Playlist (153)

Tenez, comme Ravelavélo...
Tchaikovski : Symphonie N° 6.
Ma relation avec ce compositeur est étrange.
Je n'en ai jamais l'appétence et jamais je ne me le mets entre les oreilles.
Si bien qu'à part les tubes, les concertos, vaguement, (et les Souvenirs de Florence, face B d'une mauvaise cassette dont les tutti des cordes faisaient l'effet de riff saturés de guitares électriques sur un esprit trop jeune et farouche) je ne connais pas grand chose.
Cependant lorsqu'à la radio ou dans un film je croise une musique anonyme et qui me plait par son souffle puissant, c'est souvent Tchaikovski.
Il faut qu'il me prenne par surprise !
Si ce n'est pas la définition exacte de l'apriori ......

@ tod:
L. v. Beethoven
* Bagatelles
Rudolf Buchbinder, piano
1 CD Apex

Demessieux : Sept Méditations sur le Saint-Esprit (Tharp)
Tishchenko : Quatuor à cordes n°3 (Glazounov)

Décidément j'aime beaucoup de compositeur.

Franz Schubert (1797-1828)
Voyage d'hiver

Thomas Bauer, baryton
Jos van Immerseel, pianoforte Christopher Clarke 1988

Haydn, Symphonie n°93 - Minkowski

Maria Bach, Quintette à cordes - Busch / Meipariani / Christa / Johansen / Brotbek

Antonio Vivaldi
* L'Amoroso
* L'Inquietudine
* Alla rustica
Karajan / Berlin
1 LP DG

L. v. Beethoven
* Ouvertures: Leonore III & Egmont
London Symphony Orchestra
Josef Krips
1 LP Everest

Antonio Vivaldi
* Concerto RV 199 'Il Sospetto'
* Concerto RV 317, op.12 no.1
Israel Philharmonic Orchestra
Itzhak Perlman, violon et direction
1 LP EMI, 1984

Scriabine: Vers la flamme/Huvé

Fauré : Complete songs Dubois / Raës

Ginastera: Pampeana n°2/Sciammarella

Liszt: Concerto pour piano n°2/Kocsis, I.Fischer

Franz Schubert
6 Moments musicaux op.94

Robert Schumann
* 4 Nachtstücke op.23
Emil Gilels, piano

1 LP EMI

E.Dohnanyi: Variations opus 25/Kocsis, I.Fischer

Fauré: La Rose, La Bonne chanson/Dubois

Boris Tichtchenko : Quatuor à cordes nº 3 (1970)
Dmitri Chostakovitch : Quatuor à cordes nº 13 (1970)

Quatuor Taneïev

G. F. Haendel
* Concertos op.4 nos. 1 à 4
Karl Richter, orgue

Richter dirige ici son propre Orchestre de Chambre.

Scriabine : Poème de l'Extase (Ashkenazy)

Dmitri Chostakovitch : Sonate pour alto et piano (1975).  Druzhinin/Muntian
Dmitri Chostakovitch : Quatuor à cordes nº 14 (1973).  Quatuor Beethoven
Dmitri Chostakovitch : Quatuor à cordes nº 15 (1974).  Quatuor Taneïev

Tan Dun, 8 memories in watercolor - van Raat

Beaucoup d'écoutes intéressantes ces derniers, je tiens à en signaler trois disques, tous d'une très haute tenue qui devraient plaire à un vaste public.


Mihkel KEREM : Symphonie No. 3 "For the Victims of Communism", Sextuor à cordes, Lamento (Mikk Murdvee, dir. et alto)

Un Lamento pour alto et cordes désespéré, très Vasks dans l'idée. Un sextuor inspiré par le Schoenberg de Verkärte Nacht, évidence auditive qui dépasse les notes d'intention.
Surtout, une magistrale symphonie, que l'on croirait écrite par Shostakovich. L'Adagio initial est à s'y méprendre, exsude la douleur et l'oppression ; ce n'est pas le Shosta gesticulant et grimaçant, c'est celui du désespoir, de la machine à broyer les hommes, avec une conclusion grandiose et obstinée assez cinématographique. Le Vivacissimo du II est celui de la farce méchante, mais sans la grimace systématique de la mélodie cabossée. J'y entends plus les galops de Prokofiev et, très rapidement, le Sacre, qui alimente toute la seconde moitié (La danse des cités rivales et Glorification de l'Élue, en particulier, mais pas que). Le Grave conclusif démarre dans la paix des cimetières, mais l'on se rend compte qu'il s'agit d'une sorte de crescendo du malaise, comme une version étirée de l'entrée du Prince dans Roméo et Juliette.
Peut-être très premier degré, mais débarassé des tics qui m'irritent chez Shosta, et puisant auprès de compositeurs qui me parlent intimement, j'ai adoré de la première à la dernière note.

(Il existe également un disque de sonates pour violon tout à fait intéressantes.)



Elizabeth MACONCHY : Concertino pour piano No. 1, Music for Wind and Brass, Symphony for Double String Orhcestra, The Land (Odaline de la Martinez, dir. ; Clelia Iruzun, piano)

Bien que le numéro n'apparaisse pas, il s'agit du premier concertino pour piano, le second étant disponible depuis peu sur une compilation Lyrita. Très belle partition, entre inspirations françaises (le II, poétique et apaisé, évoque Ravel et Debussy) et Bartókiennes (le I, impérieux, avant de virer au motorisme sautillant avec piano percussif). Le III renoue avec les atmosphères du I, mais en réalité, les mouvements extérieurs sont plus complexes et alternent les atmosphères, entre motif obstiné, évocations terriennes, moments français (il y a beaucoup de main gauche dans le III). Une œuvre qui s'est bonifiée avec chaque nouvelle écoute, et dont la conclusion abrupte n'est pas le moindre des charmes.
La Music for Wind and Brass évolue entre pompe et grotesque, dans une veine typiquement britannique (je pense à Walton, Alwyn et aux symphonies de guerre).
La symphonie utilise toutes les astuces qui fonctionnent pour la formation d'un orchestre à cordes. Entrée fracassante, Lento entre élégie et douleur inquiète, Scherzo souriant (j'ai pensé à Alfvèn, ce qui n'est pas un mince compliment de ma part), et Passacaglia antiquisante plus apaisée.
Enfin, le clou du disque, The Land, inspiré d'un poème de Vita Sackville West sur les quatre saisons. Écriture très cordée, là encore dans une esthétique très britannique de guerre : désespoir glacé de l'hiver introductif qui s'effiloche en Saturne, Printemps vif mais non souriant, qui m'évoque Roussel 2 et 3, Été écrasant qui démarre comme l'Introduction de la seconde partie du Sacre, Automne vibrillonnant mais morcelé (comme le concertino, initialement constellé de coupures) avant de gagner une assurance virile portée par les cuivres.


Mischa SPOLIANSKY : Symphonie en 5 mouvements ; My Husband and I: Overture ; Boogie (Paul Mann, dir.)

Compositeur aux multiples vies. Né dans une famille juive en Russie tasriste, enfance à Vienne dont il devra fuir à cause de la première guerre, compositeur de cabaret à Berlin (Weill sans le côté grotesque), autre ville qu'il fuira suite à l'irrésistible ascension d'un certain chancelier, il passera le reste de sa vie à Londres, principalement comme compositeur de musique de films (dont Les Mines du roi Salomon et Aux frontières des Indes parmi les très connus).
On dispose d'un disque dirigé par Gamba contenant des morceaux choisis de sa production filmique, sympathique mais pas exactement passionnante, trouvé-je, dans un idiome proto-hollywoodien, entre Korngold et Rosza. Le charme exotique de certains morceaux, le talent pour les atmosphères (la musique de fantôme, très Harry Potter), l'on passe un bon moment malgré tout.

Le disque de musique de concert, publié chez Toccata, est par contre immanquable.
L'ouverture est une sorte de pot-pourri façon famille Strauss, un délicieux pastiche viennois riche en glucose.
Le Boogie est un petit chef d'œuvre. Une ouverture grandiose et caricaturale, façon Haendel, qui se transforme rapidement en boogie-woogie, enchaînant les morceaux de bravoure, les effets, à la limite d'une série de variations en mode cabaret (ou cirque), sans avoir peur d'une orchestration ou de couleurs très russes (du Tchaikovsky revu par Hollywood). Voilà une pièce drôle, endiablée, pleine de pompe et de tension, incroyablement virtuose, dans le goût des meilleures compositions d'Arnold dans ce genre. Un reproche toutefois : elle est un peu trop longue pour son propre bien. Le gag ne dure qu'une dizaine de minutes, mais il s'essouffle sur la fin.
La pièce de résistance est la titanesque symphonie en 5 mouvements (une heure !), écrite sur près d'une trentaine d'années. Ultra-dramatique, avec un leitmotiv caractéristique qui rappelle Korngold (une phrase déclamée, parsemée de brusques coupures, concluant sur un crescendo roulant épicé de harpes). Le premier mouvement, la création de l'homme, possède un beau cœur dansant, entre Tchaikovsky et Mendelssohn, des tournures rappellent Dukas, l'inventivité mélodique ne tarit jamais, tirant toujours la partition vers le domaine du cinéma par ces incessants rappels de l'impérieuse déclamation initiale (la voix de Dieu, car Dieu travaillait pour Cecil B Demille, comme chacun sait).
L'Ode à l'amour qui suit débute par un perpétuel jaillissement, suivi d'un beau thème grave et un peu inquiet, filmique en diable, qui débouche sur une version adoucie de la voix divine. La coda très positive est assez caricaturale, mais si l'on accepte de se prendre au jeu, il faut reconnaître que cela est diablement efficace.
Le Scherzo est une parodie du style classique, du même type que le Boogie ; Leroy Anderson revisite Haydn avec un soupçon de Strauss.
Les lamentations du IV sont un hommage aux victimes de l'Holocauste. Outre le ton élégiaque, les couleurs orchestrales évoquent clairement une culture victime des atrocités. Quant aux thèmes, ils sont en partie tirés et retravaillés du deuxième : l'amour et la haine sont les deux faces de l'expérience humaine.
Le dernier mouvement va puiser sans vergogne chez Tchaikovsky et ses épanchements n'ont aucune retenue. Le pardon divin semble enfin prononcé, et une période heureuse est instaurée, chahutée, la conclusion ne vient jamais, une sorte de farce renouvelée, collage de thèmes précédents, d'interruptions abruptes en transitions grandiloquentes, qui n'est pas sans évoquer à nouveau Malcolm Arnold, avec en plus un message sur la nature de l'expérience humaine.

Au final, une pièce outrée, sur-orchestrée, truffée de trouvailles mélodiques ou coloristes ; probablement une caricature "hollywoodienne", mais d'une grande sincérité et terriblement attachante.

• Berlioz: Roméo et Juliette, op. 17:

Katija Dragojevic (mezzo-soprano), Andrew Staples (ténor), Alastair Miles (basse), Robin Ticciati / Orchestre et Chœur de la Radio Suédoise
Stockholm, XI.2014
Linn Records

Contre toute attente, j’ai beaucoup aimé, et d’un bout à l’autre. C’est moi qui commence (enfin!) à apprécier Berlioz, c’est Ticciati qui fait des miracles, ou bien cette «symphonie dramatique» (certes bizarrement ficelée d’un point de vue strictement dramatique ou littéraire) est, musicalement, bien plus aboutie que les œuvres plus réputées de Berlioz?

Strauss : Don Juan (Böhm/Dresde)
Une belle lecture de l'œuvre et un orchestre chatoyant. Je me suis surpris à passer outre la prise de son ancienne et me suis laissé porté par le fil de cette très belle œuvre

Strauss : Une symphonie alpestre (Böhm/Dresde)
Une lecture fluide et ciselée. Très chouette

G. F. Haendel
* Concertos op.4 no 6 + op.7 no.2
Hugh McLean, orgue
CBC Vancouver Orchestra
Mario Bernardi
1 LP CBC/SRC, 1985



C'est magnifique ...

Dvorak : Symphonie n°9 "du Nouveau Monde" (Bernstein Sony)



Quelle version!

Gustav Mahler
* Symphonie no.5
Gewandhaus de Leipzig / Neumann (1967)

Mefistofele a écrit:

Elizabeth MACONCHY : Concertino pour piano No. 1(Odaline de la Martinez, dir. ; Clelia Iruzun, piano)

Bien que le numéro n'apparaisse pas, il s'agit du premier concertino pour piano, le second étant disponible depuis peu sur une compilation Lyrita. Très belle partition, entre inspirations françaises (le II, poétique et apaisé, évoque Ravel et Debussy) et Bartókiennes (le I, impérieux, avant de virer au motorisme sautillant avec piano percussif). Le III renoue avec les atmosphères du I, mais en réalité, les mouvements extérieurs sont plus complexes et alternent les atmosphères, entre motif obstiné, évocations terriennes, moments français (il y a beaucoup de main gauche dans le III). Une œuvre qui s'est bonifiée avec chaque nouvelle écoute, et dont la conclusion abrupte n'est pas le moindre des charmes.

Lors de la création de ce concertino, c'est Erwin Schulhoff qui tenait la partie de piano

Le reste de ton post fait drôlement envie...

Ici :
Dukas : Symphonie en ut - ONF, Leonard Slatkin
--> Formidable version d'une œuvre que j'adore. Toujours alerte et aérée, captant l'attention de bout en bout, elle évite totalement la dérive franckiste dans laquelle on peut vite tomber dans cette symphonie, et est pour autant très expressive.

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Suites pour violoncelle, n° 1, 2 et 3

Anner Bylsma, violoncelle Stradivarius Servais - 1701

Gustav Mahler
* Symphonie no.9
Radio Bavaroise / Haitink

Domenico Scarlatti (1685-1757)
Scarlatti to Scarlatti
Sonates d'après l'édition critique d'Emilia Fadini CDI
Sonates organisées en suites selon l'anthologie de Hans von Bülow (1864) CD II

Giulio Biddau, piano

https://classik.forumactif.com/t2376p250-domenico-scarlatti-discographie-selective#1217616

Isaac Albéniz (1860-1909)
Iberia
• Cahiers III & IV

Nelson Goerner, piano

C'est pourtant super-chouette, Salut für Caudwell.

• Sciarrino: Morte di Borromini (1988) pour orchestre et récitant:

Moni Ovadia (récitant), Tito Ceccherini / Orchestra Sinfonica Nazionale della RAI
Turin, X.2006
Kairos

Incroyable, ce truc - et totalement fascinant.

arnaud bellemontagne a écrit:

Dvorak : Symphonie n°9 "du Nouveau Monde" (Bernstein Sony)


Quelle version!

Une interprétation vivifiante en effet ; mon coup de cœur avec Rojdestvenski.

Alifie a écrit:

Un peu de mal avec l'oeuvre pour deux guitares, qui commençait pourtant gentiment, à la manière de l'anglais Derek Bailey.

j'ai eu du mal la première fois aussi, maintenant je suis fan.

Benedictus a écrit:

• Sciarrino: Morte di Borromini (1988) pour orchestre et récitant:

Moni Ovadia (récitant), Tito Ceccherini / Orchestra Sinfonica Nazionale della RAI
Turin, X.2006
Kairos

Incroyable, ce truc - et totalement fascinant.

Brian Ferneyhough : Firecycle Beta, torse symphonique pour deux pianos et orchestre avec amplification pour groupes de chambres (1969-71)
Tomoko Hemmi & Yukiko Sugawara, pianos
hr-sinfonieorchester (Orchestre Symphonique de la Radio de Frankfurt)
Lucas Vis, Lennart Dohma, Konradin Herzog, Etienne Siebens & Scott Voyles, direction

Je n'aime pas Ferneyhough mais ça j'aime bien.  

Copland : Symphonie n°3 (Bernstein Sony)


Fanfare for the Common Man, c'est l'exaltation à l'état pur

lulu a écrit:

Benedictus a écrit:

• Sciarrino:

Moni Ovadia (récitant), Tito Ceccherini / Orchestra Sinfonica Nazionale della RAI
Turin, X.2006
Kairos

Incroyable, ce truc - et totalement fascinant.

Quand je fais citer : La Morte di Borromini disparaît ! On s'y fait toujours pas, voilà qui n'aide pas à poser ma question suivante (et rituelle dans ce cas de figure) :
Sciarrino en dit plus sur son rapport au baroque et à Borromini (pas seulement sous l'angle romantique et ténébreux de son suicide) ?

BRUCKNER: Tintner. (naxos)

Symphonie no 1, version non révisée 1866 de "Linz" (Carragan),

Symphonie no 2, version 1872 (Carragan), scherzo en II.

Symphonie no 3, version 1873,(Nowak)


En complément, l'adagio de la 3ème de 1876(?), mon préféré des trois connus.

xoph a écrit:

Quand je fais citer : La Morte di Borromini disparaît ! On s'y fait toujours pas, voilà qui n'aide pas à poser ma question suivante (et rituelle dans ce cas de figure) :
Sciarrino en dit plus sur son rapport au baroque et à Borromini (pas seulement sous l'angle romantique et ténébreux de son suicide) ?

eh oui : quand on cite un message de Benedictus, il faut en réécrire une partie.
probablement, puisqu’il a aussi réécrit des musiques de Scarlatti notamment, mais surtout composé plusieurs opéra sur des thèmes baroques ou renaissants, voire sur des livrets d’époque, mais j’ai pas de citation ou d’explication précise à te donner.
cependant c’est surtout la musique (pas franchement romantique) et son rapport au texte et à la scène intérieure (on est presque dans sa chaire) reproduite de manière instrumentale, qui me marquent.

Salvatore Sciarrino : Morte di Borromini (1988)
Tino Carraro / Orchestra del Teatro della Scala (Riccardo Muti)

Salvatore Sciarrino : Morte di Borromini (1988)
Moni Ovadia / Orchestra Sinfonica Nazionale della RAI (Tito Ceccherini)

note : la vidéo de la première, beaucoup plus courte que celle d’Ovadia (qui parle plus lentement), se trouvait il y a quelque temps sur youtube, mais aussi sur mon disque dur.

J S Bach
* Cantate BWV 39
Edith Mathis / Dietrich Fischer-Dieskau / Karl Richter

lulu a écrit:

xoph a écrit:

 Sciarrino en dit plus sur son rapport au baroque et à Borromini (pas seulement sous l'angle romantique et ténébreux de son suicide) ?

[…]
probablement, puisqu’il a aussi réécrit des musiques de Scarlatti notamment, mais surtout composé plusieurs opéra sur des thèmes baroques ou renaissants, voire sur des livrets d’époque, mais j’ai pas de citation ou d’explication précise à te donner.
cependant c’est surtout la musique (pas franchement romantique) et son rapport au texte et à la scène intérieure (on est presque dans sa chaire) reproduite de manière instrumentale, qui me marquent.[…]

Merci pour tes pistes et infos, j'ai deux Scarlatti en magasin (que j'avais oubliés)
Storie di altre storie - Domenico Scarlatti Vivo L. 446 (K. 262) (after the harpsichord sonata, B major)
Storie di altre storie - Domenico Scarlatti Allegro L. 204 (K. 105) (after the harpsichord sonata, G major)
Je suppose qu'il y en a d'autres
Je vais me faire un petit programme avec Casella (Scarlattiana)

enfin, une fois que Beth Gibbons me laissera tranquille

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Henryk Górecki (b. 1933)
Symphonie n°3

Krzysztof Penderecki / Orchestre symphonique national de la radio polonaise
Beth Gibbons, soprane

G. F. Haendel
Concerto no. 13 'Le coucou et le rossignol'
Preston / Pinnock / English Concert

xoph a écrit:

Henryk Górecki (b. 1933)
Symphonie n°3

Krzysztof Penderecki / Orchestre symphonique national de la radio polonaise
Beth Gibbons, soprane

je ne me suis toujours pas décidé à écouter cette chose.
(p.s. Górecki est mort en 2010.)

Beth Gibbons n'est pas une chose !

Sinon euh, je suis pas très sensible à cette musique, très sensible par contre à Beth Gibbons avec Portishead ou en duo (Rustin Man), ici en contre-emploi (qui a délié les langues sur le fil Górecki symphonies), mais sans références en ce domaine, je n'ai pas d'avis sur sa prestation.

Pas vu pour les dates de Górecki  

Giya Kancheli : Symphonie N° 2 "Chants" (1970)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Philipp Chizhevsky
Captation Live du 8 avril 2022 à la Salle de Concert Tchaïkovsky de Moscou

Chavez : Sinfonia India (Bernstein)

xoph a écrit:

Henryk Górecki (b. 1933)
Symphonie n°3

Krzysztof Penderecki / Orchestre symphonique national de la radio polonaise
Beth Gibbons, soprane

Je viens d'apprendre un truc.

C'est ça l'amour des nouveaux convertis !
Et puis Portishead et Beth Gibbons ont eu le bon goût (pour notre plus grand désespoir) de ne produire que 3+1live+1avecRustinMan+celuici = 6 albums et pas un de plus.
Ça facilite l'exploration !

Bon, il y aussi un petit film de 11mn (à surveiller dans le fil films visionnés) : je deviens incollable (Beth, je t'aime)
D'ailleurs, il faudrait peut-être songer à réactiver le fil Portishead…