Trucs croustillants sur les musiciens

Voilà! Si vous avez des choses surprenantes à dire sur les compositeurs, des anecdotes, (comme Liszt qui n'aimait pas les juifs) ...

Poulet a écrit:

Voilà! Si vous avez des choses surprenantes à dire sur les compositeurs, des anecdotes, (comme Liszt qui n'aimait pas les juifs) ...

Achète Gala et Voici

leo a écrit:

Poulet a écrit:

Voilà! Si vous avez des choses surprenantes à dire sur les compositeurs, des anecdotes, (comme Liszt qui n'aimait pas les juifs) ...

Achète Gala et Voici

J'aime le "et" dans ta phrase

comment? personne n'a d'anecdotes sur les compositeurs?

Poulet a écrit:

comment? personne n'a d'anecdotes sur les compositeurs?

les compositeurs non, les compositrices oui

PS: private

Heu... Lully et les garçons ?

C'est la rubrique "Coins de rues et images immondes" ?

Même qu'il a donné un coup de pied dans le ventre à l'une de ses maitresse qui était enceinte. Quel horrible personnage.

C'est pas une spécialité asiatique le "croustillant de poulet" ?

.... sinon Bach a jeté sa perruque à la figure de l'un de ses élèves et a giflé l'un de ses fils qui avait quitté le clavecin précipitament avant la cadence parfaite, soit en plein milieu d'une phrase. C'est un petit peu comme si tu parlais la bouche pleine quoi.

ouannier a écrit:

.... sinon Bach a jeté sa perruque à la figure de l'un de ses élèves et a giflé l'un de ses fils qui avait quitté le clavecin précipitament avant la cadence parfaite, soit en plein milieu d'une phrase. C'est un petit peu comme si tu parlais la bouche pleine quoi.

"Le chef d’orchestre russe Gennady Rozhdestvensky ainsi que sa femme, Viktoria Postnikova, pianiste, se sont brusquement retirés d’une série de concerts avec l’Amsterdam Sinfonietta qui débutait le 24 février dernier à Amsterdam, dans un programme Chostakovitch.

Tout allait pour le mieux à la première répétition, le 20 février. Puis, en arrivant à son hôtel, le chef trouva des cadeaux qui l’attendaient, incluant un disque du Sinfonietta, paru en 2005. Ô gaffe impardonnable : dans le livret, une note sur l’histoire de l’ensemble ne mentionnait pas Rozhdestvensky parmi les chefs ayant dirigé l’ensemble par le passé, alors que pourtant le chef russe était venu le diriger 2003.

Fou de rage, le chef prit valises, femme et partitions, et quitta immédiatement les lieux pour Paris. Espérons qu'il y trouva de quoi refroidir son sang chaud !"

Merci Abeilleinfo!

Il paraît que Beethoven, quand un de ses amis lui demandait un service et que ça le faisait un peu ch***, et ben il faisait la sourde oreille!

Il paraît que Poulenc couchait avec un ténor! Quand tu vois la taille du pavillon d'un sax ténor! Quelle virilité ce Francis!

OHH!

Il paraît que Chopin supportait très difficilement quand Geoges Sand lui disait: " Tu devrait arrêter avec tous ces chromatismes, t'en fous partout maintenant, ça devient un tic! C'est un cache misère ou quoi?"
Une fois il lui aurait répondu, excédé: "Oh et puis hein tu m'embêtes Georges à la fin! Si tu crois que c'est simple de révolutionner le répertoire pianistique!" Sur quoi la romancière, aurait parait-il, pouffé.
Frédéric, plus pâle que jamais, posa un regard d'une infinie tristesse sur sa compagne, et murmura: " Allons dans la grange".

et après?

vartan a écrit:

et après?

Ca doit être l'heure de "Partouze dans la grange" sur Canal+.

Billy Budd ou Porno canal?

Je'm'tate...

vartan a écrit:

Je'm'tate...

On dirait que tu as déjà choisi...

N'oublions point que j'ai le bras droit dans le plâtre, la rotule gauche en Z, la cuisse droite pleine d'hématomes, le coude gauche plein de croûtes sanglantes et des douleurs un peu partout.

Je garderai donc cet exercice récréatif pour des temps plus propices et je continue donc mon Billy Budd (je ne connaissais pas, c'est magnifique) (chaste)

Geoges Sand écoutait Liszt jouer en se mettant sous son piano
J'ai du mal à m'imaginer...
La scene devait être assez pittoresque

“ Vous savez que je me mets sous le piano quand il en joue. J’ai la fibre très forte et je ne trouve jamais les instruments assez puissants. Il est au reste, le seul artiste du monde qui sache donner l’âme et la vie à un piano. ”
George Sand à Marie d’Agoult, 10 juillet 1836
(Correspondance Marie d’Agoult/George Sand).

" Franz Liszt, auquel son nom a souvent été associé, était sans doute le musicien qui la fascinait le plus, celui qu'elle écoutait lovée sous son piano pour s'imprégner de sa musique"

Azaelia a écrit:

Geoges Sand écoutait Liszt jouer en se mettant sous son piano
J'ai du mal à m'imaginer...
La scene devait être assez pittoresque

“ Vous savez que je me mets sous le piano quand il en joue. J’ai la fibre très forte et je ne trouve jamais les instruments assez puissants. Il est au reste, le seul artiste du monde qui sache donner l’âme et la vie à un piano. ”

Sympa pour Chopin!

Une cantatrice qui jouait un rôle dans la première d'Elektra était particulièrement grosse et avec son costume n'arrivait pas à passer la porte qui menait à la scène. Un employé du théâtre lui conseilla alors de passer de côté. Elle répliqua: "avec moi, jeune homme, il n'y a pas de côté !"

On connait celle avec Richard Strauss qui, toujours à la première d'Elektra cria au chef d'orchestre: "Plus fort l'orchestre! j'entend encore les voix"

PS.: On en reste au croustillant ou on élargit ?

On s'en fiche... élargissons!

Berlioz, face à Wagner qui composait la musique de l'avenir, composa donc les Troyens et envoya la partition à Richard avec la note suivante: Pour corrections.
Richard Wagner renvoya la partition avec la note: On ne corrige pas, on recommence à zéro!

Zoilreb a écrit:

Richard Wagner renvoya la partition avec la note: On ne corrige pas, on recommence à zéro!

MDR!
Quel enfoiré ce Wagner!

Xavier a écrit:

Azaelia a écrit:

Geoges Sand écoutait Liszt jouer en se mettant sous son piano
J'ai du mal à m'imaginer...
La scene devait être assez pittoresque

“ Vous savez que je me mets sous le piano quand il en joue. J’ai la fibre très forte et je ne trouve jamais les instruments assez puissants. Il est au reste, le seul artiste du monde qui sache donner l’âme et la vie à un piano. ”

Sympa pour Chopin!

Il serait intéressant d'avoir la date de la lettre, pour savoir où ça se situe dans ses relations avec Chopin.

Azaelia a écrit:

George Sand à Marie d’Agoult, 10 juillet 1836 (Correspondance Marie d’Agoult/George Sand)

C'est pas celle-là la date ?

Zoilreb a écrit:

Azaelia a écrit:

George Sand à Marie d’Agoult, 10 juillet 1836 (Correspondance Marie d’Agoult/George Sand)

C'est pas celle-là la date ?

Oups.
Donc un peu moins de deux ans avant le début de leur liaison, en juin 1838. N'oublions pas qu'elle pouvait aussi vouloir faire plaisir à Marie d'Agoult avec des lettres n'étant pas censées être lues.
Et puis on peut préférer Liszt au piano et Chopin à Valdemosa. [Non, c'est pas crédible ?]

Ya aussi Rossini, rien que par sa date de naisance. Ce type a eu une vie bourrée d'anecdotes... tournedos rossini... bon, je sors???

La sortie est au fond, à gauche. Merci d'être passé.


David - rosse

Retrouvez l'auteur de cette prose:

"Il n'est de définitif que la mort; et, par un paradoxe saisissant, seule la mort permet à l'esprit de rejoindre ce point si central où la vie retrouve son urgence. Cette urgence, Chopin et Rachmaninov l'ont expérimenté à l'extrême, à travers ces oeuvres ouvertes à l'infini que sont leur Deuxième Sonate: des messes des morts, dite par l'amour pour tous ceux qui aiment.
Ce qui fait la beauté de ces pages? D'abord le fait que l'on croirait entendre les compositeurs chanter leur douleur depuis ailleurs; ils ne chantent pas seulement la mort d'êtres qui leur étaient proches, ni la leur propre, ils offrent un asile à la pensée de toute l'humanité qui meurt: ils savent que la vérité de la musique, à l'image de celle de l'existence, n'est pas de simuler le bonheur, mais de cerner d'un trait de feu sa tragédie. Ainsi, la promesse d'une réconciliation se dispute-t-elle l'espace et la durée avec un désespoir étincelant."

Xavier a écrit:

Retrouvez l'auteur de cette prose

Sans plaisanter cette fois, ce serait bien Pierre Boulez, non?

T'as jamais lu du Boulez toi c'est pas possible!

Déjà, Boulez qui s'extasie sur Chopin et Rachmaninov franchement...

Xavier a écrit:

T'as jamais lu du Boulez toi c'est pas possible!

Déjà, Boulez qui s'extasie sur Chopin et Rachmaninov franchement...

Sur Chopin je sais pas, mais c'est vrai que sur Rachmaninov ça m'éttonerais franchment... C'est con, oublie... Je ne suis qu'un raton-laveur

Je ne l'ai lu que la premiere phrase, mais ça doit être la Grimaud.

On va voir si le reste confirme mon impression.

Ben oui, c'est beau, vous trouvez pas?

Je vois pas trop ce que vous lui reprochez. Elle est pas spécialement lourde là.

Mr Bloom a écrit:

Je vois pas trop ce que vous lui reprochez. Elle est pas spécialement lourde là.

T'es con.

... bon je repars chercher une corde.

Moi je trouve ça un rien pompeux ... Ptêt passque chui pô le gars pour les tragédies!

Avec le recul et à la relecture, je me dis que c'est sur que c'est pas assez réfléchis pour être Boulez, c'est même très banal!

Moi je trouve ça pas banal, elle a quand même un certain don pour l'emphase, l'ampoulé, le pompeux, le mièvre et l'incompréhensible, non?

T'as rien compris à l'art poétique.

Bon je savais pas ou le mettre d'autre

"D'autres artistes ont été pédérastes, sans toutefois que leurs attirances semblent transparaître dans leurs œuvres : ainsi Johann Rosenmüller, Jean-Baptiste Lully et Piotr Ilitch Tchaïkovski. À l'inverse et exceptionnellement, l'amour pédérastique a pu être magnifié par des artistes quant auxquels rien ne permet de supposer qu'ils aient pu être pédérastes, tel Jean-Sébastien Bach dans l'air de Phébus-Apollon dédié au jeune Hyacinthe, dans la cantate profane BWV 201, Geschwinde, ihr wirbelnden Winde (Der Streit zwischen Phoebus und Pan)."

Oui, et ? C'est une évidence. La vie et l'oeuvre, c'est pas pareil. Pas de quoi écrire un bouquin.

Tu voulais en venir où ?

Je sais même pas justement

Et c'est extrait de quoi (que je ne l'achète pas par mégarde) ?