| Siegmund von Hausegger (1872-1948) | |
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DavidLeMarrec Mélomane inépuisable
Nombre de messages : 97868 Localisation : tête de chiot Date d'inscription : 30/12/2005
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Dim 30 Sep 2018 - 10:33 | |
| Je partage pleinement tout ça et même, ce qui est plus déstabilisant encore, ta hiérarchie. Si Hausegger est décadent, c'est par commodité de langage, un romantique tardif comme peut l'être Rachmaninov. Mais dans sa langue musicale, effectivement, il demeure encore complètement structuré et positif dans ces poèmes lumineux du disque Bamberg. On peut davantage discuter pour l'hypertrophie panthéiste de la Natursymphonie, ou pour les atmosphères plus crépusculaires des Hymnes à la Nuit (même si ce n'est pas du Schindler, c'est sûr). Pareil, Barbarossa m'a paru moins personnel, doté de moins de relief aussi. Et Wieland, ça dépend des jours. J'ai beaucoup réécouté ce disque depuis sa parution pourtant récente. Plus que du Strauss (c'est en réécoutant hier la Quatrième d'Alfvén que j'ai été saisi par cette impression, en revanche !), j'y entends une sorte de Brahms lyricisé, avec plus d'élan et de longueur de phrase, contaminé par Mahler et Strauss, mais avec un langage de base beaucoup plus proche des romantiques pleinement ancrés dans le XIXe. (Je crois que la divergence est plus une divergence sur le mot juste que sur le fond de ce que nous disons, en fait : un Strauss carré ou un Brahms courbé, c'est un peu la même chose. ) |
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Benedictus Mélomane chevronné
Nombre de messages : 15565 Age : 49 Date d'inscription : 02/03/2014
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Dim 30 Sep 2018 - 21:58 | |
| - DavidLeMarrec a écrit:
- Je partage pleinement tout ça et même, ce qui est plus déstabilisant encore, ta hiérarchie.
Ah bon? J'ai pourtant l'impression qu'en l'occurrence, «ma» hiérarchie témoigne moins de goûts particulièrement personnels que de différences assez évidentes: la plénitude sonore et la cohérence formelle d' Aufklänge et de Dionysische Phantasie; les mêmes qualités, mais un peu minorées par les discontinuités «narratives» et les figuralismes inhérents au genre dans Wieland; les longueurs et les formules plus stéréotypées de Barbarossa. Sinon, bien sûr, sur la qualification de Hausegger, nous sommes d'accord sur le fond, même si je pinaille sur les termes. |
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DavidLeMarrec Mélomane inépuisable
Nombre de messages : 97868 Localisation : tête de chiot Date d'inscription : 30/12/2005
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 1 Oct 2018 - 0:10 | |
| J'aurais cru que tu aimerais davantage les poèmes vocaux, plus tourmentés, que la lumière assez bon enfant de ces poèmes symphoniques. |
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Benedictus Mélomane chevronné
Nombre de messages : 15565 Age : 49 Date d'inscription : 02/03/2014
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 1 Oct 2018 - 0:29 | |
| Ah, mais je les adore, c’est même d’eux que j'ai parlé en premier à la page précédente... Et, oui, je les place encore au-dessus des poèmes symphoniques (peut-être même de Natursymphonie, c’est dire...); là, c’était juste ma hiérarchie des poèmes symphoniques (sur lesquels j’attends avec impatience le retour détaillé d’Adalbéron...) |
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DavidLeMarrec Mélomane inépuisable
Nombre de messages : 97868 Localisation : tête de chiot Date d'inscription : 30/12/2005
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 1 Oct 2018 - 15:39 | |
| Ah, bien, je suis rassuré, ton goût reste plus légitime que le mien. |
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Benedictus Mélomane chevronné
Nombre de messages : 15565 Age : 49 Date d'inscription : 02/03/2014
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 7 Oct 2019 - 23:10 | |
| • 27 LiederRoman Trekel (baryton), Cord Garben (piano) Munich, V.2010 CPOJ’aime beaucoup, mais je dois reconnaître que ce n’est pas aussi formidable que ce à quoi je m’attendais. Disons que Hausegger compositeur de lied est assez éloigné de la prégnance et de l’impact immédiat de ses meilleures œuvres orchestrales ou de ses lieder avec orchestre (sauf Stille der Nacht et Unter Sternen, qui font justement partie, dans leur version orchestrale, des Drei Hymnen an die Nacht dont il a été question plus haut - et le très frappant triptyque Lenz, d’un langage assez mahlérien.) À première écoute, il me semble y avoir deux veines dans ses lieder. D’une part, des lieder au langage relativement traditionnel pour la génération de Hausegger - du Schumann seulement à peine «postromanticisé» par des contrastes expressifs plus marqués (surtout dans la déclamation, mais ça se traduit parfois aussi par de brusques changements de climats pianistiques et vocaux) et des harmonies ponctuellement plus profuses ou accidentées. D’autre part (ceux que j’ai préférés), des lieder portés par une sorte de prosodie à la fois sinueuse et évasive - un peu comme du Wolf - dans des atmosphères assez énigmatiques (l’harmonie bifurque beaucoup, mais dans un climat sonore tantôt ondoyant tantôt suspendu): on est, ici, pas très loin du dernier Schoeck - avec qui Hausegger a d’ailleurs plusieurs poètes en commun (Conrad Ferdinand Meyer et Gottfried Keller en particulier.) Côté interprétation, Trekel et Garben sont très conformes à leurs standards habituels. Trekel a toujours cette voix pas très belle, très pharyngée au timbre un peu gris, mais aussi cette éloquence très intense, ce chant très tendu et habité; Garben est tout à fait méritoire, la sonorité est belle, mais il y a toujours avec ce côté un peu «accompagnement note-à-note.» |
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Golisande Mélomane chevronné
Nombre de messages : 7906 Age : 50 Localisation : jeudi Date d'inscription : 03/03/2011
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Sam 26 Oct 2019 - 22:10 | |
| Je réécoute la Natursymphonie. Je suis beaucoup plus réceptif à ce discours narratif aéré et clairement construit (proche de celui d'une symphonie romantique plus encore que de Mahler, Première exceptée) qu'à la profusion étouffante de la Herbstsymphonie de J. Marx.
J'ai pour l'instant du mal à parler de cette œuvre, sinon pour dire qu'elle m'exalte assez - plus que Titan, sans doute moins que les autres symphonies de Mahler, mais bien plus que n'importe quel poème syphonique de Strauss (avec lequel cette œuvre n'a vraiment aucun point commun). Cette musique est finalement très sobre, sans être le moins du monde anachronique, ce qui est en soi un exploit. |
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Golisande Mélomane chevronné
Nombre de messages : 7906 Age : 50 Localisation : jeudi Date d'inscription : 03/03/2011
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Sam 26 Oct 2019 - 22:26 | |
| J'avais (très bizarrement) oublié le deuxième mouvement, pourtant sans doute le plus marquant des quatre, d'un tragique implacable qui évoque (ou annonce) pour moi le Miaskovsky de la 3e symphonie, le Chosta de la 4e ou le Hartmann de la 1ère (rapprochements très subjectifs), avec en prime une générosité expressive toute postromantique...
Une musique très minérale, en fait, bien plus encore que le premier Mahler, et en opposition totale avec Strauss, le Schönberg tonal, Schreker ou J. Marx.
Dernière édition par Golisande le Sam 26 Oct 2019 - 22:35, édité 1 fois |
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Benedictus Mélomane chevronné
Nombre de messages : 15565 Age : 49 Date d'inscription : 02/03/2014
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Sam 26 Oct 2019 - 22:34 | |
| - Golisande a écrit:
- ce discours narratif aéré et clairement construit (proche de celui d'une symphonie romantique plus encore que de Mahler, Première exceptée)
Exactement: malgré la profusion et le chromatisme, ça conserve cette structure très lisible qui tire davantage vers Brahms - un peu comme les symphonies de Schmidt (je crois d'ailleurs me souvenir que tu les avais bien aimées aussi), mais avec une sorte de climat extatique ou exalté, assez étranger à la mélancolie schmidtienne. |
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Golisande Mélomane chevronné
Nombre de messages : 7906 Age : 50 Localisation : jeudi Date d'inscription : 03/03/2011
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Sam 26 Oct 2019 - 22:37 | |
| - Benedictus a écrit:
- Golisande a écrit:
- ce discours narratif aéré et clairement construit (proche de celui d'une symphonie romantique plus encore que de Mahler, Première exceptée)
Exactement: malgré la profusion et le chromatisme, ça conserve cette structure très lisible qui tire davantage vers Brahms - un peu comme les symphonies de Schmidt (je crois d'ailleurs me souvenir que tu les avais bien aimées aussi), mais avec une sorte de climat extatique assez étranger à la mélancolie schmidtienne.
Je compte bien réécouter les symphonies de Schmidt (j'ai beaucoup écouté la Quatrième qui m'avait particulièrement marqué). |
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Golisande Mélomane chevronné
Nombre de messages : 7906 Age : 50 Localisation : jeudi Date d'inscription : 03/03/2011
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Sam 26 Oct 2019 - 23:08 | |
| Le IIIe mouvement n'est peut-être pas aussi marquant que les deux précédents, ni que les meilleurs scherzi des symphonies de Mahler (5-6-7-9 et 10 pour moi), mais cela reste absolument exaltant : impossible de décrocher, la narration reste passionnante, les ambiances (dans le Trio) prenantes.
L'entrée du chœur m'ennuie un peu, d'autant qu'elle s'accompagne d'une "straussisation" du discours (j'ai l'impression d'être projeté d'un coup dans la Femme sans ombre). La suite est moins straussienne et plus convaincante : j'ai pensé un instant à Doktor Faust de Busoni, mais comme j'ai écouté ça deux fois il y a sept ans, je me plante peut-être complètement... Cette fin m'enthousiasme moins que le reste, mais il en est de même pour les symphonies 2 et 8 de Mahler, des Gurrelieder, ...
Globalement, cette œuvre m'emballe réellement, en dépit de sa grandiloquence finale. |
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Golisande Mélomane chevronné
Nombre de messages : 7906 Age : 50 Localisation : jeudi Date d'inscription : 03/03/2011
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 9 Déc 2019 - 0:50 | |
| Décidément ce truc, quel chef-d'œuvre !... (Les deux premiers mouvements sont vraiment énormes, à la fois très impressionnants par leur ampleur et pleins de beautés stupéfiantes...) Je ne le mettrai sans doute pas au même niveau que Mahler, mais guère loin assurément; et c'est de toute façon très différent, vraiment singulier. J'ai entendu à plusieurs reprises des échos anticipés de Bernard Herrmann - dont j'ai récemment réécouté le splendide opéra Wuthering Heights (merci Xavier) -, et plus spécifiquement de la musique de Vertigo.
Dernière édition par Golisande le Dim 21 Fév 2021 - 13:45, édité 1 fois |
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Cololi chaste Col
Nombre de messages : 33323 Age : 43 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 10/04/2009
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Sam 20 Fév 2021 - 20:41 | |
| Je viens de réécouter Natursymphonie ... j'étais passé totalement à côté il y a quelques années. C'est énorme _________________ Car l'impuissance aime refléter son néant dans la souffrance d'autrui - Georges Bernanos (Sous le Soleil de Satan)
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Golisande Mélomane chevronné
Nombre de messages : 7906 Age : 50 Localisation : jeudi Date d'inscription : 03/03/2011
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Dim 21 Fév 2021 - 13:44 | |
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DavidLeMarrec Mélomane inépuisable
Nombre de messages : 97868 Localisation : tête de chiot Date d'inscription : 30/12/2005
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Dim 28 Fév 2021 - 22:17 | |
| Cololi distingue toujours les meilleures pépites… il faut juste être (très) patient. C'est un peu un chien truffier en (very) slow motion. |
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Cololi chaste Col
Nombre de messages : 33323 Age : 43 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 10/04/2009
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 1 Mar 2021 - 21:41 | |
| J'ai des pépites que tu ne distingues toujours pas ! Bon cette oeuvre est quand même très proche de Ein Herbstsymphonie de Marx ... je suis désolé. J'y entends les mêmes qualités. C'est très dense, très chromatique, très ondoyant ... mais aussi très personnel dans la mesure où ça ne ressemble pas du tout (de mon point de vue) à du Mahler, du Strauss (ou Zemlinski, Korngold ...) ... même si ça prend parfois quelques tournures des Gurrelieder de Schoenberg. C'est hyper ambitieux ... et donc facilement casse gueule. Par contre c'est très proche de Marx ! Alors Marx pousse le bouchon plus loin peut-être car la structure est plus fuyante encore que chez Hausegger (si par structure on entend qq ch d'immédiatement, facilement identifiable). C'est moins homogénéisant que chez Marx je trouve : il y a plus de nuances différentes, de moments se différenciant orchestralement aussi ... et l'intervention finale envoutante des choeurs (c'est plus de ce côté là que ça peut faire penser un peu aux Gurrelieder). Autant je peux comprendre qu'un Georg Schumann ou van Gilse ... aient pu être oubliés, même si c'est injuste et dommage ... mais dans le cas de Marx et Hausegger ... là ça devient incompréhensible car ce n'est pas simplement de la très bonne musique inspirée ... mais qq ch de plus important, plus personnel, plus dense, plus important. Que ferait-on sans CPO ? _________________ Car l'impuissance aime refléter son néant dans la souffrance d'autrui - Georges Bernanos (Sous le Soleil de Satan)
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DavidLeMarrec Mélomane inépuisable
Nombre de messages : 97868 Localisation : tête de chiot Date d'inscription : 30/12/2005
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 1 Mar 2021 - 22:26 | |
| Pour moi on est dans deux univers assez fondamentalement différent, autant que Mahler et R. Strauss : Hausegger du côté de la grande forme symphonique, du postromantisme stable ; Marx du côté d'un épanchement maximal, d'une construction plus leitmotivique / rhapsodique, dans une veine parfaitement décadente. M'est avis qu'ils ne devaient pas beaucoup s'estimer musicalement… |
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Prosopopus Mélomaniaque
Nombre de messages : 901 Age : 41 Localisation : Paris Date d'inscription : 21/11/2017
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 26 Juil 2021 - 17:28 | |
| Dites les copains, c'est un peu gros là votre supercherie, vous êtes sûrs que ce n'est pas un stratagème de Gustav pour composer sa neuvième symphonie sans se faire remarquer par la malédiction ? Bon : Natursymphonie WDR Sinphonieorchester Koln - Ari Rasilainen A force de la voir ressurgir dans les textes de la DLMARREC et me rappelant que j'avais noté l'oeuvre pour une écoute future j'ai enfin écouté cette Natursymphonie est au final je me maudis de ne pas l'avoir fait avant. C'est vraiment superbe, un post-romantisme assez personnel, pas complètement décadent, pas complètement mahlerien au final, malgré l'orchestre monumental et l'ambiance très spatialisée, et même si l'introduction avec l'orchestre qui s'étend évoque un peu la Titan de Gustav. Mais il y a ici quelque chose de plus affirmé et direct que chez Malher. Seul le dernier mouvement me fait un peu décrocher, je trouve que le choeur ne se marrie pas parfaitement avec l'orchestre, mais il reste tant de belles choses. J'ai enchaîné sur le reste de la (maigre) discographie et j'y entends aussi beaucoup de choses qui vont me plaire mais pour le moment je me remets fréquemment cette Symphonie. Et donc ça, ça n'a été enregistré qu'une fois... Et surtout on pourrait donner ça en concert tout de même, c'est d'un attrait assez évident (mais gros effectif par contre). |
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DavidLeMarrec Mélomane inépuisable
Nombre de messages : 97868 Localisation : tête de chiot Date d'inscription : 30/12/2005
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 26 Juil 2021 - 18:58 | |
| Outre les poèmes symphoniques que tu as écoutés, encore plus extraordinaires je trouve, tu peux prolonger avec d'autres cousins : Volbach, bien sûr van Gilse (la Troisième mahlérienne à souhait, la Deuxième plus personnelle)… |
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Benedictus Mélomane chevronné
Nombre de messages : 15565 Age : 49 Date d'inscription : 02/03/2014
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 26 Juil 2021 - 19:21 | |
| Et les Drei Hymnen an die Nacht? |
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DavidLeMarrec Mélomane inépuisable
Nombre de messages : 97868 Localisation : tête de chiot Date d'inscription : 30/12/2005
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 26 Juil 2021 - 19:43 | |
| Je suppose que Prosopopus les a écoutés en parcourant les deux ou trois disques de poèmes symphoniques chez CPO. |
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Cololi chaste Col
Nombre de messages : 33323 Age : 43 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 10/04/2009
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 26 Juil 2021 - 20:05 | |
| On a le droit de la faire de la pub pour Marx ? _________________ Car l'impuissance aime refléter son néant dans la souffrance d'autrui - Georges Bernanos (Sous le Soleil de Satan)
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Benedictus Mélomane chevronné
Nombre de messages : 15565 Age : 49 Date d'inscription : 02/03/2014
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 26 Juil 2021 - 20:14 | |
| Cololi, tu préfères Marx à Hausegger? |
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Prosopopus Mélomaniaque
Nombre de messages : 901 Age : 41 Localisation : Paris Date d'inscription : 21/11/2017
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 26 Juil 2021 - 20:52 | |
| - DavidLeMarrec a écrit:
- , van Gilse
L' intro de la troisième c'est le thème de Batman de Danny Elfman... Ça commence bien. Oui j'ai aussi écouté les Drei hymnen de la night, c'est aussi très bon, même le disque de Lieder avec piano m'a plu, même si je suis moins accroché par cela. |
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Cololi chaste Col
Nombre de messages : 33323 Age : 43 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 10/04/2009
| Sujet: Re: Siegmund von Hausegger (1872-1948) Lun 26 Juil 2021 - 21:36 | |
| - Benedictus a écrit:
- Cololi, tu préfères Marx à Hausegger?
Je le mettrais un peu au-dessus. Mais ... sincèrement j'aime beaucoup les deux. _________________ Car l'impuissance aime refléter son néant dans la souffrance d'autrui - Georges Bernanos (Sous le Soleil de Satan)
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| Siegmund von Hausegger (1872-1948) | |
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