Playlist (126)

c’est très utile quand on veut ecoutey tout les wergo.
sinon je sais pas, pourquoi ça devrait être utile ?

Les Pianos de la Nuit...






Au programme ce soir :   J. Brahms – L. Beethoven – M. Bruch – C. Debussy – A. Scriabine

Ravel: La Nuit, L'Aurore, Tout est lumière/Franck (concert de l'autre jour)

1) Johannes Brahms (1833-1897) :

Concerto n°2 en si bémol majeur, Op. 83

= Wilhelm Backhaus, piano ; Karl Böhm, Orchestre philharmonique de Vienne

(Decca, avril 1967)

Meredith Monk (1942–) : On Behalf Of Nature pour six voix et instruments (2013)
Sidney Chen, Ellen Fisher,
Katie Geissinger, Meredith Monk,
Bruce Rameker, Allison Sniffin
Bohdan Hilash (bois)
John Hollenbeck (percussions)
Allison Sniffin (piano, clavier, violon, cor)
Laura Sherman (harpe)

Carl Czerny

Trio avec piano N°2 en la majeur
E.Raum & T.Wieke & S.Lemelin

Quatuor à cordes en ré mineur
Saint Lawrence Quartet

Je comprends mieux l'attention que porte D.L.M. à C.C.

2) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Concerto n°3 en ut mineur, Op. 37

= Friedrich Gulda, piano ; Horst Stein, Orchestre philharmonique de Vienne

(Decca, juin 1970)

Benedictus a écrit:

lucien a écrit:

Spoiler:

Si on a déjà le triple CD de Martin Heinze chez Neos, c'est utile, ce disque?

lucien a écrit:

c’est très utile quand on veut ecoutey tout les wergo.
sinon je sais pas, pourquoi ça devrait être utile ?

Je voulais dire: est-ce que c'est important de se le procurer? est-ce que ce disque apporte quelque chose de significatif (d'ordre sonore, interprétatif...) dans ces œuvres-là par rapport à l'intégrale de la musique de chambre avec contrebasse par Heinze (que j'aime beaucoup)?

Haydn : Symphonie n°94 (Jochum)

Quel délice cette musique.

Vraiment un de mes compositeurs préférés!

je ne crois pas, mais c’est de la belle musique.
enfin, il y a les Préludes en plus, qui sont déjà bien enregistrés au violoncelle.

Maja S.K. Ratkje (1973–) :
— And sing while thou on pressed flowers dost sleep pour voix et ensemble (2012)
— Concerto for Voice (moods IIIc) pour voix et orchestre (2015)
Maja Solveig Kjelstrup Ratkje
CIKADA
Oslo Sinfonietta

3) Max Bruch (1838-1920) :

Concerto pour deux pianos, Op. 88a

= Katia et Marielle Labèque, piano ; Semyon Bychkov, Philharmonia Orchestra

(Philips, avril 1990)

4) Claude Debussy (1862-1918) :

Préludes, -Livre I

= Jean Casadesus, piano

(RCA, mars 1959)

5) Alexandre Scriabine (1872-1915) :

Cinq Préludes, Op. 15
Sonate n°3, en fa dièse mineur Op. 23

= Ievgueni Kissine, piano

(RCA, août 2004)

charles.ogier a écrit:

Carl Czerny

Trio avec piano N°2 en la majeur
E.Raum & T.Wieke & S.Lemelin

Quatuor à cordes en ré mineur
Saint Lawrence Quartet

Je comprends mieux l'attention que porte D.L.M. à C.C.

Ah oui, le quatuor en ré mineur, c'est une merveille. Celui en mi mineur aussi – par le Sheridan Ensemble (très bon) ou par le St. Lawrence SQ (excellent).

Martinu Une curiosité :  Le Raid merveilleux , Ballet mécanique (1927)

court ballet , un hommage pour la tentative tragique ratée de Nungesser & Coli de franchir l'atlantique 2 semaines avant Linbergh .
ni tchèque , ni Jazz ( comme  "la revue de cuisine") , c'est davantage du Stravinky , plus abstrait que  Riisager (T DOXC, Poème mécanique, Op. 13 (1926) ! ) . c'est bon  

Chostakovitch : Symphonie n°11 (Kondrachine)

Habité et intense.
Une des grandes symphonies de Chostakovitch.



Haydn : Symphonie n°95 (Jochum)

Jean-Claude Eloy (1938–) : À l’approche du feu méditant... pour solistes, 27 instrumentistes de l’orchestre Gagaku, deux chœurs de moines-chanteurs bouddhistes, six percussionnistes et cinq danseurs de Bugaku (1983)
Kojima Yūshō, Arai Kōjun, Ebihara Koshin, Kyōdo Jikō
Shiba Sukeyasu, Tōgi Kanehiro, Miyata Mayumi
Ensemble du Tokyo-Gakuso
Membres du Gagaku de la Cour Impériale
Moines bouddhistes des sectes Shingon et Tendai
Danseurs de Bugaku du Théâtre National Japonais



enfin une publication de l’enregistrement complet.

¶ Francesca Caccini – La Liberazione di Ruggiero dall'isola d'Alcina – Sartori (Glossa)
J'attendais le disque de Huelgas et van Nevel, mais voici que celui-ci sort au même moment ! Un des opéras les plus réussis de la période, avec un livret très littéraire (vraiment superbe) et un très beau sens des flux de parole, dont on dispose enfin d'une captation officielle !
Dans cette réalisation, les théorbes portent toute l'expression. Chanteurs qui chantent un peu à pleine voix (surtout le ténor), mais style adéquat partout.

¶ Cavalli – La Didone (Prologue) – Christie (DVD)
Le note ne concerne que le Prologue. La partie troyenne est quand même très bien, mais comme chez Berlioz, ça se tasse un peu à Carthage (qu'Armide ne survole pourtant que très brièvement).

¶ Cavalli – La Didone (début du I) – Biondi (bande vidéo)
Pas fabuleusement chanté malgré l'affiche, et plutôt raide, plutôt mou.

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¶ Haendel – Serse – Early Opera Company Orchestra, Curnyn (Chaconne / Chandos)
La seule version valable si on veut des da capo ornés (sinon, Malgoire tient toujours remarquablement son rang). Distribution un brin pâle, mais l'orchestre vit bien et ça orne (modestement mais) joliment.
Au demeurant pas mal de bijoux dissimulés dans cet opéra du rang à da capo sarcastique : les chœurs (les soldats du Pont), certains airs charmants… et même un grand récitatif de bravoure du valet (« Me infelice, ho smarrito il mio padrone »).

¶ Haendel – Ariodante (acte III) – (Della) Jones, Trullu, Musiciens du Louvre, Minkowski (bande non autorisée )
Quelle atmosphère nocturne extraordinaire ! Un des quelques meilleurs Haendel seria (après Rinaldo et avant Silla, en ce qui me concerne), et jamais aussi ardemment joué que ce soir-là.

¶ Vivaldi – La Griselda (acte III) – studio Spinosi (Naïve)
Le meilleur Vivaldi (après Motezuma bien sûr) dans une version survoltée qui me change de mon habitude – Spinosi aussi, mais avec Prina et Staskiewcz.

¶ Leo – Salve Regina – Aspromonte à Loreto (bande)

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¶ Bomtempo – Requiem – Gulbenkian O, Corboz (Erato)
Très choral, très inscrit dans les tonalités majeures, vraiment une œuvre pour la foi du charbonnier. Pas fulgurant musicalement, mais très agréable.

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¶ Suppé – Requiem – Gulbenkian O, Corboz (Erato)
Les solistes ont une bien plus grande part ici, avec un vrai dialogue et des atmosphères dramatiques beaucoup plus travaillées ; certes toujours dans une vision très optimiste de l'Au-delà, mais avec une disposition beaucoup plus verdienne des forces. Très convaincant !

¶ Wagner – Karfreitagszauber – Deutsche Oper O, Thielemann (Orfeo)
Assez épouvantable : pâteux, opaque, attaques presque jamais ensemble, et mou pour couronner le tout.

¶ Wagner – Karfreitagszauber – Radio de Bavière, Jochum (DGG)
Un peu large, pas très nerveux ni très articulé, mais ça fonctionne dans son genre brucknérien très différent des Parsifal captés de Jochum…

¶ Stanford – Symphonie n°2 – Bournemouth, Lloyd-Jones (Naxos)
Très sympa, de jolies idées musicales, en revanche il n'y a pas vraiment d'orchestration.

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¶ Mahler – Symphonie n°1 – Stockholm RPO, Oramo (Exton)
Remarquablement coloré et vivant. Beauté et lisibilité des entrées tuilées, fine gestion de la tension, final jubilatoire, une référence pour moi.

¶ Mahler – Symphonie n°1 – Radio Finlandaise, Lintu (Ondine)
Tendu comme un arc, beaucoup d'effets très réussis (évolution de la dynamique sur une même note), un grand impact. Par rapport à Oramo, plus de tension immédiate, un peu moins de construction dans la durée, mais deux merveilles assurément.

¶ Mahler – Symphonie n°2 – Philharmonique de Munich, Gergiev (label de l'orchestre)
Gergiev s'est sacrément bonifié dans cette symphonie où l'enthousiasme pouvait paraître plus ébouriffé qu'architectural, dans ses versions avec le LSO. Superbe.

¶ Mahler – Symphonie n°5 – Philharmonie Tchèque, Inbal (Exton)
Vraiment au cordeau, et élancé !

¶ Mahler – Symphonie n°10 (Cooke 1976) – BBCPO, Noseda (Chandos)
Un peu trop réverbéré et cordé pour moi, mais ce n'est de toute façon pas un Mahler qui me touche beaucoup (oui, même l'adagio initial).

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¶ (Randall) Thompson – Symphonie n°1 – New England Conservatory SO, Gunther Schuller (bande)
Inédite au disque. Comme dans la 2, des boucles, mais qui évoquent cette fois plutôt la musique française que le terroir ultramarin, Ravel (Daphnis), Milhaud, peut-être Dukas par endroit.

¶ (Randall) Thompson – Symphonie n°2 – National Orchestral Istitue, James Ross (Naxos)
Des côtés minimalistes diamondiens, voire adamsiens, mais aussi des restes de symphonie tratitionnelle. Très chouette !

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¶ Wellesz – Symphonie n°1 – Radio de Vienne, Rabl (CPO)
Musique très détaillée et articulée, limpide quoique sombre. Et quel mouvement lent final, si prégnant !

¶ Wellesz – Symphonie n°2 – Radio de Vienne, Rabl (CPO)
Comparable, avec un adagio (avant final) très doux et suave, cette fois. Le final est même lumineux et un peu naïf, en opposition complète avec les affects très mêlés (et pas très primesautiers) des deux premiers mouvements.

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¶ Le Flem – Symphonie n°1 – Orchestre de Bretagne, Schnitzler (Timpani)
Hélas un peu limité orchestralement, la très belle prise de son met en avant des cordes un peu sèches, des bois un peu acides et des cuivres un peu durs. Néanmoins, cette évocation très visuelle parcourue d'autant de thèmes folkloriques demeure tout à fait grisante !
J'ai trouvé les 2 et 3 (inédites en CD), je vais écouter ça séance tenante !

¶ Le Flem – Symphonie n°2 – Qui ? (vinyle CollectionCB)

Beaucoup plus marqué par Milhaud et même la musique atonale, sans en être non plus. Profusif, un peu du sous-Doráti.

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¶ Chostakovitch– Symphonie n°1 – Philharmonique de Berlin, Rattle (EMI)
Vraiment pas mal, même si ça n'a pas une substance incroyable. Disons que ça tire étrangement sur une anticipation du Prokofiev tardif, et que ça lui réussit assez bien. (Lecture très, très ronde et bonhomme…)

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¶ Adams – Century Rolls – Ax, Cleveland, Dohnányi (Nonesuch)
Vraiment un côté piano mécanique, pas très passionnant. Dans ce genre, Grand Pianola Musica me paraît autrement varié et abouti !

¶ Adams – Lollapalooza – HalléO, Nagano (Nonesuch)

¶ Adams – Slonimsky's Earbox – HalléO, Nagano (Nonesuch)
Pléthorique, stavinskien, sympa.

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Et un peu de glottophilie :

♦ Blandine Staskiewicz dans « Dopo un'orrida procella » (Griselda).
♦ Un ténor anglais dans « Dopo un'orrida procella » (Griselda).
♦ Simone Kermes dans « Dopo un'orrida procella » (Griselda).
♦ Aga Mikołaj dans « Per pietà » (Fiordiligi). Impressionnant et grisant, ce moelleux, cette facilité, ce frémissement… C'était il y a dix ans, je suis curieux de l'entendre maintenant.
♦ Hélène Bernardy dans le Liebestod.

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Wellesz – Symphonie n°1 – Radio de Vienne, Rabl (CPO)
Musique très détaillée et articulée, limpide quoique sombre. Et quel mouvement lent final, si prégnant !

Ah, tu vois, depuis le temps que je te le dis!

Galina Ustvolskaya (1919–2006) :
— Trio pour clarinette, violon et piano (1949)
— Sonate pour piano nº5 (1986)
— Duo pour violon et piano (1964)
Harmen de Boer, clarinette
Vera Beths, violon
Reinbert de Leeuw, piano

"¶ Mahler – Symphonie n°10 (Cooke 1976) – BBCPO, Noseda (Chandos)
Un peu trop réverbéré et cordé pour moi, mais ce n'est de toute façon pas un Mahler qui me touche beaucoup (oui, même l'adagio initial)."

Idem, ce Mahler me laisse assez froid (mais c'est un sacrilège que d'oser le dire    )

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"¶ (Randall) Thompson – Symphonie n°1 – New England Conservatory SO, Gunther Schuller (bande)
Inédite au disque. Comme dans la 2, des boucles, mais qui évoquent cette fois plutôt la musique française que le terroir ultramarin, Ravel (Daphnis), Milhaud, peut-être Dukas par endroit.

¶ (Randall) Thompson – Symphonie n°2 – National Orchestral Istitue, James Ross (Naxos)
Des côtés minimalistes diamondiens, voire adamsiens, mais aussi des restes de symphonie tratitionnelle. Très chouette !"

Oula faut que j'attrape ça.  

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Korngold : La Ville Morte (Leinsdorf)

AMHA un des chefs d'oeuvre du postromantisme.

Et quelle prise de son !!!  

arnaud bellemontagne a écrit:

"¶ Mahler – Symphonie n°10 (Cooke 1976) – BBCPO, Noseda (Chandos)
Un peu trop réverbéré et cordé pour moi, mais ce n'est de toute façon pas un Mahler qui me touche beaucoup (oui, même l'adagio initial)."

Idem, ce Mahler me laisse assez froid (mais c'est un sacrilège que d'oser le dire    )

C'est juste ce qu'il a écrit de meilleur

arnaud bellemontagne a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

¶ Mahler – Symphonie n°10 (Cooke 1976) – BBCPO, Noseda (Chandos)
Un peu trop réverbéré et cordé pour moi, mais ce n'est de toute façon pas un Mahler qui me touche beaucoup (oui, même l'adagio initial).

Idem, ce Mahler me laisse assez froid (mais c'est un sacrilège que d'oser le dire    )

Sacrilège, non quand même pas - surtout venant de vous: on voit très bien ce qui peut coincer, ici, pour des amateurs de musiques énergiques, positives et colorées à la Virgil Thomson... (Cela dit, vous avez écouté la restitution Mazzetti par Slatkin? c'est plus coloré, plus animé, plus chaleureux, et donc plus susceptible de vous plaire - j'en avais causé ici.)

(Évidemment, moi, ce Mahler méchant et un peu opaque, j'adore.)

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

¶ Mahler – Symphonie n°10 (Cooke 1976) – BBCPO, Noseda (Chandos)
Un peu trop réverbéré et cordé pour moi, mais ce n'est de toute façon pas un Mahler qui me touche beaucoup (oui, même l'adagio initial).

Idem, ce Mahler me laisse assez froid (mais c'est un sacrilège que d'oser le dire    )

Sacrilège, non quand même pas - surtout venant de vous: on voit très bien ce qui peut coincer, ici, pour des amateurs de musiques énergiques, positives et colorées à la Virgil Thomson... (Cela dit, vous avez écouté la restitution Mazzetti par Slatkin? c'est plus coloré, plus animé, plus chaleureux, et donc plus susceptible de vous plaire - j'en avais causé ici.)

(Évidemment, moi, ce Mahler méchant et un peu opaque, j'adore.)

Il ne faut pas trop opposer. Perso ce que je préfère chez Mahler c'est la 1 et l'adagio de la 10, dont les caractères effectivement s'opposent pas mal oui.

Chaya Czernowin (1957–) :
— Wintersongs V: Forgotten Light pour deux septuors et octuor avec deux voix (2014)
— Wintersongs IV: Wounds / Mistletoe pour deux septuors et trois percussionnistes (2014)
— Wintersongs II: Stones pour sept instruments et trois percussionnistes (2003)
— Five Action Sketches pour deux voix et cinq instruments (2014) : I, II, IV, V
Jeffrey Gavett, Kai Wessel
International Contemporary Ensemble (Steven Schick)

Czernowin + contre-ténor... j'en connais un qui va adorer. (Il y a aussi des clarinettes basses dans les ensembles instrumentaux?)

bien sûr, et même des flutes basses !

Benedictus a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Wellesz – Symphonie n°1 – Radio de Vienne, Rabl (CPO)
Musique très détaillée et articulée, limpide quoique sombre. Et quel mouvement lent final, si prégnant !

Ah, tu vois, depuis le temps que je te le dis!

Oui !

Me reste à écouter les concertos pour piano de Milhaud recommandés par quelqu'un d'autre, à présent.

On pourrait peut-être causer de tout ça dans le bon fil ?

Je copie.

(Non, pas les contre-ténors, je refuse d'écouter leurs disques même dans de la bonne musique.)

Nikolai Rimsky-Korsakov
Sadko

Introduction et 1er tableau

Kirov Opera Chorus & Orchestra & Valery Gergiev
Yevgeny Boitsov, Gennadi Bezzubenkov, Larissa Diadkova, Vladimir Galusin

Label Philips

Vraiment difficile de suivre lorsque la langue vous est complètement inconnue: pas de point de recentrage possible dans la lecture le suivi du livret

arnaud bellemontagne a écrit:

"¶ (Randall) Thompson – Symphonie n°1 – New England Conservatory SO, Gunther Schuller (bande)
Inédite au disque. Comme dans la 2, des boucles, mais qui évoquent cette fois plutôt la musique française que le terroir ultramarin, Ravel (Daphnis), Milhaud, peut-être Dukas par endroit.

¶ (Randall) Thompson – Symphonie n°2 – National Orchestral Istitue, James Ross (Naxos)
Des côtés minimalistes diamondiens, voire adamsiens, mais aussi des restes de symphonie tratitionnelle. Très chouette !"

Oula faut que j'attrape ça.  

Tu as déjà écouté la 2 (dans le coffret Bernstein, l'autre version disponible). Je crois que tu avais aimé !

La 1, je ne fais pas de mystères inutiles, elle se trouve sur YT. Même si elle est plus française, je suis moins convaincu (et puis le son est moyen).

DavidLeMarrec a écrit:

charles.ogier a écrit:

Carl Czerny

Trio avec piano N°2 en la majeur
E.Raum & T.Wieke & S.Lemelin

Quatuor à cordes en ré mineur
Saint Lawrence Quartet

Je comprends mieux l'attention que porte D.L.M. à C.C.

Ah oui, le quatuor en ré mineur, c'est une merveille.  Celui en mi mineur aussi – par le Sheridan Ensemble (très bon) ou par le St. Lawrence SQ (excellent).

Et donc, une confirmation

Carl Czerny

Quatuor à cordes en mi mineur
Saint Lawrence Quartet

Les Pianos de la Nuit...






Au programme ce soir :   J. Brahms – F. Hiller – L. Beethoven – C. Debussy – F. Liszt

1) Johannes Brahms (1833-1897) :

Concerto n°1 en ré mineur, Op. 15

= Lazar Berman, piano ; Erich Leinsdorf, Orchestre symphonique de Chicago

(CBS, novembre 1979)

DavidLeMarrec a écrit:

Benedictus a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Wellesz – Symphonie n°1 – Radio de Vienne, Rabl (CPO)
Musique très détaillée et articulée, limpide quoique sombre. Et quel mouvement lent final, si prégnant !

Ah, tu vois, depuis le temps que je te le dis!

Oui !  

Me reste à écouter les concertos pour piano de Milhaud recommandés par quelqu'un d'autre, à présent.

Pas d'inquiétude, ils sont jubilatoires.

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

"¶ (Randall) Thompson – Symphonie n°1 – New England Conservatory SO, Gunther Schuller (bande)
Inédite au disque. Comme dans la 2, des boucles, mais qui évoquent cette fois plutôt la musique française que le terroir ultramarin, Ravel (Daphnis), Milhaud, peut-être Dukas par endroit.

¶ (Randall) Thompson – Symphonie n°2 – National Orchestral Istitue, James Ross (Naxos)
Des côtés minimalistes diamondiens, voire adamsiens, mais aussi des restes de symphonie tratitionnelle. Très chouette !"

Oula faut que j'attrape ça.  

Tu as déjà écouté la 2 (dans le coffret Bernstein, l'autre version disponible). Je crois que tu avais aimé !

J'avais complètement oublié.

A ma décharge, le coffret est tellement dense et fourni...

Suite à des recommandations de lucien (quoique dans une veine plutôt post ou néo):

• Anna S. Þorvaldsdóttir: In the Light of Air (2013-14) pour ensemble et électronique:

ICE (International Contemporary Ensemble): Kyle Armburst (alto), Michael Nicolas (violoncelle), Nuiko Wadden (harpe), Cory Smythe (piano), Nathan Davis (percussion)
Boyce, IV.2015
Sono Luminus

• Kryštof Mařatka: Luminarium (2002), concerto pour clarinette et orchestre. Astrophonia (1998-2002), concerto pour alto et orchestre:

Michel Lethiec (clarinette), Karine Lethiec (alto), Kryštof Mařatka / Orchestre de Chambre Talich, Daniel Wiesner (piano)
Prague, II-III.2004
Arion

Comptes-rendus ici.

2) Ferdinand Hiller (1811-1885) :

Konzertstück en ut majeur, Op. 113

= Jerome Rose, piano ; Pierre Cao, Orchestre de la Radio luxembourgeoise

(Vox, 1973)

3) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Sonate n°17 en ré mineur, Op. 31 n°2

= Alfred Brendel, piano

(Philips, juin 1977)

J'abonde dans le même sens que Mélo avec Friedrich Gulda qui joue l'Appassionata de Beethoven.

Ravélavélo a écrit:

J'abonde dans le même sens que Mélo avec Friedrich Gulda

Donc une soirée thématique «pianistes autrichiens binoclards au jeu un peu spécial», c'est ça?

Benedictus a écrit:

Ravélavélo a écrit:

J'abonde dans le même sens que Mélo avec Friedrich Gulda

Donc une soirée thématique «pianistes autrichiens binoclards au jeu un peu spécial», c'est ça?

Une pure coïncidence!

C'est rien de pré-médité.
Pour tout dire, je cherchais la version Gulda/Stein du 3e Concerto de Beethoven posté par Mélo hier et je suis tombé sur le CD Gulda qui joue l'Appassionata. L'occasion était trop belle...
Et je peux renchérir avec le 5e Concerto 'Empereur' par Alfred Brendel avec Zubin Mehta et l'Orchestre Symphonique de Vienne.

Tiens, moi je serais plutôt sur un américain, au jeu tout à fait spécial également, mais dans un autre genre musical.

Spoiler:

4) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Sonate n°23 en fa mineur, Op. 57

= Emil Gilels, piano

(DG, juin 1973)

Ravélavélo a écrit:

Alfred Brendel avec Zubin Mehta et l'Orchestre Symphonique de Vienne.

De mon côté, une soirée thématique des rosbifferies de la nuit...

• Sir Michael Tippett: Symphonie nº4 (1976-77):

Sir Georg Solti / Chicago Symphony Orchestra
Chicago, X.1979
Decca

• Sir Peter Maxwell Davies: Symphonie nº1 (1976):

Sir Peter Maxwell Davies / BBC Symphony Orchestra
Manchester, XII.1994
Collins

Deux symphonies britanniques des mêmes années, toutes deux de langages très mixtes, mais très dissemblables - j’ai préféré Maxwell Davies (sombre et rugueux malgré des longueurs) à Tippett (rutilant et dansant mais trop pour moi - et surtout trop décousu). Voir ici.

Benedictus a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Alfred Brendel avec Zubin Mehta et l'Orchestre Symphonique de Vienne.

De mon côté, une soirée thématique des rosbifferies de la nuit...

• Sir Michael Tippett:

Sir Georg Solti / Chicago Symphony Orchestra
Chicago, X.1979
Decca

• Sir Peter Maxwell Davies:

Sir Peter Maxwell Davies / BBC Symphony Orchestra
Manchester, XII.1994
Collins

Deux symphonies britanniques des mêmes années, toutes deux de langages très mixtes, mais très dissemblables - j’ai préféré Maxwell Davies (sombre et rugueux malgré des longueurs) à Tippett (rutilant et dansant mais trop pour moi - et surtout trop décousu). Voir ici.

Les soirées thématiques, ça peut aider quand on est à court d'idées et qu'on ne sait plus quoi écouter.

5) Claude Debussy (1862-1918) :

Suite Bergamasque
Children's Corner

= Alexis Weissenberg, piano

(DG, février 1985)

Ravélavélo a écrit:

Les soirées thématiques, ça peut aider quand on est à court d'idées et qu'on ne sait plus quoi écouter.

Mélomaniac a écrit:

5) Claude Debussy (1862-1918) :
= Alexis Weissenberg, piano

En effet, pour en arriver là, il faut vraiment ne plus savoir quoi écouter...
(Sérieux... Weissenberg pour des arrangements jazzy de Charles Trénet ou du Rachmaninov non dégoulinant, mille fois oui - mais dans Debussy?)

Ravélavélo a écrit:

Les soirées thématiques, ça peut aider quand on est à court d'idées et qu'on ne sait plus quoi écouter.

Non mais, traitez-moi de frustré tant qu'on y est