Playlist (148)

Elgar - The dream of Gerontius

Alireza Mashayekhi : Sonata 82 pour piano et orchestre d’instruments iraniens (1997)
Alireza Mashayekhi : Sonata II pour piano et orchestre d’instruments iraniens (1999)
Alireza Mashayekhi : Ad libitum pour violoncelle et orchestre d’instruments iraniens (1997)
Alireza Mashayekhi : Awaz I pour violoncelle et orchestre d’instruments iraniens (1999)
Alireza Mashayekhi : Meta X No. 1 pour violoncelle et orchestre d’instruments iraniens (2001)

Sanam Gharacheh Daghi, violoncelle
Farimah Ghavam Sadri, piano
Iranian Orchestra for New Music (Alireza Mashayekhi)

Thomasl47 a écrit:

Mozart - Symphonie No. 41 'Jupiter'



Wouh, ça décape, moi qui ne suis pas friand de Mozart habituellement ! Je vais peut-être me laissé tenter par le coffret Harnoncourt en promo actuellement finalement, tout ne doit pas être de ce niveau mais quand même à ce prix s'il y a d'autres merveilles du niveau des Beethoven et Mozart que je viens d'écouter...

Attention, cette veine, c'est vraiment le dernier Harnoncourt, il faut choisir les enregistrements selon… Ceux des années 70 sont évidemment plus paisibles.

Mais ça reste en général une très bonne adresse, surtout le fonds (plus récent) DHM ou Sony, plutôt que celui de Teldec (qui est passionnant aussi, mais il y a plus décapant).

Schnittke : Symphonie n°4 (Polyansky)



Sibelius : Luonnotar (Gardner)
Sibelius : Pelléas et Mélisande (Gardner)
Sibelius : Rakastava (Gardner)
Sibelius : Spring Song (Gardner)



Bruckner : Symphonie n°5 (Jochum)

Thomasl47 a écrit:

Thomasl47 a écrit:

Berlioz - Les Troyens

J'ai du temps devant moi cette semaine, je me lance

Quel pied, j'ai beaucoup beaucoup aimé les actes I et II, j'avais peur d'un truc un peu longuet/ennuyeux et c'est tout le contraire : ça avance, c'est vif et animé et superbement incarné par Lemieux et Degout : je ne suis pas du tout un spécialiste en voix, je ne connais quasi rien à l'opéra mais j'apprécie leur investissement et leur "théâtralité" : c'est passionnant à suivre ! Vivement la suite.

III et IV m'ont moins enthousiasmé.

Même si ça s'écoute avec plaisir, l'histoire Didon/Enée m'a moins passionné et les intermèdes musicaux sont parfois longuets, clairement on peut faire plus court sans perdre grand chose à mon sens (m'enfin si j'avais le 1/10ème du talent de Berlioz ça se saurait Very Happy ).

Par contre je trouve qu'on retrouve du souffle au V avec les tergiversations d'Enée et les états d'âmes de Didon qui oscille entre haine et désespoir (sentiments biens rendus par Didonato qui souffre par ailleurs d'une diction en deçà du reste de la distribution, dommage).

Globalement, un très très bon moment : je ne regrette pas de m'être lancé. Bon évidemment comme c'était ma première écoute intégrale de cet opéra je ne peux pas comparer aux autres versions existantes mais celle-ci m'a pleinement satisfait (juste deux petites réserves : la diction de Didonato donc qui m'a un peu dérangé et m'a obligé à beaucoup de concentration et le chœur que j'ai trouvé un peu flou, pas toujours très précis et articulé, même si ses interventions sont prenantes). En salle ça devait être passionnant !

DavidLeMarrec a écrit:

Thomasl47 a écrit:

Mozart - Symphonie No. 41 'Jupiter'

Wouh, ça décape, moi qui ne suis pas friand de Mozart habituellement ! Je vais peut-être me laissé tenter par le coffret Harnoncourt en promo actuellement finalement, tout ne doit pas être de ce niveau mais quand même à ce prix s'il y a d'autres merveilles du niveau des Beethoven et Mozart que je viens d'écouter...

Attention, cette veine, c'est vraiment le dernier Harnoncourt, il faut choisir les enregistrements selon… Ceux des années 70 sont évidemment plus paisibles.

Mais ça reste en général une très bonne adresse, surtout le fonds (plus récent) DHM ou Sony, plutôt que celui de Teldec (qui est passionnant aussi, mais il y a plus décapant).

Ca tombe bien, le coffret en question rassemble les enregistrements de fin de carrière (RCA, DHM et Sony - 2001 à 1015), je vais me laisser tenter pour pouvoir picorer dedans quand j'aurai le temps : ce que j'ai lu de ses Haydn et Mozart, entre autres, donne envie de s'y pencher.

Alireza Mashayekhi : Sonate pour violon seul n° 1 (1969)
Alireza Mashayekhi : Sonate pour violon seul n° 2 (1972)

Pâniz Faryusefi

Boris Tichtchenko : Sonate pour violon seul n° 1 (1957)
Boris Tichtchenko : Sonate pour violon seul n° 2 (1975)

Gabriel Tchalik

Schmidt: Notre Dame/Perick



Saariaho: Orion/Eschenbach



Avec partition.

Mirage/Mattila, Eschenbach

+

R.Strauss - Salomé



Grand moment, quel noirceur dans cet opéra !

De ce que j'avais lu par ci par là je m'attendais à quelque chose de plutôt capiteux/sensuel, il y a de ça bien sûr (l'orchestration luxuriante, la danse des 7 voiles) mais c'est vraiment la folie qui l'emporte : dès le départ, les exigences de Salomé et l'attitude des hommes (Narraboth et Hérode) rendent l'atmosphère glaçante puis petit à petit on bascule dans la démence pure jusqu'à ce monologue hallucinant de Salomé dans le final. J'ai adoré.

Concernant la version je l'ai trouvé très bien mais encore une fois pas de point de comparaison c'était ma première écoute : Cheryl Studer m'a captivé d'un bout à l'autre, le reste de la distribution m'a moins marqué. Musicalement j'ai trouvé ça somptueux, aussi bien dans la débauche de certains passages que dans les effets dramatiques du final par exemple.

Pleinement convaincu, j'y reviendrai !

Schoenberg: Lieder opus 2/Crowe

Je poursuis avec les nouveautés. 

(Petit hommage à Mefistofele pour lorsqu'il passera par ici…)

Lord Berners – Ballet de Neptune, L'uomo dai baffi – English Northen Philharmonia, Lloyd-Jones (Naxos 2021) + arrangements pour orchestre de Philip Lane : 3 Valses bourgeoises, Polka (avec le Royal Ballet Sinfonia) → Toujours cette belle musique excentrique de Berners, quelque part entre la musique légère et la sophistication, comme une rencontre improbable entre Minkus et Schulhoff, le tout dans un esprit très proche de la musique légère anglaise. → Trissé.

Aleksander Nowak (*1979) : Naninana pour clavier amplifié et orchestre à cordes (2015)
Sławomir Kupczak (*1979) : Pełnia pour rhodes, orchestre à cordes et électronique (2017)
Marcin Stańczyk (*1977) : A Due pour rhodes, orchestre à cordes et électronique (2017)
Zygmunt Krauze (*1938) : Rondo pour rhodes et orchestre à cordes (2017)

Piotr Orzechowski, rhodes
AUKSO (Marek Moś)

Michel Corrette (1707-1795)
Les délices de la solitude
Sonates Op.20

Opera Prima Ensemble
Cristiano Contadin, viole de gambe et direction

tiré d'une autre interprétation, celle d'Aria Lachrimae
https://www.yumpu.com/fr/document/read/16602420/delices-de-la-solitude-aria

Délices, ici joliment relevés et épicés

Pierre Boulez (1925–2016) :
Anthèmes 1 pour violon seul (1991)
Dialogue de l’ombre double pour clarinette et électronique (1985)
Anthèmes 2 pour violon et électronique (1997)

Carolin Widmann, violon
Jörg Widmann, clarinette



je trouve Anthèmes 1 pas mal mais sinon c’est quand même consternant cette musique.

Vaughan Williams: Symphonie n°8/Boult DVD

+

Marx : Eine Frühlingsmusik (Wildner)
Marx : Idylle (Wildner)
Marx : Feste im Herbst (Wildner)



Schubert : Die Schöne Müllerin (DFD / Moore)



Chostakovitch : Quintette avec piano (Belcea / Anderszewski)
Chostakovitch : Quatuor à cordes n°3 (Belcea)

Sulkhan Nasidze (1927–1996) :
Symphonie n° 5 Pirosmani (1977)
Symphonie n° 6 Passione pour orchestre et chœur de basses (1978)

Chœur d’État de Géorgie (Givi Munjishvili)
Orchestre symphonique d’État de Géorgie (Jansug Kakhidze)

Merci David, pour les references!
J’ignorais totalement, entre quantité d’autres choses, qu’il s’agissait là d’une sonate XXL! J'ai de ces lacunes "musicologiques" aussi!
En témoigne mes commentaires quelque peu triviaux!


Dag Wirén: Sinfonietta, Serenade, Symphony No.3, Divertimento (Rumon Gamba)
Découverte de ce compositeur… Assez déçu par les oeuvres présentées sur ce disque. Rien de bien grisant/transcendant par ici. Le Divertimento m’a semblé émerger sensiblement du reste, sans être particulièrement « marquant » pour autant.


Philippe Hersant: Sous la pluie de feu (Pascal Rophé)

Réécouté dernièrement:

Saïs a écrit:

J’ignorais totalement, entre quantité d’autres choses, qu’il s’agissait là d’une sonate XXL! J'ai de ces lacunes "musicologiques" aussi!

Griffes n'est pas exactement le compositeur le plus diffusé du marché, je ne sais pas s'il s'agit d'une lacune musicologique – à moins de nourrir un intérêt spécifique pour le XXe états-unien.

Citation :

Dag Wirén: Sinfonietta, Serenade, Symphony No.3, Divertimento (Rumon Gamba)
Découverte de ce compositeur… Assez déçu par les oeuvres présentées sur ce disque. Rien de bien grisant/transcendant par ici. Le Divertimento m’a semblé émerger sensiblement du reste, sans être particulièrement « marquant » pour autant.

Les quatuors sont bien meilleurs que la musique symphonique, à mon avis. Rien à voir avec cette matière un peu passe-partout (que Gamba tend à accentuer, mais c'est pareil avec d'autres interprètes).

Citation :

Deux grands disques !  (En particulier le premier. )

Cololi a écrit:

Marx : Eine Frühlingsmusik (Wildner)
Marx : Idylle (Wildner)
Marx : Feste im Herbst (Wildner)

Ça ne m'avait pas laissé beaucoup d'impressions… Tu en as pensé quoi ?

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Marx : Eine Frühlingsmusik (Wildner)
Marx : Idylle (Wildner)
Marx : Feste im Herbst (Wildner)

Ça ne m'avait pas laissé beaucoup d'impressions… Tu en as pensé quoi ?

Excellent. C'est tout à fait dans le style de sa grande symphonie.
Alors ... redite de la symphonie ? Oui et non. Oui car c'est du pur Marx (cette musique qui semble en perpétuelle expansion luxuriante) orchestral ... et dans le même temps non, dans la mesure où c'est pareil qu'entre 2 oeuvres d'un compositeur qui aurait un style homogène (deux symphonies de Bruckner par ex). Donc il est clair que ça documente qq ch de très (très) proche de Ein Herbstsymphonie ... et dans le même temps ... d'autres oeuvres dans ce style, je suis preneur ^^.
Le côte rapsodique est bien là, comme dans la "symphonie" : il s'agit plus d'expansion à partir de thèmes assez identifiables que de pièces symphoniques classiques. Les thèmes et le style me semblent largement assez marquants pour recommander chaleureusement l'écoute

DavidLeMarrec a écrit:

Griffes n'est pas exactement le compositeur le plus diffusé du marché, je ne sais pas s'il s'agit d'une lacune musicologique – à moins de nourrir un intérêt spécifique pour le XXe états-unien.

Attends un peu que je ressorte mes William Grant Still! ;-)
Je connais bien quelques noms, oui, mais je parlais plutôt d’une connaissance "technique" ou "analytique" assez limitée de la musique…

Pour rester avec les états-uniens d’ailleurs!

Leo Ornstein:

Piano Quintet (Lydian String Quartet / Janice Weber)

Je ne peux pas dire que je sois emballé d’un bout à l’autre de l'oeuvre (mon avis changera peut-être au fil des écoutes, en y étant un peu plus familier), mais il y a néanmoins de très beaux moments sinon une belle « intensité » par instants.
C’est le troisième mouvement qui retient le plus mon attention pour le moment (partie « centrale » assez sublime - à partir de 5 minutes 10 sur ce disque... -)

DavidLeMarrec a écrit:

Deux grands disques ! (En particulier le premier. )

Saïs a écrit:

Attends un peu que je ressorte mes William Grant Still! ;-)

On peut aussi écouter de bonnes œuvres du patrimoine américain.

Citation :

Je connais bien quelques noms, oui, mais je parlais plutôt d’une connaissance "technique" ou "analytique" assez limitée de la musique…

Ça ne se sent pas à te lire, en tout cas.

Martinu: Fresques de Piero della Francesca/Ashkenazy

Alfred Schnittke (1934–1998) :
Rituel pour grand orchestre (1984/85)
(K)ein Sommernachtstraum pour grand orchestre (1985)
Passacaglia pour grand orchestre (1979/80)
„Seid nüchtern und wachet“ (Faust Cantata) pour solistes, chœur mixte et orchestre (1982/83)

Inger Blom, Mikael Bellini, Louis Devos, Ulrik Cold
Malmö Symphony Chorus
Malmö Symphony Orchestra
Leif Segerstam, James DePreist

DavidLeMarrec a écrit:

Saïs a écrit:

Attends un peu que je ressorte mes William Grant Still! ;-)

On peut aussi écouter de bonnes œuvres du patrimoine américain.

Citation :

Je connais bien quelques noms, oui, mais je parlais plutôt d’une connaissance "technique" ou "analytique" assez limitée de la musique…

Ça ne se sent pas à te lire, en tout cas.

Comm celles de Phil Glass, par exemple ?

Cololi a écrit:

Excellent. C'est tout à fait dans le style de sa grande symphonie.

Ah tiens, ça m'avait paru plus postromantique que totalement excessif et décadent. Je vais réessayer.

→ Après réécoute : effectivement c'est clairement du côté décadent richardstraussien poudroyant. Moins dans la démesure que la symphonie, mais même type de langage

Citation :

d'autres oeuvres dans ce style, je suis preneur ^^.

Je vais réécouter d'abord, et puis je te donnerai ma liste.

→ Déjà, les ouvertures de Schreker (le disque Renes, je crois, qui est chez BIS, pour la prise de son et les couleurs !).

Peut-être, dans un goût assez différent, certains Schoeck : Venus, Dürande, Besuch in Urach…

La Grande Messe de Braunfels, toute en démesure aussi.

Mais ce style exact, à part dans certains opéras de Strauss ou Schreker, pas vraiment.

Alban Berg : Sonate pour piano (1910).  Claude Helffer 1969
Pierre Boulez : Deuxième sonate (1946–49).  Claude Helffer 1969
Jean Barraqué : Sonate pour piano (1950–52).  Claude Helffer 1969

W. A. Mozart
* Divertimento K. 563
+ Schoenberg: Trio op.48 (pas encore écouté)
Arnold Schoenberg Trio
1 CD Campanella (2000)

+

Robert Schumann (1810-1856)
Quatuor avec piano, Op. 47
Quintette* avec piano, Op. 44

Quatuor Schumann
Tedi Papavrami, violon
*Gyula Stuller, violon
Christophe Schiller, alto
François Guye, violoncelle
Christian Favre, piano

P. Vranický, Haydn – Concertos pour violoncelle en ut – Enrico Bronzi, Orchestra di Padova e del Veneto, Enrico Bronzi (CONCERTO)
→ Meilleure version du Haydn ! Cet orchestre, qui s'est imprégné de modes de jeu musicologiques au moins depuis Maag, propose des sonorités capiteuses tout en conservant le moelleux des instruments traditionnels. L'insolence, les trépidations de joie, la rêverie y sont portées au plus beau degré.
(Écoute du Vranický en cours.)

Beethoven - Symphonie n°5

Strauss: Die Liebe der Danae/Welser-Möst (Blu-ray)

De retour

Florentz : L'Enfant des Iles (Soudant)

Haendel : Theodora (Christie / Hunt / Daniels / Upshaw / Croft)

Le plus grand chef d'oeuvre d'Haendel, tout simplement. Toujours aussi sidéré.

Ta fascination pour cette œuvre m'échappe totalement, pour moi c'est un des Haendel les plus faibles : du vrai seria très statique et répétitif, mais sans le panache des opéras ; un caractère dépouillé, mais pas du tout la densité musicale (Israel, Messiah) ou atmosphérique (Saul, L'Allegro), de ses meilleurs oratorios.

En plus ta version chouchoute n'est vraiment, vraiment pas excitante. (Christie dans Haendel scéniques… )

Ça reste un mystère pour moi.

arnaud bellemontagne a écrit:

De retour

Il a survécu !

En revanche tu as manqué la conversation d'une centaine de messages sur le nouveau fil des Gurrelieder, que Xavier a effacé par erreur.

Encore désolé.
En plus c'était passionnant.

DavidLeMarrec a écrit:

Ta fascination pour cette œuvre m'échappe totalement

Pareil. Disons que, pour moi, le mystère est double:
1. Je ne vois pas du tout ce qui distinguerait aussi spectaculairement Theodora de, mettons, Samson, Jephtha ou Solomon.
2. Je ne vois pas du tout de congruence avec tes autres goûts (au contraire, même.)

Vous voulez à tout prix que ce goût soit farfelu, incongru ... mais non.

Haendel lui-même considérait cette oeuvre comme son chef d'oeuvre
Christie la considère comme une des 3 ou 4 plus grandes oeuvres du maître (https://www.youtube.com/watch?v=9kRrvd2Uav0)
Ou encore ce journaliste (Lorenzo Ciavarini Azzi) : https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/opera/theodora-de-haendel-les-cinq-raisons-d-un-coup-de-coeur_3336507.html

Citation :

"Theodora" constitue l'une des plus belles pages musicales de Haendel, tout en tension entre joie et ferveur mystique. A commencer par ...

Ne vous demandez pas pourquoi j'aime ... mais plutôt pourquoi vous n'aimez pas

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

De retour

Il a survécu !  

En revanche tu as manqué la conversation d'une centaine de messages sur le nouveau fil des Gurrelieder, que Xavier a effacé par erreur.

Xavier a écrit:

Encore désolé.
En plus c'était passionnant.

Aïe

Bon, ce sera l'occasion de les réécouter.

Saïs a écrit:

Philippe Hersant: Sous la pluie de feu (Pascal Rophé)

Merci pour cette sympathique découverte !

arnaud bellemontagne a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

De retour

Il a survécu !  

En revanche tu as manqué la conversation d'une centaine de messages sur le nouveau fil des Gurrelieder, que Xavier a effacé par erreur.

Xavier a écrit:

Encore désolé.
En plus c'était passionnant.

Aïe

Bon, ce sera l'occasion de les réécouter.

C'était juste un gros mytho de David, je m'y suis engouffré.

C'était bien gros pourtant

arnaud bellemontagne a écrit:

De retour

Florentz : L'Enfant des Iles (Soudant)

Découvert ce disque il y a peu cause forum , j'ai énormément aimé je vais remettre ça.

Ici :

• Ensemble Pygmalion, dir. Raphaël Pichon : Stravaganza d'amore ! [2017]



→ Pasticci construits à partir de pages de la musique florentine de la fin XVIè - début XVIIè. Cette anthologie en quelque sorte de l'intermède et de la naissance de l'opéra florentin fait alterner dans un agencement parfait sinfonie, madrigaux, lamenti, musique polychorale,... et c'est le pied à écouter  

• Lise De la Salle : When do we dance ? [2021]



→ J'aime beaucoup cette artiste (son album Liszt ! ), ici je trouve ça un peu inégal : j'aime beaucoup ses Valses nobles et sentimentales de Ravel, Danzas argentinas de Ginastera, Valse en la bémol op. 38 de Scriabine, en revanche je trouve les pièces américaines un peu monochromes et les Danses roumaines de Bartók assez sages.

• Weinberg : Concerto pour violon - Gidon Kremer, Gewandhausorchester Leipzig, Daniele Gatti. [2021]



→ On peut se réjouir que Kremer enregistre ce concerto, et regretter qu'il ne l'ait pas fait plus tôt. Si musicalement pas grand monde mieux que lui ne peut s'identifier aux passages méditatifs de cette musique qui réserve de grands moments, ce n'est pas du très beau son, c'est techniquement pas franchement maîtrisé, ce qui impose un plafond vite atteint en terme de tempo dès l'introduction, assez besogneuse. Gatti et Leipzig sont au diapason du soliste : c'est soigné, détaillé coloré et incisif, mais on sent qu'ils voudraient bien par moments lâcher la bride.

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

De retour

Il a survécu !  

En revanche tu as manqué la conversation d'une centaine de messages sur le nouveau fil des Gurrelieder, que Xavier a effacé par erreur.

Xavier a écrit:

Encore désolé.
En plus c'était passionnant.

Aïe

Bon, ce sera l'occasion de les réécouter.

C'était juste un gros mytho de David, je m'y suis engouffré.

Quelle odieuse machination. Je me vengerai!

En attendant, un peu de Ravel pour retrouver la sérénité.

Ravel : Daphnis et Chloé (Roth)

arnaud bellemontagne a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

De retour

Il a survécu !  

En revanche tu as manqué la conversation d'une centaine de messages sur le nouveau fil des Gurrelieder, que Xavier a effacé par erreur.

Xavier a écrit:

Encore désolé.
En plus c'était passionnant.

Aïe

Bon, ce sera l'occasion de les réécouter.

Oh, pardon.

Je n'ai pas cru une seconde que tu prendrais au sérieux que 1) le forum a été assailli de nouvelles contributions en plein août 2) justement pendant ton absence 3) justement sur le sujet qui t'intéresse 4) et qu'il n'en reste comme par hasard aucune preuve.

Je croyais avoir suffisamment forcé le trait pour que ce soit évident, désolé de t'avoir causé du déplaisir, j'ai mal calibré mon affaire.

Bref, c'était ma façon (ratée) de te dire : bon retour, et sois tranquille, tu n'as pas raté des pages de débats enflammés (d'où mon exagération, tu n'as pas manqué cent messages qui parlent soudain des Gurre), rien que tu ne puisses rattraper sans y passer toute ta soirée.

Mais tu peux aussi les réécouter et exhumer le fil, avec plaisir !

Arnaud est touchant, il croit qu'on vit de Gurre et d'eau fraîche