Playlist (60)

kegue a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Zeno a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven:Symphonie n°9 (Bernstein)

C'est marrant comme l'intro ouvre la voie au début de la première de Mahler, au début du Vaisseau Fantôme ou au début de l'Or du Rhin.

C'est dû aux quintes.

Tu connais d'autres oeuvres qui commencent par des quintes à vide ?

Surtout que ce sont des quartes

'spece de pédant.

Honegger

Le Dit des Jeux du Monde (1918)/Didier Bouture and Harmonia Nova Orchestral Ensemble

Wouaho ! Certains passages semblent être apparentés avec La Nuit Transfigurée de Schoenberg !

Beethoven ~ Symphonie n°9 (Schuricht/Orchestre de la société des concerts du conservatoire, Paris)

Ce premier mouvement d'anthologie !

arnaud bellemontagne a écrit:

kegue a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Zeno a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven:Symphonie n°9 (Bernstein)

C'est marrant comme l'intro ouvre la voie au début de la première de Mahler, au début du Vaisseau Fantôme ou au début de l'Or du Rhin.

C'est dû aux quintes.

Tu connais d'autres oeuvres qui commencent par des quintes à vide ?

Surtout que ce sont des quartes

'spece de pédant.

Mais si tu veux d' la bonn' quinte d'entrée d'jeu, va donc écouter un peu de médieval (les carmina burana, par exemple).

Spoiler:

Penderecki : Quatrième Symphonie
C'est une première réelle écoute (et pas toujours attentive, je l'avoue) et j'ai l'impression de réentendre la Deuxième. La découpe en section est la même et la forme générale apparemment aussi. Il me semble avoir aussi repéré des similitudes sur le plan mélodique.
Il y a effectivement des passages qui m'ont accrochés, notamment les passages sur des notes tenues. Mais l'ensemble de l'oeuvre ne m'a pas plus intepellé que la Deuxième.

kegue a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Zeno a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven:Symphonie n°9 (Bernstein)
C'est marrant comme l'intro ouvre la voie au début de la première de Mahler, au début du Vaisseau Fantôme ou au début de l'Or du Rhin.

C'est dû aux quintes.

Tu connais d'autres oeuvres qui commencent par des quintes à vide ?

Surtout que ce sont des quartes

Je n'avais pris aucun risque en citant le début de la Symphonie n°3 d'Elgar : c'est un tuilage de quartes et quintes...

On ne peut donc jamais débattre à deux sur ce forum sans l'intervention d'une tierce personne !

Honegger

Amphion, ballet-mélodrame H. 71
L'Impératrice aux Rochers H. 60 (Suite de la musique de scène)/Jean-François Antonioli

Charles Ives - Sonate pour violon et piano n4 - Hahn/Lisitsa


Mozart - Concerto pour violon "Adélaïde"


Antoine de Févin - Requiem - Organum

Chostakovitch:Symphonie n°11 (Haitink)

Belle version de cette superbe symphonie.

Je prefere malgré tout l'approche plus brute d'un Kondrachine (l'allegro martial du 9 Janvier ).

Eh ben, je commence à trouver des perles rares !

Honegger

Semiramis
Largo pour orchestre à cordes
Interlude de "La Mort de Saint Alméenne"
Vivace
Fantasio
Suite de "La Tempête"
La Rédemption de François Villon (je vois le lapsus )
Allegretto
Blues de "Roses Métal"/Leopold Hager, Orchestre Symphonique de RTL

En fait, ce sont toutes des pièces non-publiées de son vivant (si j'ai bien compris la notice...).

Oskar Strauss, Die lustigen Nibelungen. Köhler
Je l'ai acheté pour le titre, bien sûr. C'est une opérette dont l'histoire a l'air bien marrante… Pas de livret Siegmund qui place le trésor des Nibelungen à la banque à 6%, qui se sert de sa cape magique comme d'un bonnet de nuit, qui a une feuille de tilleul cachée posée sur lui lors de son bain dans le sang du dragon, qui vante la cupidité. Livret assez sulfureux, à tel point que l'opérette a été longtemps interdite en Allemagne… Bon, sans livret, ne reste qu'une musique d'opérette…

Wagner : Das Rheingold (Joseph Keilberth, 1952, Orchester der Bayreuther Festspiele : Hermann Uhde, Gustav Neidlinger, Erich Witte, Paul Kuen, Ira Malaniuk, Melanie Bugarinovic, Werner Faulhaber, Josef Greindl, Ludwig Weber, Hanna Ludwig, Inge Borkh, Hertha Töpper, Erika Zimmermann)

Fallait vraiment avoir un nom qui commençait par un K pour diriger à bayreuth à l'époque (Kna, Karajan, Kraus, Keilberth...)

Tu oublies Kempe en 1960. Et à part ça, cette version (52) est formidable !

Golisande a écrit:

Tu oublies Kempe en 1960. Et à part ça, cette version (52) est formidable !

Ah oui!
En effet, ça commence bien. Uhde en Wotan, c'est super... et j'ai hâte de découvrir la suite (l'Or du Rhin, je l'avais écouté tout seul il y a quelques années...)

Messiaen, La Mort du nombre, que je ne connaissais absolument pas...

Et puis du coup, dans la foulée du disque, je me refais le Quatuor pour la fin du temps. Ah la la, Messiaen et ses zoziaux quand même...

LULLY : Amadis

schönberg : oeuvres pour piano ; pollini

808 a écrit:

schönberg : oeuvres pour piano ; pollini

ach, la suite op 25 !

mozart : 6 premières sonates pour piano (gould)

Strauss, Elektra. Mödl, Konetzni, Mitropoulos

Rameau - Suites d'Acante et Céphise & des Fêtes d'Hébé - Orchestre du XVIIIème siècle / Frans Brüggen

Pachelbel, J.C. Bach, J.M. Bach - Motets - Cantus Cölln / Konrad Junghänel

Brahms - Variations op.18 - Krystian Zimerman
/watch?v=ecrxw5ICIpw
C'est un studio jamais publié.

Scriabine - Préludes et poèmes - Gábor Csalog

Bernstein:Symphonie n°3 "Kaddish"(Himself)

J'ai du mal.
Trop de recitatif.

Bizet:Symphonie en ut(Bernstein)

Découverte absolue.

Une seconde, je réfléchis...

Zeno a écrit:

Une seconde, je réfléchis...

MAGISTRAL !

Pour en revenir aux quintes, je ne sais plus quelle(s) symphonie(s) de Bruckner commencent par des quintes à vide. D'une manière générale, il en use et en abuse, le père Anton.

Mélomaniac a écrit:

Zeno a écrit:

Une seconde, je réfléchis...

MAGISTRAL !

Tu veux dire que tu es proche du septième Ciel ? Eh bien, tu salueras le Pape Sixte V de ma part.

Il paraît que son frère s'appelait Octave.

Et n'oublie pas d'écouter la Neuvième !

Honegger

Un revenant H. 188
Tête d'Or H. 199
Regain H. 117
Napoléon H. 64/Jeune Orchestre Symphonique de Douai/cond. Henri Vachey

A ECOUTER CE SOIR :

Max Bruch (1838-1920) : Symphonie n°3 en mi majeur / Kurt Masur, Gewandhausorchester Leipzig (Philips)

Richard Wagner (1813-1883) : Symphonie en ut majeur / Ari Rasilainen, Orchestre de la Radio norvégienne (Finlandia)

Carl Nielsen (1865-1931) : Symphonie n°5 Op.50 / Thomas Jensen, Orchestre symphonique de la Radio d'Etat danoise (Decca)

Polyeucte a écrit:

Wagner : Das Rheingold (Joseph Keilberth, 1952, Orchester der Bayreuther Festspiele : Hermann Uhde, Gustav Neidlinger, Erich Witte, Paul Kuen, Ira Malaniuk, Melanie Bugarinovic, Werner Faulhaber, Josef Greindl, Ludwig Weber, Hanna Ludwig, Inge Borkh, Hertha Töpper, Erika Zimmermann)

Fallait vraiment avoir un nom qui commençait par un K pour diriger à bayreuth à l'époque (Kna, Karajan, Kraus, Keilberth...)

Tu oublies aussi Kluyten, von Katacic, Kochum, Koulez et Köhm.

Kexcellent mon kapin !

Prokofiev : Cinderella - Acte 1 (Prévin)
Haendel : Ariodante - Acte 3 (Curtis / Di Donato / Gauvin / Lemieux)

Un compositeur dont j'entends le nom pour la première fois:

Marc Blitzstein:The Airborne Symphony (Bernstein)


EDIT:C'est très américain dans le style(grands espaces, ligne de crête populaire/savant et vocalité allante) et je dois dire que j'aime beaucoup!!!

Berg : Suite lyrique (Lasalle)

Au bout de quelques écoutes, je commence à trouver ça assez génial.

Nielsen : Deuxième Symphonie. Une oeuvre que je commence réellement à préférer à la Première.

Beethoven, Symphonies 1 à 3, 7 et 9. Schuricht

Scriabine - Sonates n°1 à n°3 - Zhukov I

Hindemith - Concerto pour clarinette - George Pieterson / Koninklijk Concertgebouworkest / Kirill Kondrachine

Britten - Quatuor n°1 - Britten Quartet

Beethoven - Quatuor op.135 - Yale Quartet (2 fois)

Sonate pour piano et violoncelle; Chopin - Andsnes, Mørk
Stücke im Volkston; Schumann - Andsnes, Mørk
Sur un chemin broussailleux; Janacek - Mishory

alexandre. a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Schubert: Impromptus D.899 (Uchida)
Des duretés...

J'ai été étonné par Uchida en salle, c'est mieux qu'en disque globalement, je pense les prises de son Philips/Decca ne sont que rarement représentatives des pianistes qu'elles captent. Ce n'est certes pas du très grand piano, mais rien de réellement rédhibitoire.

Oui, même dans ces Impromptus ce n'est pas rédhibitoires, mais dès qu'elle va chercher des nuances forte, elle fait claquer le piano. Un peu comme ici: /watch?v=IPW_w68fTHA

Percy Bysshe a écrit:

alexandre. a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Schubert: Impromptus D.899 (Uchida)
Des duretés...

J'ai été étonné par Uchida en salle, c'est mieux qu'en disque globalement, je pense les prises de son Philips/Decca ne sont que rarement représentatives des pianistes qu'elles captent. Ce n'est certes pas du très grand piano, mais rien de réellement rédhibitoire.

Oui, même dans ces Impromptus ce n'est pas rédhibitoires, mais dès qu'elle va chercher des nuances forte, elle fait claquer le piano. Un peu comme ici: /watch?v=IPW_w68fTHA

Peut-être un problème de poids, les pianistes légers ont souvent des duretés dans l'aigu.

alexandre. a écrit:

Peut-être un problème de poids, les pianistes légers ont souvent des duretés dans l'aigu.

Sans parler de ces pianistes trop petits qui voient mal le bout du clavier et ont le bras droit trop court pour atteindre proprement les notes élevées...

Au fait, sans transition, y a pas un fil bétisier ou petites perles sur ce forum ?

Tomasi: Le Triomphe de Jeanne

Mélomaniac a écrit:

alexandre. a écrit:

Peut-être un problème de poids, les pianistes légers ont souvent des duretés dans l'aigu.

Sans parler de ces pianistes trop petits qui voient mal le bout du clavier et ont le bras droit trop court pour atteindre les notes élevées...

Au fait, sans transition, y a pas un fil bétisier ou petites perles sur ce forum ?

Ce n'était pas une blague

Cololi a écrit:

Prokofiev : Cinderella - Acte 1 (Prévin)
Haendel : Ariodante - Acte 3 (Curtis / Di Donato / Gauvin / Lemieux)

******************************************************
RAPPEL :
Sujet: Re: Playlist (60) Sam 20 Oct 2012 - 20:46

Prokofiev : Cinderella - Acte 1 (Prévin)
Haendel : Ariodante - Acte 2 (Curtis)
******************************************************

=> euh, tu est accro à l'Acte I de Cendrillon ou tu n'arrives pas à passer à l'Acte II ?

Fallait choisir l'interprétation d'Ashkenazy à Cleveland, c'est plus enthousiasmant...

alexandre. a écrit:

Ce n'était pas une blague

Oh non. D'ailleurs je n'ai même pas ri en lisant ta phrase...

Mélomaniac a écrit:

alexandre. a écrit:

Ce n'était pas une blague

Oh non. D'ailleurs je n'ai même pas ri en lisant ta phrase...

A part une formulation quelque peu maladroite, qu'est-ce qui pouvait porter à rire ?

alexandre. a écrit:

Mélomaniac a écrit:

alexandre. a écrit:

Ce n'était pas une blague

Oh non. D'ailleurs je n'ai même pas ri en lisant ta phrase...

A part une formulation quelque peu maladroite, qu'est-ce qui pouvait porter à rire ?

Oh, mais c'est très sérieux et je veux même en savoir davantage :

Pour ne pas être hors-sujet, j'ai donc relayé cette interrogation dans la question musicale du jour (clic)

Ecouté ce soir :

Max Bruch (1838-1920) : Symphonie n°3 en mi majeur
= Kurt Masur, Gewandhausorchester Leipzig (Philips, avril 1988)
=> Troisième d'un corpus qui s'établit entre Brahms et Bruckner , sinon en intérêt, en esthétique, du moins dans l'ordre alphabétique
Je n'ai jamais vraiment été passionné par ces symphonies du compositeur de la Fantaisie Ecossaise.

Richard Wagner (1813-1883) : Symphonie en ut majeur
= Ari Rasilainen, Orchestre de la Radio norvégienne (Finlandia, septembre 1997)
=> Toutes catégories confondues, mon oeuvre préférée du grand dramaturge de Bayreuth...
Excellente interprétation, superbement captée.

Carl Nielsen (1865-1931) : Symphonie n°5 Op.50
= Thomas Jensen, Orchestre symphonique de la Radio d'Etat danoise (Decca, avril 1954)
=> Interprétation insidieuse, lyrique, intériorisée, à tel point qu'on pourrait imaginer tension plus ostensible dans le I.

Carl Nielsen (1865-1931) : Symphonie n°1 Op.50
= Thomas Jensen, Orchestre symphonique de la Radio d'Etat danoise (Decca, juillet 1952)
=> Interprétation drue, tonique et savoureuse de cette oeuvre de jeunesse. J'adore !

NB : Les Nielsen sont réédités dans cet album de la collection Eloquence :

Spoiler:

Mélomaniac a écrit:

[size=13]Richard Wagner (1813-1883) : Symphonie en ut majeur
= Ari Rasilainen, Orchestre de la Radio norvégienne (Finlandia, septembre 1997)
=> Toutes catégories confondues, mon oeuvre préférée du grand dramaturge de Bayreuth...
Excellente interprétation, superbement captée.

L'heure tardive n'excuse pas tout : pourquoi postes-tu une telle chose ? La symphonie de Wagner est à ses drames ce que les opéras de Brahms sont à ses symphonies.

Je sais, Brahms n'a composé aucun opéra.
CQFD.