Assez déçu, je l’avoue : j’espérais entendre la matrice imparfaite de la Nativité ou du Saint-Sacrement, et je me retrouve avec des improvisations postromantiques dans le style de Widor(même pas Tournemire ou Vierne, très honnêtement…). C’est très bien fait, mais on dirait vraiment un bon organiste du rang qui reste dans la zone de confort de ce qu’il a appris. Et quelle que soit la date. (Manifestement, il mettait beaucoup de soin dans ce qu’il écrivait, et ne le vivait pas comme une évidence ; ou alors il avait intégré que sa musique pouvait déranger ou mieux, détourner l’attention pendant le culte.)