Playlist (121)

Debussy :Jeux (Haitink)

Une partition dont on arrive pas à épuiser le mystère, un peu comme la 7ème de Sibelius.

Fascinant.

André a écrit:

Ravélavélo a écrit:

W. A, Mozart
* Symphonies nos 25 & 29
Berlin Radio Symphony Orchestra
Lorin Maazel

A ranger aux côtés de Krips et Mackerras.

Ah, les disques Quintessence ! Quelles merveilles s'y cachaient...

Oui, et c'était vendu à bon marché.

J'en ai quelques autres tout aussi remarquables:

Prokofiev: Semyon Kotko/Blu-Ray Gergiev

Je continue ma découverte :
Bruckner : Symphonie N°6


Roberto Paternostro/Württembergishe Philarmonie Reutlingen, recorded Basilika Weitgarten Live 05.07.2003.

Cher Benedictus,
 ,je ne me suis pas vexé du tout. Mais j'avais repris tout mon sérieux lorsque je t'invitais à écouter cette version inconnue et, je le répète, Live.
S'il a beau ne rien comprendre à Bruckner, un amateur dilettante d'orchestration étoffée peut subodorer la joliesse d'une interprétation.
 Après, s'il y a contresens envers la pensée du Maître, c'est un autre propos ; il n'est pas non plus bien certain que la martingale, celle qui nous fera tous brucknériens, se trouve dans tes versions fétiches.

 Alors je continue ma découverte, dans la continuité plutôt que par extraits...(Avec le handicap majeur d'être encore un auditeur ponctuel du soir puisque mon baladeur est toujours en mono !).

PS : j'ai biffé le malheureux terme "Imbécile" (de toute manière enchâssé dans beaucoup trop de virgules pour que ce soit bien clair. Je présente mes excuses...) pour le remplacer par celui, plus approprié de "Saugrenue" que j'aurais préféré trouver avant hier s'il n'avait été si tard.
  Personne, j'espère, ne pensera que je te juge saugrenu(e), ou un sot grenu (on ne se connaît pas assez) ; Or, well, he's so Grenue, isn't it ? Pas plus.

tod a écrit:

Cher Benedictus,
 ,je ne me suis pas vexé du tout.

et   , donc.

tod a écrit:

recorded Basilika Weitgarten Live 05.07.2003. [...]
Mais j'avais repris tout mon sérieux lorsque je t'invitais à écouter cette version inconnue et, je le répète, Live.

Je tâcherai en effet d'écouter ça. Ce qui me fait cependant un peu peur, c'est qu'il s'agisse d'un live réalisé dans un lieu de culte - conditions vraiment peu favorables à Bruckner, en termes d'acoustique (entre autres parce que la réverbération y tue les pauses, essentielles chez Bruckner). Il y a pas mal de versions potentiellement grandes qui ne s'en relèvent pas (5ᵉ par Jochum en l'abbatiale d'Ottobeuren, 8ᵉ par Wand en la cathédrale de Lübeck).

tod a écrit:

un amateur dilettante d'orchestration étoffée peut subodorer la joliesse d'une interprétation.

tod a écrit:

il n'est pas non plus bien certain que la martingale, celle qui nous fera tous brucknériens, se trouve dans tes versions fétiches.

Ah, mais mes versions fétiches à moi, ce n'est pas celles que je citais (les intégrales Wand et Jochum ou les enregistrements est-allemands du coffret Brilliant) - ces dernières sont plutôt celles qui semblent être les versions de découverte les plus évidentes.
Cela dit, mes versions fétiches, justement, peuvent difficilement prétendre faire de tous des brucknériens (déjà qu'elle sont loin de faire l'unanimité chez les brucknériens eux-mêmes - d'abord et avant tout, pour moi, l'intégrale, live elle aussi, mais dans une vraie salle de concert, mais en 1953, de Volkmar Andreae avec les Wiener Symphoniker).
Et même, elles risquent de méchamment prendre à rebrousse-poil un «amateur dilettante d'orchestration étoffée» susceptible de goûter «la joliesse d'une interprétation»: il s'agit plutôt de lecture assez cravachées, rarement jolies, mais assez intenses et lisibles.

tod a écrit:

(de toute manière enchâssé dans beaucoup trop de virgules pour que ce soit bien clair. Je présente mes excuses...)

Tu as d'autant moins d'excuses à présenter qu'il n'y a jamais eu de malentendu entre nous sur ce point.

Vidéos de la Philharmonie de Berlin:

Adams: Harmonielehre/Adams

+

Szymanowski: Stabat mater/Rattle

+

Benedictus a écrit:

tod a écrit:

recorded Basilika Weitgarten Live 05.07.2003. [...]
Mais j'avais repris tout mon sérieux lorsque je t'invitais à écouter cette version inconnue et, je le répète, Live.

Je tâcherai en effet d'écouter ça. Ce qui me fait cependant un peu peur, c'est qu'il s'agisse d'un live réalisé dans un lieu de culte - conditions vraiment peu favorables à Bruckner, en termes d'acoustique (entre autres parce que la réverbération y tue les pauses, essentielles chez Bruckner). Il y a pas mal de versions potentiellement grandes qui ne s'en relèvent pas (5ᵉ par Jochum en l'abbatiale d'Ottobeuren, 8ᵉ par Wand en la cathédrale de Lübeck).

 

Ah !
Je te remercie de parler de ça !
Car, pendant que j'écrivais le message "imbécile", j'ai écouté plusieurs fois les deux premières minutes (et le reste !) du premier mouvement de la 5éme symphonie.
Peu étonné par les vagues puissantes, mais surtout éberlué par le silence sans ressac qui les espace !
(tellement occupé à écrire mes bêtises que j'ai oublié d'en parler !)
 Tu me soupçonnerais à tort d'une mauvaise fois opportuniste ! Car c'est une beauté qui m'a séduit !

  Dans ces étals, on n'y entend pas même une page se tourner !
Ils sont peut-être artificiellement dus à un ingénieur du son particulièrement attentif, mais l'effet est bouleversant !

Mais il faut bien que les cuivres résonnent encore un peu quand on veut qu'ils sonnent ! ou alors il faut alentir ad nauseam ....

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.10, 3e mouvement (DSCH)
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan

En complément de programme, si vous ne craignez pas trop le dépaysement musical, ovni231 nous offre sa [u]Music for DSCH (2017).

Spoiler:

Debussy: Images pour orchestre (Haitink)

Mahler : Symphonie n°3 (Boulez)

Benedictus a écrit:

tod a écrit:

Cher Benedictus,
 ,je ne me suis pas vexé du tout.

et   , donc.

tod a écrit:

recorded Basilika Weitgarten Live 05.07.2003. [...]
Mais j'avais repris tout mon sérieux lorsque je t'invitais à écouter cette version inconnue et, je le répète, Live.

Je tâcherai en effet d'écouter ça. Ce qui me fait cependant un peu peur, c'est qu'il s'agisse d'un live réalisé dans un lieu de culte - conditions vraiment peu favorables à Bruckner, en termes d'acoustique (entre autres parce que la réverbération y tue les pauses, essentielles chez Bruckner). Il y a pas mal de versions potentiellement grandes qui ne s'en relèvent pas (5ᵉ par Jochum en l'abbatiale d'Ottobeuren, 8ᵉ par Wand en la cathédrale de Lübeck).

tod a écrit:

un amateur dilettante d'orchestration étoffée peut subodorer la joliesse d'une interprétation.

tod a écrit:

il n'est pas non plus bien certain que la martingale, celle qui nous fera tous brucknériens, se trouve dans tes versions fétiches.

Ah, mais mes versions fétiches à moi, ce n'est pas celles que je citais (les intégrales Wand et Jochum ou les enregistrements est-allemands du coffret Brilliant) - ces dernières sont plutôt celles qui semblent être les versions de découverte les plus évidentes.
Cela dit, mes versions fétiches, justement, peuvent difficilement prétendre faire de tous des brucknériens (déjà qu'elle sont loin de faire l'unanimité chez les brucknériens eux-mêmes - d'abord et avant tout, pour moi, l'intégrale, live elle aussi, mais dans une vraie salle de concert, mais en 1953, de Volkmar Andreae avec les Wiener Symphoniker).
Et même, elles risquent de méchamment prendre à rebrousse-poil un «amateur dilettante d'orchestration étoffée» susceptible de goûter «la joliesse d'une interprétation»: il s'agit plutôt de lecture assez cravachées, rarement jolies, mais assez intenses et lisibles.

tod a écrit:

(de toute manière enchâssé dans beaucoup trop de virgules pour que ce soit bien clair. Je présente mes excuses...)

Tu as d'autant moins d'excuses à présenter qu'il n'y a jamais eu de malentendu entre nous sur ce point.

Je crois qu'il n'existe pas de versions plus antithétiques que celles de Paternostro et d'Andreae quant à la conception de l'espace sonore brucknérien. Ne serait-ce que pour explorer ces deux pôles opposés, ce sont des versions qu'il faut connaître.

Cololi a écrit:

Mahler : Symphonie n°3 (Boulez)

Une des plus belles réussites de Boulez dans Mahler.

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

Mahler : Symphonie n°3 (Boulez)

Une des plus belles réussites de Boulez dans Mahler.

Oui, avec la 1°.

Szymanowski : Symphonie n°3 "Chant de la Nuit" (Wit)

Découverte. C'est assez subjugant
Grande découverte, c'est sûr.

Tu découvres cette oeuvre?

Chanceux.

Les Tuyaux de la Nuit...





Au programme ce soir :   C. Wesley - J.C.H. Rinck - C. Baguer - F. Mendelssohn - G. Martucci - L. Boslet

L'église St James de Bermondsey
(Angleterre, sud de Londres)


1) Charles Wesley (1757-1834) :

Concerto n°1 en sol mineur (2nd Set)
Voluntary en la mineur

= Jennifer Bate, orgue Bishop de l'église St James de Bermondsey

(Somm, juillet 2003)

A l'époque de sa construction en 1829, cet orgue (situé dans la banlieue londonienne) était un des plus fournis d'Angleterre, et disposait notamment d'un pédalier alors que la facture anglaise en était peu friande, du moins les interprètes s'y montraient peu habiles.
Pour preuve, un clavier séparé, à gauche de la console (encadré en rouge dans la photo ci-dessous), permet de jouer manuellement les notes de pédale.

La 1ère d'Atterbeg... C'est quand même fabuleux cette profusion de mélodies... Et c'est assez bellement organisé...

Pommern (Allemagne, Rhénanie-Palatinat)


2) Johann Christian Heinrich Rinck (1770-1846) :

Jesu meine Freude, choralpartita

= Wilhelm Krumbach, orgue Stumm de l'église St. Stephanus de Pommern

(Orchestrola, 1993)

L'église Santa Maria de Maó (Espagne, -Minorque aux Îles Baléares)


3) Carles Baguer (1768-1808) :

Sinfonia n°3 en ré majeur
Sonate n°2 en ré majeur
Sonate n°4 en la majeur

= Montserrat Torrent, orgue Kyburz de l'église Santa Maria de Maó

(Astrée, octobre 1991)

Comme dans la plupart des pays européens, le répertoire espagnol pour l'orgue connut un creux de vague à l'ère galante et romantique.
Après Cabezon, Correa de Arauxo et Cabanilles, la chute fut sévère dès le milieu du XVIII° siècle, mais l'on rencontre néanmoins quelques talentueux compositeurs comme le Barcelonais Baguer, dont les oeuvres marient le galbe classique haydnien et des effets rococo.
Le splendide instrument minorquin est quasiment contemporain, -il fut inauguré en 1810.

Sibelius: Luonnotar/Bryn-Julson, Gibson

4) Félix Mendelssohn (1809-1847) :

Sonate n°6 en ré mineur, Op. 65

= Olivier Camelin, orgue Callinet/Merklin de l'église des Cordeliers de Lons le Saunier

(K 617, mai 2001)

Cette sonate parmi les plus édifiantes des six qu'écrivit Mendelssohn trouve un brio et un éclat typiques de la facture française,
tandis que le moelleux des fonds de cet instrument lédonien apporte la suavité qui sied à cet opus romantique.

Mélomaniac a écrit:

A l'époque de sa construction en 1829, cet orgue (situé dans la banlieue londonienne) était un des plus fournis d'Angleterre, et disposait notamment d'un pédalier alors que la facture anglaise en était peu friande, du moins les interprètes s'y montraient peu habiles.
Pour preuve, un clavier séparé, à gauche de la console (encadré en rouge dans la photo ci-dessous), permet de jouer manuellement les notes de pédale.

C'est bien l'Angleterre du XIXᵉ, ça...

Mélomaniac a écrit:

Pommern (Allemagne, Rhénanie-Palatinat)

Et il y a un bled qui s'appelle Rheinland-Pfaltz en Poméranie?

Benedictus a écrit:

Et il y a un bled qui s'appelle Rheinland-Pfaltz en Poméranie?

Va savoir...

Pour la bonne compréhension de ceux de nos lecteurs qui ne sont pas très familiers de la langue et géographie allemandes et qui n'auraient pas compris ta malicieuse remarque, précisons que Pommern est le nom allemand de la région de Poméranie.
Mais c'est aussi le toponyme d'une localité du Land de Rhénanie-Palatinat.

Vue de Bergame (Italie -Lombardie)


5) Giuseppe Martucci (1856-1909) :

Sonate en ré mineur, Op. 45

= Arturo Sacchetti, orgue Locatelli de l'église San Bartolomeo de Bergame

(Arts, avril 1991)

Une oeuvre d'une petite demi-heure, de construction cyclique, d'un ton tantôt austère, tantôt édifiant, d'une tournure plutôt théâtrale.

La Marienkirche de Kaiserslautern
(Allemagne, Rhénanie-Palatinat)


6) Ludwig Boslet (1860-1951) :

Sonate n°1 en sol mineur, Op. 3

= Joachim Fontaine, orgue Klais de l'église Sainte-Marie de Kaiserslautern

(Querstand, septembre 2004)

Dimanche je vous avais causé de ce compositeur, -voilà la suite de l'intégrale des sonates enregistrée par Fontaine
sur cinq instruments d'Allemagne, éditée dans un luxueux album chez Querstand.

Haydn : Quatuor à cordes op.71 n°1 (Buchberger)
Haydn : Quatuor à cordes op.71 n°2 (Buchberger)
Haydn : Quatuor à cordes op.71 n°3 (Buchberger)

nugava a écrit:

La 1ère d'Atterbeg... C'est quand même fabuleux cette profusion de mélodies... Et c'est assez bellement organisé...

Indépendamment du fait que c'est génial, c'est le genre de truc qui aurait un succès fou auprès du public… Il suffirait d'en mettre un extrait sur la page du concert et de le coupler avec un truc similaire qui attire l'œil (un petit concerto de Dvořák ?), et ça entrerait instantanément au répertoire !

(Certes, les critiques feraient la fine bouche, je suis sûr, mais ce ne sont pas eux qui font le remplissage.)

Johann Sebastian Bach : Concerto n°2 pour violon, cordes et continuo         1718 / Fischer, Academy of St Martin in the Fields
 +

Très influençable, mais André et Benedictus sont de bonnes influences, je me mets à Roussel.

Donc Symphonie 1, Denève,

Symphonie 3, Denève

Il faudra que je réécoute la 3, dans laquelle j'ai trouvé de bien belles choses mais dans laquelle j'entre moins. J'aime les bois et les cuivres de la 1, en particulier dans les deux mouvements centraux, cette bucolique de fin de journée.

Merci pour la découverte, je vais continuer dans cette voie

Brice Pauset : Der Geograph pour grand orchestre et piano principal        2007 / Hodges, WDR Sinfonieorchester Köln (Pomàrico)
 +
Brice Pauset : La Voix Humaine pour clarinette, piano et trio à cordes        2006 / ensemble recherche, Arditti String Quartet

à cause de lucien :



www.deezer.com/album/13510709 (#1-7)

Je lui en ai beaucoup parlé hier soir, Les Chansons de Marguerite sont ce qu'il y a de touchant dans l'histoire de la musique (tout court), la dixième symphonie aussi au demeurant.

Saariaho: Du cristal/Salonen

Schubert: Die junge Nonne/Price
Erlkönig/Ainsley, George, Schäfer (oui oui, 3 chanteurs!)



Nachthymne, Im Walde/Lipovsek

Duparc: Phidylé/Price, puis Simoneau, puis Kaufmann

+

Ravel: Chansons madécasses/Kozena

+

Saariaho: Verblendungen/Saraste

+

tu aimes bien ça toi ?

Alexandre Lokchine :


lien d'écoute via google > "lokshin prokina faust" (pas sur yt, incomplet, mais sur un autre site de streaming)

Una Follia di Napoli, anno 1725
Rêveries de voyage: il flauto à Naples vers 1725

Barbella, F: Sonata III in C major
Fiorenza: Symphony in A minor for flute two violins and basso
Leo: Concerto for Flute in G Major No. 1
Mancini, F: Recorder Sonata No. 11 in G minor
Sarro: Concerto No. 11 in A minor
Scarlatti, A: Improvisation upon the Partite 'Follia di Spagna'
Scarlatti, D: Sinfonia No. 1 in A major

Maurice Steger: flûtes à bec et direction
Maurice Steger (direction, recorder); Fiorenza de Donatis, Andrea Rognoni, Anaïs Chen (violins), Stefano Marcocchi (viola), Mauro Valli (cello & violoncello piccolo], Vanni Moretto (double bass), Brigitte Gasser (violetta, viola da gamba & lirone), Naoki Kitaya (harpsichord & organ), Daniele Caminiti (theorbo, baroque guitar & archlute), Margit Übellacker (psalterium)

1725: Voyage du jeune Joachim Quantz à Naples pour rencontrer Alessandro Scarlatti (au faîte de sa gloire, dont l'effet le plus fécond sera d'envoyer Domenico le plus loin possible pour y produire l’œuvre que l'on sait)
1725: Festivités en l'honneur du nouveau pape appelé araignée (et originaire de la banlieue napolitaine)
> Peu après: compositions pour flûte à bec par des compositeurs napolitains

Pour en savoir plus: http://www.tutti-magazine.fr/test/detail/Maurice-Steger-Follia-Napoli-fr/
Finesse et allant, superbe

siXXes
John Cage (1912-1992)
Richard Cornell (1946)
Lee Santana (1959)
Martha Bishop (1937)
Christian Wolff (1934)

Hille Perl: violes
Lee Santana: archiluth
+ Sirius viols, Nele Gramß (voix), Annette John (flûte à bec)

répertoire composite, du plus ou moins expérimental (Cage, Cornell, Wolff) aux pièces dans l'esprit de (pour ne pas dire pastiche: Bishop) ou à des fusions pas très convaincantes (voire horripilantes): Santana. Les nouveaux horizons de la viole ne sont peut-être pas encore apparus. J'ai vu qu'Hersant a écrit des œuvres dédiées. Si vous avez d'autres pistes?

je me souviens seulement de la quatrième Ballata de Filidei, pour viole et ensemble.

Je me souviens en effet d'une œuvre d'Hersant, entendue en concert il y a pas mal de temps - très chouette: ça commençait comme une fantaisie pour violes de Purcell, et puis progressivement, ça se hérissait d'ostinati et de frottements harmoniques janáčekisants.
Sinon tu as regardé du côté de Brice Pauset, d'Isabel Mundry? Ils ont pas mal travaillé sur la musique renaissante et primo-baroque.
Il y a aussi ça que je n'ai jamais écouté (mais ce n'est pas sur instruments anciens.

Claude Debussy
* Minstrels
Samson François, piano

@ Lucien + Benedictus
Merci de vos pistes

-------------------------
Karl Friedrich Abel (1723-1787)
The Drexel Manuscript


Paolo Pandolfo, viole de gambe

Brice Pauset : Dornröschen pour quatuor à cordes solo, deux choeurs et grand orchestre        2012 / Arditti String Quartet, WDR Sinfonieorchester Köln (Pintscher), WDR Rundfuckchor Köln (Kok)

György Ligeti
* Musica ricercata No. 7
Jean-Sébastien Bach
* Aria: “Schafe können sicher weiden” ((cantate BWV 208)
Maurice Ravel
* Pavane pour une infante défunte
Khatia Buniatishvili, piano