Playlist (103)

Jean Sibelius (1865-1957) :

Symphonie n°5 en mi bémol Op. 82

= Colin Davis, Orchestre symphonique de Boston

(Philip, janvier 1975)

Mélomaniac a écrit:

Jean Sibelius (1865-1957) :

Symphonie n°5 en mi bémol Op. 82

= Colin Davis, Orchestre symphonique de Boston

(Philip, janvier 1975)

40 ans après, ça reste très bien, je trouve. Ample, mais clair. D'ailleurs, je suis en train d'écouter la cinquième à cet instant...

Jean Sibelius (1865-1957) :

Symphonie n°4 en la mineur, Op. 63

= Herbert Kegel, Orchestre symphonique de la Radio de Leipzig

(Eterna, décembre 1967)

Une lecture à la fois somptueuse et oppressante, ample et ciselée, précise et insidieuse, -très klimtienne en somme.
Assurément dans le top 5 des enregistrements les plus intéressants de cette oeuvre énigmatique.

Poursuite du marathon Matthies-Köhn :

=> Brahms – Quatuor avec piano n°2 à quatre mains
=> Brahms – Valses à quatre mains
=> Brahms – Symphonie n°3 à quatre mains
=> Brahms – Deutsches Requiem à quatre mains
=> Dvořák – Danses slaves à quatre mains
=> Dvořák – Légendes à quatre mains
=> Dvořák – Scènes de Bohême à quatre mains


Et maintenant :

=> Bacewicz – Quatuor n°6 – Lutosławski SQ
=> Bacewicz – Quatuor n°1 – Lutosławski SQ
=> Bacewicz – Quatuor n°3 – Lutosławski SQ

Brahms : concerto pour piano n°1/Curzon-Szell (1960)
Schubert : sonate pour piano D.960/Curzon (1970)

Wilhelm Killmayer (1927–), Hölderlin-Lieder für Tenor und Orchester (1982–87)

        Peter Schreier, ténor
        (Philipp Jungebluth, soprano enfant)
        Radio-Philharmonie Hannover des NDR
        Bernhard Klee, direction



@Benedictus : lui, il est quand même bien néo.

Liszt:Dante Symphonie (Sinopoli)

Un grand et beau voyage...

Et la confirmation que Wagner est le plus grand fan de Liszt.

lucien a écrit:

Wilhelm Killmayer (1927–), Hölderlin-Lieder für Tenor und Orchester (1982–87)

        Peter Schreier, ténor
        (Philipp Jungebluth, soprano enfant)
        Radio-Philharmonie Hannover des NDR
        Bernhard Klee, direction

Je crois que tu as oublié d'écrire un long commentaire concernant ton appréciation de l'oeuvre.

j’ai dit que c’était néo.

Jean Sibelius (1865-1957) :

Quatre Légendes, Op. 22

Lemminkaïnen et les filles de l'île - Le cygne de Tuonela - Lemminkaïnen à Tuonela - Le retour de Lemminkaïnen

= Thomas Jensen, Orchestre symphonique de la Radio danoise

(Decca, juillet 1953)

Janacek :

Quatuor n°2 dit Lettres intimes - Quatuor Jerusalem

Manuel de Falla (1876-1946) :

L'Amour sorcier

= Corinne Vozza, contralto ; Jean Martinon, Orchestre des Concerts Lamoureux

(Philips, novembre 1955)

Gérard Grisey (1946-1998) :

Le Noir de l'Etoile, pour six percussionnistes disposés autour du public, bande magnétique et transmission in situ de signaux astronomiques

= Les Percussions de Strasbourg

(Accord, live Cité de la Musique, mars 2003)

Avec intro par un récitant qui nous rappelle ce qu'est un pulsar.
Pour métal et peaux uniquement, sans claviers.
Une heure, c'est long pour cette musique qui régénère peu son propos et finit comme les pulsars : lourdeur extrême qui tourne en rond

Bémol a écrit:

Janacek :

Quatuor n°2 dit Lettres intimes - Quatuor Jerusalem

oui, c'est vraiment excellent! J'ai découvert cette interprétation après l'écoute en aveugle de Pipus et j'avais les repères pour l'apprécier à sa juste valeur.

Mélomaniac a écrit:

Avec intro par un récitant qui nous rappelle ce qu'est un pulsar.
Pour métal et peaux uniquement, sans claviers.
Une heure, c'est long pour cette musique qui régénère peu son propos et finit comme les pulsars : lourdeur extrême qui tourne en rond

même si cela est remis en question dans certaines de ses dernières œuvres (mais pas celle-ci), la lenteur reste caractéristique de la musique de Grisey... moi j’aime beaucoup ces jeux de percussions.

Oui, je veux bien concéder un certain pouvoir de fascination (de sidération) où joue la lenteur de la temporalité. De fait je me suis pas ennuyé, mais quand même les procédés sonores ne sont ni très riches ni très variés.

Bon, là j'écoute Bibilolo de Marc Monnet (1947-), pour électroniques.

Je trouve ça déb... sans queue ni tête, c'est normal ?

je n’aime pas beaucoup Monnet en général, mais je ne connais pas cette œuvre.
pour Grisey, essaie peut-être des œuvres pour ensemble ou orchestre ; bon, mon œuvre préférée reste le Prologue pour alto solo. Murail voire Dufourt te parleront peut-être plus.

lucien a écrit:

je n’aime pas beaucoup Monnet en général, mais je ne connais pas cette œuvre.

55 minutes de gazouillis, crépitements et autres bruitages électroniques où le vocabulaire me manque.
C'est frais et assez humoristique, mais là vraiment désolé, on est aux franges de ce que je pourrais appeler musique.
Je suis pas réfractaire à l'électro-acoustique (j'aime bien Henry en général et son Apocalypse en particulier) mais à condition qu'il y ait une teneur poétique, un projet identifiable (ne parlons même pas de nécessité).

Bon, je préfère dire que je ne suis pas assez familier de ce répertoire pour en apprécier les subtilités

il y a beaucoup de choses que je ne connais pas sur ce coffret, mais je retiendrais déjà au moins Matalon, Dufourt, Louvier, Serocki et Sylvestrov.
(et Grisey, donc.)
EDIT. et il y a bien sûr le cd Messiaen, mais ce n’est pas vraiment un répertoire spécifique.

Eusèbe a écrit:

Bémol a écrit:

Janacek :

Quatuor n°2 dit Lettres intimes - Quatuor Jerusalem

oui, c'est vraiment excellent! J'ai découvert cette interprétation après l'écoute en aveugle de Pipus et j'avais les repères pour l'apprécier à sa juste valeur.

Je l'ai, de mon côté, connue avant et je dois dire qu'elle tenait lieu, sans que je le veuille, de maître-étalon. Leur jeu, aux Jerusalem, précis et généreux sied à merveille au Janacek des Lettres. Les as-tu entendus ailleurs ? J'ai souvenir d'une Jeune fille et la Mort un peu trop rapide et brutale à mon goût.

Avant le dodo

Monsieur Alifie !!!!!!

tod !

Elena Firsova : Chamber Concerto No. 4 for horn and ensemble

Wim Timmermans, horn
Schönberg Ensemble
Paradiso, Amsterdam
October 8, 1996

DAB broadcast (Dutch Radio 4)

Claudio Monteverdi - Madrigali amorosi - Arts Florissants_Paul Agnew (18/05/15)

Liszt:Faust Symphonie (Bernstein DG)

Ambitieux (un peu long par endroits quand même)

arnaud bellemontagne a écrit:

Liszt:Faust Symphonie (Bernstein DG)

Ambitieux (un peu long par endroits quand même)

Mais Bernstein défend bien l'oeuvre je trouve  …

Lucien Durosoir :




Sublime méticulosité, miroitements à la surface de l'ineffable.

Annette Schlünz (1964–),

  Traumkraut, Musik für 8 Spieler (1995).  Thürmchen Ensemble (Roland Kluttig)
  Tout est rêver für Sopran, Klarinette und Schlagzeug (1992).  Accroche Note
  Fadensonnen, Musik für 17 Instrumente (1993).  pro musica nova (Klaus Bernbacher)
  Taubenblaue Schatten haben sich vermischt, Kammermusik für Flöte und Gitarre (1990).  Volker Höh / Georg Mertens
  Ornithopoesie für 12 Gesangssolisten (1989).  Musicatreize (Roland Hayrabedian)
  Et la pluie se mit à tomber, Musik für 6 Schlagzeuger (1994).  Percussions de Strasbourg

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Toccata et Fugue en ré mineur BWV 565, en ré majeur BWV 532, en ré mineur BWV 538, en fa majeur BWV 540

= Léon Berben, orgue Hagerbeer-Schnitger de l'église Saint-Laurent d'Alkmaar

(Ramée, mai 2008)

Liszt:Sonate en si mineur (Argerich)

Monumental

Bartók, Musique pour cordes, percussion et célesta (1936).  Boston SO (Reiner)
Bartók, Concerto pour piano nº3 (1945).  Ránki / ÁHZ (Ferencsik)

Au programme ce soir :  

Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Symphonie n°8 en ut mineur, Op. 65

= Semyon Bychkov, Orchestre philharmonique de Berlin

(Philips, mars 1990)

Mélomaniac a écrit:

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Toccata et Fugue en ré mineur BWV 565, en ré majeur BWV 532, en ré mineur BWV 538, en fa majeur BWV 540

= Léon Berben, orgue Hagerbeer-Schnitger de l'église Saint-Laurent d'Alkmaar

(Ramée, mai 2008)

Que de choses superbes, mais pour la photo du haut point de St-Laurent mais plutôt l'édifice de la Chambre de poids
Au fait l'interprétation te plait? (et as tu écouté sa récente intégrale Sweelinck?)

Boris Tichtchenko (1939-2010) :

Symphonie n°2, Op. 28,
pour choeur mixte et grand orchestre, d'après des paroles de Marina Tsvetaeva

= Edouard Chivzel, Choeur du Conservatoire d'Etat de Petrozavodsk, Orchestre philharmonique de Carélie

(Northern Flowers, décembre 1973)

Tichtchenko, Quatuor à cordes nº4 (1980).  Quatuor Glazounov
Chostakovitch, Quatuor à cordes nº14 (1973).  Quatuor Borodine

Revlà Titi …  J'ai même retenu son nom   . Comme quoi, le jeu des compositeurs, ça sert à qqch  ...

C'est pas chic de sous-entendre que Lucien me copie...

Et en plus il n'exprime même pas son avis sur ce qu'il écoute

Mélomaniac a écrit:

C'est pas chic de sous-entendre que Lucien me copie...

je t’ai même copié un Boesmans, il y a pas longtemps.
pour Henry, on va encore attendre.

cela dit, pour Titi, je trouve le troisième quatuor encore largement supérieur au quatrième... bizarrement, David et Benedictus n’ont pas l’air d’accord.

Alfred Schnittke (1934-1998) :

Symphonie n°1

= Leif Segerstam, Orchestre philharmonique de Stockholm

(Bis, octobre 1992)

Houla, elle est voyante ta pochette

Je crois trouver l'explication du pourquoi il ne répond pas à la question de Xoph de tout à l'heure, les couleurs l'aveuglent.

Tikhon Khrennikov (1913-2007) :

Concerto pour piano et orchestre n°4, Op. 37

= Anatoli Cheloudiakov ; Levon Ambartsoumian, Orchestre de chambre Arco

(Melodiya, 1993)

Ferneyhough, La Chute d’Icare pour clarinette et ensemble (1988).  Rosman / Elision (Deroyer)

lucien a écrit:

cela dit, pour Titi, je trouve le troisième quatuor encore largement supérieur au quatrième... bizarrement, David et Benedictus n’ont pas l’air d’accord.

Tiens, je l'écoute, pour la peine, ce troisième Quatuor de Tichtchenko par les Glazunov. Le JDC est loin maintenant.

C'est terriblement oppressant, j'y reviendrai.

Tout un bémol quoi?

A la suite de l'échange avec Bémol sur le quatuor de Jérusalem



Ca mériterait peut-être que je développe mes impressions sur un fil Schubert ou qu'on ouvre un fil Quatuor de Jérusalem.