire que Damso a l'air un peu dépressif, quoi… Sa violence est tellement stéréotypée et dite avec une telle fatigue qu'on a plutôt de la peine pour lui. (Au moins La Fouine a pour lui le ridicule, ça pimente.)

C'est tout-à-fait honorable.
Elle signe ses propres arrangements.
Elle a de quoi retenir en tout cas: sa grand-mère Mireille lui a enseigné le clavecin.

C'était juste de l'humour pelléassien – le seul instrument ou presque à ne pas entrer dans la nomenclature de cet orchestre !

Ce disque est sur ma liste d'attente (écumé une cinquante de nouveautés depuis janvier, mais il m'en reste encore une bonne trentaine à écouter pour être à jour de ce que je veux absolument entendre…), mais s'il y a des arrangements, ça pourrait hâter ma résolution. Quels sont-ils ?