Nos petits bonheurs du jour dont tout le monde se fiche...

En Belgique (là où je suis, en tout cas), dès qu’on a un 7 c’est fichu (quelque soit la moyenne, donc) ; et un 8 passe difficilement...

bon ; je vous avoue que je n’ai jamais eu ce genre de problèmes.

@Pat17 : tiens, tu as réussi à avoir une mention ? Un membre de ma famille, pour sa licence, a eu une seule mention passable (tout le reste était autour du 15/16) et a eu mention "passable" (ou plutôt aucune mention). Bon, c'était dans les années 70...

Elvira a écrit:

@Pat17 : tiens, tu as réussi à avoir une mention ? Un membre de ma famille, pour sa licence, a eu une seule mention passable (tout le reste était autour du 15/16) et a eu mention "passable" (ou plutôt aucune mention). Bon, c'était dans les années 70...

A l'époque (licence en 1984) la mention assez-bien était à 13/20 (Faculté de Droit, Paris-XI). C'était la même chose pour la maîtrise (Faculté de Droit, Paris-II, l'équivalent de L2 maintenant, passée en 1985).

Curieusement, pour le bac, à l'époque la mention assez-bien était à 12/20 (obtenu en 1981).

D'accord, donc pour toi, c'était une moyenne.

Elvira a écrit:

D'accord, donc pour toi, c'était une moyenne.

Oui, j'avais oublié de le mentionner. La mention à l'université était basée sur la moyenne générale obtenue sur l'année (partiels de Février + Juin, et oraux).

Oui, comme au BAC en fait. Bon, maintenant, la question ne se pose plus vu que la mention n'est justement plus mentionnée sur le diplôme... (mon Bien ne peut même pas me servir de décoration sur mon diplôme de licence !... )

yamaw a écrit:

En Belgique (là où je suis, en tout cas), dès qu’on a un 7 c’est fichu (quelque soit la moyenne, donc) ; et un 8 passe difficilement...

bon ; je vous avoue que je n’ai jamais eu ce genre de problèmes.

Elvira a écrit:

Oui, comme au BAC en fait. Bon, maintenant, la question ne se pose plus vu que la mention n'est justement plus mentionnée sur le diplôme... (mon Bien ne peut même pas me servir de décoration sur mon diplôme de licence !... )

Rho... ces jeunes qui se vantent franchement!

Bah, faut bien qu'elle serve à quelque chose !

yamaw a écrit:

En Belgique (là où je suis, en tout cas), dès qu’on a un 7 c’est fichu (quelque soit la moyenne, donc) ; et un 8 passe difficilement...

bon ; je vous avoue que je n’ai jamais eu ce genre de problèmes.

Et il faut une moyenne de 12 malgré tout pour passer sans conditionnelle. (non je ne suis pas dans le cas, mais des amis ont dû m'expliquer car j'ai toujours un peu de mal avec le système )

Francoistit a écrit:

yamaw a écrit:

En Belgique (là où je suis, en tout cas), dès qu’on a un 7 c’est fichu (quelque soit la moyenne, donc) ; et un 8 passe difficilement...

bon ; je vous avoue que je n’ai jamais eu ce genre de problèmes.

Et il faut une moyenne de 12 malgré tout pour passer sans conditionnelle. (non je ne suis pas dans le cas, mais des amis ont dû m'expliquer car j'ai toujours un peu de mal avec le système )

Après, la question est de savoir avec quelle sévérité est effectuée la notation. Un 12/20 noté large peut être plus facile à obtenir qu'un 10/20 noté sévèrement. Je ne mets pas en doute le système de notation de ton université (que je ne connais pas pas plus que tu as du connaître celles que j'ai fréquenté), mais quand ma mère me raconte son baccalauréat (passé au début des années 1950), je me dis qu'aujourd'hui c'est beaucoup plus facile qu'avant...

Plus que la note à obtenir, je pense que ce qui permet de vraiment juger du niveau (de sélection, et donc de l'université) est dans le pourcentage de ceux qui passent en année supérieure. J'ai déjà eu l'occasion de le mentionner ici (désolé de radoter... ) mais lorsque je faisais mes études supérieures, entre 50% et 60% des étudiants passaient en classe supérieure. J'avais commencé un DESS (5ème année à l'époque) où l'on n'était plus que moins de 10% des étudiants de première année à y avoir été admis !

Je ne parlerai même pas de la sélection dans le système très français des Grandes Ecoles (ce qui m'avait d'ailleurs amené à laisser tomber le DESS) où la sélection est encore plus forte : la Sup de Co où j'ai continué mes études ne prenait que 10% des candidats sur son concours général d'entrée en première année. Et tout le monde n'avait pas le diplôme final (même si les échecs étaient plus rares...). D'où l'intérêt d'ailleurs des admissions parallèles, moins difficiles... mais pour lesquelles il fallait être passé par le filtre des diplômes universitaires...

Nous c'est fort simple, en histoire à Bordeaux 3, rien qu'en 1° année c'est 80% qui dégage (mais il est évident que c'est aussi parce que le bac sésame d'entrée est facile).

Pareil à Caen, par contre, en L3, c'est presque 80% qui passe en M1.

Cololi a écrit:

Nous c'est fort simple, en histoire à Bordeaux 3, rien qu'en 1° année c'est 80% qui dégage (mais il est évident que c'est aussi parce que le bac sésame d'entrée est facile).

Là aussi, question d'évolution... Lorsque j'ai passé le bac, 22% de ma classe d'âge l'ont obtenu. Sous l'effet de la politique du bac pour tous , on est maintenant dans les 40%. Le taux de réussite est d'ailleurs passé de 65% à 85%, alors même que la note nécessaire pour l'obtenir (10/20) est restée la même. Ce qui nous ramène à la question de la difficulté de la notation.

il est évident que la sévérité de la notation dépend des conditions de réussite ; 10/20% de réussite en première, je crois que c’est un peu comme ça partout.

je m’étonnais simplement du système français, où apparemment ce n’est que la moyenne qui compte — mais cela n’enlève rien au mérite de Cololi : c’est un système différent, voilà tout.

Pat17 a écrit:

Cololi a écrit:

Nous c'est fort simple, en histoire à Bordeaux 3, rien qu'en 1° année c'est 80% qui dégage (mais il est évident que c'est aussi parce que le bac sésame d'entrée est facile).

Là aussi, question d'évolution... Lorsque j'ai passé le bac, 22% de ma classe d'âge l'ont obtenu. Sous l'effet de la politique du bac pour tous , on est maintenant dans les 40%. Le taux de réussite est d'ailleurs passé de 65% à 85%, alors même que la note nécessaire pour l'obtenir (10/20) est restée la même. Ce qui nous ramène à la question de la difficulté de la notation.

Politique du chiffre, politique de la note... Tu ajustes les points en fonction du taux de réussite désiré par le ministère, pas plus compliqué que ça !

yamaw a écrit:

il est évident que la sévérité de la notation dépend des conditions de réussite ; 10/20% de réussite en première, je crois que c’est un peu comme ça partout.

je m’étonnais simplement du système français, où apparemment ce n’est que la moyenne qui compte — mais cela n’enlève rien au mérite de Cololi : c’est un système différent, voilà tout.

Là où tu te trompes c'est qu'une note n'est jamais absolue

Si c'est 10 qui est exigé il suffit de noter de façon à avoir le nombre personne qu'on veut qui vont dépasser le 10 ... c'est tout
Bref ils notent en fonction du nombre de place

Mais ce n'est pas dit, c'est vrai.

Elvira a écrit:

Politique du chiffre, politique de la note... Tu ajustes les points en fonction du taux de réussite désiré par le ministère, pas plus compliqué que ça !

C'est bien connu... Mais peut-être que yamaw n'est pas au courant de nos politiques politiciennes hexagonales.

Sur ce, il vaut mieux changer de sujet, car sinon Cololi va sortir son carton rouge de modo...

je ne vois pas en quoi cela contredit ce que je disais...

je sais que je suis un peu naïf, mais quand même... vous ne m’apprenez rien.

yamaw a écrit:

je sais que je suis un peu naïf, mais quand même... vous ne m’apprenez rien.

Ce n'est pas une question de naïveté ou de te croire naïf pour ma part. Ce qui est évident en France ne l'est pas forcément en Belgique, et vice versa... Mes explications étaient plus informatives, pour être sûr que nous ayons au final le même niveau d'information et que l'on puisse comparer ce qui est comparable.

au final, la question est de savoir si un 10/20 en France est la même chose qu'un 10/20 en Belgique ou non.

Les quelques informations que j'avais pu avoir par le passé me laissaient entendre que le système belge était plus exigeant que le notre, mais c'était basé sur des informations individuelles, non corroborées par des études plus scientifiques.

yamaw a écrit:

je ne vois pas en quoi cela contredit ce que je disais...

je sais que je suis un peu naïf, mais quand même... vous ne m’apprenez rien.

Je n'avais pas pigé ta remarque. Maintenant que je la relis je la comprend autrement.

Oui comme dit Pat c'est une question politique (la question de l'égalité).

ce qui m’étonne plus encore, c’est que tu aies déjà tes résultats, alors que je commence mes examens dans presqu’une semaine.

yamaw a écrit:

ce qui m’étonne plus encore, c’est que tu aies déjà tes résultats, alors que je commence mes examens dans presqu’une semaine.

Ca aussi c'est très français

Honnêtement, ne serait-ce qu'au niveau des exigences purement formelles (pas en-dessous de 7 etc.), il me semble clair que la Belgique est plus restrictive. Quand je vois qu'en France, nous pouvons avoir 7 à un semestre, et 13 à l'autre, et quand même passer à l'année supérieure...(bien sûr, c'est peu probable, mais en théorie, c'est possible) Autre exemple, je connais quelqu'un qui n'a jamais réussi à obtenir des valeurs d'histoire ancienne, et qui fait pourtant un master de recherche en ancienne...

Après, cela ne veut pas dire que tout est donné, évidemment. Mais dans certains domaines, et à certains niveaux, oui.

J'ai une prof de contemporaine qui m'a dit que la compensation des semestres d'une même année va disparaître.

Ah, pas forcément une mauvaise chose (même si je vais peut-être en profiter pour mes lettres classiques cette année ).

Cololi a écrit:

yamaw a écrit:

ce qui m’étonne plus encore, c’est que tu aies déjà tes résultats, alors que je commence mes examens dans presqu’une semaine.

Ca aussi c'est très français

Pour continuer à radoter encore un peu plus...

Dans les années 80, les partiels étaient en Juin (donc pas encore faits... à cette époque la moitié des étudiants étaient sous produits plus ou moins légaux pour bosser 32 heures sur 24 avec un taux de réussite au final plus qu'aléatoire ) et les oraux début juillet. Les résultats étaient proclamés mi Juillet de mémoire. Session de rattrapage en Septembre.

Cololi a écrit:

J'ai une prof de contemporaine qui m'a dit que la compensation des semestres d'une même année va disparaître.

De mémoire, cela ne m'aurait pas gêné... J'ai certes eu un 5/20 en Droit civil, mais une note plus "normale" en Droit constitutionnel et en Economie, qui étaient mes deux autres matières à l'écrit au premier semestre de la première année. Pour les autres années, il me semble avoir toujours eu plus que la moyenne à chaque partiel, sauf peut-être en deuxième année en Droit administratif (une horreur cette matière... que de la jurisprudence, presque du Common Law à l'anglaise...).

Pat17 a écrit:

Session de rattrapage en Septembre.

par curiosité : en France, il y a des conditions pour pouvoir s’inscrire à cette session de rattrapage (par ici on dit plutôt seconde sess’ ) ?

yamaw a écrit:

Pat17 a écrit:

Session de rattrapage en Septembre.

par curiosité : en France, il y a des conditions pour pouvoir s’inscrire à cette session de rattrapage (par ici on dit plutôt seconde sess’ ) ?

A l'époque, c'était simple : il suffisait de ne pas avoir la moyenne calculée sur l'ensemble des matières...

Mais il me semble qu'il y avait plusieurs critères en fait (je n'y suis jamais passé, donc je ne m'en souviens pas bien); il me semble que si on avait 10/20 de moyenne générale, il n'y avait pas de rattrapage, et que si l'on avait moins, on repassait les matières où l'on n'avait pas eu la moyenne. Mais franchement, je n'en suis pas sûr...

Pat17 a écrit:

A l'époque, c'était simple : il suffisait de ne pas avoir la moyenne...

Mais il me semble qu'il y avait plusieurs critères en fait (je n'y suis jamais passé, donc je ne m'en souviens pas bien); il me semble que si on avait 10/20 de moyenne générale, il n'y avait pas de rattrapage, et que si l'on avait moins, on repassait les matières où l'on n'avait pas eu la moyenne. Mais franchement, je n'en suis pas sûr...

Oui, d’accord, mais on y a toujours droit, même si on a eu 0 partout ? (en Belgique c’est, à ma connaissance, comme ça.)

yamaw a écrit:

Pat17 a écrit:

A l'époque, c'était simple : il suffisait de ne pas avoir la moyenne...

Mais il me semble qu'il y avait plusieurs critères en fait (je n'y suis jamais passé, donc je ne m'en souviens pas bien); il me semble que si on avait 10/20 de moyenne générale, il n'y avait pas de rattrapage, et que si l'on avait moins, on repassait les matières où l'on n'avait pas eu la moyenne. Mais franchement, je n'en suis pas sûr...

Oui, d’accord, mais on y a toujours droit, même si on a eu 0 partout ? (en Belgique c’est, à ma connaissance, comme ça.)

Oui

yamaw a écrit:

Oui, d’accord, mais on y a toujours droit, même si on a eu 0 partout ? (en Belgique c’est, à ma connaissance, comme ça.)

je ne m'en souviens plus. Le zéro était éliminatoire, mais je ne me souviens plus des circonstances dans lesquelles cette disposition s'appliquait. Encore une fois, cela ne m'est pas arrivé, et tout cela remonte à une trentaine d'années en arrière...

d’accord ; merci.

autre curiosité : vous ét[iez] combien en histoire en première, à Bordeaux ?

En fait, le calendrier universitaire a changé récemment : avant, elle commençait en octobre, pour se finir en juin, ou septembre s'il y avait rattrapages. Désormais, la rentrée se fait vers le 15 septembre, et les examens de première session en mai (pour le second semestre), seconde session en juin.

yamaw a écrit:

d’accord ; merci.

autre curiosité : vous ét[iez] combien en histoire en première, à Bordeaux ?

540 je crois

Cololi a écrit:

540 je crois

Ah ouais quand même !

Elvira a écrit:

En fait, le calendrier universitaire a changé récemment : avant, elle commençait en octobre, pour se finir en juin, ou septembre s'il y avait rattrapages. Désormais, la rentrée se fait vers le 15 septembre, et les examens de première session en mai (pour le second semestre), seconde session en juin.

Par ici nous commençons l’année vers le 15 septembre, et avons nos examens en juin ; deuxième session fin aout (je crois).

Et au premier semestre, la session est en janvier ?

yamaw a écrit:

Cololi a écrit:

540 je crois

Ah ouais quand même !

Elvira a écrit:

En fait, le calendrier universitaire a changé récemment : avant, elle commençait en octobre, pour se finir en juin, ou septembre s'il y avait rattrapages. Désormais, la rentrée se fait vers le 15 septembre, et les examens de première session en mai (pour le second semestre), seconde session en juin.

Par ici nous commençons l’année vers le 15 septembre, et avons nos examens en juin ; deuxième session fin aout (je crois).

Et au premier semestre, la session est en janvier ?

Ah oui quand même !

Oui, janvier, mais ça dépend des UFR... Certains commencent en décembre, et même d'autres n'ont plus de partiel ! (contrôles intégrés)

Elvira a écrit:

yamaw a écrit:

Cololi a écrit:

540 je crois

Ah ouais quand même !

Elvira a écrit:

En fait, le calendrier universitaire a changé récemment : avant, elle commençait en octobre, pour se finir en juin, ou septembre s'il y avait rattrapages. Désormais, la rentrée se fait vers le 15 septembre, et les examens de première session en mai (pour le second semestre), seconde session en juin.

Par ici nous commençons l’année vers le 15 septembre, et avons nos examens en juin ; deuxième session fin aout (je crois).

Et au premier semestre, la session est en janvier ?

Ah oui quand même !

Oui, janvier, mais ça dépend des UFR... Certains commencent en décembre, et même d'autres n'ont plus de partiel ! (contrôles intégrés)

Fin août début septembre. Et encore plus qu'une différence de pays entre France et Belgique, que d'universités au sein d'un même Etat, tout est une question du professeur pour moi. Simple exemple: un des cours les plus durs de première (droit constitutionnel) se soldait par un examen plutôt normal dans la difficulté oul le taux d'échec n'était pas si important. Un autre cours beaucoup plus facile car moins d'heures et plus enfantin dans la technique du cours se soldait par un taux d'échec monstrueux alors que le professeur en question donnait les questions et (presque) les réponses avant l'examen. Mais sa cotation était abominable d'ailleurs j'avais eu 11 avec lui en droit romain puis 14 tout de même avec le même prof en histoire du droit ce qui failli être fatal à mon grade

Pour la comparaison France Belgique, il faut voir aussi filières par filières. Tout ce qui est médical, paramédical (kiné, orthophoniste, etc), vétérinaire, est nettement plus facile en Belgique (ce sont des examens et non des concours). Il me semble même que la belgique, devant l'invasion de français pour ces formations (qui permettent d'exercer n'importe où en Europe), avait tenté de mettre en place des quotas d'étrangers, je ne sais pas si ça a été validé par la cour européenne de justice.

Oui, en effet, c'est juste. Disons que cette comparaison ne tient que pour les filières qui suivent un cheminement "normal" (donc pas de concours d'entrée, année sanctionnée par des examens terminaux etc.)

Glocktahr a écrit:

Il me semble même que la belgique, devant l'invasion de français pour ces formations (qui permettent d'exercer n'importe où en Europe), avait tenté de mettre en place des quotas d'étrangers, je ne sais pas si ça a été validé par la cour européenne de justice.

Oui, je crois que cela a été validé ; mais ce sont des taux énormes, genre 70% (d’étrangers), ce qui montre bien l’ampleur du truc.

yamaw a écrit:

Glocktahr a écrit:

Il me semble même que la belgique, devant l'invasion de français pour ces formations (qui permettent d'exercer n'importe où en Europe), avait tenté de mettre en place des quotas d'étrangers, je ne sais pas si ça a été validé par la cour européenne de justice.

Oui, je crois que cela a été validé ; mais ce sont des taux énormes, genre 70% (d’étrangers), ce qui montre bien l’ampleur du truc.

Tiens dans le genre "quotas d'étrangers", j'avais entendu que certaines villes des pays bas (voire peut-être même l'Etat), pensaient à exiger une carte de résident ou un truc du genre, pour avoir le droit d'acheter du cannabis (pour lutter contre les troubles engendrés par le narco-tourisme, genre mecs défoncés dans la rue et attraction de dealers de drogues dures), qqn sait ce que c'est devenu cette histoire ?

yamaw a écrit:

Glocktahr a écrit:

Il me semble même que la belgique, devant l'invasion de français pour ces formations (qui permettent d'exercer n'importe où en Europe), avait tenté de mettre en place des quotas d'étrangers, je ne sais pas si ça a été validé par la cour européenne de justice.

Oui, je crois que cela a été validé ; mais ce sont des taux énormes, genre 70% (d’étrangers), ce qui montre bien l’ampleur du truc.

Ou que non ça n'a pas été avalisé! Liège a dû retiré ses barrières "discriminatoires" l'année dernière si je me rappelle bien. Je viens de chercher sur le net, je n'ai rien trouver à part cet article que je n'ai pas lu.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/06/29/la-belgique-instaure-des-quotas-d-etudiants-etrangers-en-medecine-et-dentaire_1726610_3214.html

Francoistit a écrit:

yamaw a écrit:

Glocktahr a écrit:

Il me semble même que la belgique, devant l'invasion de français pour ces formations (qui permettent d'exercer n'importe où en Europe), avait tenté de mettre en place des quotas d'étrangers, je ne sais pas si ça a été validé par la cour européenne de justice.

Oui, je crois que cela a été validé ; mais ce sont des taux énormes, genre 70% (d’étrangers), ce qui montre bien l’ampleur du truc.

Ou que non ça n'a pas été avalisé! Liège a dû retiré ses barrières "discriminatoires" l'année dernière si je me rappelle bien. Je viens de chercher sur le net, je n'ai rien trouver à part cet article que je n'ai pas lu.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/06/29/la-belgique-instaure-des-quotas-d-etudiants-etrangers-en-medecine-et-dentaire_1726610_3214.html

Ok merci. Je vois dans l'article que la cour de justice européenne a estimé que les quotas pouvaient être justifiés et que c'est une juridiction belge qui a mis son veto.

C'est fou ce qu'on peut découvrir grâce à internet :

Connaissez vous le Potoo ?

Asinius Pollion a écrit:

C'est fou ce qu'on peut découvrir grâce à internet :

Connaissez vous le Potoo ?

Je suis fan...

Et je n'ai pas encore parlé du Dugong

Asinius Pollion a écrit:

Et je n'ai pas encore parlé du Dugong

Ah lui par contre je le trouve chou.

Projet pro enfin rendu

Il y a du soleil et les anches fonctionnent.