Playlist (60)

Le dernier Stravinski, c'est de la très grande musique. Parmi les chefs-d'oeuvre du XXème siècle, loin devant toutes ces macérations intellectuelles et sectaires qu'on nous servait dans les années cinquante et soixante.

Scherzian a écrit:

J'imagine que la qualité de la réédition chez Andante est exceptionnelle.

Comme d'hab, très peu filtré, beaucoup de bruit de fond, mais présence et largeur du spectre sont préservés.
Bonne soirée avec ABM...
Pour ma part, je ne sais pas encore quoi mettre dans la platine...

Scherzian a écrit:

Non, je l'écoutais dans un boîtier paru au Japon sous le titre The Art of Adolf Busch. Un boîtier de dix-sept disques, Toshiba (TOCE-6781~97). J'imagine que la qualité de la réédition chez Andante est exceptionnelle. Mais je trouve que, dans le cas de son disque isolé qui regroupait jadis la Fantaisie et le Second Trio de Schubert, EMI/Références avait déjà fait un très bon travail. La différence de spectre audio n'est pas aussi sensible ici qu'ailleurs (dans d'autres cas, c'est cruel, en faveur des Japonais).

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Ce soir, klavierabend avec Arturo Benedetti Michelangeli ! Des repiquages de vinyles d'enregistrements assez anciens, des années 1955 (Varsovie), 1952 (Arezzo) et 1959 (Londres). Scarlatti, Bach/Busoni, Beethoven, Schumann, Chopin, Clementi et Ravel.

Spoiler:

J'ai découvert ce pianiste il y a peu par ce fameux récital de Varsovie et je dois avouer que depuis, je n'écoute plus que lui.

Zeno a écrit:

Le dernier Stravinski, c'est de la très grande musique. Parmi les chefs-d'oeuvre du XXème siècle, loin devant toutes ces macérations intellectuelles et sectaires qu'on nous servait dans les années cinquante et soixante.

On est d'accord. (j’exagère quelque peu avec ses œuvres sacrées, c'est quand même assez space pour moi - même certaines œuvres des années néoclassiques, du genre : La Symphonie des psaumes, autant que j'écoute son Requiem à la place. Toutes mes confuses).

Edit : Tu aimes le derniers Stravinsky ?

Aller, copain ?

Stravinski est un colosse. J'aime assez peu sa période néo-classique, mais que de chefs-d'oeuvre tout autour !

Zeno a écrit:

Stravinski est un colosse. J'aime assez peu sa période néo-classique, mais que de chefs-d'oeuvre tout autour !

Pourquoi a-t-il écouté Diaghilev en 1920 ?

Roussel : Symphonies 1 et 2
J'ai encore un peu de mal avec la deuxième mais je pense en venir à bout un jour. Il y a toujours quelque chose qui m'attire dans cette musique subtile.

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Zeno a écrit:

Stravinski est un colosse. J'aime assez peu sa période néo-classique, mais que de chefs-d'oeuvre tout autour !

Pourquoi a-t-il écouté Diaghilev en 1920 ?

Tu sais qu'on est HS, quand même !

Zeno a écrit:

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Zeno a écrit:

Stravinski est un colosse. J'aime assez peu sa période néo-classique, mais que de chefs-d'oeuvre tout autour !

Pourquoi a-t-il écouté Diaghilev en 1920 ?

Tu sais qu'on est HS, quand même !

On n'est pas sur le bon file, c'est tout.

kegue a écrit:

Roussel : Symphonies 1 et 2
J'ai encore un peu de mal avec la deuxième mais je pense en venir à bout un jour. Il y a toujours quelque chose qui m'attire dans cette musique subtile.

Tu indiques rarement les interprétations que tu choisis... C'est honteux ou on est trop curieux ?

En l'occurrence : Denève, Janowski, Eschenbach... ?

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac pk taper sur les Gurre

Ah quand on blesse l'affect...
Rassure-toi, je ne dénigre pas les GL que j'aime beaucoup. Ma première version en CD fut celle de Chailly, que je place toujours très haut, notamment pour le Ramier de Fassbaender, et la prestation des choeurs.

Mais comparées à Moïse et Aron, tu conviendras que les amours de Waldemar et Tove sont une mélodieuse bluette qu'on pourrait presque diffuser en musique d'ascenseur...

Euh Moise ... je tente même pas ... quand je vois que Xavier a du mal ... moi laisse tomber

Commence par la version filmée par les straub…

Les yeux qui fascinent a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac pk taper sur les Gurre

Ah quand on blesse l'affect...
Rassure-toi, je ne dénigre pas les GL que j'aime beaucoup. Ma première version en CD fut celle de Chailly, que je place toujours très haut, notamment pour le Ramier de Fassbaender, et la prestation des choeurs.

Mais comparées à Moïse et Aron, tu conviendras que les amours de Waldemar et Tove sont une mélodieuse bluette qu'on pourrait presque diffuser en musique d'ascenseur...

Euh Moise ... je tente même pas ... quand je vois que Xavier a du mal ... moi laisse tomber

Commence par la version filmée par les straub…

c'est un vrai bon conseil je trouve

Oui, c'est un excellent film (et en plus l'image peut plus facilement faire passer la pilule).

(en fait c'est une private joke avec Parsifal ).

______________________________

Xenakis, ST 10

Les yeux qui fascinent a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac pk taper sur les Gurre

Ah quand on blesse l'affect...
Rassure-toi, je ne dénigre pas les GL que j'aime beaucoup. Ma première version en CD fut celle de Chailly, que je place toujours très haut, notamment pour le Ramier de Fassbaender, et la prestation des choeurs.

Mais comparées à Moïse et Aron, tu conviendras que les amours de Waldemar et Tove sont une mélodieuse bluette qu'on pourrait presque diffuser en musique d'ascenseur...

Euh Moise ... je tente même pas ... quand je vois que Xavier a du mal ... moi laisse tomber

Commence par la version filmée par les straub…

Et en plus c'est Gielen qui est à la direction.

Mais franchement Cololi, essaie le DVD Decker la mise en scène est si vivante et animée que tu seras complètement pris.


Sinon ici:
Chostakovitch:Lady Macbeth Acte 1 (DVD Jansons)

Les yeux qui fascinent a écrit:

Oui, c'est un excellent film (et en plus l'image peut plus facilement faire passer la pilule).

(en fait c'est une private joke avec Parsifal ).

du peu que j'ai vu de ce film, je crois bien que c'est ce qu'il y a de plus regardable chez eux
(pour le coup ça a l'air de plutôt bien fonctionner avec la musique, et contrairement a la petite chronique d'Anna Magdalenna Bach l'image apporte vraiment quelques chose)

Je ne viens pas trop ici, mais nouvelle découverte qui m'a fichu par terre : les Symphonies 40 et 41 de Mozart par Mackerras. Je ne connaissais pas et c'est prodigieux. le finale de la Jupiter est une orgie, que dis-je, un orgasme. Jamais entendu cette musique comme ça, merci à ceux qui me l'ont fait connaître ! Je m'endormirai moins ignare, tout à l'heure.

Zeno a écrit:

Stravinski est un colosse. J'aime assez peu sa période néo-classique, mais que de chefs-d'oeuvre tout autour !

Oui, d'ailleurs Agon en est un.

Zappa a pas mal puisé dedans.


Ici:
Ravel:Daphnis et Chloé (Martinon)

arnaud bellemontagne a écrit:

Zeno a écrit:

Stravinski est un colosse. J'aime assez peu sa période néo-classique, mais que de chefs-d'oeuvre tout autour !

Oui, d'ailleurs Agon en est un.

Zappa a pas mal puisé dedans.

Je suis d'accord. Et je suis un admirateur de Zappa.

Mélomaniac a écrit:

kegue a écrit:

Roussel : Symphonies 1 et 2
J'ai encore un peu de mal avec la deuxième mais je pense en venir à bout un jour. Il y a toujours quelque chose qui m'attire dans cette musique subtile.

Tu indiques rarement les interprétations que tu choisis... C'est honteux ou on est trop curieux ?

En l'occurrence : Denève, Janowski, Eschenbach... ?

Si cela peut t'intéresser, il s'agit de l'ONF dirigé par Charles Dutoit. Je mets très rarement les interprétations, effectivement C'est surtout l'oeuvre qui m'intéresse en fait.

Vierne : Symphonie pour orgue n°2
Schumann : Dichterliebe (DFD / Demus)

Mélomaniac a écrit:

Mais ce coffret rassemble quelques autres intéressantes interprétations : la 4° de Sibelius, la Fantastique (noire et désespérée), la Titan de Mahler...

... que j'ai toutes en version séparée . Ce n'est pas seulement intéressant, c'est souvent fabuleux !

Zeno a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Zeno a écrit:

Stravinski est un colosse. J'aime assez peu sa période néo-classique, mais que de chefs-d'oeuvre tout autour !

Oui, d'ailleurs Agon en est un.

Zappa a pas mal puisé dedans.

Je suis d'accord. Et je suis un admirateur de Zappa.

Dans mes bras!!!

Cololi a écrit:

Vierne : Symphonie pour orgue n°2
Schumann : Dichterliebe (DFD / Demus)

Ô mais qu'il a du goût ce Cololi !

Et par qui la Symphonie pour orgue ?

Horatio a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Mais ce coffret rassemble quelques autres intéressantes interprétations : la 4° de Sibelius, la Fantastique (noire et désespérée), la Titan de Mahler...

... que j'ai toutes en version séparée . Ce n'est pas seulement intéressant, c'est souvent fabuleux !

Oui un grand chef. Dans le coffret, on trouve aussi une étrange lecture de la Symphonie n°1 de Chosta, presque intériorisée, et une étourdissante version des Tableaux d'une Exposition...

kegue a écrit:

Si cela peut t'intéresser, il s'agit de l'ONF dirigé par Charles Dutoit. Je mets très rarement les interprétations, effectivement C'est surtout l'oeuvre qui m'intéresse en fait.

Eh eh ici on veut tout savoir...

Dutoit, jamais entendu. Bon, soit, les deux premières symphonies ne sont pas mes préférées...

Zeno a écrit:

Je ne viens pas trop ici, mais nouvelle découverte qui m'a fichu par terre : les Symphonies 40 et 41 de Mozart par Mackerras.

Lesquelles maître Zeno ? Scottish Chamber orchestra, ou celui de Prague ?

Je viens de réécouter son précédent enregistrement de la 40° avec le London Philharmonic (emi, avril 1975) : finement galbé, nerveux, mais ça reste assez conventionnel, hormis que Mackerras soit un des rares chefs à pratiquer la reprise de la réexposition dans le Finale. Toutefois, pas de quoi grimper au lustre.

Je peux aussi modestement te conseiller ses Haydn avec l'orchestre de Saint Luke (Telarc), plus entreprenantes.

Sur ma platine ce soir : Mozart.
Symphonies n° 29, 38, 39 par Klemperer et le New Philharmonia (emi). Ah cette merveilleuse interprétation de la 29° qui réconcilie la transparence et la sensualité ! Le vieil Otto n'était pas encore bon pour la casse. Un travail d'orfèvre.
Pourquoi ce disque ?
Suis un peu patraque depuis quelques jours, un gros rhume. Quand on est malade, on revient toujours dans les jupes de maman...

Mackerras, c'est avec Prague.
Jamais entendu mieux (je connais pas mal de versions quand même).

Pourquoi étais-je passé à côté de ça, mystère...

Zeno a écrit:

Pourquoi étais-je passé à côté de ça, mystère...

Oh, si l'on devait dresser la liste paradoxale de tous ces trésors qui nous sont cachés...

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac pk taper sur les Gurre

Ah quand on blesse l'affect...
Rassure-toi, je ne dénigre pas les GL que j'aime beaucoup. Ma première version en CD fut celle de Chailly, que je place toujours très haut, notamment pour le Ramier de Fassbaender, et la prestation des choeurs.

Mais comparées à Moïse et Aron, tu conviendras que les amours de Waldemar et Tove sont une mélodieuse bluette qu'on pourrait presque diffuser en musique d'ascenseur...

Euh Moise ... je tente même pas ... quand je vois que Xavier a du mal ... moi laisse tomber

C'est pas forcément un critère ça quand même.
Ca coûte rien d'essayer! (oui je sais, du temps... m'enfin quand même, Schoenberg c'est pas un charlot, on peut prendre la peine d'écouter sa musique )

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Vierne : Symphonie pour orgue n°2
Schumann : Dichterliebe (DFD / Demus)

Ô mais qu'il a du goût ce Cololi !

Et par qui la Symphonie pour orgue ?

C'est sur le net, mais avec un son que je retrouve pas au CD.
Le pb des symphonies de Vierne c'est la prise de son. J'ai une version les 24 pièces de fantaisie avec un très bon son, mais les symphonies j'ai pas trouvé

Quand au Schumann c'est une géniale découverte. Clairement un continuateur de Schubert (dans le bon sens du terme).

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac pk taper sur les Gurre

Ah quand on blesse l'affect...
Rassure-toi, je ne dénigre pas les GL que j'aime beaucoup. Ma première version en CD fut celle de Chailly, que je place toujours très haut, notamment pour le Ramier de Fassbaender, et la prestation des choeurs.

Mais comparées à Moïse et Aron, tu conviendras que les amours de Waldemar et Tove sont une mélodieuse bluette qu'on pourrait presque diffuser en musique d'ascenseur...

Euh Moise ... je tente même pas ... quand je vois que Xavier a du mal ... moi laisse tomber

C'est pas forcément un critère ça quand même.
Ca coûte rien d'essayer! (oui je sais, du temps... m'enfin quand même, Schoenberg c'est pas un charlot, on peut prendre la peine d'écouter sa musique )

Pour l'avoir essayé récemment avec pas mal d'appréhension, j'ai vraiment été surpris en bien par ce Moses und Aron ; loin de la sécheresse dodécaphoniste que je redoutais, l'œuvre développe de multiples ambiances, les personnages sont magnifiquement contrastés et, pour rappeler ce que disais si justement l'un des membres de ce forum, l'art de Schoenberg camoufle les contraintes techniques qu'il s'impose derrière une expressivité véritable.

Horatio a écrit:

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Cololi a écrit:

Mélomaniac pk taper sur les Gurre

Ah quand on blesse l'affect...
Rassure-toi, je ne dénigre pas les GL que j'aime beaucoup. Ma première version en CD fut celle de Chailly, que je place toujours très haut, notamment pour le Ramier de Fassbaender, et la prestation des choeurs.

Mais comparées à Moïse et Aron, tu conviendras que les amours de Waldemar et Tove sont une mélodieuse bluette qu'on pourrait presque diffuser en musique d'ascenseur...

Euh Moise ... je tente même pas ... quand je vois que Xavier a du mal ... moi laisse tomber

C'est pas forcément un critère ça quand même.
Ca coûte rien d'essayer! (oui je sais, du temps... m'enfin quand même, Schoenberg c'est pas un charlot, on peut prendre la peine d'écouter sa musique )

Pour l'avoir essayé récemment avec pas mal d'appréhension, j'ai vraiment été surpris en bien par ce Moses und Aron ; loin de la sécheresse dodécaphoniste que je redoutais, l'œuvre développe de multiples ambiances, les personnages sont magnifiquement contrastés et, pour rappeler ce que disais si justement l'un des membres de ce forum, l'art de Schoenberg camoufle les contraintes techniques qu'il s'impose derrière une expressivité véritable.

Je suis en train de le réécouter, et par Kegel en plus (je l'ai d'ailleurs, ce fameux coffret 15 CD). J'adore, pour moi ça coule tout seul.

Bartok, Le Château de Barbe bleue. Marton, Ramey, Adam Fischer

Mariefran a écrit:

Bartok, Le Château de Barbe bleue. Minton, Ramey, Adam Fischer

Minton ou Marton ?

Marton, me suis gourée… C'est le matin, j'ai toujours du mal

Ah faut dire que c'est quelque chose cette version!

Natalie Dessay : Mozart Heroines (Louis Langrée : La flûte enchantée, Lucio Silla, Zaide, Ascanio in Alba, L’Enlèvement au Sérail, Idomeneo)
Vraiment super ce récital!

Cherubini : Médée, extraits (Georges Prêtre, 1961 : Rita Gorr, Andrée Esposito, Guy Chauvet, René Bianco)
En fait, c'est chouette que Callas ait annulé sa participation à Médée à Paris... ça permet de connaître Rita Gorr dans le rôle... c'est assez impressionnant comme elle se lance là-dedans sa s'économiser (pourtant les aigus, faut aller les chercher pour elle! )

Les introuvables du chant mozartien : le Cd consacré aux Nozze.

Brahms et Tchaikovsky, Concertos pour violon. Erica Morini, Royal Philarmonic Orchestra, Artur Rodzinski

Mozart, Symphonies 40 et 41. Exultate jubilate. Janine Micheau, Ansermet années 40

Beethoven:Symphonie n°2 (Bernstein)

Bien ennuyeux ce Larghetto...vraiment pas la musique qui me remue.

Moussorgsky : Une Nuit sur le Mont Chauve, made by Stokowsky

C'est quoi cette blague ... Rarement entendu une interprétation plus vulgaire .

Horatio a écrit:

Moussorgsky : Une Nuit sur le Mont Chauve, made by Stokowsky
C'est quoi cette blague ... Rarement entendu une interprétation plus vulgaire .

Humm, quelle interprétation Horatio ?

En incluant celle pour Fantasia en avril 1939, première de sa discographie, Stokowski enregistra cette oeuvre non moins de quatre fois. Auxquelles s'ajoutent deux live : captés avec le LSO le 17 septembre 1964, et avec le Royal Philharmonic le 15 juin 1969.

Roussel : Symphonie 3 (Dutoit / ONF). Une oeuvre plus facile d'accès que la deuxième, mais peut être moins fascinante (quoi que très sympa quand même). On retrouve néanmoins dans l'orchestration, dans plans utilisés par Martinu (ce qui se comprend aisément, vu qu'il a été son élève).

Du coup, j'enchaîne avec la quatrième

Ligeti-Quatuor à cordes n°2 (Quatuor Arditti).

Sibelius:Symphonie n°7 (Ormandy)

Ce compositeur a vraiment un univers fascinant qui n'appartient qu'a lui.

Mélomaniac a écrit:

Horatio a écrit:

Moussorgsky : Une Nuit sur le Mont Chauve, made by Stokowsky
C'est quoi cette blague ... Rarement entendu une interprétation plus vulgaire .

Humm, quelle interprétation Horatio ?

En incluant celle pour Fantasia en avril 1939, première de sa discographie, Stokowski enregistra cette oeuvre non moins de quatre fois. Auxquelles s'ajoutent deux live : captés avec le LSO le 17 septembre 1964, et avec le Royal Philharmonic le 15 juin 1969.

Ce doit être le live avec le LSO (je l'ai écoutée sur YT) : la qualité technique de l'orchestre est trop honteuse honteuse pour être une bande sonore où un studio.
En quant à l'orchestration maison de Stokowsky ... Les cuivres braillards qui doublent tout, les percussions, les effets m'as-tu-vu, beaucoup trop pour moi . Un véritable massacre.

Stabat Mater; Dvorak - Talich

C'est en train de devenir une de mes oeuvres préférées de Dvorak.

Ben. a écrit:

Stabat Mater; Dvorak - Talich

C'est en train de devenir une de mes oeuvres préférées de Dvorak.

Oui j'aime bien. Les premières secondes sont sublimes. Je vais le réécouter.

Horatio a écrit:

Ce doit être le live avec le LSO (je l'ai écoutée sur YT) : la qualité technique de l'orchestre est trop honteuse honteuse pour être une bande sonore où un studio.
En quant à l'orchestration maison de Stokowsky ... Les cuivres braillards qui doublent tout, les percussions, les effets m'as-tu-vu, beaucoup trop pour moi . Un véritable massacre.

J'aime bien ce maestro capable du meilleur comme du pire mais qui me laisse rarement indifférent. Dommage qu'il cédait à la manie du tripatouillage : ses rajouts et modifications sont la plupart du temps au mieux inutiles, au pire mutilants...

Florentz : La Croix du Sud (Burlak)
Pierné : Prélude op 29 n°1 (Burlak)
Franck : Choral n°3 (Burlak)