Playlist (103)

Misato Mochizuki (1969–),

  Si bleu, si calme pour ensemble (1997)
  All that is including me pour flute basse, clarinette et violon (1996)
  Chimera pour ensemble (2000)
  Intermezzi I pour flute et piano (1998)
  La chambre claire pour ensemble (1998)

        Marino Formenti, piano
        Eva Furrer, flute
        Sophie Schafleitner, violon
        Bernhardt Zachhuber, clarinette
        Klangforum Wien
        Johannes Kalitzke, direction

Horatio a écrit:

Mahler : Adagio de la 10e symphonie, Bernstein/Vienne

Malgré tout le reste, je crois que c'est ce qu'il a écrit de plus bouleversant.

Horatio !

Tiens justement, aujourd'hui

Mahler, Symphonie n°10 (version complétée par Mazetti), Ashkenazy


Je ne suis toujours pas convaincu par les mouvements centraux, mais le finale est très beau dans cette version.

C'est assez amusant quand on y pense. Mahler a pu orchestré avant sa mort (certes de manière parcimonieuse dans certaines particelles) jusqu'au milieu du Purgatorio. Il est vrai que le deuxième scherzo me semble (pour moi) être le mouvement le moins convaincant (Derrick Cook met trop de solos de clarinette, l'instrument de Mahler c'est le cor anglais !)

Wolfgang Rihm, Verwandlung VI pour orchestre (2014).  Essener Philharmoniker (Tomáš Netopil)

oh! encore le douzième quatuor !

ovni231 a écrit:

C'est assez amusant quand on y pense. Mahler a pu orchestré avant sa mort (certes de manière parcimonieuse dans certaines particelles) jusqu'au milieu du Purgatorio. Il est vrai que le deuxième scherzo me semble (pour moi) être le mouvement le moins convaincant (Derrick Cook met trop de solos de clarinette, l'instrument de Mahler c'est le cor anglais !)

Oui le 4e mouvement est vraiment longuet. Par contre j'aime bien le Purgatorio. Tu as raison, c'était le mouvement le plus avancé (après l'adagio bien sûr) avant sa mort. Pour le reste, nous sommes condamnés à n'être jamais totalement satisfaits, néanmoins je suis heureux que ces versions reconstituées existent. L'adagio fonctionne bien en écoute seule, mais je trouve qu'il est quand même dommage de se priver du final très émouvant.

Anthony a écrit:

ovni231 a écrit:

C'est assez amusant quand on y pense. Mahler a pu orchestré avant sa mort (certes de manière parcimonieuse dans certaines particelles) jusqu'au milieu du Purgatorio. Il est vrai que le deuxième scherzo me semble (pour moi) être le mouvement le moins convaincant (Derrick Cook met trop de solos de clarinette, l'instrument de Mahler c'est le cor anglais !)

Oui le 4e mouvement est vraiment longuet. Par contre j'aime bien le Purgatorio. Tu as raison, c'était le mouvement le plus avancé (après l'adagio bien sûr) avant sa mort. Pour le reste, nous sommes condamnés à n'être jamais totalement satisfaits, néanmoins je suis heureux que ces versions reconstituées existent. L'adagio fonctionne bien en écoute seule, mais je trouve qu'il est quand même dommage de se priver du final très émouvant.

Il y a pleins de passages ultra-joussif dans le finale, je suis parfaitement d'accord.

Ravel : Trio avec piano, Richter/Kagan/Gutman (live)

Je préfère des versions plus diaphanes, celle-ci est presque trop robuste. Ça reste magnifique.

Anthony a écrit:

ovni231 a écrit:

Il est vrai que le deuxième scherzo me semble (pour moi) être le mouvement le moins convaincant (Derrick Cook met trop de solos de clarinette, l'instrument de Mahler c'est le cor anglais !)

Oui le 4e mouvement est vraiment longuet.

Je suppose que vous vous en foutez, mais le second scherzo est le mouvement que je préfère avec l'adagio, et un de mes deux ou trois scherzos préférés de Mahler... Voilà.

trois fois :

Rihm, Interscriptum, Duo für Streichquartett und Klavier (2000/2).  Arditti SQ / Hodges



pour tout le monde : /watch?v=7gZALN_-49o

Rihm : Interscriptum pour quatuor à cordes et piano     2000-02 / Arditti String Quartet, Hodges

Gounod, Mireille - Cluytens
Spéciale dédicace à Poly
C'est chouette, ça me change de Etcheverry avec qui j'avais découvert ça.

Tu n'as plus qu'à tenter la version Plasson

calbo a écrit:

Tu n'as plus qu'à tenter la version Plasson

Ah bon ? Il me fait peur maintenant. Depuis qu'il m'a gâché Werther et Padmavati, je me méfie un peu. Une partie de mon cerveau somnole par réflexe rien qu'en voyant son nom

Guillou: - Jeux d'orgue, improvisations sur des thèmes imposés
- Visions cosmiques, improvisations dédiées à l'équipage d'Apollo 8
- Improvisations sur des Noëls traditionnels
- Improvisation sur un thème de Purcell

A St-Eustache bien sûr.
C'est de mauvais goût (comme on n'a pas les ambiances apocalyptiques des impros dominicales, c'est vraiment kitsch), mais j'aime.

Déchéance vers les genres subalternes en deux jours :

– hier, opéra seria (divers Haendel) ;
– aujourd'hui, musical (Porter et Schwarz) ;
– ce soir, chanson (J. Mitchell, Bruel).

À ce rythme, demain je mets de la dance et après-demain du Glass.

Abnegor a écrit:

calbo a écrit:

Tu n'as plus qu'à tenter la version Plasson

Ah bon ? Il me fait peur maintenant. Depuis qu'il m'a gâché Werther et Padmavati, je me méfie un peu. Une partie de mon cerveau somnole par réflexe rien qu'en voyant son nom

Sa direction est discutable aussi dans Mireille, mais ce n'est pas du tout neutre comme Werther ou mou comme Padmâvatî. La version vaut vraiment l'écoute pour le plateau masculin (Vanzo et van Dam à leur faîte !), même si l'orchestre est capté de façon un peu opaque et si Freni est difficile à sauver.

OK, si je la croise, je tenterai donc l'aventure

J. Mitchell ? C’est dommage, à une lettre près ça aurait pu être autrement plus sympa ! 

Michel Blavet (1700-1768) :

Concerto pour flûte en la mineur

= Jean-Pierre Rampal ; Jean-François Paillard, Ensemble instrumental Jean-Marie Leclair

(Erato, avril 1955)

DavidLeMarrec a écrit:

Abnegor a écrit:

calbo a écrit:

Tu n'as plus qu'à tenter la version Plasson

Ah bon ? Il me fait peur maintenant. Depuis qu'il m'a gâché Werther et Padmavati, je me méfie un peu. Une partie de mon cerveau somnole par réflexe rien qu'en voyant son nom

Sa direction est discutable aussi dans Mireille, mais ce n'est pas du tout neutre comme Werther ou mou comme Padmâvatî. La version vaut vraiment l'écoute pour le plateau masculin (Vanzo et van Dam à leur faîte !), même si l'orchestre est capté de façon un peu opaque et si Freni est difficile à sauver.

Cluytens est aussi vraiment superbe... Sinon tu peux aussi tenter le DVD par Minko... c'est encore différent!

Abnegor a écrit:

calbo a écrit:

Tu n'as plus qu'à tenter la version Plasson

Ah bon ? Il me fait peur maintenant. Depuis qu'il m'a gâché Werther et Padmavati, je me méfie un peu. Une partie de mon cerveau somnole par réflexe rien qu'en voyant son nom

Les + : Vanzo (excellent Vincent), Van Dam (Ourrias inégalable), Bacquier (Ramon génial entre tous), Rhodes (Taven exceptionnelle)

Les - : Ah bon, il y en a ?

Et puis Plasson mène son orchestre de main de maitre.

Michel Corrette (1709-1795) :

Concerto en sol majeur, Op. 3 n°6

= Jean-Pierre Rampal, Robert Hériché, Christian Lardé, flûte ; Marie-Claire Alain, orgue ; Michel Tournus, violoncelle

(Erato, avril 1956)

Je connaissais pas cette oeuvre. Ca sonne assez bizarroïde comme alliance instrumentale.

ovni231 a écrit:

Et vive la trompette !

Justement, ça donne l'impression d'être de la musique pour soaps américains...

Chosta: Symphonie n°7 "Leningrad"
K. Petrenko / RAI

(sur tontube)



Jamais entendu un premier mouvement comme ça. C'est délirant, chaque note est tendue, c'est anguleux, précis, la gestion des strates est époustouflante. Et avec la RAI de surcroît, dont les cuivres sont ce qu'ils sont!

Kirill Petrenko va devenir le plus grand chef de notre temps.

Pierre Henry (1927-) :

L'Apocalypse de Jean


Premier temps : Dans l'Adoration, le livre aux sept sceaux est reçu

Titre-révélation - Jean à Patmos - Le trône - Le livre

Deuxième temps : Les premières détresses, le septième sceau et les sept trompettes

Les quatre cavaliers - Les âmes crient - Les astres tombèrent - Aucun vent sur la terre - Il y eut dans le ciel un silence - Encensoir-tonnerre - Cataclysmes II - Septième trompette


= Jean Négroni, récitant ; Pierre Henry, réalisation sonore

(Philips, studio Apsome de Paris, 1968)

Un peu contraint par mes préparatifs, donc pas trop de temps d’écouter beaucoup ni de développer (et puis comme tous ces jours-ci: du clavecin et du contemporain allemand):

● Rameau: Pièces de clavecin
Céline Frisch (clavecin Jean-Henry Hemsch, 1751)
Alpha, 2007
Pas forcément saillant en termes d’interprétation, mais il y a quand même une belle éloquence dans l’articulation et les phrasés. Belle sonorité aux harmoniques très riches. Mélo, Plenum, xoph, vous en pensez quoi, vous? Sinon, j’ai assez envie d’essayer Cuiller et Esfahani - vous recommanderiez?

● Ernstalbrecht Stiebler: ...Im Klang I...
Teodoro Anzellotti (accordéon)
hat[now]ART, 1997
Etonnant. Complètement feldmanien (ce qui est assez étonnant de la part d’un allemand): des agrégats non-fonctionnels (plus que dissonants), distendus et répétés. Mais avec les harmoniques et les vibrations propres à l’accordéon, cela a quelque chose de finalement personnel - et de vraiment envoûtant.

Madetoja: symphonies nos 2 et 3. Label Chandos.

Bruckner: symphonie no 9. Sinopoli, Dresden Staatskapelle (DGG).

Bruckner: symphonie no 9. Orchestre symphonique de Gothenburg, Gustavo Dudamel (DGG).

Mélomaniac a écrit:

Pierre Henry (1927-) :

L'Apocalypse de Jean


Premier temps : Dans l'Adoration, le livre aux sept sceaux est reçu

Titre-révélation - Jean à Patmos - Le trône - Le livre

Deuxième temps : Les premières détresses, le septième sceau et les sept trompettes

Les quatre cavaliers - Les âmes crient - Les astres tombèrent - Aucun vent sur la terre - Il y eut dans le ciel un silence - Encensoir-tonnerre - Cataclysmes II - Septième trompette


= Jean Négroni, récitant ; Pierre Henry, réalisation sonore

(Philips, studio Apsome de Paris, 1968)

C'est donc chouette ce bidule ? J'ai le coffret de vinyles avec ça (j'ai eu ça un peu en prix de gros), mais je n'ai toujours pas osé l'écouter  
Faut dire que j'ai aussi la Messe pour le temps présent, et je n'en pas pensé grand-chose (ni en bien, ni en mal d'ailleurs, sauf pour les "variations pour porte et un soupir", là je me serais bien passé de la découverte).

Sinon, ici hier soir :
Bach, Péludes et Fugue  533 / 531 / 535, Fantaisie et Fugue inachevée 562 - Chapuis
Haydn, Arias "Vada adagio, Signorina" et "Infelice sventura", Cantate "Miseri noi, Misera patria" - Edith Mathis / Armin Jordan

Guillaume a écrit:

Chosta: Symphonie n°7 "Leningrad"
K. Petrenko / RAI

(sur tontube)



Jamais entendu un premier mouvement comme ça. C'est délirant, chaque note est tendue, c'est anguleux, précis, la gestion des strates est époustouflante. Et avec la RAI de surcroît, dont les cuivres sont ce qu'ils sont!

Kirill Petrenko va devenir le plus grand chef de notre temps.

On reconnait bien là ton legitimisme.

Bruckner: Symphonie n° 2 (Nowak, 1877) (Giulini, Wiener Symphoniker). Excellent dans son genre. Bien sûr, on aime ou on n'aime pas Giulini dans Bruckner. Toutes les caractéristiques de ses futurs enregistrements viennois sont ici contenues en germe, mais pas encore pleinement déployées: statisme (l'anti Wand), tendance systématique à mettre en valeur le chant et les contre-chants, parfois au détriment de l'architecture, lenteur relative … On peut évidemment imaginer tout autre chose...

Bartók, Trois études (1918).  Kocsis

Bartók, Quatre nénies (1910).  Sándor

Je n'ai pas eu trop le temps d'écouter du classique ces derniers jours ...

Ravel : La Valse, M. 72 - Philippe Jordan : Orchestre et Choeur de l'opéra national de Paris


Debussy:
Nocturnes, L 91 - Pierre Boulez: Cleveland Orchestra
 

Première Rhapsodie pour Clarinette - Franklin Cohen; Pierre Boulez: Cleveland Orchestra

Bruckner, Symphonie n°5, Wand (Berlin)


Une version d'une clarté et d'une lisibilité remarquables, qui aide grandement à pénétrer dans ce qui est loin d'être la symphonie la plus digeste de Bruckner.

Brahms: concertos pour piano n° 1 et 2 (DVD, Zimerman, Bernstein, Wiener Philharmoniker).

Rihm, Streichquartett Nr. 13 (2011).  Arditti Quartet
Dusapin, Quatuor VII (2009).  Arditti Quartet

Debussy: La Mer, L 109 - Boulez: Cleveland Orchestra

Scriabin:
Piano Sonata Nos. 5, 6, 7 "White Mass", 9 "Black Mass"
Fantasie en si mineur, Op. 28
Bernd Glemser

Je préfère Sutanov dans l'introduction de la Sonate No. 5, versions un peu moins violente, mais à part ça la version de Glemser me plaît beaucoup.

Bruckner: symphonie n°5 (DVD, Thielemann, Staatskapelle de Dresde). Thielemann est ici plutôt décevant; ça ronronne ...

Eduard Tubin : Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)
Symphonie No. 10 (1973)/Neeme Järvi

Wagner, L'or du Rhin - Böhm


Wilhelm Friedmann Bach, Concerto Pour Clavecin Et Orchestre En Ut Mineur - Pelleg / Rodan
Johann Christian Bach, Concerto Pour Clavecin Et Orchestre En Mi Bémol - Pelleg / Rodan
CPE Bach, Concerto Pour Clavecin Et Orchestre En Ré Mineur - Pelleg / Rodan

Domenico Scarlatti (1685-1757) :

Sonates, Kk. 156-172

= Scott Ross, clavecin

(Erato, 1984-85)

Luys de Narvaez (1490-1547) :

Quelques Fantaisies des Premier et Second Livres

= Hopkinson Smith, vihuela de mano

(Astrée, septembre 1988)

Du Ravel orchestral par Karajan, Orchestre de Paris

Alborada del gracioso


Rhapsodie espagnole


Le Tombeau de Couperin


La Valse


Boléro