Playlist (156)

Dvorák : Quatuor "américain" (Talich)
J'adore vraiment cette oeuvre pop et rigoureuse à la fois

Vladislav Zolotaryov / Sinfonia Concertante No.2 « Curriculum Vitae »
www.youtube.com/watch?v=AGJRMyPXKFY


Très touché et assez ému , par la vie assez brève d'un musicien soviètique ,qui s'est suicidé et dont j'ai entendu , deux oeuvres magnifiques. Pour le situer, un peu plus précisément , je me permets de citer Wikipedia.
"Vladislav Andreïevitch Zolotaryov, né le 13 septembre 1942 à De-Kastri (kraï de Khabarovsk) et mort le 13 mai 1975 à Moscou, est un compositeur et bayaniste soviétique. Il est considéré comme l'un des plus grands compositeurs soviétiques pour bayan.
Son œuvre a été qualifiée par la célèbre compositrice Sofia Goubaïdoulina de « geste musical perçant, qui reste pour toujours dans une vie ».
Zolotaryov s'est suicidé à l'âge de 32 ans."
Bref ,à cause de problèmes de manque de succès, avec sa musique, de dépression et de querelles répétitives avec sa femme, il a mis fin à ses jours.

Suite à la discussion sur le fil Telemann à propos du Lied en musique baroque, et aux renvois vers CPE et le Lied.
Réécoute de

Socrate, Hamlet, Colin, Colette...

https://classik.forumactif.com/t1164p100-c-p-e-bach#996271

Szymanowski: Symphonie n°3/Jurowski

Légère déception, après la première écoute de ce Maldoror-Requiem, peut être déjà, parce que j'attendais trop. J'ai un peu l'impression d'écouter Moïse et Aaron,de Schoenberg , boosté aux amphétamines. C'est vrai que la forme narrative, accompagnant un orchestre, n'est pas  ,non plus ,ma forme musicale préfèrée. La notice de ce CD est excellemment faite .En poussant plus loin ,j'ai lu, que Wittinger , promu, assez rapidement,nouvelle vedette de Darmstad, s'est retrouvé,un moment ,tête de proue, de la nouvelle musique . J'ai trouvé un article, qui parle précisément , très bien du style et son évolution de Wittinger. Site que je remercie.


"Le langage musical de Wittinger est celui des contrastes équilibrés. Ainsi, le goût, l’élégance, la stylisation et, conformément au principe fondamental de l’équilibre, la proportion des sections de chaque œuvre, c’est-à-dire ce que l’on appelle normalement la forme musicale, jouent un rôle dominant. Principalement, contrairement à Gyorgy Ligeti, Wittinger n’est pas inquiet dans les problèmes de la plus petite transition, ou dans l’éclatement des limites de la forme ou de la matière musicale absolue, dans les effets sociaux ou politiques, ou même dans les pouvoirs musicaux du langage. On peut dire qu’il s’est spécialisé en limitant son intérêt à tous les sons de, ce qui expliquerait aussi dans une large mesure son succès rapide. Comme d’autres formes de spécialisation - comme par exemple la spécialisation scientifique pure - elle a, selon le point de vue, l’avantage ou l’inconvénient d’être susceptible d’être intégrée dans les conditions et les institutions existantes presque sans conflit. Wittinger n’expérimente pas, pas même avec du matériel tonal pur. Cela ne signifie cependant pas qu’il ne reprend pas et n’intègre pas dans sa musique les résultats des pensées et des expériences des autres. Mais il n’est pas intéressé à tenter l’absolu, à enquêter sur les conséquences, ou dans les limites de l’applicabilité. Combiner des éléments contrastés ou apparemment indépendants les uns avec les autres est une question de tolérances compositoriales, de compensations et de tendances pour Wittinger - et c’est l’implication directe de titres tels que « tolleranza », « compensazioni » et « tendenze ». Les techniques de composition que Wittinger utilise principalement à cet égard sont la cause et l’effet fonctionnels, la substitution et l’inversion, ainsi que les proportions ou périodes asymétriques.

Ce n’est pas nouveau. Ces techniques se trouvent pleinement développées chez Wagner, Mahler et Schoenberg. Dans la musique de Wittinger, les périodes et les quasi-périodes sont plus courtes et plus entrelacées. De telles relations fonctionnelles dépendent d’un sens subtil du son et d’une connaissance précise de la capacité instrumentale : Wittinger possède ces deux qualités en abondance - à tel point, en effet, que certains considèrent que ces qualités constituent la base de son talent. Mais il ne se permet jamais de se laisser emporter par son sens du son.

Son principe de stylisation l’amène à ne pas rechercher directement de nouvelles couleurs de ton, mais lui permet d’utiliser celles qui existent déjà. De cette façon, l’incroyable talent de Wittinger a rassemblé une palette sonore complète en très peu de temps. Il y avait un cri constant dans les années soixante pour l’établissement de la syntaxe et du vocabulaire dans la nouvelle musique - un désir alors inassouvi des classicistes que Wittinger a entre-temps satisfait."
https://sonichits.com/artist/Robert_Wittinger / Merci à eux.

Bon, pour en revenir au Requiem, d'autres écoutes sont vraiment nécéssaires ,pour mieux le saisir.

Borodine - Quatuors à cordes Nos.1 et 2
Borodin Quartet

Pärt: Fratres/Kremer



Schubert orch.Kissine: Fantaisie pour violon en do majeur/Kremer

+

https://www.medici.tv/fr/concerts/concert-hommage-arvo-part-gidon-kremer-et-la-kremerata-baltica-joue-dans-lauditorium-de-la-fondation-louis-vuitton-le-31-mars-2017-captation-integrale

Roupoil a écrit:

Benedictus a écrit:

(Bon, et puis, c’est malin, je vais avoir Plaine, ma plaine qui va me vriller le cerveau pendant au moins trois jours, maintenant…)

Oui, c'est assez terrible pour ça. D'ailleurs, le simple fait que tu l'aies évoqué fait que ça va aussi vriller mon cerveau pendant trois jours, je ne te remercie pas .

Rimsky-Korsakov: Le Conte du Tsar Saltan/Blu-Ray Gergiev

Wagner : Lohengrin (Kempe)


Une oeuvre qui recèle certains des plus beaux ensembles jamais écrits par Wagner.
Version quasi-idéale pour moi.

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Lohengrin (Kempe)


Une oeuvre qui recèle certains des plus beaux ensembles jamais écrits par Wagner.  
Version quasi-idéale pour moi.      

Hé bien, tu vas crever de bonheur quand tu vas écouter les bonnes versions.

Beethoven concertos pour piano No 5 et 0,

C'est très bien vue par Giltburg et Petrenko d'opposer les deux concertos en Mi bémol. Le WoO 4 que composait Beethoven à 14 ans ici présenté en version avec piano seul (donc non reconstruit) trouve déjà des caractéristiques connus du maitre de Bonn.

Jani Christou: Langues de feu (1964)
Jani Christou (1926-1970): Tongues of Fire, oratorio de Pentecôte pour mezzo-soprano, baryton, ténor, chœur mixte et orchestre (1964).
Première partie
Partie II
Costas Paschalis, baryton
Irma Colassi, mezzo-soprano
Gerald English, ténor
Le Bach Festival Chorus et Orchestra diretti da Piero Guarino.
Première mondiale, University Church of St Mary, Oxford, 27 juin 1964.

Une oeuvre encore très stimulante et forte, d'un compositeur parti trop tôt.Dieu reconnaïtra les siens (je parle des compositeurs)
pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=/HQI0t2CR40I

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Lohengrin (Kempe)


Une oeuvre qui recèle certains des plus beaux ensembles jamais écrits par Wagner.  
Version quasi-idéale pour moi.      

Hé bien, tu vas crever de bonheur quand tu vas écouter les bonnes versions.

Si tu fais allusion aux Cluytens, Matacic, Sawallisch, Solti et autres Kubelik, je les connais et malgré leurs qualités, je revendique tenir cette version Kempe en très haute estime :si Jess Thomas est un peu criard par endroits, il est vraiment envoûtant dans les séquences plus élégiaques, DFD en fait beaucoup mais ça fonctionne...le reste du cast est impeccable tout comme la direction et les choeurs.

Milton Babbitt (1916–2011) :
Philomel pour soprano et bande magnétique (1964)

Juliet Fraser

Roger Sessions (1896–1985) :
Piano Sonata No. 1 (1927–30)
From my Diary (1937–40)
Piano Sonata No. 2 (1946)
Five Pieces for Piano (1974–75)
Waltz (1978)
Piano Sonata No. 3 (1964–65)

Barry David Salwen, piano

Robert Helps (1928–2001) :
Symphony No. 1 (1955)
Columbia Symphony Orchestra (Zoltán Rosznyai)

Gossamer Noons pour soprano et orchestre (1974)
Bethany Beardslee
American Composers Orchestra (Gunther Schuller)

Three Etudes pour piano (1956)
David Del Tredici

Recollections pour piano (1959)
William Masselos

Three Hommages pour piano (1972)
Robert Helps

Alfred Schnittke : Symphonie nº 8 (1994).  ГАСО (Valeri Polianski)
Edison Denisov : Symphonie nº 1 (1987).  Ministère de la culture (Gennadi Rozhdestvenski)

Barton McLean (*1938) :
Dimensions II pour piano et bande magnétique (1974)
The Sorcerer Revisited pour bande magnétique (1975)
Genesis pour bande magnétique (1973)

Robert Hamilton, piano
Barton McLean, synthétiseurs

Yasushi Akutagawa - 24 Préludes (1979)
compositeur: Yasushi Akutagawa (1925-1989)
24 Préludes: Les pièces pour piano pour enfants, pour petites mains - Pas d’octaves (1979)
1. Do majeur
3. Sol majeur
4. sol mineur
5. Ré majeur
6. Ré mineur
7. Un majeur
8. Un mineur
9. Mi majeur
10. Mi mineur
11. Si majeur
12. Si mineur
13. Fa dièse majeur
14. Fa dièse mineur
15. Ré bémol majeur
16. Do dièse mineur
17. Un bémol majeur
18. sol dièse mineur
19. Mi bémol majeur
20. Mi bémol mineur
21. Si bémol majeur
22. Si bémol mineur
23. Fa majeur
24. Fa mineur
Chiharu Hanaoka - piano

Délicious. Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=JMHr2MEsOU4

Stimmen… Verstummen (1986), symphonie en douze mouvements, pour grand orchestre, créée le 4 septembre 1986, par l’Orchestre symphonique de l’État de Moscou, sous la direction de Guennadi Rojdestvenski.
Pour moi, un de ses chefs-d'oeuvre .Une oeuvre ,ou elle se détâche des écoles musicales, par la forme et par le fond. Une musique qui personnellement me touche, et c'est ça qui compte au final, dans la musique.Guennadi est là, vraiment grand,comme souvent.Bref un grand disque. Petit salut amical ,à la compositrice qui va sur ses 92 ans.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=9LTt16_uAEU

Ezra Sims (1928–2015) :
String Quartet No. 2 (1962) pour flute, clarinette, violon, alto et violoncelle (1974)
Elegie—nach Rilke pour soprano, flute, clarinette, violon, alto et violoncelle (1976)
Third Quartet pour quatuor à cordes (1962)

Elsa Charlston, soprano
The Lenox Quartet
Boston Musica Viva (Richard Pittman)

Franco Donatoni (1927–2000) :
Etwas ruhiger im Ausbruck pour 5 instruments (1967)
Juilliard Ensemble (Dennis Russell Davies)

Souvenir pour 15 instruments (1967)
Ensemble Ars Nova (Marcello Panni)

Duo pour Bruno pour orchestre (1974–75)
Orchestre philharmonique de Radio France (Arturo Tamayo)

Le Ruisseau sur l’escalier pour violoncelle et 19 instruments (1980)
Alain Meunier
Ensemble 2e2m (Fernand Quattrochi)

Wagner : Le Vaisseau Fantôme (Klemperer)


Je suis captivé par la direction et le cast (à Silja près), dommage que les voix ne soient pas très bien captées...

Campra - Messe de Requiem
Herreweghe & La Chapelle Royale

Schoenberg: Gurrelieder/Stenz

+

Stravinsky: Le Rossignol/Cluytens

Koharik Gazarossian: 24 études

Les « 24 Etudes pour piano » sont des pièces pour piano très personnelles, pianistiquement innovantes et stimulantes, montrant les traces d’un mélange de mélodies arméniennes, de Zeitgeist musical de la première moitié du 20ème siècle et d’harmonies de la zone frontière de la tonalité, tout en contenant des réminiscences de Scriabine, Rachmaninov et Prokofiev.Présentation de l'album.

Koharik Alis Gazarossi était une compositrice et pianiste arménienne. Elle est née à Constantinople et entre au Conservatoire de Paris en 1926 où elle étudie avec Paul Dukas et Lazare Lévy. Après avoir terminé ses études, elle s’est produite comme pianiste de concert en Europe et a travaillé comme compositrice. Elle meurt à Paris.Wiki.

Pour moi tout simplement un petit chef d'oeuvre et j'entends par chef d'oeuvre,une oeuvre qui explore une forme ,d'une façon nouvelle et originale, par rapport aux précédentes.Bon après, on peut gloser à volonté.....La pianiste Nare Karoyan est remarquable.
Lire toute la présentation, sur YT.
Pour l'écouter
www.youtube.com/watch?v=JkwPTdnBseM

Jeff Nichols (*1957) : Chelsea Square (1999)
Jason Eckardt (*1971) : Echoes’ White Viel (1996)
Michael Finnissy (*1946) : North American Spirituals (1998)
Milton Babbitt (1916–2011) : Allegro Penseroso (1999)

Marilyn Nonken, piano

Lou Harrison (1917–2003) :
Symphony on G (1964/66)
Royal Philharmonic Orchestra (Gerhard Samuel)

Carl Ruggles (1876–1971) :
Organum (1945)
Japan Philharmonic (Akeo Watanabe)

Men & Mountains (1924/35)
WOSPR (William Strickland)

Gennady Banshikov (n.1943) - Sonates n° 1 (1977) & 3 (1989) pour

https://soundcloud.com/search?q=banshikov%20sonata%201%20suspenja

as-tu écouté ce disque ?
http://en.dux.pl/zolotaryov-repnikov-nagayev-20th-century-russian-accordion-sonatas-baran.html

Ça ne saurait tarder (bien que rutracker soit HS présentement).



https://soundcloud.com/chopinuniversitypress/sets/kalevi-aho-accordion-sonatas

Papa Bach - Concerts avec plusieurs instruments (vol.1)
Concerto pour clavecin BWV1052
Concerto pour hautbois d'amour BWV1055
Concerto pour violon BWV1042
Concerto Brandebourgeois no.5 BWV1050
Café Zimmermann

Popov : Symphonie de chambre (version chez Northen Flowers)
Banshchikov : Quatuor à cordes (https://www.youtube.com/watch?v=zdD2_K5C_ls)

2 très belles découvertes ! Merci !

(au passage, le quatuor de Banshchikov va être servi au disque prochainement : source => https://www.prestomusic.com/classical/products/9435298--leningrad-string-quartets)

ça promet d’être un excellent disque (que des œuvres excellentes), mais j’ai déjà tout ça haha, y compris le quatuor de Banshchikov dont j’ai le vinyle.
bizarre d’ailleurs : Northern Flowers a déjà pubilé un disque du même nom qui contient déjà le quatuor de Prigozhin...
EDIT. euh non pardon c’est le deuxième quatuor de Prigozhin (dont j’ignorais l’existence).

George Perle (1915–2009) :
Sonata No. 1 for Solo Violin (1953)
Three Sonatas for Solo Clarinet (1943)
Sonata for Cello and Piano (1985)
Monody II for Double Bass (1962)
Bassoon Music (2004)
Nine Bagatelles pour piano (1999)
Hebrew Melodies pour violoncelle (1945)
Musical Offerings pour piano main gauche (1998)
Sonata quasi una fantasia pour clarinette et piano (1972)
Sonata for Solo Cello (1947)
Lyric Piece for Cello and Piano (1946)
Three Inventions for Solo Bassoon (1962)
Sarabande from Solo Partita pour violon (1965)
Ballade pour piano (1981)

des gens

Elliott Carter (1908–2012) : Duo for Violin and Piano (1973)
Roger Sessions (1896–1985) : Sonata for Solo Violin (1953)
Jason Eckardt (*1971) : Strömkarl pour violon et piano (2012)

Miranda Cuckson, violon
Blair McMillen, piano

Roger Sessions (1896–1985) :
Duo for Violin and Piano (1942)
Adagio pour piano (1947)
Waltz for Brenda pour piano (1936)
Sonata for Solo Violin (1953)
Piano Sonata No. 2 (1946)

David Bowlin, violon
David Holzman, piano

Denisov : Symphonie n°1 (Rojdestvenski)
Schnitkke : The Glass Harmonica (Strobel)

Découverte intéressante pour Denisov : le 1° mouvement m'a intéressé, intrigué ... le reste j'ai décroché ... sauf la fin car j'ai eu l'impression d'un rappel du début.
Schnitkke, 1° fois que j'ai envie de réécouter une oeuvre de lui.

Cololi a écrit:

Schnittke : The Glass Harmonica (Strobel)

pour Denisov réécoute le seul deuxième mouvement.

C'est vachement plus intéressant de l'écouter avec les images du dessin animé éponyme de Andreï Khrzhanovski : /watch?v=maXodSVqsnU

Le petit texte introductif :

Elliott Carter (1908–2012) :
Four Lauds pour violon (1984–2001)
Figment I pour violoncelle (1994)
Figment II pour violoncelle (2001)
Tre Duetti pour violon et violoncelle (2009–11)

Caroline Chin, violon
Brian Snow, violoncelle

Purcell - Music for a while
Deller, Kuijken, Christie, Skeaping

Bach : Magnificat (Gardiner II)


Quelle version!      

Elliott Carter (1908–2012) :
Cello Sonata (1948)
Figment I pour violoncelle (1994)
Figment II pour violoncelle (2001)
Enchanted Preludes pour flute et violoncelle (1988)
Scrivo in Vento pour flute (1991)
Gra pour clarinette (1994)
Con Leggerezza Pensosa pour clarinette, violon et violoncelle (1990)
Fragment I pour quatuor à cordes (1994)
Fragment II pour quatuor à cordes (1999)
Elegy pour quatuor à cordes (1943/46)

Johannes Martens Ensemble

Schubert: Die Schöne Müllerin/Fassbaender

Les 30 symphonies de Guo Zu-Rong ou l'avenir de la musique sera t'il , radieux et chinois?
Pas facile de trouver quelque chose de sérieux sur Guo Zu-Rong,compositeur chinois ,né semble t'il en 1928 et qui aurait composé au moins 30 symphonies .Influencé par la musique européenne, sa musique est assez agréable et ne manque pas d'attraits. J'ai écouté sa 9 ème et cette 2ème, vraiment pas désagréable du tout,non plus .Je trouve même, que c'est assez impressionnant.Mais peut être aussi,que je vieillis et que je me rends plus compte de rien, c'est possible.

Pour l'écouter,la neuvième
www.youtube.com/watch?v=3jW3PKBrXms

Pour écouter la 2ème
www.youtube.com/watch?v=pw8ZmVhyPOU