J'ai réécouté Marie-Magdeleine dans la version Bongiovanni… effectivement, Mazzola-Gavazzeni (que j'aime beaucoup d'ordinaire) est affreuse ici ; sans même mentionner, par pure charité chrétienne, le français, la voix est un mélange de stridences de Caballé seconde manière et de Schnaut… on dirait une chanteuse âgée dans Turandot, si vous voulez.
Sinon, le reste se laisse assez bien écouter, même si les moyens sont modestes (et la prise de son sèche et pas bien jolie, comme d'habitude).