Playlist (126)

anaëlle a écrit:

 des gens

Ils sont bons ceux-là !

Thérèse Brenet (1935–) :
— Odi et amo, suite concertante pour violon et orchestre (1992)
— Le retour de Quetzalcoatl, poème symphonique pour violoncelle et orchestre (1995)
— Poème pour violon et orchestre (1994)
— Aeterno certamine pour alto, violoncelle et orchestre à cordes avec percussions (1991)
Jérôme Akoka, violon
Aurelia Penalver, alto
Jérôme Pinget, violoncelle
Filharmonia Sudecka w Wałbrzychu (Dominique Fanal)

Wagner : Le Crépuscule des Dieux (Solti)


Dans l'optique d'un Ring épique, foudroyant et grandiose, j'ai pas encore entendu mieux que celui de Solti.

Édith Lejet (1941–) :
— Espaces nocturnes pour huit instruments (1976)
— Améthyste pour douze cordes (1990)
— Des fleurs en forme de diamants, concerto pour guitare et sept instruments (1997)
— Diptyque pour orgue et dix cordes (2002–3)
— Trois chants pour un Noël pour chœur d’enfants et quatre instruments ad libitum (1995)
— Harmonie du soir pour douze cordes (1975–77)
Olivier Chassain, guitare
Julien Bret, orgue
Chœur féminin de Saint-Quentin
Ensemble orchestral Stringendo (Jean Thorel)

Pour entrer dans la nuit…



Schreker - Schwanengesang op.11 - WDR Sinfonieorchester Köln und Chor, Peter Gülke      
Henze - Fantasia pour cordes - Camerata Salzburg, Leonidas Kavakos

L. v. Beethoven
* Sonate no.8 op.13 'Pathétique' (1er mouvement)
Michael Andreas, piano

Un jeune pianiste en récital, vraiment prodigieux.

W.A.Mozart

Concerto pour piano N°5 en ré K.175
Concerto pour piano N°6 en si bémol K.238
Concerto pour 2 pianos N°10 en mi bémol K.365

Academy of Saint Martin in the Fields & Nelville Mariner
Alfred Brendel
A.B. & Imogen Cooper

Label Philips

Après la lecture de cet intéressant sujet " a-t-on le droit de ne pas aimer Mozart ?"

Moeran: Symphonie en sol mineur/Lloyd-Jones

Ces trois derniers jours, sur les brisées de David et de lucien (comme souvent):

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Francesca Caccini – La Liberazione di Ruggiero dall'isola d'Alcina – Sartori (Glossa)
J'attendais le disque de Huelgas et van Nevel, mais voici que celui-ci sort au même moment !  Un des opéras les plus réussis de la période, avec un livret très littéraire (vraiment superbe) et un très beau sens des flux de parole, dont on dispose enfin d'une captation officielle !  
Dans cette réalisation, les théorbes portent toute l'expression. Chanteurs qui chantent un peu à pleine voix (surtout le ténor), mais style adéquat partout.

• Francesca Caccini: La liberazione di Ruggiero dall’isola di Alcina:

Elena Biscuola, Mauro Borgioni, Gabriella Martellacci, Francesca Lombardi Mazzulli, Emanuela Galli, Raffaele Giordani, Yiannis Vassilakis, Elena Sartori / Allabastrina, La Pifarescha
Ferrare, VIII-IX.2016
Glossa

Totalement enthousiasmant! En effet, un chef-d’œuvre du premier baroque italien, en rien inférieur aux Monteverdi, dans un style madrigalesque intense - ce n’est que de la (magnifique) déclamation expressive, avec des voix franches et sans apprêt, et quel accompagnement! des théorbes qui frémissent avec une densité rare, des cornets et des sacqueboutes qui claquent et ces percussions! On pourrait certes imaginer un chant et des sonorités plus nuancés, mais quelle vie! (Très beau livret, en effet.)

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Wellesz – Symphonie n°1 – Radio de Vienne, Rabl (CPO)
Musique très détaillée et articulée, limpide quoique sombre. Et quel mouvement lent final, si prégnant !

• Wellesz: Symphonie nº1, op. 62:

Gottfried Rabl / Radio Symphonieorchester Wien
Vienne, 2003
CPO

Réécoute plus ou moins en boucle, du coup. C’est tout à fait ça: c’est sombre mais net, le discours progresse sans temps mort, avec beaucoup d’impact et d’évidence, et la veine mélodique est extraordinairement persuasive - et pas que dans le mouvement final: les thèmes du I sont très prégnants eux aussi. Vraiment un des grands chefs-d’œuvre de la symphonie décadente.

• Helena Tulve: à travers (1998) pour ensemble. Lijnen (2003) pour voix et ensemble¹. abysses (2003) pour flûtes et ensemble². cendres (2001) pour ensemble:

Arianna Savall (voix)¹, Emmanuelle Ophèle-Gaubert, Mihkel Peäske (flûtes)², Olari Elts / NYYD Ensemble
Tallin, 2006
ECM

Tout à fait d’accord avec ce qu’en dit lucien ici: pas si planant-éthéré que ça, et pas néo. En effet, moi aussi, ça m’a fait penser à du Saariaho, mais avec quelque chose de plus nerveux, de plus tendu, de plus froid et de plus sec aussi (du Saariaho des meilleures œuvres chambristes des années 80, sans la parure hédoniste; ou alors quelque chose de pas éloigné du Murail austère des Winter Fragments?) - et en effet une espèce de bruitisme glacé et frémissant très personnel. J’ai beaucoup aimé.

Xavier a écrit:

Moeran: Symphonie en sol mineur/Lloyd-Jones

Antonio Vivaldi

* Stabat Mater
James Bowman, haute-contre
Academy of Ancient Music
Christopher Hogwood (L'Oiseau-Lyre, 1976/1985)

* Gloria en Ré RV 589
2 versions:
1- Ensemble vocal Raphaël Passaquet
La Grande Écurie du Roy
Jean-Claude Malgoire (CBS/SONY, 1976)
2- Choir of Christ Church Cathedral d'Oxford
The Academy of Ancient Music
Christopher Hogwood (L'Oiseau-Lyre, 1979/1985)

Dalbavie - Concerto pour piano (2005) - Leif Ove Andsnes (piano), Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks, dir. Franz Welser-Möst

Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Op. 106 Hammerklavier

Stephen Kovacevich
intégrale Warner classiks

Josef Haydn
* Symphonie no.49 en Fa mineur 'La Passion'
Il Giardino Armonico
Giovanni Antonini

C'est bon et même excellent, à mi-chemin entre le baroque et le classique, l'orchestre idéal pour ce genre d'oeuvre empreinte de profondeur. Je crois même qu'ils jouent sur instruments d'époque.

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Autre concert Live: le New Amsterdam Symphony Orchestra avec un son totalement pourri, l'interprétation est intéressante et excellente mais la qualité sonore exécrable, en plus le monde tousse trop.
Et puis le nom du chef d'orchestre n'apparaît nulle part.
Vadym Kholodenko a remporté le Concours Van Cliburn en 2013.

Serge Rachmaninoff
* Concerto no.4 en Sol mineur op.40
Vadym Kholodenko, piano
NASO
en rappel:
Bach-Siloti
* Prélude en Si mineur, BWV 855a
---------------------

P.I. Tchaïkovski
* Symphonie no.4 en Fa mineur op.36
New England Conservatory (NEC)
Hugh Wolff

Quelle différence ici, la qualité est impeccable: sonorités chaudes et chatoyantes.

Egon Wellesz
Je ne connais pas les symphonies , mais Vorfrulling op12 (1912) est un poème symphonique assez impressioniste agréable ,oeuvre pour jeunesse .
Les Sonnets de d'Elisabeth Barrett-Browning op52 pour soprano et orchestre à cordes sont très beaux : atmosphère sombre raffinée (une bonne maitrise de l'orchestre à cordes) et expressioniste "feutré" ( c'est pas Elektra).
Mais , je préfère les Quatuors à cordes ( 9 , j'ai juste un cd du Artis Quartett 3,4 & 6) :  surtout le 3ème Quatuor (1918) , egon Wellesz est à la croisé de chemin (Debussy et Ravel ? ,Schonberg ? , Bartok ?). Il hésite , mais ces hésitations fait tout le charme de sa musique  

Philip Glass : Einstein on the Beach

Helga Davis, Kate Moran, Antoine Silverman, Jasper Newell, Charles Williams, Philip Anderson, Joe Damon Chappel, Hai-Ting Chinn, Tomás Cruz,
Michèle A. Eaton, John Kawa, Lindsay Kesselman, Kate Maroney, Solange Merdinian, Gregory R. Purnhagen,  Melanie Russell,  Jason Charles Walker
The Lucinda Childs Dance Company
The Philip Glass Ensemble, Lisa Bielawa , David Crowell, Dan Dryden, Jon Gibson, Mick Rossi, Andrew Sterman, cond. Michael Riesman

Paris, Théâtre du Châtelet, 7 janvier 2014
TV broadcast, TT : 4h32

www.google.fr/search?q=einstein+on+the+beach+chatelet&tbm=vid&source=lnt&tbs=dur:l

Bien trop court !

Gil Splash a écrit:

Philip Glass : Einstein on the Beach

Il n'y a pas meilleure musique pour célébrer le prix nobel physique 2017.

Bruckner : Symphonie n°8 (Wand Cologne)

greg skywalker a écrit:

Egon Wellesz
Je ne connais pas les symphonies , mais Vorfrulling op12 (1912) est un poème symphonique assez impressioniste agréable ,oeuvre pour jeunesse .
Les Sonnets de d'Elisabeth Barrett-Browning op52 pour soprano et orchestre à cordes sont très beaux : atmosphère sombre raffinée (une bonne maitrise de l'orchestre à cordes) et expressioniste "feutré" ( c'est pas Elektra).
Mais , je préfère les Quatuors à cordes ( 9 , j'ai juste un cd du Artis Quartett 3,4 & 6) :  surtout le 3ème Quatuor (1918) , egon Wellesz est à la croisé de chemin (Debussy et Ravel ? ,Schonberg ? , Bartok ?). Il hésite , mais ces hésitations fait tout le charme de sa musique  

Pourquoi donc perdre tout ça en Playlist??

https://classik.forumactif.com/t7041-egon-wellesz-18851974

Arthur Bliss, Quintette pour clarinette, Melos Ensemble

je découvre et j'aime beaucoup!

Xavier a écrit:

Pourquoi donc perdre tout ça en Playlist??

 https://classik.forumactif.com/t7041-egon-wellesz-18851974

c'est fait

Frédéric Chopin
* Ballade no.1 en Sol mineur op.23
Seong-Jin Choe, piano

Helmut Lachenmann (1935–) :
— „...zwei Gefühle...”, Musik mit Leonardo pour récitant et ensemble (1991–92)
— Wiegenmusik pour piano (1963)
— Guero pour piano (1970)
— Pression pour violoncelle (1969–70)
— Ein Kinderspiel pour piano (1980)
Helmut Lachenmann, récitant et piano
Lauren Radnofsky, violoncelle
Ensemble Signal (Brad Lubman)

• Aperghis: Machinations (2000), spectacle musical pour 4 femmes et ordinateur:

Sylvie Levesque, Donatienne Michel-Dansac, Sylvie Sacoun, Geneviève Strosser (voix), Olivier Pasquet (ordinateur)
2000
Accord

Il est possible que je me trompe, mais il me semble bien que David avait recommandé cette chose. En tout cas, pour ma part, c’est entre , et .

eh non, tu ne te trompes pas...

Après - et sans sous-entendre par ceci que c'est du charlatanisme ou du foutage de gueule, ni que ce n'est pas de la musique © - je me demande si un objet esthétique tel que celui-ci ne doit pas être appréhendé sous un angle autre que celui de «la musique», fût-elle contemporaine ou électroacoustique (par exemple d'un point de vue scénique, linguistico-phonologique, technologique ou autre, c'est sûrement passionnant...)

Les Gauloiseries de la Nuit...





Au programme ce soir :   F. Poulenc – J. Massenet – E. Satie – D. Milhaud – G. Bizet

c’est probable, mais le problème c’est que ça (Aperghis) ne m’a jamais même intéressé comme musique... or ça en est quand même, donc je veux bien une plus-value linguistique ou conceptuelle, mais une musique dans laquelle je ne trouve pas de valeur intrinsèquement musicale, j’ai du mal.

1) Francis Poulenc (1899-1963) :

Les Biches, ballet en un acte

= Semyon Bychkov, Orchestre de Paris & ses Choeurs

(Philips, avril 1991)

Moi qui suis plutôt habitué à n'entendre que la Suite de ce ballet,
les choeurs m'en semblent... bizarres voire nunuches, mais bon en même temps c'est du Poulenc...

Benedictus a écrit:

Après - et sans sous-entendre par ceci que c'est du charlatanisme ou du foutage de gueule, ni que ce n'est pas de la musique © - je me demande si un objet esthétique tel que celui-ci ne doit pas être appréhendé sous un angle autre que celui de «la musique», fût-elle contemporaine ou électroacoustique (par exemple d'un point de vue scénique, linguistico-phonologique, technologique ou autre, c'est sûrement passionnant...)

Ah oui, forcément, c'est une histoire, une atmosphère, pas vraiment de la musique (mais Grisey non plus, après tout, même si les hauteurs sont plus marquées et les instruments plus traditionnels).

Je ne l'ai pas réécouté depuis longtemps, mais j'avais vraiment été fasciné lorsque je l'avais beaucoup écouté. Un truc qui aurait dû m'insupporter et qui m'a séduit par sa poésie alternative, une histoire sans trame, mais avec une tension dramatique, de la musique sans note, vraiment quelque chose de singulier.

Pour moi, ça s'approche assez du plaisir de la Cassandre de Jarrell, même si ce n'est pas aussi littéraire-léché que du Christa Wolf.

DavidLeMarrec a écrit:

pas vraiment de la musique (mais Grisey non plus, après tout, même si les hauteurs sont plus marquées et les instruments plus traditionnels).

Que l'on trouve Grisey moche, systématique, pénible, tout ce qu'on veut, OK - mais je ne vois pas trop ce que ça pourrait être d'autre que de la musique (alors que pour Machinations, il me vient spontanément d'autres catégories qui me semblent au moins aussi pertinentes que celle de musique: théâtre expérimental, création radiophonique, installation sonorisée, happening...)

DavidLeMarrec a écrit:

sa poésie alternative, une histoire sans trame, mais avec une tension dramatique

Je n'ai vraiment rien perçu de tout ça.

DavidLeMarrec a écrit:

Pour moi, ça s'approche assez du plaisir de la Cassandre de Jarrell, même si ce n'est pas aussi littéraire-léché que du Christa Wolf.

Ah? Non, pour moi, c'est totalement différent: Jarrell, c'est vraiment du mélodrame (au sens technique et XIXᵉ du mot) traditionnel: de la récitation avec accompagnement instrumental, sans aucun autre travail sur la voix que celui, classiquement «art dramatique», de la récitante - et le texte effectivement ultra-littéraire de Christa Wolf me semble précisément participer de ce traditionalisme assumé.

(Enfin, bon, j'entends quand même sensiblement plus de musique dans Lear, hein...)

En vrac ces derniers jours :

Mahler - Lieder eines fahrenden Gesellen - Sinopoli, Philharmonia, Fassbaender. Belle petite découverte qui nécessitera surement une réécoute un peu plus tard
Ravel - Boléro, Valse, Rapsodie Espagnole - Munch, Boston
Berlioz - Symphonie Fantastique - Colin Davis, Concertgebouw. Pas mal du tout, comme prévu pas toujours tranchant mais des sonorités vraiment agréables.
Berlioz - Symphonie Fantastique - Munch, Boston. A l'inverse ici, peut-être un peu trop tranchant par instants. Mais sinon, une très belle version.
Moussorgsky - Tableaux d'une exposition - Reiner, Chicago. Excellent
Stravinsky - Sacre du printemps - Currentzis, MusicAeterna. Pas convaincu du tout.
Mozart - Requiem - Currentzis, MusicAeterna. Là par contre, c'est très bon.

J'ai lancé ce soir le Cosi de Nézet-Séguin avec l'Orchestre de chambre d'Europe. Je suis en plein premier acte et je suis sous le charme de beaucoup trop de choses !

2) Francis Poulenc (1899-1963) :

Figure humaine, pour deux choeurs mixtes

= Eric Ericson, Choeurs de Chambre et de la Radio de Stockholm

(Emi, 1971)

3) Jules Massenet (1842-1912) :

Les Érinnyes, musique de scène

= André Cluytens, Orchestre du Théâtre National de l'Opéra de Paris

(Pathé, septembre 1952)

Olga Neuwirth (1968–) : Ondate II pour deux clarinettes basses (1998)
Alain Billard, Jérôme Comte

• Romitelli: An Index of Metals (2003), vidéo-opéra pour soprano, ensemble et trois projections vidéo:

Donatienne Michel-Dansac (soprano), Georges-Elie Octors / Ictus
En public, Milan, X.2004
Cyprès
Pas vraiment ma came (c’est le cas de le dire, parce que là, manifestement...), mais je dois admettre que ça fonctionne vraiment bien; en particulier cette espèce d'hybridation entre un langage plus ou moins post-spectral et certaines formes assez élaborées de musiques populaires (ici, plutôt free jazz et électro) - bien mieux que ce que j'avais entendu jusque là dans ce sens (Gander et autres métalleux autrichiens à platines ©).

Benedictus a écrit:

ce n'est pas de la musique

Eh, celle-là j'y eu droit (ponctué d'un rire satisfait) tout-à-l'heure.... à l'entracte* du Dernier Jour d'un condamné d'Alagna.

Le public-type traditionnel de l'Opéra de Marseille n'est pas bien au courant de l'évolution du genre après Puccini.

(Compte-rendu à venir dans un topic à créer.)

______

* Oui parce qu'ils se sont débrouillés, dans un œuvre qui fait une heure et demi, pour caser une demi-heure d'entracte, quand on amène les condamnés vers le lieu de leur exécution. Y a des acharnés de la coupette de champagne.

Clara Maïda (1963–) :
— Le livre des trous pour piano (2001)
Ensemble Alternance
— Holes and bones pour flute, clarinette, violon et violoncelle (2002)
Ensemble Accroche Note

Serge Rachmaninoff
* Élégie en mi ♭ mineur op.3 no.1
Yuja Wang, piano

Une miniature empreinte de tristesse.

4) Erik Satie (1866-1925) :

Gymnopédies, orch. Debussy

= Philippe Entremont, Royal Philharmonic Orchestra

(CBS, mai 1970)

Bloups a écrit:

Mahler - Lieder eines fahrenden Gesellen - Sinopoli, Philharmonia, Fassbaender.
Belle petite découverte qui nécessitera surement une réécoute un peu plus tard

Assurément !
D'innombrables versions, au sein desquelles la version DFD/Kubekik (DG) me comble.

Bloups a écrit:

Ravel - Boléro, Valse, Rapsodie Espagnole - Munch, Boston
Berlioz - Symphonie Fantastique - Colin Davis, Concertgebouw. Pas mal du tout, comme prévu pas toujours tranchant mais des sonorités vraiment agréables.
Berlioz - Symphonie Fantastique - Munch, Boston. A l'inverse ici, peut-être un peu trop tranchant par instants. Mais sinon, une très belle version.
Moussorgsky - Tableaux d'une exposition - Reiner, Chicago. Excellent

Complètement d'accord avec tout ça.
NB : même en se limitant à RCA, il y a deux enregistrements de la Fantastique par Munch à Boston (1954 & 1962).
L'occasion de rappeler l'existence de ce site passionnant : http://patachonf.free.fr/musique/berlioz/fantastique.php?p=m#m

5) Darius Milhaud (1892-1974) :

Symphonie n°2

= Georges Tzipine, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire

(Columbia, novembre 1953)

6) Georges Bizet (1838-1875) :

Carmen, Suites 1 & 2

= Semyon Bychkov, Orchestre de Paris

(Philips, mai 1993)

Scriabin
Symphonie No.2
Concerto pour piano

Petrenko/Gerstein

Bruckner : Symphonie n°5 (Jochum Concertgebouw)

Olivier Messiaen (1908–1992) : O sacrum convivium pour chœur mixte (1937)
Olivier Messiaen / Clytus Gottwald : Louange à l’Éternité de Jésus pour chœur a cappella
Georg Friedrich Haas (1953–) : 7 Klangräume zu den unvollendeten Fragmente Requiems von Wolfgang Amadeus Mozart für gemischten Chor und Orchester (2005)
SWR Vokalensemble
SWR Symphonieorchester (Risto Joost)

(sinon j’ai écouté des trucs de Mahnkopf dans la journée. )