Playlist (101)

Brouwer:Sonata No. 2 "Sonata del Caminante" - Odair Assad

Brouwer :
Canción de cuna
Paisaje cubano con lluvia

Toccata
+
Orquestra de Gitarres de Barcelona / Leo Brouwer

Richard Wagner (1813-1883) :

Le Crépuscule des Dieux

Voyage de Siegfried sur le Rhin - Marche funèbre

= Thomas Beecham, Royal Philharmonic Orchestra

(Columbia, décembre 1953 - avril 1954)

Schubert: symphonies n° 8 et 9 (Kertesz, Wiener Philharmoniker)

Beethoven: Fidelio (Böhm, Jones, King, Crass, Adam, Mathis, Schreier, Dresden Staatskapelle)

Magnifique Leonore de Jones, Pizzaro très noir d'Adam, Crass très bon, Mathis parfaite, le Florestan peut-être un peu trop wagnérisant de King, Böhm incisif et clair. C'est excellent tout ça !

Mahler:Ruckert Lieder (Baker/Barbirolli)
Berg:3 Pièces pour orchestre (Abbado)
Proust:A l'ombre des jeunes filles en fleurs (L.Wilson)

Emeryck a écrit:

Au programme de ce soir :

Ah toi aussi ? Hier soir j'ai écouté ses six premiers quatuors d'une seule traite. C'était juste grandiose !

De Lalande : Leçonc de Ténèbres, Kathäuser, Ensemble correspondance, Daucé

Superbe !

Iannotta, A failed entertainment (2013).  Quatuor Diotima
Gervasoni, Clamour (2014).  Quatuor Diotima
Kourliandski, Maps of non-existent cities. Bludenz (2014).  Quatuor Diotima

ce concert est une tuerie.

Si ca se trouve, ces compositeurs existent vraiment.

arnaud bellemontagne a écrit:

Si ca se trouve, ces compositeurs existent vraiment.

Vos hypothèses sont très audacieuses mon cher Arnold !

Mais puisque on t'  tous

Spahlinger, extension (1979–80).  Polisoidis/Kleeb

sublime.

Brahms, Symphonie n°1, Levine


Brahms, Symphonie n°2, Levine

Busoni, Toccata (1920).  Ogdon

Ginastera: - Concierto argentino
- Concertos pour piano n° 1 & n° 2
Nissman & University of Michigan SO, dir. Kiesler

Je sais pas trop à quoi je peux rattacher ça (entre couleurs impressionnistes, rythmique très pulsée façon musique de l'est, et harmonies complexes), mais j'aime beaucoup.


Lefebvre: Improvisations (Cavaillé-Coll de NDP)

Thoinot Arbeau - Orchésographie - The Broadside Band_Jeremy Barlow

● Walton: Symphonies nº1 et nº 2
Martyn Brabbins / BBC Scottish Symphony Orchestra
Hyperion, 2010
En effet, ces deux symphonies sont remarquables. Voir ici.

"Il Canzoniere - La poésie de François Pétrarque au XVIIe siècle"
Maria Cristina Kiehr, Stephan Van Dyck, La Fenice

Le Clavier bien tempéré de J.-S. par Bob van Asperen

Ferruccio Busoni : Concerto pour violon et orchestre en ré majeur, opus 35a -- Adolf Busch, Bruno Walter, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam (12 mars 1936).
Robert Schumann : Des Abends et Warum ? -- Wilhelm Backhaus (son dernier récital, Ossiach, 28 juin 1969).

Il me semble que je n'ai jamais entendu le jeu de Wilhelm Backhaus plus délié et fin qu'ici. Fin pas dans le sens émacié, mais dans le sens aérien, allégé, ailé. Une qualité de chant assez incroyable. Des Abends, en particulier, est bouleversant, très intérieur, avec des demi-teintes fabuleuses, des plans fuyants, des lignes mouvantes... Remarquable.

Soirée thématique :   Par les Bois et Forêts...

J'aime bien ton thème. Je vais suivre

Nicolas Gombert - Music from the Court of Charles V - Huelgas Ensemble_Paul Van Nevel

Fuligo a écrit:

J'aime bien ton thème. Je vais suivre

Chausse tes rangers...

Emeryck a écrit:

On aura bien le droit à La terre est un homme de Ferneyhough, non ?

Tu devrais aller réviser et te coucher tôt, ce qui suit va te faire mal aux yeux...

Barlow, Fantasia quasi una sonata (1973).  John Snijders

Frédéric Chopin : Fantaisie en fa mineur, opus 49 -- Jorge Bolet (1974).

Plusieurs idées que j'aime bien (il sait prendre son temps et laisser respirer la forme, ce qui est essentiel dans une œuvre comme celle-ci : rien de plus pénible qu'une Fantaisie opus 49 compacte et râblée), mais au total je ne suis pas convaincu...

Par exemple, dans les deux grandes sections de collisions dramatiques, il accentue de la même façon (à droite toute) les consonances comme les dissonances, au lieu d'accentuer l'aigu des consonances et le grave des dissonances. Du coup, les oppositions C/D/C/D sonnent très estompées, malgré l'énergie considérable qu'il y met. C'est la même fatale erreur que chez Nikita Magaloff, Nelson Freire et Abdel Rahman El Bacha, par exemple, mais Jorge Bolet me semble quand même de loin le plus convaincant dans l'erreur...

Brahms, Quatuor pour piano et cordes op.25, Amadeus Quartet/Murray Perahia

Ces jours ci

Jean Sébastien Bach (1685-1750)
Cantates
Suzuki / BCJ Vol, 49 à 52

J'en finis pas d'y perdre la tête
• Concerto pour clavecin BWV 1053 dans la cantate BWV 49 ( (Ich geh und suche mit Verlangen), et avec quelle partie de violoncelle piccolo un peu plus loin (merci Christophe Coin).
• Prélude de la partita BWV 1006  pour violon dans  BWV 120a (Herr Gott, Beherrscher aller Dinge)
• 3ème Brandebourgeois dans BWV 174 (ich liebe den Höchsten von ganzen Gemüte)

Un plan délibéré sans doute..

"De plus on retrouve dans ces nouvelles oeuvres,..., un recours plus fréquent à la parodie. Il semble que le plus grand recours possible à une musique provenant de mouvements particulièrement réussis faissait partie du plan de Bach et Picander..."

Un plan? oui un bon plan!

Et puis aussi
BWV 140 (wachet auf, ruft uns die Stimme) presque toute neuve à mon oreille

je suis presque à la fin: recommencer au début?

xoph a écrit:

je suis presque à la fin: recommencer au début?

Ca m'a fait pareil avec l'Orgue mystique.

Joseph Haydn : Sonate en mi bémol, Hob. XVI/52 -- Jorge Bolet (1987).

Now, that feels much better.

Scherzian a écrit:

Plusieurs idées que j'aime bien [...] mais au total je ne suis pas convaincu...

C'est curieux, Bolet me fait très, très souvent cet effet-là.

● Bax: Tintagel. Symphonie nº7
Vernon Handley / BBC Philharmonic
Chandos, 2002-2003
Après ma découverte des symphonies de Walton, j’ai eu envie de revenir à d’autres britisheries. Ce qui est étonnant, chez Bax, c’est le décalage entre l’inspiration des symphonies et les poèmes symphoniques: autant j’ai été à nouveau séduit et impressionné par le sens de la progression et de la construction du discours, les couleurs harmoniques et instrumentales dans la 7ᵉ - autant Tintagel m’a semblé faible même en tant que musique d’atmosphère (informe, finalement peu évocateur et pas toujours de très bon goût): dans ce registre-là, Delius est vraiment plusieurs crans au-dessus.

Beethoven, Sonate pour piano nº23.  Frederic Rzewski

bis

Sonate pour piano / Elliott Carter
Ann Schein

1) Joachim Raff (1822-1882) :

Symphonie n°3 en fa majeur Op. 153 « Im Walde »

La Journée (Impressions et sentiments) - Au crépuscule (Rêverie - Danse des dryades) - La Nuit (bruissements nocturnes dans la forêt)

= Hans Stadlmair, Orchestre symphonique de Bamberg

(Tudor, mai 2000)

Une des oeuvres les plus jouées de Raff -un Toscanini la programmait souvent en concert.

Claude Debussy : Clair de lune -- Jorge Bolet (1980).
Robert Schumann/Ferenc Liszt : Widmung, S. 566 -- Jorge Bolet (1971).
Jan Václav Voříšek : Impromptu, opus 7 n° 5 -- Jorge Bolet (1975).

C'est souvent très beau, et c'est vrai que Clair de lune est magnifique.  

Difficile de cacher que je reste intrigué et perplexe (et aussi perplexe et intrigué)... Peut-être le considérer comme un maître de la forme brève ?

À suivre une statue de commandeur... Les Adieux L'Adieu, où presque personne ne parvient à me faire oublier l'enregistrement magique d'Artur Rubinstein en 1940 (de mémoire, en tout cas au début des années 1940).

Scherzian a écrit:

l'enregistrement magique d'Artur Rubinstein en 1940 (de mémoire, en tout cas au début des années 1940).

A la toute fin de l'année 1940 (31 décembre).

2) Bedřich Smetana (1824-1884) :

Par les Prés et les Bois de Bohême

= Karel Šejna, Orchestre philharmonique tchèque

(Supraphon, octobre 1950)

bien, passons au niveau supérieur.

Barlow, Variazioni e un pianoforte meccanico (1986).  John Snijders

je ne sais pas si c’est permis de faire ça à Beethoven.

Merci, Mélo. (Je suis aussi un peu rassuré sur l'état de ma mémoire...)

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Ludwig van Beethoven : Sonate n° 26 en mi bémol majeur, opus 81a -- Jorge Bolet (1939).

(Mi-figue, mi-raisin... )

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