Playlist (99)

Chostakovitch : Symphonie 6. Plus je l'écoute et plus je l'adore

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Trio en mi bémol majeur K. 498

= Charles Neidich, clarinette ; Robert Levin, pianoforte ; Jürgen Kussmaul, alto

(Sony, décembre 1992)

anaëlle a écrit:

Brahms:
Tragic Overture, Op. 81 Karl Böhm: Vienna Philharmonic Orchestra
Cello Sonata #1 In E Minor, Op. 38 Jacqueline Du Pré, Daniel Barenboim
Cello Sonata #2 In F, Op. 99 - Jacqueline Du Pré, Daniel Barenboim
Variations On A Theme By Haydn, Op. 56A, "St. Anthony Variations" Karl Böhm: Vienna Philharmonic Orchestra

Alors, personne pour encourager notre jeune amie et lui dire qu'elle écoute des oeuvres et des interprétations superbes ?!

Francesco Landini (ca 1335–1397), ballades.  Anonymous 4

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Brahms:
Tragic Overture, Op. 81 Karl Böhm: Vienna Philharmonic Orchestra
Cello Sonata #1 In E Minor, Op. 38 Jacqueline Du Pré, Daniel Barenboim
Cello Sonata #2 In F, Op. 99 - Jacqueline Du Pré, Daniel Barenboim
Variations On A Theme By Haydn, Op. 56A, "St. Anthony Variations" Karl Böhm: Vienna Philharmonic Orchestra

Alors, personne pour encourager notre jeune amie et lui dire qu'elle écoute des oeuvres et des interprétations superbes ?!

 

Emprunté à la médiathèque,
Berlioz : Requiem .

Charles Munch/Orchestre de la Radio Bavaroise, 1968.

A ma grande honte je ne connaissais pas "le Monstre"...
Mais c'est moi, ou c'est un peu emmerdant ?
Après tout ce qui avait été dit ; de l'effectif orchestral et du chœur, avec des musiciens en coulisse et plein de trombones de même, je m'attendais à me faire dégourdir les esgourdes...
Quel foin pour un pensum pareil !
Peine perdue, j'ai même poussé le volume !
Qu'est-ce que c'est plat ! Et brouillon !
Le Dies Irae qui généralement est un morceau de bravoure pour tout compositeur un peu sanguin et romantique n'est ici qu'une longue mélopée au chœurs avec quelques fanfares aux cuivres qui font long feu comme une sègue molle.

Et pour une prise de son de la fin des années 60 (sûrement remastérisée en plus), un rendu très étouffé, très mat et sans aucun brio.

J'aime beaucoup Berlioz, et j'aimerais pouvoir te démentir. Si seulement tu n'avais pas raison.

Louis Vierne (1870-1937) :

Symphonie en la mineur Op. 24

Grave - Lamento - Scherzo - Finale

= Pierre Bartholomée, Orchestre philharmonique de Liège

(Timpani, juin 1996)

Préparation de mon prochain Blind Test. Réservez vos places pendant qu'il en reste encore...

Mélomaniac a écrit:

Préparation de mon prochain Blind Test. Réservez vos places pendant qu'il en reste encore...

tu essaies de nous faire peur ?

DavidLeMarrec a écrit:

J'aime beaucoup Berlioz, et j'aimerais pouvoir te démentir. Si seulement tu n'avais pas raison.

Je dis moi aussi aimer beaucoup Berlioz, mais pour la seule Fantastique.
Et Harold en Italie, assez, un peu...du Gounod avant l'heure ?
Qu'est ce qu'il y a avec ce compositeur ?
Il aurait été à ce point inégal, juste l'homme d'une fulgurance ?

lucien a écrit:

Francesco Landini (ca 1335–1397), ballades.  Anonymous 4

Je ne raffolle vraiment pas d’Anonymous 4 en général, et là-dedans en particulier: je trouve ça vraiment aseptisé et un peu lénifiant. Micrologus ou Alla Francesca, c’est quand même beaucoup plus vivant, les voix sont plus charnues et colorées et les irrégularités de l’écriture ressortent bien mieux, je trouve.

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Brahms:
Cello Sonata #1 In E Minor, Op. 38 Jacqueline Du Pré, Daniel Barenboim
Cello Sonata #2 In F, Op. 99 - Jacqueline Du Pré, Daniel Barenboim

Alors, personne pour encourager notre jeune amie et lui dire qu'elle écoute des oeuvres et des interprétations superbes ?!

Je dois malheureusement avouer que j’ai un problème avec cette interprétation-là. Je peux apprécier des sonorités au moins aussi amples mais beaucoup plus rugueuses (que ce soit Fournier/Firkušný ou Backhaus, Starker/Katchen, Rostropovitch/Richter ou Serkin) ou au contraire beaucoup plus transparentes (Bylsma/Orkis ou Thedeen/Pontinen); mais Du Pré/Barenboim, je trouve à la fois que le son est trop épais et que l’interprétation manque de nerf.

● Haydn: Die Schöpfung, Hob.XXI:2, deuxième et troisième parties
Lucia Popp (soprano), Anthony Rolfe Johnson (ténor), Benjamin Luxon (baryton), Klaus Tennstedt / London Philharmonic Orchestra & Choir
LPO, 1984
Peu de choses à changer à ce que je disais hier: mêmes qualités et mêmes défauts - sauf que, en fin d’écoute, les qualités l’emportent vraiment, dans la mesure où, à elles toutes (direction habitée, chœurs d’une belle franchise, soli jubilatoires surtout dans les ensembles), elles savent vraiment créer une atmosphère enthousiaste qui emporte l’adhésion.

● Taneïev: Quintette avec piano en sol majeur, op. 30
Tamara Fidler (piano), Quatuor Taneïev
Northern Flowers, 1968
Une superbe découverte. L’œuvre est vraiment magnifique, d’un langage plus «romantique tardif», disons post-brahmsien, que postromantique à proprement parler (ça, ce serait plutôt le Miaskovski des quatuors). C’est d’une russité plutôt discrète, non-folkolorique, qui passe plutôt par une certaine générosité mélodique, de légères inflexions harmoniques, une qualité du son, lyrique, vibrant, profond. Interprétation magnifique - comme d’ailleurs tout ce que j’ai entendu du Quatuor Taneïev: c’est à la fois ample et d’une précision sans faille.

● Feldman: Palais de Mari
John Tilbury (piano)
LondonHALL, 1996
Toujours aussi séduit - et peut-être même encore davantage ici que dans les œuvres de chambre ou pour ensemble que j’ai écoutées ou réécoutées ces derniers jours. Ici, avec le piano seul il y a, en plus de ce qui me requiert toujours chez Feldman (ce jeu sur le vacillement de la perception et de la mémoire - bien plus que le côté «hypnotique» ou «planant» auquel je suis finalement peu sensible), une qualité sensible tout à fait particulière: quelque chose de très épuré, de gris et de lumineux en même temps.

(Je crois que j'écris trop pour la Playlist; je vais tâcher de remettre ça dans les fils appropriés.)

Quand même, la Damnation de Faust... la Marche hongroise, le Ballet des sylphes, le Menuet des follets, la ballade du roi de Thulé : c'est pas de la gnognotte !!!

Benedictus a écrit:

Je ne raffolle vraiment pas d’Anonymous 4 en général, et là-dedans en particulier: je trouve ça vraiment aseptisé et un peu lénifiant. Micrologus ou Alla Francesca, c’est quand même beaucoup plus vivant, les voix sont plus charnues et colorées et les irrégularités de l’écriture ressortent bien mieux, je trouve.

c’est possible (je connais le cd Alla Francesca).

!!

——

CLAUDE LEDOUX
Torrent ( pour violoncelle et ensemble de dix instruments )

Jean-Paul Dessy [ violoncelle ] Ensemble Musiques Nouvelles

Mélomaniac a écrit:

Louis Vierne (1870-1937) :

Symphonie en la mineur Op. 24

Préparation de mon prochain Blind Test. Réservez vos places pendant qu'il en reste encore...

Tu mettrais un truc aussi obscur dans un bt ?
Quelle charmante idée.

tod a écrit:

Je dis moi aussi aimer beaucoup Berlioz, mais pour la seule Fantastique.
Et Harold en Italie, assez, un peu...du Gounod avant l'heure ?
Qu'est ce qu'il y a avec ce compositeur ?
Il aurait été à ce point inégal, juste l'homme d'une fulgurance ?

Pas de piano, pas d'orgue, pas de musique de chambre, et une seule symphonie à peu près valable.

Oui ça frise l'imposture.

Benedictus a écrit:

Je ne raffole vraiment pas d’Anonymous 4 en général, et là-dedans en particulier: je trouve ça vraiment aseptisé et un peu lénifiant.
Micrologus ou Alla Francesca, c’est quand même beaucoup plus vivant, les voix sont plus charnues et colorées et les irrégularités de l’écriture ressortent bien mieux, je trouve.

Parfaitement, les miss d'Anonymous4, c'est carrément mou du genou.
A contrario, l'album Landini de l'ensemble Micrologus est un des disques médiévaux les plus stimulants gravés dans les années 1990.
Lucien saura certainement trouver ce CD dans sa médiathèque miraculeuse.

Melo, ta 1ère citation est de Tod, pas Benedictus.



Bartok: Concerto pour piano n°2/Entremont, Bernstein

Chris3 a écrit:

Quand même, la Damnation de Faust...  la Marche hongroise, le Ballet des sylphes, le Menuet des follets, la ballade du roi de Thulé : c'est pas de la gnognotte !!!

oui, un compositeur à succès de compilations, de morceaux courts, et somme toute pas très échevelés de modernité.
Surtout en comparaison de la Symphonie Fantastique.
En plus, la Marche Hongroise, je la trouve particulièrement boiteuse (on dirait qu'il manque des pages d'orchestration) ; mais ce n'est qu'un avis personnel.

Xavier a écrit:

Melo, ta 1ère citation est de Tod, pas Benedictus.

Merci, j'allais justement le dire.
Au demeurant, je n'ai pas d'opinion bien arrêtée sur Berlioz. (Les deux seules œuvres de lui que j'aime, au sens fort, sont la version pour piano des Nuits d'été et la réduction d'Harold en Italie pour alto et piano.)

Benedictus a écrit:

Au demeurant, je n'ai pas d'opinion bien arrêtée sur Berlioz. (Les deux seules œuvres de lui que j'aime, au sens fort, sont la version pour piano des Nuits d'été et la réduction d'Harold en Italie pour alto et piano.)

Voilà, ne pas aimer l'orchestre de Berlioz, ça c'est bien, ça c'est snob.

tod a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

J'aime beaucoup Berlioz, et j'aimerais pouvoir te démentir. Si seulement tu n'avais pas raison.

Je dis moi aussi aimer beaucoup Berlioz, mais pour la seule Fantastique.
Et Harold en Italie, assez, un peu...du Gounod avant l'heure ?
Qu'est ce qu'il y a avec ce compositeur ?
Il aurait été à ce point inégal, juste l'homme d'une fulgurance ?

Oui, très inégal : entre les jolies bluettes de sa musique de chambre et les coups de tonnerre de sa Symphonie, de la Damnation, voire des Troyens, on peine à faire le lien, d'autant qu'il y a très peu de compositions intermédiaires comme Harold qui permettraient de dresser des ponts entre ces deux aspects…

On passe dans le salon "Berlioz" ,(le Crème et Argent)ou bien ?
Ah les Nuits d'Eté c'est vraiment chouette !!!

Xavier a écrit:

Benedictus a écrit:

Au demeurant, je n'ai pas d'opinion bien arrêtée sur Berlioz. (Les deux seules œuvres de lui que j'aime, au sens fort, sont la version pour piano des Nuits d'été et la réduction d'Harold en Italie pour alto et piano.)

Voilà, ne pas aimer l'orchestre de Berlioz, ça c'est bien, ça c'est snob.

À ta place, j'attendrais le concert Beethoven-Argerich et je relirais les fils Verdi avant de prendre cette posture-là.

Absolument, car à écouter la majorité des Verdi, on aime Berlioz plus aisément.

Hugo Wolf
Arrangements pour piano d'opéras de Wagner
Variations en sol majeur

Emese Virag, piano

Hungaroton

C'est un question de contraste ?


Plenum, c'est tout ce que tu as trouvé à écouter d'Hugo Wolf ?

Xavier a écrit:

Benedictus a écrit:

Au demeurant, je n'ai pas d'opinion bien arrêtée sur Berlioz. (Les deux seules œuvres de lui que j'aime, au sens fort, sont la version pour piano des Nuits d'été et la réduction d'Harold en Italie pour alto et piano.)

Voilà, ne pas aimer l'orchestre de Berlioz, ça c'est bien, ça c'est snob.

Je n'ai pas dit que je n'aimais pas l'orchestre de Berlioz. Berlioz, je connais très mal, sorti de la Fantastique et de la Damnation, et je n'ai jamais vraiment exploré (justement à cause du côté apparemment touffu et irrégulier du catalogue) - mais ces deux choses-là, je suis tombé dessus un peu par hasard (les Nuits sur le disque de Van Dam/Collard, Harold entendu à la Radio par Caussé et Duchâble, je crois bien); je n'ai pas détesté les versions pour orchestre, au demeurant, mais ça ne m'a pas frappé comme ces versions-là.

Maintenant, si tu as des suggestions pour le Berlioz orchestral (et en particulier des trucs-que-tu-aimes: dans le genre orchestralement chargé pré-décadent ou pré-moderniste, avec des bizarreries harmoniques), je suis preneur.

tod a écrit:

C'est un question de contraste ?


Plenum, c'est tout ce que tu as trouvé à écouter d'Hugo Wolf ?

J'adore le hors des sentiers battus. Ça change de ses lieders et surtout son superbe quatuor à cordes, tu connais?

Ma remarque n'avait évidemment rien de très sérieux.

D'autant que je ne suis vraiment pas un inconditionnel de Berlioz, loin de là... mais disons que tout le monde s'accorde en général au moins pour reconnaître que Berlioz est un des pionniers de l'orchestration romantique et moderne, dans sa conception de l'orchestre tout autant que dans ses trouvailles complètement dingues.

Mes oeuvres préférées sont précisément la Fantastique et, assez loin derrière, la Damnation, donc je n'aurai rien de particulier à te proposer...

Son oeuvre vocale?

Philippe Gaubert (1879-1941) :

Symphonie en fa

= Marc Soustrot, Orchestre philharmonique du Luxembourg

(Timpani, janvier 2008)

Avec un petit verre d'un somptueux Xérès, l'alliance parfaite...

Ben non, l'orchestre de Berlioz et génial dans ses fulgurances. Ceux qui n'aiment pas devraient y revenir régulièrement. C'est comme pour Bartok. Pour le Requiem, la récente version de Minkowski est à la fois déjantée dans son exploration des sources (mêmes forces chorales et orchestrales que la première aux Invalides, et avec beaucoup d'instruments anciens) et hyper classique dans son parti-pris de solennité louis-philipparde.

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Peter Maxwell Davies: 6ème symphonie, et deux 'tone poems'; Royal Philharmonic Orchestra, Naxos. Excellent disque.

Charles Villiers Stanford. Symphonies 2 et 5. Bournemouth Symphony, David Lloyd jones. Le Brahms des Sérénades n'est pas très loin.

Bartok: suite du Mandarin merveilleux. Hindemith: suite de Nobilissima Visione. Deux oeuvres qui ont vu le jour en tant que ballets pour la scène. Chicago Symphony, Jean Martinon. J'ai plusieurs versions de chacune de ces oeuvres. Celle-ci est la meilleure pour le Hindemith, mais elle cède le pas à Solti et le LSO dans le Bartok. Exécution et prise de son sont superbes.

Dvorak, 14e quatuor, Prazak

Benedictus a écrit:

dans le genre orchestralement chargé pré-décadent ou pré-moderniste, avec des bizarreries harmoniques), je suis preneur.

L'Ouverture des Francs-Juges...

J'adore le quatuor de Wolf !
Mais après l'incendie de ma discothèque modeste mais peaufinée, je n'ai jamais pu retrouver ma version de découverte copiée à la bibliothèque de Cenon (33).
Alors je l'écoute, en serrant les dents, par une autre version.

Bartok: Rhapsodies pour violon et orchestre/Stern, Bernstein

tod a écrit:

J'adore le quatuor de Wolf !
Mais après l'incendie de ma discothèque modeste mais peaufinée, je n'ai jamais pu retrouver ma version de découverte copiée à la bibliothèque de Cenon (33).
Alors je l'écoute, en serrant les dents, par une autre version.

Très chouette que tu aimes aussi.

Quelle version avais-tu?

Moi je l'ai en vinyle depuis 1975 avec le Keller Quartet du label Oryx et la version contemporaine que je préfère et te propose si tu ne connais pas est par le Wihan Quartet incluant la Sérénade Italienne et son Intermezzo, du label Arcodiva en 2000. Dispo via soit Qobuz ou Spotify.



ces musiciens sont également superbes pour du Smetana, Schubert, Zinn, Dvorak...

Philippe Gaubert (1879-1941) :

Les Chants de la Mer

Chants et parfums, mer colorée - La Ronde sur la falaise - Là-bas, très loin, sur la mer

= Marc Soustrot, Orchestre philharmonique du Luxembourg

(Timpani, janvier 2008)

Oui !

Et ça fait toujours plaisirs de voir que des petits labels explorent notre patrimoine méconnu depuis qu'Emi et Erato ont jeté l'éponge.

Wagner: Tannhaüser. Version de Dresde, dirigée par Cluytens (Bayreuth '55). Avec Windgassen, Gré Bouwenstijn, Herta Wilfert, Dietrich F-D, Josef Greindl, Josef Traxel, Toni Blankenheim. Gerhard Stolze. Quelle distribution ! Beaucoup de bruits de scène.

MAURICE EMMANUEL
Symphonie 2

[quote="André"]Ben non, l'orchestre de Berlioz et génial dans ses fulgurances. Ceux qui n'aiment pas devraient y revenir régulièrement. C'est comme pour Bartok. Pour le Requiem, la récente version de Minkowski est à la fois déjantée dans son exploration des sources (mêmes forces chorales et orchestrales que la première aux Invalides, et avec beaucoup d'instruments anciens) et hyper classique dans son parti-pris de solennité louis-philipparde.

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Perso, je trouve que Berlioz, c'est un musicien qui accompagne tout une vie, donc faut pas se presser de le comprendre, ça viendra tout seul et naturellement.Il faut lire la très bonne étude d'Henry Barraud , chez Fayard, une très bonne bio, avec une description détaillée de son oeuvre,sans aucune note, il fait bien découvrir l'originalité et le talent de Berlioz.Enfin Milhaud donnait tout Wagner , pour une seule page de Berlioz, bon il n'a pas dit laquelle, mais quand même , ça veut dire son admiration, même si c'est exageré comme tous les jugements, lol

Dvorak : Piano Concerto Opus 33 - Sviatoslav Richter, Moscow Philharmonic, Kirill Kondrashin, 20 or 21/05/1961

Je découvre qu'un enregistrement du 1er sextuor de Brahms par les Busch existe
Ce n'est pas si ancien (par rapport à la production des Busch):1949. Mais la prise de son est épouvantable, à la limite de l'audible.
N'importe, c'est émouvant.

Francesco Landini, ballades, etc.  Micrologus