Playlist (72)

Salut à toi, Ben !  

Cololi a écrit:

Armand a écrit:

Cololi a écrit:

Toujours est il que j'avais découvert Poulenc il y a quelques années avec ses concertos, forts sympathiques ... mais depuis ... je préfère très largement ce que j'estime le "vrai"/"meilleur" Poulenc, à savoir les méllodies, les Dialogues, le Stabat Mater (je n'ai pas encore écouté ses autres oeuvres lyriques, mais ça viendra).

Tu as essayé sa musique de chambre ?

Ah non ! Il a laissé de belles choses ?

Un immense corpus, des sonates pour tous les instruments... voir sujet Poulenc.  

Poulenc: L'Invitation au château/Le Sage, etc...

   

Brahms, Variations Haendel, Quatuor avec piano n°2. Maria Yudina, Beethoven Quartet. Ce disque est tout simplement miraculeux…  

Cololi, il y a quand même la sonate pour flûte et celle pour clarinette qui sont importantes... et personnellement j'aime beaucoup la très courte sonate (en fait un duo) pour clarinette et basson.

Xavier a écrit:

aurele a écrit:

Je suppose que Gergiev choisira Stemme pour le reste de son Ring. Elle est considérée actuellement comme la meilleure Brünnhilde que l'on puisse entendre et voir sur la scène internationale.

Personnellement je préfère Théorin et Foster. (c'est cette dernière qui chante le rôle à Bayreuth cette année)

J'ajouterais Herlitzius, Voigt, Dalayman, Gasteen (pas pour le Crépuscule cela dit), Watson et sans doute quelques autres...

Stemme n'est pas très passionnante, et puis la voix s'est beaucoup ternie en s'élargissant (et surtout avec le rythme de fonctionnement de l'instrument), il n'y a plus cette incisivité très forte des attaques, c'est plus un hululement (très maîtrisé). Et le timbre devient de plus en plus anonyme (alors qu'il était lumineux en retransmission, et "dramatique" en salle).

Voigt ? Par rapport à Stemme, c'est carrément en-dessous.

aurele a écrit:

Voigt ? Par rapport à Stemme, c'est carrément en-dessous.

Non.

Avec ça, on est bien avancés.

Techniquement, ça peut se discuter (Stemme est en tout cas plus assurée, c'est certain), mais d'un point de vue expressif, Stemme est totalement homogène (quasiment sans consonnes, voyelles mal différenciées, peu d'angles) alors que Voigt propose beaucoup de relief et de couleurs.

Autant Voigt m'ennuyait profondément pendant ses heures de gloire (sa Chrysothemis chez Sinopoli, par exemple !), autant depuis qu'elle est supposément sur le déclin, elle fait merveille dans les grands rôles dramatiques germaniques (pas dans Verdi en revanche ).

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi, il y a quand même la sonate pour flûte et celle pour clarinette qui sont importantes... et personnellement j'aime beaucoup la très courte sonate (en fait un duo) pour clarinette et basson.

Ok. Du coup j'ai vu les horreurs que as dites sur Poulenc en lisant le fil général !  

La Brünnhilde de Voigt dans Die Walküre ne m'a absolument pas touchée. Celle de Stemme, pas vraiment non plus mais au niveau du timbre et de la solidité vocale, c'est autre chose. Je n'ai pas vraiment entendu Voigt dans Götterdämmerung, un peu dans l'Immolation cependant.

Je viens d'écouter le Prologue et l'Acte I du Götterdämmerung des Proms diffusé hier.

Il me restera à écouter l'Acte II dont je n'ai entendu que la fin et j'aurai tout entendu.

J'en toucherai quelques mots dans le topic consacré à Stemme certainement ou dans celui consacré à Barenboim.

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi, il y a quand même la sonate pour flûte et celle pour clarinette qui sont importantes... et personnellement j'aime beaucoup la très courte sonate (en fait un duo) pour clarinette et basson.

Ok. Du coup j'ai vu les horreurs que as dites sur Poulenc en lisant le fil général !  

Ah bon, qu'est-ce que j'ai dit ? A priori rien de méchant, j'adore certaines oeuvres, j'en aime bien la plupart... mais lorsqu'on dit que c'est un génie de la prosodie, je me permets de rigoler tout haut, c'est vrai.

aurele a écrit:

La Brünnhilde de Voigt dans Die Walküre ne m'a absolument pas touchée.

Je ne l'ai écoutée que dans le Crépuscule. Il est possible que dans le rôle plus confortable de Walküre, elle ait moins d'intérêt (à l'inverse de Gasteen, qui est formidable dans Walküre, mais parfois un peu dure à écouter dans le Crépuscule).

Citation :

Je viens d'écouter le Prologue et l'Acte I du Götterdämmerung des Proms diffusé hier.

Je précise que ce n'est pas la version des Proms que j'écoutais (même si je doute de trouver un jour de l'intérêt aux Brünnhilde de Stemme, beaucoup trop loin de mes appétences).

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi, il y a quand même la sonate pour flûte et celle pour clarinette qui sont importantes... et personnellement j'aime beaucoup la très courte sonate (en fait un duo) pour clarinette et basson.

Ok. Du coup j'ai vu les horreurs que as dites sur Poulenc en lisant le fil général !  

Ah bon, qu'est-ce que j'ai dit ?  A priori rien de méchant, j'adore certaines oeuvres, j'en aime bien la plupart... mais lorsqu'on dit que c'est un génie de la prosodie, je me permets de rigoler tout haut, c'est vrai.

Du genre : "Les Dialogues, vraiment pas terrible, c'est la grisaille" !
On va dire que c'était une erreur de jeunesse !

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

aurele a écrit:

Je suppose que Gergiev choisira Stemme pour le reste de son Ring. Elle est considérée actuellement comme la meilleure Brünnhilde que l'on puisse entendre et voir sur la scène internationale.

Personnellement je préfère Théorin et Foster. (c'est cette dernière qui chante le rôle à Bayreuth cette année)

J'ajouterais Herlitzius, Voigt, Dalayman, Gasteen (pas pour le Crépuscule cela dit), Watson et sans doute quelques autres...

Stemme n'est pas très passionnante, et puis la voix s'est beaucoup ternie en s'élargissant (et surtout avec le rythme de fonctionnement de l'instrument), il n'y a plus cette incisivité très forte des attaques, c'est plus un hululement (très maîtrisé). Et le timbre devient de plus en plus anonyme (alors qu'il était lumineux en retransmission, et "dramatique" en salle).

Je vois qu'on est complètement d'accord sur Stemme... impressionnant en salle, mais sinon, c'est à la limite de l'ennui.
Une sorte de Nilsson en un peu mieux, j'ai l'impression de voir la partition défiler de façon quasi parfaite, tout est maîtrisé, homogène... mais ça ne frémit pas beaucoup.
Je n'ai écouté qu'une petite heure de la Walkyrie de Bayreuth hier avec Foster au II, mais déjà cette lumière, cette tendresse... tout cela je ne le trouve jamais chez Stemme.
Pour les autres que tu cites, Watson oui de peu, Voigt j'aime vraiment pas beaucoup, les autres je ne les ai pas entendues dans les 3 Brünnhilde, mais a priori je serais de ton avis.
Peut-être que Stemme est quand même chouette dans le Crépuscule, parce qu'il faut beaucoup de solidité, de puissance et d'endurance.

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi, il y a quand même la sonate pour flûte et celle pour clarinette qui sont importantes... et personnellement j'aime beaucoup la très courte sonate (en fait un duo) pour clarinette et basson.

Ok. Du coup j'ai vu les horreurs que as dites sur Poulenc en lisant le fil général !  

Ah bon, qu'est-ce que j'ai dit ?  A priori rien de méchant, j'adore certaines oeuvres, j'en aime bien la plupart... mais lorsqu'on dit que c'est un génie de la prosodie, je me permets de rigoler tout haut, c'est vrai.

Du genre : "Les Dialogues, vraiment pas terrible, c'est la grisaille" !
On va dire que c'était une erreur de jeunesse !

Oui, j'ai grandement changé d'avis sur les Dialogues. Pas sur le détail : c'est gris, et la prosodie n'a jamais été le point fort de Poulenc ; mais sur l'effet d'ensemble, oui, je me suis rangé parmi les enthousiastes.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi, il y a quand même la sonate pour flûte et celle pour clarinette qui sont importantes... et personnellement j'aime beaucoup la très courte sonate (en fait un duo) pour clarinette et basson.

Ok. Du coup j'ai vu les horreurs que as dites sur Poulenc en lisant le fil général !  

Ah bon, qu'est-ce que j'ai dit ?  A priori rien de méchant, j'adore certaines oeuvres, j'en aime bien la plupart... mais lorsqu'on dit que c'est un génie de la prosodie, je me permets de rigoler tout haut, c'est vrai.

Du genre : "Les Dialogues, vraiment pas terrible, c'est la grisaille" !
On va dire que c'était une erreur de jeunesse !

Oui, j'ai grandement changé d'avis sur les Dialogues. Pas sur le détail : c'est gris, et la prosodie n'a jamais été le point fort de Poulenc ; mais sur l'effet d'ensemble, oui, je me suis rangé parmi les enthousiastes.

Je m'en doutais ! Globalement tu es bien plus fréquentable maintenant  
Il ne te reste qu'à renier les danses autour des fontaines de Versailles ... et ça sera parfait  

Xavier a écrit:

Je vois qu'on est complètement d'accord sur Stemme... impressionnant en salle, mais sinon, c'est à la limite de l'ennui.

Même en salle... Je l'ai écoutée deux fois, à onze ans d'écart (Senta puis Isolde).

De près, en Senta, il y avait du grain, et puis un vrai tempérament dramatique et scénique.

De plus loin, en Isolde, c'était très très lisse, parfaitement chanté, mais sans relief... je n'ai pas du tout été touché, alors même que c'était techniquement très impressionnant.

On entend distinctement la voix se ternir au fil des captations.

Citation :

Une sorte de Nilsson en un peu mieux, j'ai l'impression de voir la partition défiler de façon quasi parfaite, tout est maîtrisé, homogène... mais ça ne frémit pas beaucoup.

Franchement, au moins avec Nilsson il y a de l'audace, du tranchant, alors que tout est ouaté dans la Brünnhilde de Stemme.

Citation :

Je n'ai écouté qu'une petite heure de la Walkyrie de Bayreuth hier avec Foster au II, mais déjà cette lumière, cette tendresse... tout cela je ne le trouve jamais chez Stemme.

Foster n'est pas aussi superlative vocalement, mais effectivement, c'est très frémissant, même dans le III de Siegfried elle accorde une grande importance aux mots... (Un des intérêts du Siegfried de Young, où la direction est bonne, et la distribution fabuleuse : Foster, Ch. Franz, Struckmann.)

Je trouve Stemme plus impliquée émotionnellement dans sa Brünnhilde de Götterdämmerung que dans celle de Die Walküre.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Je vois qu'on est complètement d'accord sur Stemme... impressionnant en salle, mais sinon, c'est à la limite de l'ennui.

Même en salle... Je l'ai écoutée deux fois, à onze ans d'écart (Senta puis Isolde).

De près, en Senta, il y avait du grain, et puis un vrai tempérament dramatique et scénique.

De plus loin, en Isolde, c'était très très lisse, parfaitement chanté, mais sans relief... je n'ai pas du tout été touché, alors même que c'était techniquement très impressionnant.

Oui, on est d'accord: je voulais dire que c'est impressionnant mais rien de plus.

Citation :

Foster n'est pas aussi superlative vocalement, mais effectivement, c'est très frémissant, même dans le III de Siegfried elle accorde une grande importance aux mots... (Un des intérêts du Siegfried de Young, où la direction est bonne, et la distribution fabuleuse : Foster, Ch. Franz, Struckmann.)

Tiens, ça fait plusieurs fois que je constate que tu sembles changer radicalement d'avis à propos de Struckmann.  

Xavier a écrit:

Tiens, ça fait plusieurs fois que je constate que tu sembles changer radicalement d'avis à propos de Struckmann.  

Ce n'est pas pour rien que j'ai glissé la précision, j'étais sûr que ça t'intéresserait. Je n'aime pas la voix, et je le trouve (trouvais) très prosaïque : pour des rôles dramatiques de format moyen, comme Pizarro ou Telramund, ça aboyait beaucoup et sans séduction vocale.

J'avais déjà été saisi par son Amfortas (peut-être le plus hallucinant que j'aie entendu).

Et en Wanderer, c'est très, très impressionnant. Des intentions partout, et ça claque !

Et moi en plus j'aime la voix.  

J'avoue que dans ce Siegfried, moi aussi.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Tiens, ça fait plusieurs fois que je constate que tu sembles changer radicalement d'avis à propos de Struckmann.  

Ce n'est pas pour rien que j'ai glissé la précision, j'étais sûr que ça t'intéresserait. ;)Je n'aime pas la voix, et je le trouve (trouvais) très prosaïque : pour des rôles dramatiques de format moyen, comme Pizarro ou Telramund, ça aboyait beaucoup et sans séduction vocale.

J'avais déjà été saisi par son Amfortas (peut-être le plus hallucinant que j'aie entendu).

Et en Wanderer, c'est très, très impressionnant. Des intentions partout, et ça claque !  

Gotto type "il faut que a claque" détecté  
C'est archivé ... tu es perdu  

Qui pourra croire alors tes discours où tu dis "c'est trop vocal" ? Personne. M'enfin moi j'avais deviné la supercherie depuis longtemps  

Godard : La Vivandière (Patrick Davin, 24/07/13 : Nora Gubisch, Omo Bello, Florian Laconi, Etienne Dupuis, Alexandre Duhamel, Sébastien Droy, Frank Ferrari, Yves Saelens, Ivan Thirion)
Godard : Dans les champs N°2, Ext. de l'œuvre 4 scènes poétiques Op.46 (Direction : Kirk Trevor)
Godard : Suite de trois morceaux Op.116 (Flûte traversière : Jeffrey Khaner, Piano : Hugh Sung)

Une chouette découverte au final, bien mieux que ce que j'en ai lu sur divers pages sur Internet!
Personne d'autre n'a écouté?

Précisément, Struckmann, ce n'est pas très vocal, le grain est très râpeux, on dirait qu'il éructe, pas de legato...

En revanche ça envoie, oui.

Mais bon, toi tu adores Tomlinson (ce qui est loin d'être mon cas, malgré toute ma déférence pour certaines de ses incarnations), alors pouêt pouêt.

Polyeucte a écrit:

Personne d'autre n'a écouté?

Ah non, je n'avais pas vu que ça passait.

En revanche je l'ai déjà joué, et c'est effectivement pas mal du tout. Pas majeur, mais ça méritait une résurrection, assurément. Dommage que la distribution soit si inégale... J'irai écouter ça.

DavidLeMarrec a écrit:

Précisément, Struckmann, ce n'est pas très vocal, le grain est très râpeux, on dirait qu'il éructe, pas de legato...

En revanche ça envoie, oui.

Mais bon, toi tu adores Tomlinson (ce qui est loin d'être mon cas, malgré toute ma déférence pour certaines de ses incarnations), alors pouêt pouêt.

Tomlinson c'est assez proche de Struckmann dans le genre j'envoie du bois  
Il te reste juste à savoir apprécier un jeu de comédien ... et savoir apprécier une belle voix ...  

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Personne d'autre n'a écouté?

Ah non, je n'avais pas vu que ça passait.

En revanche je l'ai déjà joué, et c'est effectivement pas mal du tout. Pas majeur, mais ça méritait une résurrection, assurément. Dommage que la distribution soit si inégale... J'irai écouter ça.

Inégale? Gubish est vraiment chouette, Dupuis superbe, Bello une grande découverte, Laconi pas mal, Duhamel très bien... y a bien que Ferrari pour changer qui gueule quoi!

J'aimerai bien que ça sorte comme Thérèse... mais j'ai des doutes... Durant l'entracte, il y avait Alexandre Dratwicki et jamais il n'a parlé de parution... Dommage...

Y a quand même moins de sons dégueulasses chez Struckmann, on aime ou pas le timbre mais il y a une certaine sûreté disons, avec Tomlinson on ne sait jamais à quoi s'attendre.   (mais moi j'aime beaucoup les deux de toute façon)

Cololi a écrit:

Tomlinson c'est assez proche de Struckmann dans le genre j'envoie du bois  

Pas tout à la fait de la même façon, Tomlinson beugle alors que Struckmann se situe davantage dans l'éructation.

Polyeucte a écrit:

Inégale? Gubish est vraiment chouette, Dupuis superbe, Bello une grande découverte, Laconi pas mal, Duhamel très bien... y a bien que Ferrari pour changer qui gueule quoi!

Gubisch et Laconi, je n'aime pas du tout d'ordinaire. Le reste me fait davantage envie.

Je doute effectivement qu'il y ait le public suffisant pour faire paraître un opéra relativement léger dans ce type de répertoire, déjà qu'on n'arrive pas à faire rééditer Sigurd.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Tomlinson c'est assez proche de Struckmann dans le genre j'envoie du bois  

Pas tout à la fait de la même façon, Tomlinson beugle alors que Struckmann se situe davantage dans l'éructation.

Il éructe de joie ! Il exulte ça suffira !

C'est assez vrai en plus comme nuance ! Mais franchement j'ai pitié de leurs cordes vocales !  

Milhaud : quatuor N°1    
Quatuors 8,10 & 11  
Par le quatuor Parisii

Milhaud : symphonie n°1    
Symphonie n° 8 "rhodanienne"  
RSO Basel-Alun Francis

Cololi a écrit:

C'est assez vrai en plus comme nuance ! Mais franchement j'ai pitié de leurs cordes vocales !  

Y a pas de quoi, vu leur longévité, ils s'en sortent quand même bien avec leur technique perso.  

Surtout Tomlinson... parce que Struckmann y va en force, mais c'est quand même charpenté... Tomlinson, je ne suis pas sûr qu'il ait une technique très sûre... mais ça sort... et en plus il chante même les barytons !

Enfin Milhaud a ses heures de gloire ! 

Après midi jardinage avec la huitième Symphonie de Chostakovitch à fond dans les écouteurs. On peut dire que pour les orties, ça a été Stalingrad...

Wagner: Siegfried, acte 1/Young

     

Je trouve les deux interprètes principaux assez ignobles.

Spohr : Concertos pour clarinette ( Paul Meyer, Orchestre de chambre de Lausanne)

Brahms, intermezzi opp. 116-2, 117-1 à 3, 118-1, 2, 4 et 6, 119-2 et 3. Yudina
Schubert, Sonate D.960, Lieder transcrits par Liszt. Sofronitsky
Schubert, Impromptus D.899-3 et 4 - Schumann, Sonate opus 11 - Chopin, Scherzos 1 et 2. Sofronitsky
Scriabine, Sonate n°3, 20 préludes de l'opus 11, Prélude pour la main gauche op.9-2, opus 2, Impromptus opp. 14-2 et 12-2, Poèmes opus 44, op. 32-2, op.38. Sofronitsky

Cololi a écrit:

  Ben, ça faisait longtemps !

Coucou Cololi !

Rav-phaël a écrit:

Ben. a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Poulenc :
 _ Cinq Impromptus
 _ Les Soirées de Nazelles
Olivier Greif [ piano ]
C'est peu être l'effet "la première version est la bonne" mais je n'arrive pas à trouver mieux que Greif  .[/size]

Les Poulenc de Le Sage sont également très plaisants. Les impromptus ne sont pas son meilleur, mais Les soirées de Nazelles sont très réussies.
Après, c'est du Le Sage, c'est très sage. Les aigus sont parfois un peu raides, mais l'ensemble a une belle cohérence.

Merci pour ce conseil, je vais voir ça 

Je t'en prie. C'est écoutable en streaming si tu n'es pas rebuté par ce mode d'écoute.

arnaud bellemontagne a écrit:

Salut Ben!  

Zeno a écrit:

Salut à toi, Ben !  

Coucou Zeno !


Préludes, op.28; Chopin - Sokolov
Je n'aime pas du tout.  

Scriabine, plein de petites pièces. Sofronitsky (Denon Studio recordings 2)

Brahms:Symphonie n°2 (Bernstein Sony)

Ce final magistral est saturé d'ondes positives.

Comme quoi notre broussailleux de Hambourg peut se faire solaire    

arnaud bellemontagne a écrit:

broussailleux de Hambourg

Ah la prose montagnarde je suis fan  

Ivo Malec, Ottava alta, Tamayo.

Wagner: Siegfried, acte 3/Young

     

Brahms, Quatuor avec piano n°2. Maria Yudina, Beethoven Quartet.  

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Roméo et Juliette, extraits du ballet

= Esa-Pekka Salonen, Orchestre Philharmonique de Berlin

(Sony, 7-9 octobre 1986)

Zut, j'ai cru pendant une fraction de seconde que tu écoutais Tristan et Isolde!

Bach - Suite n°3
Schubert - Symphonie n°8 "Inachevée"
Brahms - Symphonie n°4

Berliner Philharmoniker
Wilhelm Furtwängler
Titania-Palast, 24.X.1948