Playlist (74)

Guillaume a écrit:

Personne ne soutient ça (même pas Rifkin), mais le 1 par partie bien réalisé peut donner d'excellentissimes versions. Je suis sûr que tu n'as jamais écouté la version de McCreesh (parue chez DG-Archiv).  

Je n'en n'ai écouté que le chœur d'entrée. Pour le moment ça me suffit  

Je suis bien bloqué maintenant sur cette œuvre : les romantiques je ne supporte plus vraiment (dommage pour DFD et Schreier  ) ... Harnoncourt je n'aime pas du tout. La seule que j'aime en fait maintenant c'est Herreweghe II. Et je n'ose acheter Jacobs de peur que ça ne m'apporte rien.

Serge Prokofiev (1891-1953) :
 
Roméo et Juliette -extraits du ballet
 
= Erich Leinsdorf, Boston Symphony Orchestra
 
(RCA, 13 février 1967)
 

Cololi a écrit:

Arf c'est dépassé tout ça ... avec 4 choristes seulement ça serait mieux !

Ce n'est pas possible, parce qu'il y a des dédoublements de voix. Donc 8 est le minimum possible.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Arf c'est dépassé tout ça ... avec 4 choristes seulement ça serait mieux !

Ce n'est pas possible, parce qu'il y a des dédoublements de voix. Donc 8 est le minimum possible.

Je m'en suis douté ... mais l'envie d'ironiser était plus forte  

Cololi a écrit:

Guillaume a écrit:

Personne ne soutient ça (même pas Rifkin), mais le 1 par partie bien réalisé peut donner d'excellentissimes versions. Je suis sûr que tu n'as jamais écouté la version de McCreesh (parue chez DG-Archiv).  

Je n'en n'ai écouté que le chœur d'entrée. Pour le moment ça me suffit  

Je suis bien bloqué maintenant sur cette œuvre : les romantiques je ne supporte plus vraiment (dommage pour DFD et Schreier  ) ... Harnoncourt je n'aime pas du tout. La seule que j'aime en fait maintenant c'est Herreweghe II. Et je n'ose acheter Jacobs de peur que ça ne m'apporte rien.

Quel Harnoncourt ? Le premier (celui avec Equiluz, pas celui avec ARJ, rugueux mais tout à fait réussi) est assez terrible en effet, ne serait-ce que les affreux chœurs de petits braillards (et puis l'orchestre grince pas mal tout de même...).

Si c'est le second que tu n'as pas aimé, tu peux aller voir du côté de Carrington, Fasolis, Rilling, Suzuki, Koopman ou Gardiner (plutôt I, plus intéressant que le II, mais la stéréo est agaçante, je te préviens). Ce sont des versions moins extrêmes, et au moins aussi bonnes (voire meilleures à mon goût, Gardiner excepté) que Harnoncourt II.

Jacobs, je n'ai pas essayé, mais par rapport à Herreweghe, tu auras la rigidité en plus, et esthétiquement une vision pas fondamentalement différente, je le crains, très hédoniste et tendre. Mais j'extrapole peut-être trop par rapport aux vieux Bach de Jacobs.

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Arf c'est dépassé tout ça ... avec 4 choristes seulement ça serait mieux !

Ce n'est pas possible, parce qu'il y a des dédoublements de voix. Donc 8 est le minimum possible.

Je m'en suis douté ... mais l'envie d'ironiser était plus forte  

Mais dans l'absolu, je suis d'accord avec toi, on supprime quelques voix et on fait ça à 4, sans orchestre. Ce serait beaucoup mieux.

(Tu ne pourrais pas mettre déplacer ça dans le fil correspondant ? Parce que c'est dommage, les fils Bach sont finalement peu actifs...)

=> Muffat - Missa in labore requies - Junghänel

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Guillaume a écrit:

Personne ne soutient ça (même pas Rifkin), mais le 1 par partie bien réalisé peut donner d'excellentissimes versions. Je suis sûr que tu n'as jamais écouté la version de McCreesh (parue chez DG-Archiv).  

Je n'en n'ai écouté que le chœur d'entrée. Pour le moment ça me suffit  

Je suis bien bloqué maintenant sur cette œuvre : les romantiques je ne supporte plus vraiment (dommage pour DFD et Schreier  ) ... Harnoncourt je n'aime pas du tout. La seule que j'aime en fait maintenant c'est Herreweghe II. Et je n'ose acheter Jacobs de peur que ça ne m'apporte rien.

Quel Harnoncourt ?  Le premier (celui avec Equiluz, pas celui avec ARJ, rugueux mais tout à fait réussi) est assez terrible en effet, ne serait-ce que les affreux chœurs de petits braillards (et puis l'orchestre grince pas mal tout de même...).

Si c'est le second que tu n'as pas aimé, tu peux aller voir du côté de Carrington, Fasolis, Rilling, Suzuki, Koopman ou Gardiner (plutôt I, plus intéressant que le II, mais la stéréo est agaçante, je te préviens). Ce sont des versions moins extrêmes, et au moins aussi bonnes (voire meilleures à mon goût, Gardiner excepté) que Harnoncourt II.

Jacobs, je n'ai pas essayé, mais par rapport à Herreweghe, tu auras la rigidité en plus, et esthétiquement une vision pas fondamentalement différente, je le crains, très hédoniste et tendre. Mais j'extrapole peut-être trop par rapport aux vieux Bach de Jacobs.

Oui oui c'est pour ça que j'ai évité Jacobs (dont j'aime pourtant beaucoup l'Oratorio de Noël).

C'est Harnoncourt II avec Prégardien et Goerne.

Lucien a écrit:

Audivis, 1998 (enregistrement juin 1998)

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, le nom ne provient pas du verbe latin, c'est Auvidis. Je ne peux pas te dire la source d'inspiration.

Cololi a écrit:

C'est Harnoncourt II avec Prégardien et Goerne.

Un très bon disque, qui s'écoute très bien dans la durée... mais c'est vrai que dans le détail, il n'est pas toujours très séduisant. Avec Fasolis ou Suzuki, tu n'auras pas ce problème, et puis pour la volupté que je te devine chercher, tu trouveras ton moelleux chez Rilling, Koopman ou même Gardiner, à mon avis tu aimerais beaucoup celles-là.

DavidLeMarrec a écrit:

Lucien a écrit:

Audivis, 1998 (enregistrement juin 1998)

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, le nom ne provient pas du verbe latin, c'est Auvidis. Je ne peux pas te dire la source d'inspiration.

tu ne peux pas simplement dire que j’ai inversé deux lettres ?

Lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Lucien a écrit:

Audivis, 1998 (enregistrement juin 1998)

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, le nom ne provient pas du verbe latin, c'est Auvidis. Je ne peux pas te dire la source d'inspiration.

tu ne peux pas simplement dire que j’ai inversé deux lettres ?

Il m'a fallu dix ou quinze ans pour me rendre compte de la graphie réelle, alors je te faisais crédit du même genre d'erreur gratifiante (mettre du sens là où il n'y en a pas).

Mais tu peux aussi bien aller au diable si tu veux absolument mordre la main qui te nourrit.  

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

C'est Harnoncourt II avec Prégardien et Goerne.

Un très bon disque, qui s'écoute très bien dans la durée... mais c'est vrai que dans le détail, il n'est pas toujours très séduisant. Avec Fasolis ou Suzuki, tu n'auras pas ce problème, et puis pour la volupté que je te devine chercher, tu trouveras ton moelleux chez Rilling, Koopman ou même Gardiner, à mon avis tu aimerais beaucoup celles-là.

Tu me connais comme si tu m'avais fait  

Je pense que je vais essayé Suzuki ou Gardiner. Rilling je connais sa saint Jean j'aime beaucoup (c'est un excellent compromis), c'est ma préférée même.

Bartok : Allegro Barbaro / Kocsis
    

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

C'est Harnoncourt II avec Prégardien et Goerne.

Un très bon disque, qui s'écoute très bien dans la durée... mais c'est vrai que dans le détail, il n'est pas toujours très séduisant. Avec Fasolis ou Suzuki, tu n'auras pas ce problème, et puis pour la volupté que je te devine chercher, tu trouveras ton moelleux chez Rilling, Koopman ou même Gardiner, à mon avis tu aimerais beaucoup celles-là.

Tu me connais comme si tu m'avais fait  

Je pense que je vais essayé Suzuki ou Gardiner. Rilling je connais sa saint Jean j'aime beaucoup (c'est un excellent compromis), c'est ma préférée même.

C'est une des meilleures pour moi ; si j'écarte les versions de 1725 (donc Carrington) et les bandes radio (donc Haïm), c'est ce que j'ai entendu de mieux, après Fasolis probablement.

Parmi ma sélection, Koopman et Gardiner I sont sans doute les plus belles au niveau du chant. (Je suis sûr que tu adoreras Gardiner I, en fait.) Sinon, tu devrais aussi beaucoup aimer Gardiner II et Brüggen II, mais je trouve ça beaucoup plus sage, moins personnel... dans le genre, c'est moins bien que Herreweghe II (ou Herreweghe I, d'ailleurs).

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Roméo et Juliette -extraits du ballet

= Charles Munch, Boston Symphony Orchestra

(RCA, 13-17 février 1957)
 

=> Strauss, Arabella, final
Caballé / Nimsgern / Rennert.
Encore plus atroce qu'il m'avait semblé la dernière fois : Caballé dans le pur hédonisme (zéro mots), et Nimsgern qui chante complètement faux (vaguement les bons intervalles, mais pas à la bonne hauteur !). Et orchestralement, c'est la RAI, donc rien pour racheter la version.

=> Strauss, Arabella, final
Coburn / Skovhus / Honeck (Radio de Munich)
Ce ne sont que des extraits, mais les meilleurs gravés... vraiment fantastique, surtout la fin (il y a aussi les deux grands duos). J'aurais voulu une intégrale, Coburn est fabuleuse, et ça aurait été comme un gant à Skovhus, en plus dans ses meilleures années...

Nielsen
Concertos pour flûte et clarinette
Quintette pour vents

S.Meyer, E.Pahud, Rattle + Philharmonie de Berlin



Autant les 2 concertos ne m'ont pas emballé, autant j'ai beaucoup aimé le Quintette.
Je découvre Nielsen, faut dire, jamais entendu une seule de ses symphonies, par exemple.
Des conseils ?

Albert Roussel (1869-1937) :
 
Bacchus et Ariane -ballet
 
= Jean Martinon, Orchestre des Concerts Lamoureux
 
(Philips, 4 octobre 1954)
 
Interprétation volcanique !
 

Debussy: Le promenoir des deux amants/Upshaw

    +

Dutilleux: San Francisco night/Upshaw

    

Strauss: Schlagobers/Wakasugi

    

Haydn: La Création. Bruno Weil et Tafelmusik (Sony). Je ne trouve que des qualités à cet enregistrement. Seul regret: les cordes auraient eu avantage à être plus fournies.     

Rimsky-Korsakoff: disque 1 du coffret de 11 disques de musique russe, jouée par le Philharmonique de Rotterdam (divers chefs - enregistrements parus sous étiquette Philips de 1972 à 2001). Pour la prise de son: 6 (tout simplement exceptionnel). C'est tellement beau que je ne peux rien critiquer. Ce disque comprend le Capriccio espagnol et Sadko, ainsi que des extraits ou suites d'opéras : La Nuit de mai, la Fille des neiges et l'histoire du Tsar Saltan.

Béla Bartók - Cantata profana -  Tamás Daróczy/Alexandru Agache/Choir of Hungarian Radio & TV/Budapest Festival Orchestra-Georg Solti



     

André a écrit:

Haydn: La Création. Bruno Weil et Tafelmusik (Sony). Je ne trouve que des qualités à cet enregistrement. Seul regret: les cordes auraient eu avantage à être plus fournies.     

J'adore cette oeuvre de HAYDN et c'est visiblement son oeuvre vocale qui me touche le plus, bien plus que ses quatuors à cordes et ses symphonies (enfin ceux et celles que je connais). La Création, je l'ai cependant dans une autre version. Elle me convient à merveille.  

Giovanni Battista Pergolesi

___Stabat Mater & Salve Regina - Europa Galante - Fabio Biondi:      
Sublime de la première note à la dernière. J'avais une vingtaine d'années lorsque j'ai découvert ce chef d'oeuvre et mon émotion reste intacte.

Bach: Concertos pour hautbois BWV 1053r et 1055r  

Deux siècles d'orgue à la chapelle royale de Versailles, Bouvard, Desenclos, Espinasse, Robin

Hidraot a écrit:

Deux siècles d'orgue à la chapelle royale de Versailles, Bouvard, Desenclos, Espinasse, Robin

Qu'en penses tu ?

Je suis encore en pleine écoute mais un beau programme avec les meilleurs organistes français sur un tel orgue, une fois passée la frustration de ne pas avoir d'oeuvre intégrale, c'est super !

L'instrument et la prise de son sont vraiment magnifiques.

Oui et la prise de son est assez fidèle à la réalité.

Yannis Papaioannou (1910-1989)

___Musique de chambre__ Kostas Chardas: piano - Kostis Theos: violoncelle - Myrto Papatanasiu: soprano - dissonArt ensemble/Vladimiros Symeonidis.    
De la tendresse, de la beauté, de l'austérité, un peu d'ennui parfois, mais aussi de l'inventif, du poétique, des choses meilleures que d'autres et au final une belle découverte.

Bartok: Le Mandarin merveilleux, ballet/Ozawa Boston 94

     

Ornstein, Poems of 1917 (Hamelin). à  

Tournemire, Choral-improvisation sur « Victimae paschalis » (Landale).  

Brossard : petits motets, Desrochers/Desenclos

Rameau : Les Boréades, Gardiner

André Previn:

___Brief Encounter - opéra - Elizabeth Futral/Nathan Gunn/Kim Josephson - Houston Grand Opera Orchestra/patrick Summers:    "écoute audio"
Moins prenant que son Tramway nommé Désir, néanmoins un bel opéra romantique et raffiné qui, certes, ne m'a pas mis la larme à l'oeil mais ne m'a pas ennuyé non plus.

DavidLeMarrec a écrit:

Lundi :
=> Verdi - Il Trovatore - Minkowski, Monnaie, Poplavskaya, Brunet, Didyk, Hendricks


Mardi :
=> Verdi - Il Trovatore - Muti, Scala, Frittoli, Urmana, Licitra, Nucci


Aujourd'hui :
=> Verdi - Il Trovatore - Boncompagni, Oviedo, Troitskaya, Obraztsova, Carreras, Pons



Trois versions exceptionnelles.


N.B. pour faire plaisir à Xavier et Cololi, mais lui ça compte pas :
Frau ohne Schatten =
Parsifal =
Tristan =

Elégance des choix.
Elégance des commentaires tant dédiés que généraux.
Elégance de la langue.

Le fond et la forme sont liés.

Guido (Codex Chantilly), Dieux gart (Organum).

une de mes premières passions en musique classique — après l’Offrande musicale, cela va sans dire.

Lully, Dormooooons (Arflo).

Károly Goldmark (1830-1915) :
 
Concerto pour violon n°1 en la mineur Op. 25
 
= Sarah Chang ; James Conlon, Orchestre du Gürzenich de Cologne
 
(Emi, 29-30 août 1999)
 

Albéniz, Iberia (Larrocha).

Bela Bartok (1881-1945) :
 
Le Mandarin merveilleux -ballet Op. 19
 
= Pierre Boulez, Orchestre philharmonique de New York
 
(CBS, 11 mai 1971)
 

Mozart - Die Zauberflöte - Vienne / Solti I

Verdi - Simon Boccanegra - Met / Stiedry

Mélomaniac a écrit:

Bela Bartok (1881-1945) :
 
Le Mandarin merveilleux -ballet Op. 19
 
= Pierre Boulez, Orchestre philharmonique de New York
 
(CBS, 11 mai 1971)
 

On dirait Stromboli!!! 

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Wagner:Les Maîtres Chanteurs (Solti II)

EDIT:Bon dieu la qualité des choeurs!!!  

.

Bela Bartok (1881-1945) :
 
Concerto pour piano n°3
 
= Monique Haas ; Ferenc Fricsay, Orchestre symponique de la Radio de Berlin
 
(DG, 27-30 avril 1954)
 
(pochette de l'édition américaine sous label Decca)

Beethoven: symphonie no. 2 avec Böhm et le WP.     1/2

Absolument incomparable dans I. Dans II et III une certaine léthargie contamine la lecture. Ça redevient génial en IV (quels vents!).

Jochum dans son intégrale DGG maintient un peu plus de tension et de vivacité dans les mouvements médians (5  )

Rimsky-Korsakoff: Ouverture de La Grande Pâque russe, Antar, Le Coq d'or. Zinman et le Rotterdam Philharmonic.    1/2.

Franz Liszt (1811-1886) :
 
Concerto pour piano n°1 en mi bémol majeur
 
= Julius Katchen ; Ataulfo Argenta, London Philharmonic Orchestra
 
(Decca, 3-4 janvier 1957)