Vos rêves...

Je vois. Dommage que je ne m'en souvienne plus, il y avait un superbe thème aux trombones avec contre-chant de cors et trompettes sur fond de trémolo de cordes.

Appelez-moi Bruckner.

J'ai rêvé du jeu des compositeurs...

On en saura plus ?

Il y avait une lutte terrible pour sauver Mozart... mais comme tous mes rêves en général je m'en souviens très mal...

Lutte terrible = répression terrible.

C'est ce qu'on apprend en cours d'histoire sur les révolutions.

un de mes rêves de ce matin, dans les grandes lignes :

Je tombe, sans doute à la téloche, sur la retransmission d'une sorte de drôle de sport, mélange entre gymnastique et acrobatie, dans lequel cinq ou six personnes se roulent sur le sol en faisant des figures prétendument artistiques. L'une d'entre elle a d'ailleurs l'air très bête car, en roulant, elle a trouvé le moyen de se bloquer contre le mur, et ne sait pas comment faire pour se dépétrer vu qu'elle ne peut pas rouler surle mur et que, pour une raison bizarre, elle ne peut pas non plus rouler dans l'autre sens. Bref.

Sur ce : me voici transporté face à ces braves sportifs, qui viennent de changer de registre : ils prennent la pose. L'un se tient en équilibre sur des barres transversales, un autre se tiend debout et droit comme un i, etc. (je me souviens surtout de ces deux-là). Ils demeurent parfaitement immobiles tandis qu'un petit groupe de juges les examinent et commentent leurs prestations. Je fais partie de ces juges. Et à mes côtés : Xavier (sans ses lunettes), Vartan, et David. Il y a encore un autre membre du forum, mais je ne sais plus si c'est Sofro, ou Calbo, bref c'était un nom en « o » mais je ne sais plus...

Toujours est-il que c'est Xavier ou Vartan (je ne sais plus...) qui me fait remarquer, non sans sadisme, que le plus amusant dans le « sport » auquel nous sommes en train d'assister en tant que juges, c'est le fait de voir souffrir les concurrents, au point que des petits goutelettes de sueur perlent de ceux qui se tiennent dans des poses vraiment difficiles, et qu'elles tombent sur le sol en claquant.

Je me souviens encore qu'à un moment, je ne sais pourquoi, Xavier se met à parler d'orgie et prononce : « UN orgie », ce qui fait que je le corrige immédiatement...

Et enfin, dernier acte : une fois la session des poses terminée, il semble que l'étape suivante soit que chaque concurrent exécute une performance personnelle. La première à s'y risquer explique qu'elle va chanter Norma de Bellini (logique, je l'ai écouté avant de dormir). Elle va mettre le cd de l'opéra qui se lance, puis revient devant nous, sort un accordéon (qui va se transformer en guitare) et se met à chanter un truc bizarre genre : « Normaaaa, Normaaaa » (me semble t-il) sans tenir aucunement compte de la musique en fond. A tel point que David, écoeuré, se lève pour aller couper le cd.

Et après ça passait à autre chose...

Comment sais-tu que les administrateurs se livrent à des orgies ineffables ?

Tu veux en être, c'est ça ?

vartan a écrit:

Comment sais-tu que les administrateurs se livrent à des orgies ineffables ?

Pas dur à deviner, les moeurs déplorables des hautes sphères des sociétés parisiennes et bordelaises sont connues et réputées...

J'étais dans un supermarché, quand un "malfaiteur" (je vois pas d'autre mot) s'approcha de moi et se mit à me battre en me lançant à la tronche plein d'insultes racistes. Je ne sais pas pourquoi, mais je savais que c'était un homme envoyé par un méchant de la série Plus belle la vie ( )... Oui parce quand dans la série, un jeune loup qui travaille dans l"immobilier commandite des aggressions racistes et quelques crimes pour installer la terreur dans le quartier et ainsi faire chuter le prix de l'immobilier. Et donc, alors que son sbire me frappait, les gens me regardaient sans rien faire, avec une exclamation d'horreur sur le visage. Puis il a fini par arrêter, je suis tombé à terre en sanglotant, et là j'ai reçu un sms de réconfort d'Eragny

Cette fois-ci, je me rendais comme d'habitude à un arrêt de bus tôt le matin (bizarrement, à celui qui est situé deux ou trois arrêts plus loin que le mien), lorsque, dans la pénombre hivernale et glaciale, je reconnus Spiritus (dans mon rêve, tu étais assez petit, je dirais à peu près 1m 65 ( ), vêtu d'un caban noir... Je n'ai pas osé te saluer, puis j'entendis résonner derrière moi d'une voix grave: "Eh oh, KID A, tu ne me dis pas bonjour?"... Je crois que c'est à peu près tout

Mis à part les quinze centièmetres dont tu m'as spolié, la description concorde : je suis en effet toujours vêtu d'un long caban noir

Toujours un long manteau noir aussi


Cette nuit j'ai rêvé encore d'une amie que j'aime beaucoup... j'aime bien quand elle fait intrusion dans mes rêves

C'est marrant, c'est généralement par les rêves que je tombe amoureux de mes amies...

Enfin, je dois bien l'être inconsciemment avant, mais quand cela se matérialise dans mes rêves, et bien ça m'en fait prendre conscience...

... le réveil, le matin d'un rêve de ce genre, est un des délices les plus merveilleux de l'état amoureux.

J'approuve totalement

Bizarrement, pour Emma ça ne s'est pas passé ainsi.

Mais c'est une exception

Eragny a écrit:

Cette nuit j'ai rêvé encore d'une amie que j'aime beaucoup... j'aime bien quand elle fait intrusion dans mes rêves

J'espère que ce n'est pas celle qui t'a snobé l'autre jour...

Citation :

Cette nuit j'ai rêvé encore d'une amie que j'aime beaucoup... j'aime bien quand elle fait intrusion dans mes rêves

Mais une personne en cache souvent une autre dans le rêve...

Picrotal a écrit:

Eragny a écrit:

Cette nuit j'ai rêvé encore d'une amie que j'aime beaucoup... j'aime bien quand elle fait intrusion dans mes rêves

J'espère que ce n'est pas celle qui t'a snobé l'autre jour...

Non mais on en parlait

mouai dans mes rêves les histoires d'amour se passent toujours super bien
mais dans la réalité c'est plutôt le style Jean-Claude Duss

Je crois avoir rêvé de David cette nuit... J'en suis même certain, simplement je me suis réveillé avec la plupart des choses en tête, en me disant qu'il faudrait que je le raconte ici, et puis ça s'est évaporé doucement... Mais c'était un rêve assez long, dans lequel David, incarné sous un physique somme toute assez inquiétant, tenait le premier rôle...

Picrotal a écrit:

Je crois avoir rêvé de David cette nuit...

Citation :

incarné sous un physique somme toute assez inquiétant,

Oui, on me le dit souvent.

DavidLeMarrec a écrit:

Picrotal a écrit:

Je crois avoir rêvé de David cette nuit...

Non non, je te rassure : j'ignore si j'ai en moi une homosexualité latente, mais elle ne s'exprime en tout cas jamais dans mes rêves...

DavidLeMarrec a écrit:

Citation :

incarné sous un physique somme toute assez inquiétant,

Oui, on me le dit souvent.

Mais à mon avis, tu ne ressembles en rien à ce que je me représentais dans mon rêve, sauf si tu as dans les 20 ans, les cheveux très bruns, le visage sec, les yeux un peu lycanthropes et la bouche acerbe...

Picrotal a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Picrotal a écrit:

Je crois avoir rêvé de David cette nuit...

Non non, je te rassure : j'ignore si j'ai en moi une homosexualité latente, mais elle ne s'exprime en tout cas jamais dans mes rêves...

Ca ne change rien à l'affaire : je suis donc si présent dans tes pensées ?

Citation :

Mais à mon avis, tu ne ressembles en rien à ce que je me représentais dans mon rêve, sauf si tu as dans les 20 ans, les cheveux très bruns, le visage sec, les yeux un peu lycanthropes et la bouche acerbe...

En rien, en rien, c'est vite dit. Mais généralement, non, on dit que j'ai de beaux yeux (du type merlan vivant).

J'ai un ami qui est maintenant en prépa scientifique et que je vois beaucoup moins, mais j'ai rêvé et je rêve encore régulièrement de lui, mais pourtant il ne s'est rien passé de spécial entre nous. C'est généralement des rêves assez bizarres:

-J'ai par exemple rêvé de lui à l'époque où j'étais en terminale dans mon ancien lycée, où il y avait deux "passerelles", deux parties du couloir suspendues dans le vide au-dessus du hall. Architecture du début des années 90. Toujours est-il que j'ai rêvé qu'il y avait un trou dans cette passerelle, et qu'à cet endroit (ce qui est tout à fait impossible vu la clarté du hall) elle était plongée dans l'obscurité. Dans mon rêve, je manque de tomber, et je me retourne pour prévenir l'ami en question. Seul problème, il ne m'écoute pas et rigole comme un *** (il a toujours un drôle de rire) avec un autre ami, qui, je m'en rappelle précisément, raconte une blague ridicule (c'est les rêves, je ne l'explique pas, mais ça me laissait une sensation de frustration!). Et j'ai beau crier pour le prévenir qu'il y a un trou, il ne m'écoute pas, me tourne le dos, et je me réveille au moment où il tombe.

-Il y a un mois, j'ai rêvé que j'allais dans une cantine inconnue (une sorte de mix entre toutes les cantines que j'ai connues dans ma scolarité) avec lui. Et dans le rêve il me bassine tellement que j'en oublie de prendre des frites, et lui aussi! Quand je m'assois à table, on se rend compte tous les deux que l'on n'a pas de frites, et mon ami part donc en chercher. Il me dit de le suivre, et, sans savoir pourquoi, je lui répond que je ne peux pas. Le reste du rêve dure au moins un quart d'heure, un long quart d'heure pendant lequel je le regarde raconter sa vie aux cuisiniers au lieu de revenir manger ses frites qui risquent de refroidir. Peu à peu la scène perd de sa précision, et je me rappelle m'être reveillé, très agacé par son attitude.

Ma théorie est la suivante: il devait tellement me saoûler que soit je me vengeais de lui, soit je stygmatisais dans mes rêves.

-Qu'en pensez-vous docteur Adler?
-Il me semble que l'univers onirique de Monsieur R, que j'appellerais dans un but de classification L'homme aux Frites, révèle une singulière fracture entre le conscient et l'inconscient, ou pour vulgariser entre le corps et l'esprit. L'ami agaçant, source de frustration, est bien sûr un Doppelganger. L'homme aux frites a la certitude qu'il existe un moyen de communiquer entre ces deux aspects de sa personnalité, mais ce lien à double sens est partiellement plongé dans une zone d'ombre recelant des abîmes, dans lesquels il s'interdit de sombrer, mais où son alter ego (qui ne l'entend jamais et n'en fait qu'à sa tête... c'est un inconscient) rêve de sombrer, par erreur, sans le savoir ni tenir compte des avertissements. En ce sens, il est impossible de le suivre.
-Mais la frite dans tout ça?
-Oh, vous ne m'entrainerez pas sur le terrain glissant de la symbolique sexuelle de la frite, et particulièrement de la frite froide et molle. Soulignons seulement que l'aliment du corps et de l'esprit ne sont pas de la même nature, et que l'inconscient s'efforce, par l'étalage de données personnelles révélées aux fabricateurs de nourriture, de priver le corps d'une satisfaction orale de base, et réussit à le frustrer, faute de parvenir à le tuer, car les frites sont là quand même, mais elles sont devenues inmangeables, et objet d'une contemplation stérile et déprimante.
-Que suggérez-vous à Monsieur R, docteur?
-Jeter les frites dans le trou jusqu'à rétablir la continuité de la passerelle?

Picrotal a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Citation :

incarné sous un physique somme toute assez inquiétant,

Oui, on me le dit souvent.

Mais à mon avis, tu ne ressembles en rien à ce que je me représentais dans mon rêve, sauf si tu as dans les 20 ans, les cheveux très bruns, le visage sec, les yeux un peu lycanthropes et la bouche acerbe...

Je ne dirais rien...

Le regard lycanthrope ça pourrait coller, oui.

Citation :

Je pense que le rêve est une fonction indispensable, une soupape de sécurité, une façon qu'à le psychisme de métaboliser les and-goisses de la journée. Un peu comme un ordi qui fait une révision de ses fichiers automatiquement. Parfois on en garde le souvenir.

En fait tu pencherais plutôt du côté de Jung, non ? Je ne l'ai pas lu, mais je crois qu'il refusait l'idée que le rêve soit forcémment une réalisation de désir.

Sinon, j'ai entendu dire que les récentes recherches en neurobiologie falsifiaient les théories freudiennes... mais j'ai aussi entendu le contraire, et même entendu des penseurs pensant que la neurobiologie ne pouvait pas ni confirmer ni infirmer jamais les théories psychanalytiques

Picrotal a écrit:

Mais à mon avis, tu ne ressembles en rien à ce que je me représentais dans mon rêve, sauf si tu as dans les 20 ans, les cheveux très bruns, le visage sec, les yeux un peu lycanthropes et la bouche acerbe...

Ca me donne pas envie de monter à Paris, ça.

Kryzstof a écrit:

En fait tu pencherais plutôt du côté de Jung, non ? Je ne l'ai pas lu, mais je crois qu'il refusait l'idée que le rêve soit forcémment une réalisation de désir.

Sinon, j'ai entendu dire que les récentes recherches en neurobiologie falsifiaient les théories freudiennes... mais j'ai aussi entendu le contraire, et même entendu des penseurs pensant que la neurobiologie ne pouvait pas ni confirmer ni infirmer jamais les théories psychanalytiques

C'est complexe comme question, je ne peux qu'être schématique. Jung ? Certainement pas ma tasse de thé.
L'approche de Freud et de Jung concernant le rêve ne sont pas très éloignées mais leur conception du psychisme, si. La cuisine jungienne qui tente d'intégrer toutes les approches philosophiques et spirituelles au traitement psychanalytique me semble un peu fumeux. Et surtout un modèle thérapeutique pas très pertinent. Mais chacun sa cuisine.

L'intérêt de l'analyse des rêves reste celui d'un traitement. Théories, modèles, il y en a plusieurs, il faut utiliser celui que l'on pense le plus cohérent avec les représentations que l'on a du psychisme. La théorisation psychanalytique s'est depuis Freud (et Jung) beaucoup affinée avec l'apport essentiel des "indépendants" comme Klein, Winnicott, Meltzer, Green en France...
Il n'y a que les tenants fanatiques (pas tous bien sûr) de la psychologie réadaptative (congnitivo-comportementalistes) et de la neurobiologie (tenants des médicaments exclusifs) qui s'en réfèrent toujours à la préhistoire de la psychanalyse pour l'attaquer en feignant d'oublier que depuis l'eau a coulé sous les ponts. Comme si on allait reprocher aux neurobiologistes d'aujourd'hui les traitements grotesques qu'on faisait subir aux patients neurologiques des années 1880 ! Si tant est que les patients de Freud s'en soient tellement plaint.

Ensuite, on peut se demander pourquoi les neurosciences cherchent constamment à dégommer la psychanalyse. Ils sont souvent très agressifs en effet et ne comprennent pas que les deux conceptions ne se croisent pas. Le psychanalyse repose sur des théories qui ne cherchent pas la démonstration de leur réalité mais la guérison des patients en utilisant ces modèles théoriques.

La neurobiologie ne s'intéresse pas à la pensée (ce qu'elle croit abusivement parfois) mais aux conditions d'existence de la pensée, nuance !

Je suis un hypocondriaque comme vous en verrez peu mais je n'ai jamais rêvé d'être malade ou autre. Et puis, contrairement à ce qu'on dit, je ne passe pas mon temps chez le médecin. Au contraire, je les évite !
Enfin, je n'en parle à personne et je garde mon anxiété pour moi, contrairement à tout ce qui peut être dit sur les hypocondriaques qui harcèleraient leur entourage avec ça. Du coup, j'ai un peu de mal à croire ce que racontent nos amis psy
bonsoir Vartan !

Et le rapport avec ce qui est dit avant c'est quoi ?

Je ne réponds pas à ce qui vient d'être dit mais je parle des rêves et de leur interprétation, etc.

OK

Et au fait je suis certainement très mal placé pour affirmer ne pas croire tout ce qu'on dit en général sur les hypocondriaques
Enfin si il existe un sujet sur lequel je n'ai pas le droit d'intervenir, c'est bien celui des théories psychanalytiques. Je ne me suis encore jamais penché là-dessus et n'ai même jamais lu Freud ou autre.

Si tu veux te lancer, l'opucuscule de 1901 "sur le rêve" est vraiment bien. C'est très court, la langue de Freud est très fluide, concise et agréable. Par contre, il faut à mon avis le lire deux ou trois fois pour avoir une idée sérieuse de sa théorie.

Je ne me rappelle jamais de mes rêves… sauf celui de ma fin de nuit passée:

J'étais à l'hôpital pour me faire opérer du pied droit (je ne sais pas pourquoi) et on ne me faisait qu'une anesthésie locale (3 injections au pied lui-même). Après les injections j'ai dit à l'infirmière qu'en fait ce n'était pas ce chirurgien qui devait m'opérer mais une autre équipe venant d'un autre hôpital. Tout le monde se met alors à râler parce que je préviens trop tard (sans blague ) … et le changement s'effectue tout de suite, sauf pour le chirurgien qui n'arrive pas (car c'est dimanche et il est devant sa télévision). Il arrive enfin, à l'air ahurit, et s'assoit à côté de moi sur la table d'opération à hauteur de mes côtes et m'oblige à une gymnastique terrible pour arriver à poser mon pied sur ses cuisses afin de m'inciser avec son scalpel.
Là, je lui dit que mon pied n'est pas bien endormi, il s'étonne, les infirmières ainsi que le chirurgien commencent, chacun à leur tour, à me frapper le pied à des endroits différents avec des outils genre: marteau, burin, etc. et je dois dire où j'ai mal.

… après je ne me souviens plus, mais je sais que ça s'est mal terminé.

Tu n'as pas vu " The Kingdom" de Lars von Trier ?

Morloch a écrit:

Tu n'as pas vu " The Kingdom" de Lars von Trier ?

Non… je me suis arrêté après "Les idiots"

Tiens j'ai rêvé, entre-autres, que je prenais le train pour Bordeaux afin d'aller rendre une visite surprise à Vartan... Qui, détail amusant, habitait au numéro 0 de je-ne-sais-plus quelle rue... !

Je ne sais pas si c'est bon signe le n° zéro !

La nuit dernière, j'ai rêvé que deux types que j'avais entendu dire qu'ils avaient braqué une agence de la Banque Populaire me poursuivaient dans les rues de Clermont...

C'était saisissant de réalité !

(Sauf que je suis rentré dans la roseraie d'un jardin public, et que je me suis mis à chanter le finale de la Troisième de Mahler. Véridique)

Pas bête l'idée du cri qui tue pour s'en débarrasser

Spiritus a écrit:

(Sauf que je suis rentré dans la roseraie d'un jardin public, et que je me suis mis à chanter le finale de la Troisième de Mahler. Véridique)

Ça les a fait fuire ??? Saisissant de vérité

Morloch a écrit:

Pas bête l'idée du cri qui tue pour s'en débarrasser

On a eu la même idée