Playlist (101)

Langlais: - Symphonie n° 1 / Watts (Klais du St-John's Smith Square, Londres)
- 5 Méditations sur l'Apocalypse / Mathieu (Cavaillé-Coll de St-Etienne, St-Brieuc)

Effectivement, bonne version de la symphonie (même si l'acoustique est encore un peu sèche à mon goût).
Ces Méditations sont magnifiques (de loin mon oeuvre préférée de Langlais pour l'instant).


Vivaldi: Concertos pour l'Empereur Charles VI (n^os 2, 10, 3, 7, 11 & 4) / The English Concert, dir. Manze

Très beau disque !
J'ai lu dans le livret que les concertos de Vivaldi les plus intéressants étaient ceux qui n'étaient pas destinés à la publication, les partitions trop compliquées (d'un point de vue théorique aussi bien que pratique) ne se vendant pas...
Ces concertos récemment découverts nous le prouvent (et je ne garde d'ailleurs pas un bon souvenir des 8 derniers concertos de l'op. 8, op. des 4 Saisons).


Mozart: Quintettes à cordes n^os 1 à 3 / Graham & Juilliard SQ

C'est joli. Voilà.

Kazimierz Serocki (1922–1981),

  Musica concertante pour orchestre de chambre (1958)
  Segmenti pour orchestre de chambre (1961)
  Epizody pour cordes et trois groupes de percussion (1959)
  Freski symfoniczne pour orchestre (1964)

        Narodowa Orkiestra Symfoniczna Polskiego Radia
        Jan Krenz, direction

Johan Svendsen (1840-1911) :

Symphonie n°2 en si bémol Op. 15

= Mariss Jansons, Orchestre philharmonique d'Oslo

(Emi, août 1987)

Mélomaniac a écrit:

Oriane a écrit:

Je trouve les bannières de mélo de plus en plus psychédéliques.

Mais elle est sobre celle-ci. Et elle n'est pas nouvelle.

Celle-là était pas mal (message du 02 mai) : https://classik.forumactif.com/t7326p650-playlist-83  

ça remonte à une époque où je ne traînais jamais sur la Playlist. Le mal est donc ancien ... Je me faisais la réflexion à cause de la bannière "Tuyaux de la nuit" d'hier.

ça me rappelle que j'avais chez moi un poster National Geographic représentant un emboitement d'images (de léopards) assez psychédélique ... Je vais peut-être le mettre en avatar si je le trouve sur internet.

je rédige mon mémoire, ça me tape sur le système

Jof a écrit:

Langlais: - Symphonie n° 1 / Watts (Klais du St-John's Smith Square, Londres)
- 5 Méditations sur l'Apocalypse / Mathieu (Cavaillé-Coll de St-Etienne, St-Brieuc)

Effectivement, bonne version de la symphonie (même si l'acoustique est encore un peu sèche à mon goût).

C'est cet enregistrement qu'il faudrait que tu trouves:


Extraits ici:http://www.grooves-inc.com/poirier-sylvie-crozier-philip-orgelmusik-des-jahrhunderts-ifo-cd-album-pZZa1-1898212225.html

Jof a écrit:

Ces Méditations sont magnifiques (de loin mon oeuvre préférée de Langlais pour l'instant).

Il y a aussi cette version de Stephen Farr qui est très bien:

Dispo via Deezer:http://www.deezer.com/album/2050971

● Nielsen: Symphonies nº5, FS 97 (op. 50), et nº6 «Sinfonia semplice», FS 116
Neeme Järvi / Orchestre Symphonique de Gothembourg
DG, 1991-92

Je suis un peu déçu par la 5ᵉ. Bien sûr, ça reste remarquable, l’invention d’un langage complètement moderne et personnel et tout ça, mais j’accroche beaucoup moins qu’avec la 4ᵉ, sentiment que je n’avais pas eu (ou pas à ce degré) lors de mes précédentes écoutes; le côté bruyant m’a beaucoup plus frappé (la caisse claire m’a même paru franchement pénible, par moments). Le style sensiblement pré-chostakovien n’y est sans doute pas étranger.

Et la 6ᵉ, je n’accroche toujours pas: cette impression de bifurcations permanentes m’ennuie plutôt qu’autre chose, surtout qu’on est toujours globalement dans ce même ton babillard et grinçant, mi-angoissé mi-persifleur, qui est une des choses qui me lasse le plus vite en musique. «Cryptique», je veux bien, mais je n’entends pas grand-chose qui me donne envie de décrypter.

Bon, demain, je vais réécouter les deux premières: elles ne m’avait pas terriblement marqué lors de mes précédentes écoutes mais vu l’évolution générale de mes goûts, je m’attends à les apprécier davantage.

Prokofiev:Concerto pour piano n°3 (Argerich/Abbado)

Ca pétarade.

Benedictus a écrit:

la caisse claire m’a même paru franchement pénible, par moments

Je crois que c'est le but recherché...

eh bien, si une musique cherche à être pénible, il y a peut-être un problème.

Benedictus a écrit:

● Nielsen: Symphonies nº5, FS 97 (op. 50), et nº6 «Sinfonia semplice», FS 116
Neeme Järvi / Orchestre Symphonique de Gothembourg
DG, 1991-92

Je suis un peu déçu par la 5ᵉ. Bien sûr, ça reste remarquable, l’invention d’un langage complètement moderne et personnel et tout ça, mais j’accroche beaucoup moins qu’avec la 4ᵉ, sentiment que je n’avais pas eu (ou pas à ce degré) lors de mes précédentes écoutes; le côté bruyant m’a beaucoup plus frappé (la caisse claire m’a même paru franchement pénible, par moments). Le style sensiblement pré-chostakovien n’y est sans doute pas étranger.

Et la 6ᵉ, je n’accroche toujours pas: cette impression de bifurcations permanentes m’ennuie plutôt qu’autre chose, surtout qu’on est toujours globalement dans ce même ton babillard et grinçant, mi-angoissé mi-persifleur, qui est une des choses qui me lasse le plus vite en musique. «Cryptique», je veux bien, mais je n’entends pas grand-chose qui me donne envie de décrypter.

Bon, demain, je vais réécouter les deux premières: elles ne m’avait pas terriblement marqué lors de mes précédentes écoutes mais vu l’évolution générale de mes goûts, je m’attends à les apprécier davantage.

Oui, moi aussi cette caisse claire m'insupporte – et je ne suis vraiment pas un grand fan de la première partie… on dirait un peu trop le premier mouvement de la Septième de Chosta (en beaucoup plus novateur et beaucoup mieux). Pour la Sixième, mon ressenti est le même que toi, mais je ne veux décidément pas m'en contenter : Nielsen n'a écrit que des choses passionnantes, je ne vois pas pourquoi il se serait soudain dissout dans du n'importe quoi arbitraire.

Pour moi, les deux premières sont formidables (j'écoute surtout les 1,2,4, et peut-être même plus les deux premières), tu aimeras très fort au moins la 2.

Mélomaniac a écrit:

Benedictus a écrit:

la caisse claire m’a même paru franchement pénible, par moments

Je crois que c'est le but recherché...

Oui, ça je l'entends bien - dans le sens où il est patent que cela cherche à créer un inconfort chez l'auditeur. Mais en l'occurrence, quand je disais «pénible», ce n'était pas cette intention que je voulais désigner (j'écoute quand même couramment des choses autrement inconfortables ), mais plutôt la lassitude de l'auditeur devant le côté finalement grosse ficelle du procédé.

DavidLeMarrec a écrit:

Oui, moi aussi cette caisse claire m'insupporte – et je ne suis vraiment pas un grand fan de la première partie… on dirait un peu trop le premier mouvement de la Septième de Chosta (en beaucoup plus novateur et beaucoup mieux).

Voilà, mais je trouve ça finalement très inférieur à la 4ᵉ, alors que dans mon souvenir, je mettais cette 5ᵉ quasi au même niveau.

DavidLeMarrec a écrit:

Pour la Sixième, mon ressenti est le même que toi, mais je ne veux décidément pas m'en contenter : Nielsen n'a écrit que des choses passionnantes, je ne vois pas pourquoi il se serait soudain dissout dans du n'importe quoi arbitraire.

Je serais assez enclin à me dire la même chose et à persévérer si c'était dans un langage qui me gonflait un peu moins (comme je suis prêt à faire un effort pour le style «néo» du dernier Miaskovski ou du dernier Langgaard).

DavidLeMarrec a écrit:

Pour moi, les deux premières sont formidables (j'écoute surtout les 1,2,4, et peut-être même plus les deux premières), tu aimeras très fort au moins la 2.

Réponse demain.

Jean Sibelius (1865-1957) :

Le Roi Christian II, Suite Op. 27

Nocturne - Elégie - Musette - Sérénade - Ballade

= Alexander Gibson, Orchestre national d'Ecosse

(Emi, août 1966)

Je DOIS moi aussi laisser quelques traces préhistoriques pour le bonheur des statisticiens du futur :

DEBUSSY (Préludes/Arrau)
JS BACH
DUPHLY (pièces de clavesssin)
TOURNEMIRE (piano)

shushu

Dans la 6e de Nielson, j'aime bien les deux premiers mouvements (surtout le premier). Le compositeur arrive à créer une ambiance quand même assez puissante ... Ce sont les deux derniers mouvements qui me donnent une impression de rabâchage.

ovni231 a écrit:

Boris Tichtchenko : Symphonie No. 4 Op. 61 (1974)/Gennady Rozhdestvensky

Quand Mahler rencontre Le Bouddha.

pour fumer un joint ensemble ?

Beethoven : Quatuor à cordes n°15 (Italiano)
Dutilleux : Symphonie n°1 (Jarvi)

André CAPLET  —  Le Miroir de Jésus

Marie-Claude Chappuis [ mezzo-s. ]
Anne Bassand [ harpe ]
Marc-Antoine Bonanomi [ contrebasse ]
Quatuor Sine Nomine et Jean-Claude Fasel : Ensemble Vocal de Lausanne

Jean Sibelius (1865-1957) :

En Saga, Op. 9

= Antal Dorati, Orchestre symphonique de Londres

(Emi, août 1969)

DavidLeMarrec a écrit:

Benedictus a écrit:

● Nielsen: Symphonies nº5, FS 97 (op. 50), et nº6 «Sinfonia semplice», FS 116
Neeme Järvi / Orchestre Symphonique de Gothembourg
DG, 1991-92

Je suis un peu déçu par la 5ᵉ. Bien sûr, ça reste remarquable, l’invention d’un langage complètement moderne et personnel et tout ça, mais j’accroche beaucoup moins qu’avec la 4ᵉ, sentiment que je n’avais pas eu (ou pas à ce degré) lors de mes précédentes écoutes; le côté bruyant m’a beaucoup plus frappé (la caisse claire m’a même paru franchement pénible, par moments). Le style sensiblement pré-chostakovien n’y est sans doute pas étranger.

Et la 6ᵉ, je n’accroche toujours pas: cette impression de bifurcations permanentes m’ennuie plutôt qu’autre chose, surtout qu’on est toujours globalement dans ce même ton babillard et grinçant, mi-angoissé mi-persifleur, qui est une des choses qui me lasse le plus vite en musique. «Cryptique», je veux bien, mais je n’entends pas grand-chose qui me donne envie de décrypter.

Bon, demain, je vais réécouter les deux premières: elles ne m’avait pas terriblement marqué lors de mes précédentes écoutes mais vu l’évolution générale de mes goûts, je m’attends à les apprécier davantage.

Oui, moi aussi cette caisse claire m'insupporte – et je ne suis vraiment pas un grand fan de la première partie… on dirait un peu trop le premier mouvement de la Septième de Chosta (en beaucoup plus novateur et beaucoup mieux). Pour la Sixième, mon ressenti est le même que toi, mais je ne veux décidément pas m'en contenter : Nielsen n'a écrit que des choses passionnantes, je ne vois pas pourquoi il se serait soudain dissout dans du n'importe quoi arbitraire.

Pour moi, les deux premières sont formidables (j'écoute surtout les 1,2,4, et peut-être même plus les deux premières), tu aimeras très fort au moins la 2.

La 5eme est la plus dramatique que Nielsen ait composé , et pour la comparaison avec shosta je penche plutot la 11 .

Messiaen, Turangalîla-Symphonie (Previn/Beroff/Loriod/LSO)

Magnifique ! J'adore. En particulier "joie du sang des étoiles"

Ravel: Trio Avec Piano - Trio Wanderer
Chausson: Trio En Sol Mineur, Op. 3 - Trio Wanderer

Si jeune et déjà si bon goût… Il n'y a pas un permis pour ce genre de liqueurs fortes ?


De mon côté, il aura fallu le temps, mais j'en suis là aussi :

=> Mahler, Rückert-Lieder pour quatuor avec piano
=> Wagner, Wesendonck-Lieder pour quatuor avec piano
=> Wagner, Prélude & Mort d'Isolde pour quatuor avec piano

=> Atterberg, Quatuor à cordes n°2

=> Schumann, Quatuor à cordes n°3 (St Lawrence SQ)
=> Schumann, Quatuor à cordes n°1 (St Lawrence SQ)
Lecture étonnante, très lyrique, riche en portamenti… ça fonctionne assez bien d'ailleurs.

=> Haydn, Quatuor à cordes Op.76 n°3 (Saulesco SQ)
Étonnant, très étonnant… pourtant, techniquement, on entend de petites limites, mais l'aération du son est parfaite pour la lisibilité… et cette lecture très tranquille, qui prend son temps, qui ne bouscule pas les affects, me touche beaucoup. (alors qu'on est, esthétiquement, dans une veine plutôt doucement tradi qui n'a pas ma faveur dans Haydn)  J'aime énormément ça !

plenum a écrit:

Il y a aussi cette version de Stephen Farr qui est très bien
Dispo via Deezer:http://www.deezer.com/album/2050971

Merci ! Si j'ai envie de l'écouter à nouveau, j'irai voir ça.


Langlais: 9 Pièces / Brock (Casavant de la Trinity Episcopal Church, Reno)

Chouette recueil. Comme tracé d'un discret fil conducteur, il s'écoute facilement d'une traite.
Le langage m'a fait penser à Messiaen à certains moments, et à Tournemire à d'autres.


Schumann: Concerto pour piano / Staier & Orchestre des Champs-Élysées, dir. Herreweghe

Un véritable vent de fraîcheur que cette interprétation !
Le jeu de Staier est fin et sobre mais efficace, l'orchestre présente un relief remarquable et de très beaux timbres.

DavidLeMarrec a écrit:

=> Mahler, Rückert-Lieder pour quatuor avec piano
=> Wagner, Wesendonck-Lieder pour quatuor avec piano
=> Wagner, Prélude & Mort d'Isolde pour quatuor avec piano

Je ne connais pas ces arrangements, mais j'aimerais bien entendre ça. C'est sur un même disque ?

Anthony a écrit:

Je ne connais pas ces arrangements, mais j'aimerais bien entendre ça. C'est sur un même disque ?

c’est la nouvelle stratégie Le Marrec pour susciter des réactions : ne pas indiquer les interprètes.

Pourtant, étrangement, si tu essaies, Lucien, ça ne changera pas grand'chose.

Anthony a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

=> Mahler, Rückert-Lieder pour quatuor avec piano
=> Wagner, Wesendonck-Lieder pour quatuor avec piano
=> Wagner, Prélude & Mort d'Isolde pour quatuor avec piano

Je ne connais pas ces arrangements, mais j'aimerais bien entendre ça. C'est sur un même disque ?

Oui, c'est sur le même disque, arrangements de Christian Favre (avec Lott et le Quatuor Schumann). Æon, je crois.

DavidLeMarrec a écrit:

Pourtant, étrangement, si tu essaies, Lucien, ça ne changera pas grand'chose.

Ça dépend, s'il écoute des compositeurs nés avant 1930 ça peut toujours intéresser.

DavidLeMarrec a écrit:

Oui, c'est sur le même disque, arrangements de Christian Favre (avec Lott et le Quatuor Schumann). Æon, je crois.

Merci !

Tüür : Lighthouse , puis Symphonie N°2

Kuha Kangas/Ostrobothnian Chamber, 1997.
Paul Mägi/URSS State Symphony Orchestra, 1986-87.
(rien de moins sûr pour les dates : c'est un peu embrouillé)

J'ai laissé filer le disque après le LightHouse que je connaissais déjà un peu et pour lequel j'avais acquis le cd...
Qu'est-ce que c'est bien la deuxième Symphonie !
Tonal, atonal... je n'entends la différence que par des extrêmes rapprochés.
Qu'en est-il du climax du premier mouvement à partir de 1minute50 : un accord tenu pendant deux minutes 20(aux cordes et cuivres je crois) avec les trompettes, cors, cymbales et timbales qui font des pirouettes sans aucun lien là-dessus ?
[je poste avant que tout cela soit à nouveau effacé]

DavidLeMarrec a écrit:

Pourtant, étrangement, si tu essaies, Lucien, ça ne changera pas grand'chose.

oui, d’ailleurs j’ai parfois au contraire l’envie d’en mettre certains en gras : regardez, il y a des gens connus qui jouent cette musique.

Schumann: Symphony No.1 In B Flat, Op. 38, "Spring" - Wolfgang Sawallisch/Staatskapelle Dresden

DavidLeMarrec a écrit:

Oui, c'est sur le même disque, arrangements de Christian Favre (avec Lott et le Quatuor Schumann). Æon, je crois.

Je viens d'aller vérifier sur toitube, la personne qui a uploadé ce disque a tout mis sauf les extrémités de Tristan (celles qui, précisément, m'attiraient en priorité parmi ce que tu as exhibé). Ah, ils sont incorrigibles ces glottos !

Rollande Falcinelli

Quatre improvisations en concert

Thèmes de Antoine Tisné

Aux grandes orgues des Invalides


Organi 2006


Grande musicienne, qui nous a quittée il y a 9 ans déjà.

Trio pour piano n.1, Robert Schumann (Mstislav Rostropovich, Leonid Kogan et Emil Gilels)

Comme c'est beau.

Lili BOULANGER

—  Attente
—  Reflets
—  Dans l’immense tristesse

Sonia de Beaufort [ mezzo-s. ]
Alain Jacquon [ piano ]

—  D’un matin de printemps
—  D’un soir triste

Yan Pascal Tortelier : BBC Philharmonic

et on termine par l’indescriptible

—  Pie Jesu

Alain Fauqueur [ boy soprano ]
Igor Markevitch : Orchestre Lamoureux ⁃ Chorale Elisabeth Brasseur

C’est quand même quelque chose cette musique !

Wolfgang Rihm (1952–), Fetzen 4 (2004)
Michael Denhoff (1955–), Strophe 20B (2009)
Marco Stroppa (1959–), Nous sommes l’air, pas la terre... (2004)
Uroš Rojko (1954–), Molitve (1994/95)
Michael Denhoff, Strophe 4C (2009/10)
Nicolaus A. Huber (1939–), Titty Twister (2009)

        Wolfgang Dimetrik, accordéon
        Anton Hubert, alto

Weber : Concertos pour clarinette - Quintette pour clarinette - Grand duo concertant - Variations sur un thème de "Silvana" / Janet Hilton (clarinette) - Keith Swallow (piano) - Quatuor Lindsay - City of Birmingham Symphony Orchestra, dir. Neeme Järvi

Des oeuvres pleines d'entrain magnifiées par une belle cohésion entre les partenaires (alors que trop souvent pour Weber la clarinette prend toute la place et le reste des interprètes est condamné à faire de la figuration). Interprétation brillante et délicate à la fois ! J'adoooore

Ah tiens, ça donne envie d'écouter les sonates pour piano de ce compositeur, sous les doigts d'Annie d'Arco.

handel Acis and Galatea John Eliot Gardiner

Ludwig Boslet (1860-1951) :

Sonate n°6 en ut mineur Op. 35

= Joachim Fontaine, orgue Klais de l'abbaye Saint-Martin de Trier

(Querstand, mai 2005)

Leontyne Price dans une multitude d'airs variés et divers. Coffret RCA. Avec Tebaldi, l'instrument le plus parfait dans le répertoire du lirico-spinto.

Beethoven: la cinquième dans une de ses rares interprétations de référence : Wyn Morris et le LSO (étiquette IMP Pickwick).

Luigi Nono (1924–1990), Das atmende Klarsein pour flute basse, petit chœur et électronique live (1980–81)

        Roberto Fabbriciani, flute basse
        The Katowice City Singers
        Ensemble Camerata Silesia
        Anna Szostak, direction
        Alvise Vidolin

Agata Zubel (1978–), Symphonie nº2 pour 77 interprètes (2005)
Zbigniew Bujarski (1933–), Peirene pour orchestre symphonique (2003)

        The Symphony Orchestra of the Academy of Music in Cracow
        Wojciech Czepiel, direction

Claude Debussy : fêtes galantes (Véronique Gens)



Si l'articulation n'offre pas une diction très audible, l'expression est variée et assez jouissive (quels beaux "lalala"), et la voix est sublime. Un vrai coup de coeur

Ecoute tout le disque !

Vincent D’INDY  —  Poème des rivages
Emmanuel Krivine : Orchestre philharmonique du Luxembourg

Cololi a écrit:

Ecoute tout le disque !

Oui oui Cololi, c'est bien prévu Mais j'y vais petit à petit, j'écoute plusieurs fois chaque titre ou oeuvre pour bien m'en imprégner, avant de passer à la suivante quelques jours après.

Debussy:Le Martyre de Saint-Sébastien (Ansermet)

C'est beau et c'est grand.

Proust:Du côté de chez Swann [Nom de pays:le nom] (L. Wilson)

C'est génial et c'est génial.

arnaud bellemontagne a écrit:

Proust:Du côté de chez Swann [Nom de pays nom] (L. Wilson)

Ne marquez pas "Wilson Du côté de chez Swann" sur Youtube en espérant entendre quelques extraits, vous ne retrouveriez pas
exactement le même conteur : https://www.youtube.com/watch?v=sFsKTkrOIps

Jérôme Combier (1971–), Gone pour trio à cordes, clarinette, piano et électronique (2010)
Salvatore Sciarrino (1947–), Il giardino di Sara pour soprano, flute, clarinette, piano et violoncelle (2008)
Wolfgang Rihm (1952–), Eine Stimme pour mezzo, flute, clarinette, six percussionnistes, piano, alto, violoncelle et contrebasse (2004/5) *

        Accroche Note : Françoise Kubler, Armand Angster, etc.
        * Percussions de Strasbourg

Anthony a écrit:

Jof a écrit:

Badum tss !

Il y a même un smiley pour ça :