Playlist (121)

La famille Forqueray
(et  un peu Couperin et Duphly)
Justin Taylor,

Clavecin: Rückers - Hemsch - Sidey
Hommages: Olivier Baumont, Blandine Rannou, Anthony Sidey, Frédéric Bal, Frédéric Hass, Skip Sempé, Béatrice Martin, ... pour ceux qui me deviennent (presque) familiers
En arrière plan: Leonhardt (notamment par l'inclusion de Couperin et Duphly)

Premier album de lauréat? non simplement excellent et très envie de l'entendre dans Couperin (superbe Forqueray justement)
Premier album consensuel? un peu dans la prise de son du clavecin (beaucoup de grave, beaucoup de réverbération, comme si on voulait estomper tout côté incisif ou cinglant au risque de perdre l'aérien et les sons cristallins et de (se) noyer)




PS fil Forqueray https://classik.forumactif.com/t2129p50-antoine-et-jean-baptiste-forqueray#1077725

Quel bel instrument et Still est souverain!

Dutilleux: Tout un monde lointain (Tortelier)

Ludwig van Beethoven
* Triple Concerto
Ma-Mutter-Zelter
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan
* Symphonie no.7
Philharmonie de Berlin
Karl Böhm
* Trio op.70 no.2
Kempff-Szeryng-Fournier

Les Tuyaux de la Nuit...





Au programme ce soir :   G. Böhm - V. Lübeck - J.S. Bach - J.C.H. Rinck - F. Mendelssohn

Beau comme une toile de Pieter Saenredam,
vue intérieure de la Laurenskerk d'Alkmaar (Pays-Bas)


1) Georg Böhm (1661-1733) :

Christe, der du bist Tag und Licht
Wer nur den lieben Gott lässt walten
Auf meinen lieben Gott
Prélude et Fugue en ut majeur
Prélude et Fugue en la mineur
Prélude et Fugue en ré mineur

= Bernard Foccroulle, orgue Van Hagerbeer de l'église Saint-Laurent d'Alkmaar

(Ricercar, mai 2011)

Protégé derrière les volets amovibles, un des plus imposants buffets du patrimoine baroque néerlandais,
avec les tuyaux de Principal 22' dans la tourelle centrale.

j’écoute un peu d’orgue ces temps-ci moi aussi, en explorant le répertoire de Gerd Zacher ; malheureusement, ce sont surtout des choses que je n’apprécie pas (expérimental : Kagel, Cage, Schnebel, Ligeti...), alors je me repose avec ceci :

Zacher : Die Kunst einer Fuge (1968)

Hello !

Je ne connais qu'un seul disque de ses oeuvres, celui-là : https://www.amazon.fr/Gerd-Zacher-Orgelwerke-Hybrid-SACD/dp/B0009WVEJA

Dis-nous si tu trouves une pépite dans tes explorations.

j’ai emprunté ce disque il y a quelque temps, j’ai aussi prévu de l’écouter.
Die Kunst einer Fuge, ce sont dix interprétations du Contrapunctus I, chacune dédiée à un compositeur (Bach, Schumann, Brahms, Ligeti, Messiaen, Hambraeus, Kagel, Varèse, Allende-Blin et Schnebel) — les titres font allusion à des pièces particulières —, tout se jouant dans les registrations, les tempos, articulations voire un peu plus.

pour les pépites, je peux juste te conseiller d’éviter les œuvres pour orgue de Kagel.

Le marché aux poissons de Stade (Allemagne, -Frise orientale)


2) Vincent Lübeck (1654-1740) :

Praeludium en ré mineur
Ich ruf zu dir, Herr Jesu Christ

= Joseph Kelemen, orgue Huss/Schnitger de l'église Ss. Cosmae & Damiani de Stade

(Oehms, juillet 2005)

Pour ces deux pièces les plus célèbres du compositeur, une acoustique sèche, typique de ces voûtes nord-allemandes,
qui amatit cette panoplie de timbres en vair brossé, comme un consort de violes, flûtes et anches infiniment nuancé.
Mais grâce à ses quatre jeux d'anches en 16', l'instrument de 1688 sait encore rugir !

ArteMandoline
D'all Abeco, Arrigoni, Castello, Fasch, Matteis, Scarlatti, Uccellini, Vivaldi, Weiss

" ... aucune musique n'a été aussi intarissable d'énergie que celle de la période baroque qui est un hymne à la vie, aux sentiments, aux émotions, à la quête du détail et à la beauté. C'est donc une grande fresque de vie qui vous attend en écoutant Arte Mandoline... leur jeu est expressif, dynamique d'une grande flexibilité, la souplesse de leur phrasé imprégnée de chaleur et de générosité et leur virtuosité extraordinaire"

3) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Praeludium & Fuga en mi bémol majeur, BWV 552
Chorals de la Klavierübung III, BWV 669-674, 680-685

= François-Henri Houbart, orgue Aubertin de l'église Saint-Marceau d'Orléans

(Empreinte Digitale, juin 2001)

Interprétation vive, souple et mobile de ces extraits de la Messe luthérienne, sur un instrument d'esthétique baroque allemande (une quarantaine de jeux) installé en 2001 par le facteur Aubertin.
On notera le buffet de positif dorsal en deux parties latérales, qui laisse voir la console au centre, derrière la grille.

L'église de la Trinité d'Ohrdruf (Allemagne, Thuringe)


4) Johann Christoph Heinrich Rinck (1770-1846) :

Variations sur Heil dir im Siegerkranz, Op. 55

= Michael Schönheit, orgue Ratzmann de la Trinitatiskirche d'Ohrdruf

(MDG, août 1994)

Une des oeuvres les plus populaires de Rinck, qui brode sur la mélodie du God save the Queen,
à travers cet hymne qui fut associé à l'Empire allemand après 1871.
L'instrument original date de 1814, construit par un facteur natif de la ville, et compte aujourd'hui 36 jeux -il venait juste d'être restauré avant l'enregistrement.

Cathédrale de Riga (Lettonie)


5) Félix Mendelssohn (1809-1847) :

Sonate n°4 en si bémol majeur, Op. 65
Sonate n°5 en ré majeur, Op. 65
Sonate n°6 en ré mineur, Op. 65

= Edouard Oganessian, orgue Walcker de la Cathédrale de Riga

(Saphir, avril 2009)

Finalement je ne raffole pas de cette intégrale que j'avais commencé à découvrir le mois dernier.
L'immense palette de l'instrument permet des dégradés, des subtilités, une poésie du timbre qui situent l'interprétation sous obédience symphonique fin XIX°.
Mais le ton contemplatif, l’étirement généralisé du tempo, le legato (préjudiciable par exemple aux accords plaqués de l'allegro molto de la 6°), les lueurs évanescentes rendent une image trop partiale de ces pages, que je préfère servies avec un zèle néoclassique. A moins d'entendre des approches plus consistantes comme avec Ullrich Böhme à la Thomaskirche de Leipzig, d'une inépuisable imagination, parfois onirique mais sans rien conter de flasque.

Mélomaniac a écrit:

xoph a écrit:

Il y a une chose qui m'agace (mais c'est assez général dans mon écoute du clavecin), ce sont les changements marqués de registrations

Ça c'est parce que tu n'écoutes pas assez d'orgue baroque nord-allemand

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Fantasticus
Bruhns, Hanff, Kneller
Olivier Vernet, orgue Johann-Patroclus Möller de Marienmünster

(surtout pour Bruhns)

Couperin : Messe à l'usage des Paroisses (Heurtematte / St Gervais)

Toshiro Mayuzumi (1929-1997)
Nirvana-Symphonie (1958)
Tokyo Metropolitan Symphony Orchestra & Tokyo Philharmonic Chorus
Hiroyuki Iwaki

Wouargh !

Martin: Symphonie pour grand orchestre/Bamert

+

Aujourd'hui :

¶ Concertos pour violoncelle 1,2,3 de Röntgen (Porcelijn chez CPO).
¶ Symphonies de Mendelssohn par Ashkenazy (les 1 et 4 remarquablement réussies !).
¶ Chimène de Sacchini (Chauvin).
¶ Auringon Talo de Rautavaara (chez Ondine).

Que du bon.

Martin: Passacaille pour grand orchestre/Bamert

Martin: Les Quatre Eléments/Bamert

C'est être le monstre de Frankenstein à jouer cela aussi magistralement.

Une autre superbe mais monstrueuse transcription du non moins monstrueux de talent, Carl Tausig.

Les Tuyaux du dimanche soir...





Au programme ce soir :   A. Guilmant - J.N. Lemmens - C.M. Widor - J.G. Rheinberger - L. Boslet - F. Nowowiejski - M. Reger

Cette semaine, surtout des écoutes dans le domaine français:

• Roussel: Symphonies nº1 en ré mineur, op. 7 «Le poème de la forêt» et nº4 en la majeur, op 53:

Stéphane Denève / Royal Scottish National Orchestra
Glasgow, X.2008
Naxos
Version idéale de la 1ᵉ, mais la 4ᵉ sonne un peu gentille. Voir ici.

• Schmitt: Le Petit Elfe Ferme-l’Œil, ballet, op. 73:

Aline Martin (mezzo-soprano), Jacques Mercier / Orchestre National de Lorraine
Metz, VII.2013
Timpani
Une très belle œuvre, mais pas au point de lever mes difficultés avec la musique de Schmitt. Voir ici.

• Mondonville: Grands Motets:

Chantal Santon-Jeffery (dessus), Daniela Skorka (dessus), Mathias Vidal (haute-contre), Jeffrey Thompson (haute-contre / basse-taille), Alain Buet (basse-taille), György Vashegyi / Purcell Choir, Orfeo Orchestra
Budapest, XI.2015
Glossa
Un magnifique enregistrement de cet ensemble majeur. Voir ici.

• Louis Couperin: Les Piéces pour clavessin, I-II:

Blandine Verlet (clavecin Hans Ruckers II, 1624)
Colmar, 1987-1989
Astrée/Naïve
Toujours aussi

• Boulez: Notations I-IV (1980) et VII (1999), pour grand orchestre:

Pierre Boulez / Ensemble Modern Orchestra
En public, Paris, IX.2007
DG
Réécouté en boucle: toujours aussi jubilatoire (et version live encore meilleure que celle d’Abbado à Vienne, je crois bien).

Et puis aussi ça:

• Distant Light. Barber / Hillborg / Björk:

Renée Fleming (soprano), Sakari Oramo / Orchestre Philharmonique Royal de Stockholm
Stockholm, II.2016
Decca
Une version idéale de Knoxville: Summer of 1905 de Barber, mais j’ai trouvé le reste franchement écœurant. Voir ici.

Église del Sacro Cuore di Gesù de Cuneo (Italie -Piémont)


1) Alexandre Guilmant (1837-1911) :

Sonate n°7 en fa majeur, Op. 89
Sonate n°8 en la majeur, Op. 91

= Adriano Falcioni, orgue de l'église du Sacré Coeur de Coni

(Brilliant, octobre 2014)

Tiré de l'intégrale des huit sonates par cet interprète italien.

Façade du château royal de Laeken (Belgique)


2) Jacques-Nicolas Lemmens (1823-1881) :

Sonate n°1 en ré mineur

Ben van Oosten, orgue Schyven / Van Bever de l'église Notre-Dame de Laeken

(MDG, février 2000)

La plus connue des sonates de Lemmens, grâce à l'entraînante marche pontificale qui en constitue le troisième mouvement.

La Cathédrale d'Århus (Danemark)


3) Charles-Marie Widor (1844-1937) :

Symphonie n°10 "romane", Op. 73

= Bjørn Boysen, orgue Frobenius de la Cathédrale d'Århus

(Simax, mars 2006)

Très probablement une de mes prochaines destinations estivales !
Eh oui, même sur ce distingué Forum, il faut bien concéder quelques commentaires insignifiants...

Au milieu des vignes, l'église St. Johannes der Täufer
de Treis-Karden (Allemagne, Rhénanie-Palatinat)


4) Ludwig Boslet (1860-1951) :

Sonate n°1 en sol mineur, Op. 3

= Wilhelm Krumbach, orgue Stumm de l'église Saint-Jean-Baptiste de Treis-Karden

(Orchestrola, 1993)

Un instrument de 29 jeux sur deux claviers (le positif d'écho se trouve à l'intérieur de ce buffet en forme d’ogive).
Il fut érigé quelques années après la construction de cette église néogothique dont l'architecture interne influence celle de l'orgue.
Un compositeur méconnu, même parmi les amateurs d'orgue. Esthétiquement entre Rheinberger et Reger.
Une écriture d'une extrême qualité, et d'un intérêt qui ne faiblit pas, à la fois séduisante et construite.
On s'explique mal la disette dont souffre sa discographie !

La Versöhnungskirche de Völklingen (Allemagne, -Sarre)


5) Ludwig Boslet (1860-1951) :

Sonate n°4 en si bémol, Op. 15

= Joachim Fontaine, orgue Walcker/Schuke de l'église de la Réconciliation de Völklingen

(Querstand, juillet 2003)

De Boslet, à nouveau.
Tiré de l'excellente intégrale des six Sonates par Fontaine -tant mieux car c'est la seule, et le reste de la discographie se compte sur les doigts d'une main.
La numérotation fait bien les choses : pour vous initier à ce corpus, je vous conseillerais les... trois premières sonates, à mon sens les plus immédiatement attrayantes.

La Stadtkirche de Winterthour (Suisse, -canton de Zurich)


6) Joseph Gabriel Rheinberger (1839-1901) :

Pastoralsonate en sol majeur, Op. 88

= Stefan Johannes Bleicher, orgue Walcker de l'église de Winterthour

(Oehms, juillet 2005)

L'église St. Stephanus de Beckum
(Allemagne,  Rhénanie-du-Nord-Westphalie)


7) Felix Nowowiejski (1877-1946) :

Symphonie n°6, Op. 45 n°6

= Jerzy Erdman, orgue Klais de l'église St. Stephanus de Beckum

(CPO, août 1991)

Rigueur, fougue (et quel rebond dans les phrasés !), sensibilité : la quadrature du cercle ! Ce jeune organiste polonais respire cette musique comme nul autre, et il en connaît les rouages puisqu'il en a préparé l'édition.
Malgré la traction pneumatique, les claviers de l'instrument (60 jeux) répondent avec précision et agilité. C'est cet orgue qu'avait choisi Rudolf Inning pour enregistrer Brahms et Schumann chez MDG, -Innig qui grava aussi les symphonies de Nowowiejski, mais sur l'instrument plus froid de la Cathédrale de Brême.

Reçu mardi dernier :

Roberto Paternostro, Württembergische Philharmonie Reutlinguen, que des Lives ! de 1997 à 2006.

 Fort de l'idée que je me fais de Bruckner par les trois pauvres enregistrements (dont un promotionnel) qui se débattent pour subsister dans mon Immense cdthèque entre Britten et Dutilleux [...]
( Oui..., je vous entends déjà, vous tous que mes écrits passionnent : Il y a tout un monde entre Bri- et Dut- ! Mais d'abord, telle qu'elle est, ma collection de disque me permet de simplifier à l'extrême le désordre alphabétique. D'autre part j'ai une très bonne mémoire visuelle et je repère très vite un cd par sa tranche. Enfin, et un peu penaud, j'avoue que l'entrée "C" est inégalement fournie : Trois Couperin, trois Bruno Coulais, un vieux coffret Guy Carlier, et Chostakovitch placé là pour faire nombre en dépit de l'orthographe des disques.)
 Bref...
[...] Faible d'une l'oreille complaisante à tous ceux qui, malgré eux, flattent mes déplaisirs plutôt que mes goûts (car on se sent tellement plus révolutionnaire du côté des déboulonneurs de statue), et même si je pense encore que les Scherzi de Bruckner commencent bien et n'en finissent jamais, ...
Je donne priorité à l'enthousiasme et aux amateurs de Bruckner qui sont nombreux !
Et devant vos yeux ébaubis je réalise, sans filet et sans augmentation du prix des consommations, cette cascade d'écouter les Symphonies d'Anton Bruckner.
N'applaudissez pas Mesdames et Messieurs, cela risquerait de déstabiliser l'artiste !

L'abbaye de St Blasien, au coeur de la Forêt noire (Allemagne, Bade Wurtemberg)

Vue grand-angulaire sous la coupole, avec l'orgue en point de mire :

8 ) Max Reger (1873-1916) :

Sonate n°1 en fa dièse mineur, Op. 33

= Tobias Horn, orgue Schwarz de l'abbaye Saint-Blaise de Sankt Blasien

(Motette, janvier 2003)

Un merveilleux disque que j'avais découvert en février dernier.
Les dimensions du lieu suscitent une réverbération qui solennise le discours, mais éveille aussi un mysticisme qui chez Reger n'est pas hors-propos, même pour cette Sonate.

tod, si tu veux que les brucknériens d'ici (et nous sommes quelques-uns) puissent te guider un peu dans ta découverte, tu devrais peut-être essayer de t'exprimer de façon moins cryptique... Par exemple: dire en quelques mots quelles symphonies et quels mouvements t'ont plu et lesquels t'ont déplu, essayer de dire pourquoi (même si ça te semble bête, «les scherzos répètent tout le temps la même chose» ou «il y a trop de cuivres», ça nous aiderait à comprendre ce que tu veux dire...), quelles versions tu as essayé, tout ça...

Enfin, comme d'un autre côté, je ne connais pas ces versions Paternostro (tu as choisi le chef parce que le nom te semblait bien coller avec la bigoterie catholique de Bruckner? ou juste parce que c'était encore moins cher que les intégrales Jochum et Wand ou même que le coffret made in RDA de chez Brilliant, qui recèle pourtant de sacrées pépites?)...

...devant l'impatience orageuse et presque maraichère du public,

Bruckner : Symphonie N°5, Live de 2001.

Eh bien je trouve cela très bon.
Je n'ai pas tout à fait fini, mais c'est une boucle, n'est-ce pas ?
Oh si ! c'est en boucle !
Et la frisette centrale reste le Scherzo qui se replie sur lui même comme un petit escargot.
Mais je ne boude pas mon plaisir, moi qui adore les Minimalistes.

Si je connais, très peu (je sais juste qu'il a composé des Motets sublimes, mais est-ce une preuve ?) la vie spirituelle de Bruckner (à part le fait qu'il a été enterré sous l'Orgue d'une cathédrale...Non ?), quand je veux écouter un compositeur, je me renseigne un peu ; sur les disques.
Ce coffret (vraiment pas vendu au rabais !) m'a séduit par ses bonnes critiques et ses enregistrements lives (où j'ai trouvé la fraîcheur espérée...).
Ce qui pouvait me plaire dans Bruckner pour le découvrir, ce qui me tente depuis des années : la plénitude de son orchestre puissant mais limpide, son côté wagnérien, je le trouve pour le moment ici, non bradé.
 Il est très bon ce coffret. Et je ne suis pas le seul à le penser. Et quand bien même, s'il me plaisait, à moi !

Il est bien accueillant le fan club des bruckneristes ! Et tolérant !
 
Et tu l'as dis, Benedictus : "Comme d'un autre côté, je ne connais pas ces versions Paternostro", Eh bien écoute-les avant de préjuger du prix qu'elles méritent et de la raison, imbécile saugrenue, qui m'a fait les acheter.

 Et chez Jochum ou Wand, j'ai un peu l'impression que ça radotera tout autant !

J'essayais juste d'échanger un petit peu, tout en faisant de l'humour. Promis, je ne recommencerai plus. Pardon si mes propos t'ont paru vexants.

Dans tous les cas, Tod, tu n'as pas à traiter ton interlocuteur d'imbécile.

Xavier a écrit:

Dans tous les cas, Tod, tu n'as pas à traiter ton interlocuteur d'imbécile.

Pour moi,"imbécile" renvoie à "la raison". Mais il est vrai qu'on peut le lire autrement.

Debussy: La Mer (Tabachnick)

Cololi a écrit:

Xavier a écrit:

Dans tous les cas, Tod, tu n'as pas à traiter ton interlocuteur d'imbécile.

Pour moi,"imbécile" renvoie à "la raison". Mais il est vrai qu'on peut le lire autrement.

Ah, oui, moi je l'avais lu comme Cololi (i.e.: que tod me reprochait de lui supposer une raison imbécile d'avoir acheté ce coffret, pas qu'il me traitait d'imbécile).

Enfin réédité sous peu:



Mes vinyles pourront se reposer définitivement grâce à cette réédition.

Quel plaisir d'entendre La Plaintive de la Première Suite de Fiocco, une des plus belles pièces de style française du grand siècle!
C'est aussi une des plus belles réalisations de Koopmann et le clavecin choisi un historique de 1763 du musée à Anvers sonne
admirablement avec ni trop de rudesse, ni trop de raffinement.

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

Xavier a écrit:

Dans tous les cas, Tod, tu n'as pas à traiter ton interlocuteur d'imbécile.

Pour moi,"imbécile" renvoie à "la raison". Mais il est vrai qu'on peut le lire autrement.

Ah, oui, moi je l'avais lu comme Cololi (i.e.: que tod me reprochait de lui supposer une raison imbécile d'avoir acheté ce coffret, pas qu'il me traitait d'imbécile).

Oui oui, bien sûr, j'ai juste lu trop vite.

Debussy: Prélude à l'après-midi d'un faune (Tabachnick)

Sibelius: Tapiola/Berglund (Orchestre de la Radio finlandaise)

+

Du Ottorino Respighi par Antal Dorati et Francesco La Vecchia. Le tryptique botticelli est toujours aussi pur et émouvant.

W. A, Mozart
* Symphonies nos 25 & 29
Berlin Radio Symphony Orchestra
Lorin Maazel



A ranger aux côtés de Krips et Mackerras.

Debussy :Nocturnes (Tabachnick)

Pas mon Debussy préféré.

Ravélavélo a écrit:

W. A, Mozart
* Symphonies nos 25 & 29
Berlin Radio Symphony Orchestra
Lorin Maazel



A ranger aux côtés de Krips et Mackerras.

Ah, les disques Quintessence ! Quelles merveilles s'y cachaient...