Playlist (125)

Luc Ferrari (1929–2005) :
— Presque Rien nº1 “Lever du Jour au Bord de la Mer” pour électronique (1967–70)
— Société II “et si le Piano était un Corps de Femme” pour piano, 3 percussions et 16 instruments (1967)
Gérard Frémy
Jean-Pierre Drouet, Sylvio Gualda, Gaston Sylvestre
Ensemble Instrumental de Musique Contemporaine de Paris (Konstantin Simonovitch)

Debussy: Jeux/Shui

+

Excellente version.

Strauss : Elektra (Mitropoulos)

Debussy: Khamma/Shui

+

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

Bartók : Quatre pièces pour orchestre (Boulez Sony)
Bartók : Trois scènes de village (Boulez Sony)
Bartók : Le mandarin merveilleux (Boulez Sony)

Découverte des 2 premiers, et très bonne surprise, en revanche, toujours pas convaincu par le 3°

En tout cas tu as là pour moi les meilleures versions de ces oeuvres.

Je suppose que tu connais déjà le Prince de bois et le Château de Barbe-Bleue? C'est assez proche des pièces opus 12. (mais en mieux)

Le Prince oui je connais depuis longtemps. Le Château je connais assez peu, je l'ai écouté seulement en concert.

¶ Ruders – Symphonie n°1 – Radio Danoise, Segerstam
Tout le XXe passe là-dedans, j'aime beaucoup.

¶ Ruders – Gong – Radio Danoise, Segerstam
Dans le genre pléthorique et bruitiste, ça fonctionne très, très bien. Une harmonie qui naît de ce chaos apparent, une logique qui se laisse suivre. C'est un peu comme si on jouait l'Acte Préalable sur une bande accélérée.

Beethoven/Variations Diabelli pour piano/ Rudolf Serkin (studio)

Schoenberg : Variations pour orchestre (Rattle)

Vinko Globokar (1934–) : Discours II pour cinq trombones (1967/68)
Luciano Berio (1925–2003) : Sequenza V pour trombone (1966)
Karlheinz Stockhausen (1928–2007) : Solo für Melodie-Instrument mit Rückkopplung (1966) ici avec électronique extraite d’Hymnen
Carlos Roqué Alsina (1941–) : Consecuenza op.17 pour trombone (1966)
Vinko Globokar

Cololi a écrit:

On ne cautionne pas de telles pratiques

Et c'est un LULLYste convaincu qui dit ça ?

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Ruders – Gong – Radio Danoise, Segerstam
Dans le genre pléthorique et bruitiste, ça fonctionne très, très bien. Une harmonie qui naît de ce chaos apparent, une logique qui se laisse suivre. C'est un peu comme si on jouait l'Acte Préalable sur une bande accélérée.

tiens, je viens justement de retrouver la trilogie complète par Schønwandt... j’ai jamais écouté... je crois que le début du disque m’avait effrayé.

...mais bon, moi j’écoute que du contemporain mainstream made by Deutsche Grammophon :

Anton Webern (1883–1945) : Sonate pour violoncelle et piano (1914)
Iannis Xenakis (1922–2001) : Nomos alpha pour violoncelle seul (1965)
Anton Webern : Drei kleine Stücke op.11 pour violoncelle et piano (1914)
Mauricio Kagel (1931–2008) : Unguis incarnatus est pour piano et violoncelle (1972)
Bernd Alois Zimmermann (1918–1970) : Vier kurze Studien pour violoncelle seul (1970)
Krzysztof Penderecki (1933–) : Capriccio per Siegfried Palm pour violoncelle seul (1968)
Earle Brown (1926–2002) : Music for Cello and Piano (1958)
Isang Yun (1917–1995) : Glissées pour violoncelle seul (1970)
Bernd Alois Zimmermann : Intercomunicazione pour violoncelle et piano (1967)
Siegfried Palm, violoncelle
Aloys Kontarsky, piano

Les crincrins de la Nuit...




Au programme ce soir :   L. Beethoven – F. Mendelssohn – E. Lalo – C. Saint-Saëns – S. Prokofiev – S. Barber – A. Schnittke

Penderecki: Dies Illa/Penderecki

1) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Concerto pour violon en ré majeur, Op. 61

= Henryk Szeryng, violon ; Hans Schmidt-Isserstedt, Orchestre symphonique de Londres

(Philips, juillet 1965)

Toujours une de mes versions préférées. Pas la plus tendre ou émue, mais quelle dignité, quel rayonnement !
Transfert 24bits, pressage japonais : renversante qualité sonore  

2) Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Concerto en mi mineur, Op. 64

= Ruggiero Ricci, violon ; Jean Fournet, Orchestre philharmonique de la Radio néerlandaise

(Decca, août 1974)

C'est le précédent enregistrement de Ricci chez Decca, en janvier 1957 avec le bambino Gamba, qui m'avait fait découvrir cette oeuvre.
Ici, les sessions captées à Hilversum incluaient aussi le concerto de Tchaikovsky, ainsi qu'un programme orchestral debussyste dirigé par Fournet (Nocturnes, Ibéria...)
Accompagnement épais et grumeleux, et le virtuose italien ne retrouve pas sa fougue de jeunesse.
S'en dégagent néanmoins une maturité, une plénitude, une profondeur des émotions, une densité du récit qui confèrent à cet opus une inhabituelle étoffe.

3) Édouard Lalo (1823-1892) :

Symphonie espagnole en ré mineur, Op. 21

= Henryk Szeryng, violon ; Walter Hendl, Orchestre symphonique de Chicago

(RCA, février 1959)

Décidément, on en compte de valeureuses versions de cet opus à castagnettes !
Ici exécuté avec un aplomb, une droiture, une puissance que laisse deviner la seule étiquette des interprètes.

4) Camille Saint-Saëns (1835-1921) :

Concerto n°2 en ut majeur, Op. 58

= Ivry Gitlis, violon ; Eduard van Remoortel, Orchestre national de l'Opéra de Monte-Carlo

(Philips, juillet 1968)

Enregistrement en première mondiale.
Dans mon Blind Test Les plus grands concertos pour violon, j'avais choisi le chavirant andante espressivo et son théâtre de larmes pour représenter cet opus,
que la postérité abandonna injustement dans l'ombre du troisième concerto.

5) Serge Prokofiev (1891-1953) :

Concerto pour violon n°1 en ré majeur, suite Op. 19

= Boris Belkin, violon ; Kirill Kondrachine, Orchestre philharmonique de Londres

(Decca, janvier 1981)

 Version plutôt disparue des radars, mais qui reste une de mes préférées.
L'archet révèle la même acuité que le regard sur la photo de couverture.

6) Samuel Barber (1910-1981) :

Concerto for violin, op. 14

= Hilary Hahn, violon ; Hugh Wolff, Saint Paul Chamber Orchestra

(Sony, septembre 1999)

Très belle version d'une oeuvre magnifique qui a eu de la chance au disque (Stern avec Bernstein, Oliveira avec Slatkin, Bell avec Zinman, Perlman avec Ozawa, Shaham avec Previn...)

7) Alfred Schnittke (1934-1998) :

Concerto pour violon n°4

= Gidon Kremer, violon ; Christoph Eschenbach, Philharmonia Orchestra

(Teldec, avril 1996)

Là encore, une oeuvre que j'avais choisi de vous proposer dans le Blind test de mes concertos pour violon préférés.

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Ruders – Symphonie n°1 – Radio Danoise, Segerstam
Tout le XXe passe là-dedans, j'aime beaucoup.

¶ Ruders – Gong – Radio Danoise, Segerstam
Dans le genre pléthorique et bruitiste, ça fonctionne très, très bien. Une harmonie qui naît de ce chaos apparent, une logique qui se laisse suivre. C'est un peu comme si on jouait l'Acte Préalable sur une bande accélérée.

J'aime bien ce cd , surtout la Symphonie .


Pièces sacrées "petit format" , 1 heure de zénitude :

Janacek  Otcenas (Notre Père)  pour choeur mixte,harpe et orgue   Prague chamber Choir,Pancik
Martinu  Panenka Maria H339. 3 chants sacrés H339    Brno madrigal quintet
Hersant  Missa brevis pour 12 voix mixtes et orchestre  

Braunfels Fantaisie écossaise pour Alto et Orchestre op47   Bradley/Wildner BBC concert orchestra
Très Belle oeuvre pour Alto , très romantique avec des petites touches alla R. Strauss ;  

Osvaldas Balakauskas (1937–) :
— Retrospektyva pour violoncelle et piano (1974)
— Fuga pour violoncelle et piano (1974)
— Kaskados, sonate pour piano (1967)
— Kalnų sonata, concerto pour piano et orchestre (1975)
Albertas Šivickis, violoncelle
Birutė Vainiūnaitė, piano
LTSR Valstybinės Filharmonijos Simfoninis Orkestras (Juozas Domarkas)

Luigi Nono : Como una ola de fuerza y luz (1971-1972)



www.deezer.com/fr/album/6585325 ou /watch?v=8YV6FP28-FM

lucien a écrit:

tiens, je viens justement de retrouver la trilogie complète par Schønwandt... j’ai jamais écouté... je crois que le début du disque m’avait effrayé.

Ce doit être assez exactement ce que tu détestes : du faux contemporain-méchant sis sur une grammaire totalement patrimoniale du très grand orchestre symphonique.

greg skywalker a écrit:

J'aime bien ce cd , surtout la Symphonie .

Les deux autres pièces dont je n'ai pas parlé (Tundra, et surtout Ainsi le vit saint Jean) sont beaucoup moins marquantes, et le reste de Ruders ne m'a jamais trop passionné. Mais la Symphonie et Gong, en effet !

DavidLeMarrec a écrit:

Ce doit être assez exactement ce que tu détestes : du faux contemporain-méchant sis sur une grammaire totalement patrimoniale du très grand orchestre symphonique.

ça concorde avec mon très bref et lointain souvenir, en effet.

Vytautas Barkauskas (1931–) :
— Pro Memoria pour percussions, flute, clarinette basse et piano/clavecin (1970)
Algirdas Vizgirda, Juozas Jasenka
Lietuvos nacionalinio simfoninio orkestro mušamųjų instrumentų ansamblis
— Monologas pour hautbois seul (1970)
Juozas Rimas
— Kontrastinė muzika pour flute(s), violoncelle et percussion (1969)
Algirdas Vizgirda, Iminas Kučinskas, Zbignevas Žilionis
— Sonata subita pour violon et piano (1974)
Raimundas Katilius, Larisa Lobkova

Antanas Rekašius (1928–2003) :
— Segmentai, cinquième symphonie (1981)
— Metafonija, concerto pour violon et orchestre (1972)
Raimundas Katilius
Lietuvos TSR Valstybinės Filharmonijos Simfoninis Orkestras (Juozas Domarkas)
— Emanacija, concerto pour violoncelle électrique et ensemble de chambre (1981)
Iminas Kučinskas
Argo (Giedrius Kuprevičius)

[ces 2 dernières semaines]

Brahms : Oeuvre pour piano. Katchen

Le dernier Brahms est d'un somptueux (Fantasias op.116, Pièces op.118 / 119) ...

Lutoslawski : Oeuvre pour piano. Kupiec

Pas mal. La Sonate m'évoque pas mal Ravel, ou un Wellesz gentil des premiers opus, tirant sur du Liszt. J'ai un bon souvenir des Deux Études, et de la deuxième des Trzy utwory dla mlodziezy.

Liszt : Via Crucis. De Leeuw

J'écoute ça en boucle. Un Tristan plus intériorisé. Géant.

Wagner : Tristan, Préludes I et III. Solti
Wagner : Tristan, morceaux choisis. C.Kleiber, Bernstein, Furtwangler

ça faisait trop longtemps.

Haendel : Aci, Galatea e Polifemo (Bonizzoni, La Risonanza)

Jurgis Juozapaitis (1942–) :
— Zodiacus, troisième symphonie (1977)
Lietuvos Nacionalinis Simfoninis Orkestras (Juozas Domarkas)
— Quatuor à cordes nº2 (1980)
Lietuvos Kvartetas
— Diptychum, quintette à vent (1977)
Algirdas Vizgirda, Juozas Rimas, Algirdas Budrys, Zuozas Slankauskas, Alfredas Račkauskas

Vladimir Kojoukharov : Republica ! Republica ! pour chœur d'adolescents et orchestre        1990 / Garrone, Kojoukharov
 +

Ecoute comparée du sextuor des noces de Figaro (acte 3)

Szymanowski: Chants d'amour de Hafiz opus 26, version allemande/Johnson, Gardner

+

Rachmaninov: Trio n°2/Beaux-Arts Trio

+

Bronius Kutavičius (1932–) :
— Dzūkiškos variacijos pour orchestre à cordes, chanteuse folk et chœur (1974)
Veronika Janulevičiūtė, voix
Kauno valstybinis choras (Petras Bingelis)
Lietuvos kamerinis orkestras (Saulius Sondeckis)
— Praeities laikrodžiai, quintette à cordes (1977)
Sigitas Šilinskas, guitare
Vilniaus kvartetas
— Mažasis spektaklis pour deux pianos, deux violons et actrice (1975)
Nijolė Gelžinytė
Eugenijus Urbonas et Gediminas Dalinkevičius, violons
Liuda Grybauskienė et Kęstutis Grybauskas, pianos

anaëlle a écrit:

[ces 2 dernières semaines]

Brahms : Oeuvre pour piano.  Katchen

Le dernier Brahms est d'un somptueux (Fantasias op.116, Pièces op.118 / 119) ...

Lutoslawski : Oeuvre pour piano.  Kupiec

Pas mal. La Sonate m'évoque pas mal Ravel, ou un Wellesz gentil des premiers opus, tirant sur du Liszt. J'ai un bon souvenir des Deux Études, et de la deuxième des Trzy utwory dla mlodziezy.

Liszt : Via Crucis.  De Leeuw

J'écoute ça en boucle. Un Tristan plus intériorisé. Géant.

Wagner : Tristan, Préludes I et III. Solti
Wagner : Tristan, morceaux choisis.  C.Kleiber, Bernstein, Furtwangler

ça faisait trop longtemps.

Les derniers Beethoven par Katchen, le Via Crucis par De Leeuw, la jolie intégrale pour piano de Lutosławski, Tristan… c'est reparti pour un sans-faute.

(Via Crucis )

(Effectivement, lorsque Jésus rencontre sa mère, c'est du pur Tristan…)

Au programme ce soir :    B. Smetana – A. Dvořák – L. Janáček – J. Suk – J. Weinberger – B. Martinů

Voro García (1970–) :
— Nada queda al despertar pour flute, saxophone baryton et piano (2009)
— Cuando la luz de ese día pour basson, violon, alto et piano (2004)
— Territoris de la memòria pour flute, clarinette, piano, violon et violoncelle (2006)
— Sombra del recuerdo pour flute, clarinette, deux percussions, piano, violon et violoncelle (2008)
Ensemble Espai Sonor (Voro García)

1) Bedřich Smetana (1824-1884) :

Má Vlast, cycle symphonique

Vyšehrad - Vltava - Šárka - Z českých luhů a hájů - Tábor - Blaník

= Rafael Kubelík, Orchestre philharmonique de Vienne

(Decca, avril 1958)

Excusez la partie mainstream de ce programme, mais j'en suis encore à redécouvrir mes enregistrements préférés sur mon nouveau lecteur-CD.
En l'occurrence, Ma Patrie : en voilà la version la plus savoureuse parmi les orchestres non tchèques.
Kubelík nous régale des timbres du Wiener Philharmoniker, plantureusement captés par Decca.
Un plein chaudron d'arômes -dans aucun de ses enregistrements ultérieurs, le maestro ne retrouva les secrets d'alambic de cette potion viennoise

Busoni : Zwei Goethe-Lieder. Müller-Brachmann


Schoenberg : Zwei Gesänge. Müller-Brachmann
Schoenberg : Sechs Lieder Op.3. Müller-Brachmann
Schoenberg : Zwei Balladen Op.12, Der verlorene Haufen. Müller-Brachmann


Gielen : Six Lieder pour basse et trois instruments. Müller-Brachmann
+
Gielen : Der Einsam. Müller-Brachmann


Zemlinsky : Maeterlinck-Lieder. Stene, Trondheim SO, dir. Tang


Schulhoff : Menschheit. Stene, Trondheim SO, dir. Tang
Schulhoff : Landschaften. Stene, Trondheim SO, dir. Tang


Strauss : Vier Letze Lieder. Norman, Gewandhausorchester Leipzig, dir. Masur

que de nostalgie.

Je repars demain matin (mais pourquoi dis-je toujours que je m'en vais ?), donc je profite de ma soirée pour découvrir quelques CDs arrivés en mon absence : très belle découverte que celle des Lieder de Gielen ! Ca ressemble pas mal à du Webern, c'est magnifique.

anaëlle a écrit:

Gielen : Six Lieder pour basse et trois instruments.  Müller-Brachmann
+

très belle découverte que celle des Lieder de Gielen ! Ca ressemble pas mal à du Webern, c'est magnifique.  

ah, je ne savais pas que ça existait en cd !
magnifique, je suis d’accord.

DavidLeMarrec a écrit:

(Via Crucis )

(Effectivement, lorsque Jésus rencontre sa mère, c'est du pur Tristan…)

D'ailleurs, je tiens à te remercier, car j'ai écouté le Via Crucis en lisant un de tes post, je crois dans un topics Oeuvres ineffables , ou quelque chose comme ça.

lucien a écrit:

Antanas Rekašius (1928–2003) :

— Metafonija, concerto pour violon et orchestre (1972)
Raimundas Katilius
Lietuvos TSR Valstybinės Filharmonijos Simfoninis Orkestras (Juozas Domarkas)

Ah oui c'est pas mal ça.
Abrasif et grinçant, ça couine de partout. Y a même un orgue si je me souviens bien.
Presque propagandiste dans le genre "regardez comme c'est moderne, à vous hérisser les cheveux sur la tête".
J'en avais inséré un extrait dans mon Blind Test Concertos pour violon.

t’avais trouvé ça où ?

lucien a écrit:

anaëlle a écrit:

Gielen : Six Lieder pour basse et trois instruments.  Müller-Brachmann
+

très belle découverte que celle des Lieder de Gielen ! Ca ressemble pas mal à du Webern, c'est magnifique.  

ah, je ne savais pas que ça existait en cd !
magnifique, je suis d’accord.

Il existerait d'autres trucs qui pourraient potentiellement me plaire chez Gielen ?

j’aimerais bien le savoir, mais je n’ai écouté qu’une autre œuvre de lui, des variations pour quatuor à cordes (très belles aussi).