Wagner - Ring - CD (2)

il manque Barenboïm quand même

Thomas Hay est entré (Hunding). Une voix totalement incroyable, on dirait qu'elle est partout, et alors un volume.

Il chante aussi dans le Don Quichotte de Kienzl chez CPO que je viens de recevoir par la Poste. [Car pendant que vous attendiez après les vendeurs imaginaires, moi je commandais du dur, du vrai, du Stephan, du Braunfels, du Weingartner, du D'Albert, etc.]

Le timbre n'est pas très raffiné, mais alors voilà un Hunding qui a de la présence. Le halo joue à plein.

Cololi a écrit:

il manque Barenboïm quand même

Et toi, quels sont tes Rings favoris ?

Mon classement

1.Böhm
Je frétille de plaisir à chaque fois que je l'écoute. Je l'ai adopté définitivement. Böhm donne une superbe lecture, trés équilibrée. Et puis ces voix ! Adam, Nilsson, Windgassen, King, Greindl, Stewart, Mödl...

2.Karajan
Entendu de larges extraits. Les deux premiers volets sont géniaux, les suivants beaucoup moins.

3.Kempe 57
Des soirées de routine des années 50 (Covent Garden) Mais quelle routine !!! Hotter, Nilsson, Windgassen et même mamie Joan en Woglinde (mon seul disque d'elle)

4.Boulez
Bôf, direction percutante, voix moyennes, mais la MES de Chéreau est légendaire à raison.

5.Solti
Conception assourdissante, effets spéciaux, casting de stars, légendes à bout de souffle, Nilsson sous investie, Hotter chevrier...C'est vraiment tiré par les cheveux.

Cololi, tu n'as pas vu que Guillaume m'attribuait 77 versions ?

Barenboim, je n'aime pas du tout ses versions discographiques, c'est très pesant, très massif, ça fonctionne pas climats successifs, adieux les détails.

Dites, les enfants, le très raisonnable Musicweb met une sacrée peignée à ce pauvre Ring.

http://www.musicweb-international.com/classrev/2002/July02/Wagner_Ring.htm

A les entendre, personne ne sait chanter là-dedans. Seulement, si on juge les enregistrements des années 50 à cette aune, c'est nettement moins bon que celui-ci... Non, c'est vraiment très bien chanté, avec des chanteurs totalement confidentiels de surcroît (pas d'autres enregistrements, pas de site web, pas de saison connue...).
Pour du Wagner, chapeau. Si Joel nous fait les Gezeichneten à cette aune, je serai en délire.

Moi mes préférés c'est Barenboïm et Levine.
Autant j'adore Kna dans Parsifal ... autant dans le Ring, c'est pesant inutilement.
Boulez, je n'ai écouté que Rheingold 1 fois, mais c'est vraiment une vision personnelle de l'oeuvre, que je ne partage pas.
Böhm j'ai écouté son Ring 1 fois, j'aouve que j'en ai pas de souvenirs assez précis.
Il ne faut pas oublier également Haitink, qui mérite largement le détour.
Thielmann lui aussi mérite le détour.
Rattle j'ai beaucoup aimé.

J'ai écouté trop de versions pour me souvenir de tout ...

As tu pensé Guillaume tenter la version Levine en DVD? J'ai les 2 premiers volets de ce Ring et c'est du bon : Morris, Norman, Ludwig, Behrens, Jerusalem, Salminen, Zednik, Walschiha, Moll. Lakes est bien en Siegmund mais je ne le mets pas dans les meilleurs.

Citation :

Böhm j'ai écouté son Ring 1 fois, j'aouve que j'en ai pas de souvenirs assez précis.

http://www.musicme.com/#/Karl-Bohm/albums/Wagner:-Der-Ring-Des-Nibelungen-(14-Cds)-0028944605723.html

Pour te rafraîchir la mémoire.

Et Levine, j'y ai pensé à un moment, mais j'ai une dizaine de versions plus intéressantes à acheter.

Cololi a écrit:

Rattle j'ai beaucoup aimé.

J'ai seulement vu Die Walküre sur Arte et Westbroek est géniale, White un superbe Wotan, Gambill est globalement bien même si pas extraordinaire car il y un gros manque de poésie, Johansson s'investit mais elle peine tout de même mais c'est pas mal, Petrenko ne m'a pas convaincu, Fricka dont j'ai peu de souvenirs. La direction de Rattle m'avait assez plu mais je ne connaissais rien à Wagner lorsque j'avais vu cette version. Mise en scène grotesque à plusieurs moments et pas convaincante.
J'ai lu qu'Heppner avait été à la peine dans Siegfried.

Guillaume a écrit:

Et Levine, j'y ai pensé à un moment, mais j'ai une dizaine de versions plus intéressantes à acheter.

Je vais déjà donner une raison qui fait que ces DVDs sont intéressants : avoir les deux Fricka de Ludwig avec l'image. Ludwig est peut être à bout mais cela permet de l'avoir dans les deux Fricka et pas seulement dans celle de Die Walküre. Elle est moins convaincante dans Das Rheingold. Elle est extraordinaire dans Die Walküre car elle s'investit complètement. La direction de Levine est très réussie, classique cependant. C'est un chef que j'aime beaucoup. Mise en scène qu'il faut aimer. Elle n'est pas désagréable à regarder mais n'est pas transcendante. Il faudra que je me procure les deux derniers volets. J'ai cru comprendre par contre que les Gutrune et Gunther sont catastrophiques alors qu'au studio ce sont Weikl et Studer.

aurele a écrit:

Mise en scène grotesque à plusieurs moments

Ah oui, quand ça ?

Citation :

J'ai lu qu'Heppner avait été à la peine dans Siegfried.

Qui ne le serait pas ?
J'attends d'entendre, parce que je doute de la catastrophe. Après, que ce soit électrique, c'est une autre affaire, vu le loustic.

aurele a écrit:

Cololi a écrit:

Rattle j'ai beaucoup aimé.

J'ai seulement vu Die Walküre sur Arte et Westbroek est géniale, White un superbe Wotan, Gambill est globalement bien même si pas extraordinaire car il y un gros manque de poésie, Johansson s'investit mais elle peine tout de même mais c'est pas mal, Petrenko ne m'a pas convaincu, Fricka dont j'ai peu de souvenirs. La direction de Rattle m'avait assez plu mais je ne connaissais rien à Wagner lorsque j'avais vu cette version. Mise en scène grotesque à plusieurs moments et pas convaincante.
J'ai lu qu'Heppner avait été à la peine dans Siegfried.

Moi j'ai vu la Walküre à la télé, et vu dans la salle le Siegfried.
Rattle très réussi. Westbroek superlative. Gambill aboie, c'est du grand n'importe quoi, c'est débraillé au possible. White est un excellent Wotan : pas le plus grand de l'histoire c'est certains, ni même actuel (il y a Dohmen qui est en pleine forme, et White commence à avoir le voix usée), mais très humain, qui mérite le détour.
Heppner ne tient pas la distance. Pour moi, Heppner s'est définitivement cassé la voix. Car je ne vois pas comment il pourrait faire mieux dans la futur (nous verrons en juillet pour le Crépuscule).

aurele a écrit:

Guillaume a écrit:

Et Levine, j'y ai pensé à un moment, mais j'ai une dizaine de versions plus intéressantes à acheter.

Je vais déjà donner une raison qui fait que ces DVDs sont intéressants : avoir les deux Fricka de Ludwig avec l'image. Ludwig est peut être à bout mais cela permet de l'avoir dans les deux Fricka et pas seulement dans celle de Die Walküre. Elle est moins convaincante dans Das Rheingold. Elle est extraordinaire dans Die Walküre car elle s'investit complètement. La direction de Levine est très réussie, classique cependant. C'est un chef que j'aime beaucoup. Mise en scène qu'il faut aimer. Elle n'est pas désagréable à regarder mais n'est pas transcendante. Il faudra que je me procure les deux derniers volets. J'ai cru comprendre par contre que les Gutrune et Gunther sont catastrophiques alors qu'au studio ce sont Weikl et Studer.

Levine il y a le Ring du MET de 90 certes. A écouter et regtarder absoluement (pour Lakes, pour Norman, pour Moll, pour Saminen, pour Morris, pour Ludwig, pour Jérusalem et j'en passe ...). Mais il y a aussi le Gotterdammerung de 97 à Bayreuth qui est sorti (qu'elle honte que le reste ne soit pas enregistré :/), et qui est une référence pour moi.

Perso, j'ai adoré Ludwig dans Rheingold.

Sinon, je continue mon écoute (Walküre de Kuhn). Les femmes (Ottenthal et Comoti) vibrent beaucoup (en fréquence longue, mais aussi en hauteur assez considérable), ce sont des voix très jeunes, assez claires, mais déjà abîmées. Je ne donne pas cher de leur peau à ce rythme. Mais c'est sympa à écouter.

C'est sûr que pour Walküre, il y a plus urgent, mais ce n'est pas forcément dans les meilleurs Ring qu'on trouvera le mieux (chez Haitink, c'est bien gentil le duo avec Studer, chez Furtie 50 il y a Frantz, etc.).

Ca me plaît toujours, et puis l'orchestre rugit de bonheur, c'est autre chose que Rattle / Berlin.

Cololi a écrit:

Heppner ne tient pas la distance. Pour moi, Heppner s'est définitivement cassé la voix. Car je ne vois pas comment il pourrait faire mieux dans la futur (nous verrons en juillet pour le Crépuscule).

Cassé la voix en l'espace de six mois ? A son âge, en plus, ça me paraît excessif. Après, qu'il ait besoin de repos, peut-être. Mais c'est aussi un problème de tempérament : il ne s'investit un tant soit peu que lorsque les rôles demandent beaucoup sur le plan physique. Le reste du temps, il est prudent.

Tu m'étonnes tout de même, il devait être en méforme, parce que c'était vraiment le roi de la propreté, avec toutes les notes bien faites, la rigueur...

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Heppner ne tient pas la distance. Pour moi, Heppner s'est définitivement cassé la voix. Car je ne vois pas comment il pourrait faire mieux dans la futur (nous verrons en juillet pour le Crépuscule).

Cassé la voix en l'espace de six mois ? A son âge, en plus, ça me paraît excessif. Après, qu'il ait besoin de repos, peut-être. Mais c'est aussi un problème de tempérament : il ne s'investit un tant soit peu que lorsque les rôles demandent beaucoup sur le plan physique. Le reste du temps, il est prudent.

Tu m'étonnes tout de même, il devait être en méforme, parce que c'était vraiment le roi de la propreté, avec toutes les notes bien faites, la rigueur...

Je n'ai pas dit qu'il était vocciférant. J'ai dit simplement qu'il n'avait pas l'endurance pour Siegfried. Et qu'il va la payer certainement très cher pour la suite.

Ah, juste pour l'endurance. Tu sais, ça, ça peut dépendre des soirs, de la récupération... S'il ne le chante qu'une fois, il ne risque rien. C'est s'il le met durablement à son répertoire.

Mais c'est vrai que ténor lourd, et à son âge, c'est forcément le déclin proche. Et la curée.

Kuhn Walküre III
Brünnhilde est vraiment délicieuse, lyrique et pimpante à souhait. Vraiment une jeune guerrière.

Comme le disait Guillaume, Dohmen arrive fatigué aux adieux. Autant les graves étaient radieux au II, antant tout est effacé, on ne l'entend presque plus, il essaie de tuber tout ce qu'il peu, mais il est trop tard.
Dans l'élégiaque, il se retrouve, la voix est ternie, mais le médium beau et l'expression travaillée (même si, pour la tendresse, on repassera, il se bat surtout contre sa voix).

Manifestement Kuhn est un peu fort aussi. Ce moment n'est pas particulièrement inspiré du côté de l'orchestre, et toute la fin de l'acte manque d'allant (ou alors c'est que j'ai pris l'habitude de la jouer vite ?). Par rapport aux tempi très animés qui précèdent, c'est étrange.
(En fait, je me rends compte que j'avais presque oublié l'orchestration de ce moment, à force de ne faire que le jouer au piano. )

Bonne Walküre en tout cas ; très loin des grandes soirées folles de Keilberth 54 ou de Dohnányi / Pappano, mais très bonne tenue, sans réelle faiblesse.

Bien, et cet abruti essaie de tenir la dernière note au delà de ce qui est écrit, et en tout cas au delà de ce qui est tenable pour lui... Conclusion, la voix bouge, et théâtre italien ou pas, tout le monde s'aperçoit qu'il est totalement à la ramasse...

La fin est effectivement un peu lente et douloureuse (invocation du feu).

Public moins enthousiaste que pour Rheingold, un peu refroidi par Dohmen semble-t-il. Et Kuhn plus plan-plan.

Mais Dohmen va pouvoir se reposer, c'est Uusitalo qui fait le Wanderer (effectivement un peu haut pour lui).

Siegfried commence très fort.

Le Wotan de Die Walküre chez Kühn est Duccio dal Monte et non Dohmen.

AURELE
A te, Gesslerrrrr !

Oui, tu as tout à fait raison, merci Aurèle. Il fait également Hagen, ce qui est très rare. Ridderbusch pouvait le faire, mais l'a-t-il fait ? Tomlinson l'a fait, même au sein de la même série la même année.

Ca explique pourquoi je lui trouvais un grave magnifique et moins d'endurance. Cela dit, la manière d'émettre la moitié haute de la tessiture est très semblable, avec de gros appuis très stables, un peu en force, pas de legato.

DavidLeMarrec a écrit:

Ridderbusch pouvait le faire, mais l'a-t-il fait ?

Ridderbusch n'a jamais chanté Wotan à ma connaissance.

Quelqu'un connaît il le Götterdämmerung de 1974 de Stein avec Jones, Cox, Ridderbusch, Randova et Mazura notamment? Je ne sais pas s'il a déjà été évoqué sur le forum.

Non commercialisé, et à mon avis aucun intéret...(Cox, Masura, Jones... )

Guillaume a écrit:

Non commercialisé, et à mon avis aucun intéret...(Cox, Masura, Jones... )

Jones doit être tout de même assez géniale et mieux que dans le studio de 1979 publié en DVD et en disque, version que je ne connais quasiment pas. J'ai seulement vu la scène finale. L'actrice est géniale mais le vibrato est très présent.

Guillaume a écrit:

Non commercialisé, et à mon avis aucun intéret...(Cox, Masura, Jones... )

Attend Masura c'est LE Klingsor

Cololi a écrit:

Attend Masura c'est LE Klingsor

Ce qui ne veut pas dire qu'il soit bien en Gunther. Son Klingsor est effectivement excellent dans le DVD du Met.

Mazura, c'est, comment dire... pas spécialement élégant (c'est déjà lui dans le DVD Boulez, je vous rappelle).

Sinon, Siegfried par Kuhn. Mon Dieu que ce livret est pourri... C'est le seul volet où il y a de l'action, mais alors, elle prend son temps... Plus d'une plombe pour casser son enclume, pour une épée qui est absolument inutile au drame...

C'est très bien chanté, très joliment joué, mais enfin, il ne se passe à peu près rien.

DavidLeMarrec a écrit:

r une épée qui est absolument inutile au drame

]

Tssssss quelle mauvaise foi, c'est finalement grâce à elle que Siegfried arrive à Brünnhilde, et puis elle est chouette sur la cheminée au début du Gotterdammerung.

Mais Siegfried est un héros, avec un cure-dents ça aurait aussi bien fonctionné. Achever un dragon en lui sectionnant les orteils avec les dents jusqu'à l'hémorragie ça a une autre allure que se promener pour chercher des champignons, épée invincible à la ceinture.

Sinon, Götterdämmerung de Kuhn. A part les "tournes" bizarres (la fin du Voyage sur le Rhin décroît puis réapparaît...), toujours cette belle présence d'ensemble, on entend beaucoup de choses, c'est très vivant, y compris les deux poids lourds.
La section de cuivres se vautre lourdement à la fin du duo, mais c'est plus d'enthousiasme que de désinvolture, c'est très chouette quand même.

Chez les Gibichungen, ça bouge beaucoup plus que de coutume.

On renoue avec le succès.

J'ai peur pour Ducio Dal Monte, sur la durée, vu qu'il fatiguait déjà en Wotan, mais enfin, c'est très très bien. Et puis on va retrouver l'Alberich absolument magistral d'Andrea Martin, je crois que je n'en ai pas entendu de plus appétissants !

Moi j'ai entendu beaucoup mieux que cet Alberich sans voix : Gustav Neidlinger.

La référence, pas étonnant donc que tu trouve meilleur l'Alberich de Kuhn.

La différence, c'est que Neidlinger cabotine et ne chante pas ce qui est écrit...

Après, c'est simplement très différent, une voix très sombre alors que Martin est plutôt dans le genre de Kelemen.

Citation :

La différence, c'est que Neidlinger cabotine et ne chante pas ce qui est écrit...

Mais oui, c'est un gros nulot, qui ne mérite pas sa réputation d'Alberich du siècle...

Keskifaupalirici !

Tu saurais pas par hasard où se cache tonton Sofro ?

Ekkehard Wlaschiha tu connais ?
Adéquation parfaite au rôle

Et Gunther von Kannen tu connais ? Alberich énorme aussi. (Bon aujourd'hui la voix est totalement usée ...)

Guillaume a écrit:

Mais oui, c'est un gros nulot, qui ne mérite pas sa réputation d'Alberich du siècle...

Pas la peine de caricaturer, je dis ce qui est : beaucoup d'Alberich ne chantent pas réellement la partition (un peu comme Mime...). Et Neidlinger en fait partie.

Pour moi Alberich c'est Neidlinger (comme Tosca, c'est Callas) Il est parfait et légendaire à raison dans ce rôle. Si on fait nos comptes, il le chante chez Keill 53-54-55, Krauss, Kna 56-57, Solti et Böhm. Il l'a chanté jusqu'en 1975 en gros.


Zoltan Kelemen est pas mal aussi, trés chantant. Et Theo Adam me fait une impression mitigée : il est usé à n'en plus finir en 88...

Par contre Becht...

Guillaume a écrit:

Pour moi Alberich c'est Neidlinger (comme Tosca, c'est Callas)

Et quid d'Eduard Habich ?

Pas encore écouté, j'ai des extraits de Siegfried avec lui qui m'attendent...mais c'est mythique en tous cas !

Guillaume a écrit:

j'ai des extraits de Siegfried avec lui qui m'attendent...

Outre les extraits studio avec Coates, il a fait l'intégrale "live" (Rheingold, Siegfried, Götterdammerung) avec Bodanzky au Met.
Par ailleurs il a chanté Beckmesser avec le même et on trouve des extraits de Hagen, Klingsor et Kurwenal

Guillaume a écrit:

Mon classement

1.Böhm
Je frétille de plaisir à chaque fois que je l'écoute. Je l'ai adopté définitivement. Böhm donne une superbe lecture, trés équilibrée. Et puis ces voix ! Adam, Nilsson, Windgassen, King, Greindl, Stewart, Mödl...

[...]

5.Solti
Conception assourdissante, effets spéciaux, casting de stars

Tu es amusant quand même, ce sont quasiment les mêmes que chez Böhm.

Xavier a écrit:

Guillaume a écrit:

Mon classement

1.Böhm
Je frétille de plaisir à chaque fois que je l'écoute. Je l'ai adopté définitivement. Böhm donne une superbe lecture, trés équilibrée. Et puis ces voix ! Adam, Nilsson, Windgassen, King, Greindl, Stewart, Mödl...

[...]

5.Solti
Conception assourdissante, effets spéciaux, casting de stars

Tu es amusant quand même, ce sont quasiment les mêmes que chez Böhm.

Je proteste !

Nilsson et Windgassen sont plus investis chez Böhm.

Windgassen n'est pas traficoté en studio chez Böhm.

Neidlinger n'a pas un halo autour de sa voix.

J'ai horreur de Stolze.

Svanholm est moyen en Loge.

Flagstad est trop vieille.

King est moins placide chez Böhm

Kreppel ne fait pas le poids face à Talvela

Dieskau est la seule chose qui m'attire chez Solti en fait.

Sauf que tu n'as toujours pas écouté Solti

j'ai écouté de larges extraits de Solti.

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