Playlist (97)

Jörg Widmann (1973–), Lied für Orchester (2003)
Wolfgang Rihm (1952–), Erscheinung, Skizze über Schubert für 9 Streicher und Klavier (1978) ¹
Bruno Mantovani (1974–), Mit Ausdruck pour clarinette basse et orchestre (2003) ²
Dieter Schnebel (1930–), Schubert-Phantasie (Re-Visionen I₅) für geteiltes großes Orchester (1978/89)

        ¹ Peter Selwyn, piano
        ² Alain Billard, clarinette basse
        Bamberger Symphoniker – Bayerische Staatsphilharmonie
        Jonathan Nott, direction

Depuis hier, des lieder de Brahms :

"Regenlied" - Elisabeth Grümmer et Gerald Moore
"Vor dem Fenster", "Abendregen" - Margaret Price et Graham Johnson (live de 1985)
"Sommerabend" - Margaret Price et James Lockhart
"Die Mainacht" - Christa Ludwig et Gerald Moore
"Der Tod, das ist die kühle Nacht" - Elisabeth Schumann et Gerald Moore
"Die Trauernde" - Lucia Popp et Geoffrey Parsons

Décidément, l'un de mes compositeurs préférés, dans tous les domaines.

n’empêche, c’est bien joli les schubertiades, mais c’est sur Bruckner, que je dois faire un blind test, moi !

lucien a écrit:

n’empêche, c’est bien joli les schubertiades, mais c’est sur Bruckner, que je dois faire un blind test, moi !

T'as intérêt à ce que ce soit pulsé !

j’ai de gros doutes.

Samuel Barber - Souvenirs Op.28
André Jolivet - Hopi Snake Dance
Conlon Nancarrow / Thomas Adès - Étude pour piano mécanique no.7
William Bolcom - Recuerdos ( Trois danses latino-américaines)
Frederic Rzewski - Winnsboro Cotton Mill Blues
Leonard Bernstein - West Side story, danses symphoniques

Lidija et Sanja Bizjak (18/08/2014, Palais des Congrès du Touquet-Paris-Plage)

Binder

Les six sonates pour clavecin op.1

Paulina Tkaczyk, clavecin Hill de 2005, copie d'un Taskin de 1789.

Dux 2014


Oeuvres très agréables qui évoquent Scarlatti comme baroque finissant et C.P.E. Bach pour le nouveau genre pré-romantique, l'Empfindsamkeit.

Beethoven, Symphonie n°3 "Héroïque" (Gardiner, Orchestre révolutionnaire et romantique)


L'intégrale de Gardiner est formidable à tous points de vue, il n'y a aucun faux pas. Désormais ma référence avec l'intégrale live d'Abbado (et quand même Karajan I et II pour ne pas trop déplaire à Mélo pour les souvenirs que j'y associe).

Luciano Berio (1925–2003), Rendering per orchestra (1988–90)
Aribert Reimann (1936–), Metamorphosen üben eine Menuett von Schubert für 10 Instrumente (1997)
Hans Werner Henze (1926–2012), Der Erlkönig, Orchesterfantasie aus „Le Fils de l’air“ (1996)
Hans Zender (1936–), Schubert-Chöre 1–4 für Tenor, Chor und Orchester (1986) *
Kurt Schwertsik (1935–), Epilog zu „Rosamunde“ für Orchester (1978)

        * Carsten Süss, ténor
        * Chor der Barmberger Symphoniker (Rolf Beck)
        Bamberger Symphoniker – Bayerische Staatsphilharmonie
        Jonathan Nott, direction



je savais bien que ce cd me plairait sensiblement moins que l’autre (non que j’y aie tout aimé).

Haydn:Symphonies 82 à 84 (Bernstein)

Une véritable bouffée d'air frais.

Haydn le radieux.

Oriane a écrit:

Depuis hier, des lieder de Brahms :


Décidément, l'un de mes compositeurs préférés, dans tous les domaines.

Anthony a écrit:

Beethoven, Symphonie n°3 "Héroïque" (Gardiner, Orchestre révolutionnaire et romantique)

L'intégrale de Gardiner est formidable à tous points de vue, il n'y a aucun faux pas. Désormais ma référence avec l'intégrale live d'Abbado (et quand même Karajan I et II pour ne pas trop déplaire à Mélo pour les souvenirs que j'y associe).

Pareil. Sauf que personnellement je remplace Abbado live par Haitink live et Karajan I (i.e. Philharmonia) par Schuricht, mais je garde Karajan II (la première intégrale avec Berlin, la moins belle).

Mantovani, Concerto de chambre nº2 (2010).  EIC (Mantovani)
Mantovani, Concerto de chambre nº1 (2010).  EIC (Mantovani)

Brahms

Concerto pour piano en ré majeur, arrangé par Dejan Lazić
du Concerto pour violon op.77

Dejan Lazić, piano
Orchestre Symphonique d'Atlanta, dir. Robert Spano

Channel Classics 2010


Très bel arrangement. Je le recommande.

"Alte Liebe" de Brahms, chanté par Flagstad, Jessye Norman, puis Margaret Price. Ma préférence va à la dernière, à tous points de vue.

"Wie Melodien zieht es mir", "Wie bist du, meine Königin", Hans Hotter et Gerald Moore.        

Andrew Norman (1979–),

  Play for orchestra (2013)
  Try for large chamber ensemble (2011)

        Boston Modern Orchestra Project
        Gil Rose, direction



y a de l’énergie, beaucoup d’énergie.

Aujourd’hui: petits duels de piano.

BACH: suite anglaise n° 3, Murray Perahia
BACH: suite anglaise n° 3, Sviatoslav Richter
plus radieux, plus joyeux, plus lumineux chez Richter.

BEETHOVEN : adagio sonate n° 17 « Tempête », Maria-Joao Pires : délicat et intimiste
BEETHOVEN : adagio sonate n° 17 « Tempête », Hélène Grimaud : légèrement plus extraverti

CHOPIN : polonaise n° 6, Tamás Vásáry (vinyle)
CHOPIN : polonaise n° 6, Samson François
Peu de différences dans cette approche essentiellement technique, plus de clarté chez Vásáry (effet vinyle ?)

LISZT : St François d’Assise, prédication aux oiseaux, François-René Duchâble.
LISZT : St François d’Assise, prédication aux oiseaux, Fujiko Hemming.
Plus d’émotion dégagée chez Hemming, brillante pianiste à la carrière prometteuse fortement perturbée par la maladie.
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0CCEQFjAA&url=http%3A%2F%2Ffr.wikipedia.org%2Fwiki%2FFujiko_Hemming&ei=76PwVJuNO8yvabu7gtAF&usg=AFQjCNECF_x5D1PGQbbneyQOMZFIadbKeA&bvm=bv.87269000,d.d2s

MOUSSORGSKY : des « tableaux d’une exposition» :
« la grande porte de Kiev », Evgeny Kissin tellurique !
« la grande porte de Kiev », Sviatoslav Richter, je préfère, mais le vocabulaire me manque.

DEBUSSY : du livre I des préludes :
« les collines d’Anacapri » et « des pas sur la neige », Arturo Benedetti Michelangeli 1978
« les collines d’Anacapri » et « des pas sur la neige », Walter Gieseking 1953
Deux très belles versions que je trouve proches, un peu plus de recueillement chez Gieseking, de sens goût du drame chez ABM.

BERG : sonate op. 1 : Yvonne Loriod
BERG : sonate op. 1 : Glenn Gould
Enthousiaste, mélodieux et coloré chez Loriod, passionné, tourmenté et véhément chez Gould

Sur ma lancée, spéciale SCHUBERT, j’ai pas pu n’en écouter que deux, j’ai fini en raclant mes fonds de tiroirs:
SCHUBERT : impromptu n° 4 D 899, Friedrich Gulda
SCHUBERT : impromptu n° 4 D 899, Clifford Curzon 1961
SCHUBERT : impromptu n° 4 D 899, Clifford Curzon 1941
SCHUBERT : impromptu n° 4 D 899, Jörg Demus (vinyle)
SCHUBERT : impromptu n° 4 D 899, Aldo Ciccolini (vinyle)
SCHUBERT : impromptu n° 4 D 899, Vahan Mardirossian

Du plus serein au plus douloureux :
Ciccolini – Curzon 61 – Curzon 41 – Mardirossian – Demus - Gulda

Varèse, Amériques, transcription pour quatre pianistes (ca 1929).  Vanessa Wagner, Marie Vermeulin, Cédric Tiberghien, Wilhem Latchoumia

Beethoven

Sonate ''Pathétique''
Première Symphonie

Arrangées pour quintette à cordes

Ensemble Locrian

Guild 2004


Arrangements totalement réussi surtout pour la Pathétique, jouée avec un quintette de cordes lui confère une palette des plus nouvelle et
surtout agréable.

Ciconia: Motets, Virelais, Ballate, Madrigaux
Alla Francesca & Alta
Opus 111, 1993
C’est tellement beau... Et paradoxal: une musique qui tantôt émeut par sa simplicité archaïque, et tantôt qui fascine par sa complexité d’art subtil.

Tournemire: Musique orante pour quatuor à cordes, op. 61
Quatuor de l’O.R.T.F.
INA Mémoire vive, 1972
Comme pour les œuvres pour piano du même, une musique qui me plaît par ce qui la rattache à la musique française de son temps (l’harmonie retorse) et encore plus par ce qui l’en distingue (les couleurs sombres, les procédés rythmiques, sa dimension plus fervente qu’hédoniste).

Spahlinger: Apo do
Quatuor Arditti
Kairos, 1994
voir ici.

Sinon, je l’ai mis, comme il se doit, en playlist jazz, mais Afternoon of a Georgia Faun de Marion Brown devrait vraiment plaire à Emeryck ou Lucien (et inciter Cololi à prendre sa carte du Hot Club de Montauban).

Benedictus a écrit:

Tournemire: Musique orante pour quatuor à cordes, op. 61
Quatuor de l’O.R.T.F.
INA Mémoire vive, 1972
Comme pour les œuvres pour piano du même, une musique qui me plaît par ce qui la rattache à la musique française de son temps (l’harmonie retorse) et encore plus par ce qui l’en distingue (les couleurs sombres, les procédés rythmiques, sa dimension plus fervente qu’hédoniste).

Oui, personnellement je préfère même ça à ses oeuvres pour piano.
Mais pourquoi n'a-t-il pas écrit une musique pour orchestre à cette hauteur-là??

Pour prolonger le plaisir il faut écouter l'Orgue Mystique

Wagner: Parsifal, acte 3/Pappano (Blu-ray)

Xavier a écrit:

Oui, personnellement je préfère même ça à ses oeuvres pour piano.
Mais pourquoi n'a-t-il pas écrit une musique pour orchestre à cette hauteur-là??

Oui, c'est vraiment troublant (je n'ai écouté que sa 6e Symphonie et   ) D'autant que d'autres franckistes ont produit dans ce genre-là des choses à la fois plus construites et moins choucroutesques (je pense en particulier à Roussel et Magnard).

Cololi a écrit:

Pour prolonger le plaisir il faut écouter l'Orgue Mystique

C'est prévu pour les vacances de Pâques.

Protopopov, Sonate pour piano nº1 (1920–22).  Daniel Ekimovsky

Haendel : Alcina (Christie / Flemming / Graham / Dessay / Kuhlmann / Naouri)

Robert Schumann (1810-1856) :

Symphonie n°1 en si bémol Op. 38

= Otto Klemperer, New Philharmonia Orchestra

(Columbia, octobre 1965)

Schubert

Moments musicaux
Impromptus

Edwin Fischer, piano

EMI 1953, Testament

Ivan Karabyts : Concertos pour orchestre Nos. 1 à 3 (1980-81 ; 1986 ; 1989)/Kirill Karabyts
Valentin Silvestrov : Elégie (2002)
Abschiedsserenade (2003)/Kirill Karabyts

Ludwig Van Beethoven - Symphonie n°7 - Orchestre philharmonique de Radio France_Daniel Harding (10/01/2015, Studio 104 de la Maison de la Radio)
Quel finale !

Chostakovitch : Quatuor à cordes n°8    1960 / Borodin Quartet

Chopin
Les Préludes
Arrangés pour orchestre par Jean Françaix

Deutsches Symphonies-Orchester Berlin
Karl-Anton Rickenbacher, direction

Koch 2002


Françaix a conçu un bijou d'arrangements ici.

Chopin : Ballade n°1    1836 / Horowitz

Chopin, Première ballade (1836).  Horowitz
Scriabine, Fantaisie (1900).  Sofronitsky

Il y a de l'écho, on dirait...

Mendelssohn, Concerto pour violon op. 64 - Maxim Vengerov, Kurt Masur - Gewandhausorchester Leipzig

Liszt, Fantasie und Fuge über das Thema B-A-C-H (1855/70).  Sofronitsky
Liszt, Vallée d’Obermann (1837/55).  Nyíregyházi

Hurel : Pour l'image pour ensemble    1987 / Ensemble InterContemporain

Bruckner: la cinquième, dans sa plus grande incarnation ever, celle que Klemperer grava au Kingsway Hall avec son New Philharmonia Orchestra (fantastique prise de son datant de 1967, EMI).

Johannes Brahms (1833-1897) :

Rhapsodie pour contralto Op. 53

= Christa Ludwig ; Otto Klemperer, Philharmonia Orchestra & Chorus

(Columbia, mars 1962)

Mendelssohn

Les Sonates pour piano de 1820

Roberto Prosseda, piano

Decca 2006

Hanns Eisler (1898-1962) :

Ernste Gesänge

= Matthias Goerne, baryton ; cordes de l'ensemble Rezonanz

(HM, septembre 2012)

Shostakovich

Quintette avec piano op.57

Shostakovich, piano
Quatuor Beethoven

SH 1959

Scriabine: 2 pièces opus 57, Etude opus 8 n°12/Lankova

Eisler, Ernste Gesänge pour baryton et cordes (1962).  Leib/Herbig
Eisler, Zweite Sonate für Klavier (1924/25).  Keller

Jörg Widmann (1973–),

  Messe für großes Orchester (2005)
  Fünf Bruchstücke für Klarinette und Klavier (2006)
  Elegie für Klarinette und Orchester (1997)

        Jörg Widmann, clarinette
        Heinz Holliger, piano
        Deutsche Radio Philharmonie
        Christoph Poppen, direction

Yevhen Stankovych : Symphonie No. 2 "Héroïque" (1975)
Symphonie No. 1 "Sinfonia Larga" (1973)
Symphonie No. 4 "Sinfonia Lirica" (1977)/Theodore Kuchar

MA-GNI-FIQUE !!!


J'ai eu le même frisson à l'écoute de la quatrième symphonie qu'à la première écoute de la Nuit Transfigurée de Schoenberg.