Playlist (101)

Richard Strauss, disque Heimliche Aufforderung, lieder par Christiane Karg accompagnée au piano par Malcolm Martineau

Barraqué, Sonate pour piano (1950–52).  Helffer

Sibelius:Tapiola (Karajan)
Brahms:Quintette op.34 (Amadeus)
Haydn:Symphonie n° 103 (Jochum)

Haendel : L'Allegro, Il Penseroso ed il Moderato - parties 2 et 3 (Gardiner)

Après ça ... c'est sûr qu'il ne faut pas me dire que Haendel n'est pas un des plus grands génies de l'histoire.

Un compositeur qu'il faut donc que j'approfondisse.

Du Langlais et :

Sorabji: Opus clavicembalisticum / Madge

J'ai écrit le nom sans regarder.
Sympa mais pas très varié (ça va que je l'ai écouté en plusieurs fois, parce que 4 heures ça commence).
Aurais-je tort de ranger ça du côté de la Passacaille de Stevenson ? Des fois j'ai aussi eu l'impression d'entendre des réminiscences regeriennes.


Vivaldi: Sonates pour violoncelle n^os 4 à 9 / Wispelwey & Florilegium

Ca m'avait été conseillé par Mélo quand j'ai démarré l'exploration du compositeur.
C'est superbe ! Je crois préférer cette classieuse sobriété à l'opulence de Gaillard.

Jof a écrit:

Aurais-je tort de ranger ça du côté de la Passacaille de Stevenson ? Des fois j'ai aussi eu l'impression d'entendre des réminiscences regeriennes.

c’est clairement ce monde-là (le gout douteux en plus), à mon avis, et il faut ajouter Busoni.
d’ailleurs, dans le livret de l’enregistrement d’Ogdon, on a droit à une analyse de Stevenson.

maintenant, il faut écouter ça : /watch?v=ZMj3ESlcVnA

lucien a écrit:

c’est clairement ce monde-là (le gout douteux en plus), à mon avis, et il faut ajouter Busoni.
d’ailleurs, dans le livret de l’enregistrement d’Ogdon, on a droit à une analyse de Stevenson.

maintenant, il faut écouter ça : /watch?v=ZMj3ESlcVnA

Et elle a un nom, cette école internationale ?

Bah qu'est-ce qu'il a ce Prélude ?

Jof a écrit:

Bah qu'est-ce qu'il a ce Prélude ?

tu ne trouves pas ça malaisant et mesmerisant ?

Bruckner : 4e Symphonie, Barenboim/Chicago

Je l'écoute sur YT, et me vient soudain un doute sur les interprètes annoncés... parce que c'est étonnamment mal joué. Les cordes ne sont vraiment pas au niveau, l'Adagio en particulier est à faire pâlir .

Mendelssohn : Elias, Sawallisch

Un pur bonheur . - J'écoute beaucoup de Mendelssohn ces derniers temps, et la beauté inépuisable, la grâce et l'intelligence de sa musique me ravissent toujours plus.

Jof a écrit:

Vivaldi: Sonates pour violoncelle n^os 4 à 9 / Wispelwey & Florilegium

Ca m'avait été conseillé par Mélo quand j'ai démarré l'exploration du compositeur.
C'est superbe ! Je crois préférer cette classieuse sobriété à l'opulence de Gaillard.

Il y aussi une très très belle version Cocset   /Les basses réunies
http://www.deezer.com/album/251270
et par Wispelwey   /Florilegium: un superbe disque des concertos
http://www.deezer.com/album/1103569

Emeryck a écrit:

Ca te donne pas un peu mal au cœur ? Enfin, personnellement, ce flux ininterrompu de notes, ça me met pas bien à l'aise. 

lucien a écrit:

tu ne trouves pas ça malaisant et mesmerisant ?

Bah pas trop. J'entends une simple pièce contrapuntique. Avec un petit côté sournois, c'est indéniable, mais rien de bien méchant (ça serait presque sympa si c'était plus intéressant).
Mais peut-être que l'écoute de la dernière partie de l'Opus m'a complètement abruti.

xoph a écrit:

Il y aussi une très très belle version Cocset   /Les basses réunies
http://www.deezer.com/album/251270
et par Wispelwey   /Florilegium: un superbe disque des concertos
http://www.deezer.com/album/1103569

Servi sur un plateau d'argent !
Merci, je note pour quand des envies vivaldiennes me reprendront.

Alfred Schnittke (1934-1998)
• Concerto grosso N°1, version flûte et hautbois
• symphonie N°9 (version Alexander Rastakov)
Cape Philharmonic orchestra, dir. Owain Arwel Hughes, Sharon Bezaly flûte, Christophe Cowie hautbois, Grant Brasler clavecin, Albert Combrink piano


Alfred Schnittke (1934-1998)
• Concerto grosso N°1, version deux violons
The Chamber Orchestra of Europe dir. Heinrich Schiff; Gidon Kremer et Tatiana Grindenko, violons; Yuri Smirnov, piano préparé et clavecin


Alfred Schnittke (1934-1998)
• Four Hymns
Edison Denisov (1929-1996)
• Chamber Symphony
USSR Bolshoi Theatre Soloists Ensemble, dir. A. Lazarev

MUFFAT : L'intégrale des œuvres pour clavecin
Siegbert Rampe

Jof a écrit:

Merci, je note pour quand des envies vivaldiennes me reprendront.

On peut ne pas toujours avoir envie de Vivaldi?

xoph a écrit:

Luigi Boccherini (1734-1805)
• Sonates & concertos pour violoncelle (Concertos en la majeur G.475 & sol majeur G.480 - Sonates n°6 G.4 & 7 G.565 pour violoncelle et basse continue - Sonate pour violoncelle en do majeur G.17)
Bruno Cocset (violoncelle), les basses réunies

Jof a écrit:

Bah pas trop. J'entends une simple pièce contrapuntique. Avec un petit côté sournois, c'est indéniable, mais rien de bien méchant (ça serait presque sympa si c'était plus intéressant).

simple et pas très intéressant, en effet, mais je trouve ça d’une laideur assez incroyable.
(enfin, contrapuntique, j’ai des doutes, quand même, c’est juste deux lignes ininterrompues.)

xoph a écrit:

On peut ne pas toujours avoir envie de Vivaldi?

Ah moi non, sinon c'est l'indigestion.

lucien a écrit:

simple et pas très intéressant, en effet, mais je trouve ça d’une laideur assez incroyable.
(enfin, contrapuntique, j’ai des doutes, quand même, c’est juste deux lignes ininterrompues.)

Oui, certes.

Mais ça m'a rappelé une autre pièce dont je viens juste de saisir le nom : je crois que c'est l'une des Notations de Boulez qu'Emeryck avait mis dans un de ses BT.
J'y retrouve le même côté fuyant à travers tout le clavier et la même pulsation obstinée et entêtante. J'espère n'insulter personne.

Une après-midi dédiée aux "B" (sans le faire exprès) :

Beethoven, Quatuor n°14, Alban Berg
     

Beethoven, Quatuor n°15, Alban Berg
       

Bruckner, Symphonie n°5, Herreweghe
     

Bartók, Le Mandarin merveilleux, Boulez (Sony)
     


Manquait que le nom du chef pour Bruckner et j'avais un sans faute.

Jof a écrit:

Mais ça m'a rappelé une autre pièce dont je viens juste de saisir le nom : je crois que c'est l'une des Notations de Boulez qu'Emeryck avait mis dans un de ses BT.
J'y retrouve le même côté fuyant à travers tout le clavier et la même pulsation obstinée et entêtante. J'espère n'insulter personne.

taratata, aucun rapport.

Spoiler:

Je ne pensais pas si bien dire : si tu n'avais pas pris le "Sorabji" en haut à droite, je n'aurais pas pu dire qui était de qui.

bon sérieusement, ça sonne quand même très différemment.

...

non mais.

D'accord, Monsieur, pardon. J'vous contredirai plus.

Certes les phrasés diffèrent et Sorabji serpente vraiment, contrairement à l'autre qui sautille de tessiture en tessiture, mais bon...
Mais perso ça ne met pas mal à l'aise. J'attends désespérément la pièce qui arrivera à le faire.

Muffat : Armonico Tributo

LULLY : Acis et Galatée

Robert : grands motets

Jof a écrit:

Certes les phrasés diffèrent et Sorabji serpente vraiment, contrairement à l'autre qui sautille de tessiture en tessiture, mais bon...

la différence, c’est l’harmonie, non ?

En cours :

FROBERGER : Œuvres pour clavecin
Siegbert Rampe

Hidraot a écrit:

Robert : grands motets

Ça fait envie, c'est bien ?

Beethoven: symphonie n°3, 4 et 5 (Haitink, LSO).

Lecture quasi-chambriste de la troisième avec mise en avant des timbales, en sorte que c'est à celles-ci seules que semble dévolu le rôle d'affirmer la puissance beethovénienne. Plus étrange que convaincant   . Haitink s'en sort mieux avec la cinquième...

Moussorgski, Chants et danses de la mort (1875–77)
Sviridov, Russie sans amarres (1977)

        Lina Mkrtchyan, alto
        Evgeny Talisman, piano

lucien a écrit:

la différence, c’est l’harmonie, non ?

Ah oui, aussi.
__________

Szymanowski: Mythes / Danczowska & Zimerman




Mozart: Quatuors à cordes n^os 14 à 16 / Talich SQ

Je suis emballé.

Georgi Sviridov (1915–1998),

  Petersbourg d’après Blok (1975/95)
  Six Romances d’après Pouchkine (1935)

        Dmitri Hvorostovsky, baryton
        Mikhail Arkadiev, piano

Mendelssohn : Romances sans paroles ( Barenboim)

Roderick a écrit:

Hidraot a écrit:

Robert : grands motets

Ça fait envie, c'est bien ?

C'est génial. Après c'est assez différent de ce qu'on trouve à cette époque. C,est totalement dénué de toute théâtralité, de la religiosité à l'état pur, beaucoup de retenu et historiquement la base du motet versaillais.
On en parle un peu ici : https://classik.forumactif.com/t6487-la-musique-sacree-au-xvii-xviii-siecle-contexte-et-disques?highlight=sacr%E9e

Merci, je m'en vais écouter ça...

Langlais: - 5 Motets, op. 8 / Hassler
- 3 Prières, op. 65 / Hassler
- Missa misericordae / Ensemble vocal Jean Sourisse, dir. Sourisse
Vincent Warnier (orgue du Antony collège)

Superbe, ce disque avec les 3 messes.
C'est fou comme Langlais peut faire le pont entre Tournemire et Duruflé d'un côté, et Tournemire et Messiaen de l'autre.

Emeryck a écrit:

Schubert : Fantaisie en fa mineur     1828 / Lupu, Perahia

Claudio Monteverdi (1567–1643)
Madrigaux livre VI
Concerto Italiano, dir. Rinaldo Alessandrini
(une meilleure porte d'entrée pour moi que les vêpres)

Emeryck a écrit:

Liszt : Sonate pour piano     1854 / Laplante

Liszt, Années de pèlerinage II : Italie, Lazar Berman

Schubert : Voyage d'hiver.

Encore une autre version et je n'en arrive toujours pas à bout.
Je crois que je me suis un peu lassé de Schubert...
Tenez !
Je vais de ce pas m'en confesser.

Claudio Monteverdi (1567–1643)
Madrigaux livre VIII
•"Altri canti d'amor, tenero arciero"
The Consort of Musicke, Anthony Rooley

Mantovani, Quatuor à cordes nº2 (2014).  Quatuor Voce

Boulez, Dérive 1 (1984).  EIC (Boulez)

Chostakovitch, Trio pour piano n°2, Kremer/Argerich/Maisky

Haydn:Symphonie n°102 (Jochum)

Anthony a écrit:

Chostakovitch, Trio pour piano n°2, Kremer/Argerich/Maisky

C'est vraiment bien. Ça me confirme ce que je pressentais déjà, à savoir que le Chosta de chambre me parle plus que celui des symphonies.

Chostakovitch, Quintette pour piano et cordes, Nash Ensemble

Scriabine: Symphonie n°1/Kitaenko