Playlist (147)

Braunfels: Ariels Gesang/Bühl

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Xavier a écrit:

Braunfels: Ariels Gesang/Bühl

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Pas été passionné par cette nouveauté Braunfels. Du postromantisme bon teint.

Du coup, de mon côté :

Kuhlau, Elverhøj, National de la Radio Danoise, Frandsen.
Nettement moins bien que Lulu, mais cool quand même, et puis considéré comme un point de départ historique de la musique nationale danoise (assez arbitrairement, il y a pléthore d'excellente musique danoise avant ça !

Angelo Maria Fioré (1660-1723)
Sonates violoncelle
& Arias du XVIIème pour soprano, violoncelle obligé et basse continue
Ziani, Monza, Magni, Ballaroti, Pollarolo, Sabadini

Elinor Frey, violoncelle baroque
Suzie Leblanc, soprane
Lorenzo Ghielmi, clavecin
Esteban La Rotta, théorbe

Un peu moins captivant que les autres disques que je connais d'Elinor Frey, mais beaux enlacements de la voix et du violoncelle. Très bel anonyme "Amo il regno et amo il figlio"

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Braunfels: Ariels Gesang/Bühl

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Pas été passionné par cette nouveauté Braunfels. Du postromantisme bon teint.

Je n'ai pas eu le temps d'écouter le reste du disque pour l'instant, mais cette pièce-là est jolie. (sans plus)

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Braunfels: Ariels Gesang/Bühl
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Pas été passionné par cette nouveauté Braunfels. Du postromantisme bon teint.

Pareil, c'est vraiment bizarre, Braunfels: tout en restant dans les mêmes eaux du postromantico-décadent germanique, c'est vraiment très disparate, aussi bien en termes de style (voire de langage) que d'inspiration et/ou d'ambition (en plus, c'est vraiment au cas par cas, on ne peut même pas généraliser par genre ou par période.)

Romantique
August Klughardt (1847-1902)
Quintette à vent Op.79  
George Onslow (1784-1853)
Quintette à vent Op.81  
Louis Spohr (1784-1859)
Quintette à vent et piano* Op.52  

Les vents Français
François Leleux, hautbois
Paul Meyer, clarinette
Radovan Vlatković, cor
Gilbert Audin, basson
* Eric Le Sage, piano

Je me demande si la combinaison 1_4_7_8 est la bonne, dans l'ordre ou le désordre ? Pour moi, une expérience par le vide parfois terrifiante (ah ! Klughardt ! ). En plus la prise de son du quintette de Spohr (qui est pourtant ce qui me plaît le mieux, avec l'andante du quintette d'Onslow) est toute cartonneuse.

Braunfels: Divertimento opus 42/Bühl

Striggio : Messe pour 40 et 60 voix (Niquet)

Chostakovitch : Symphonie n°10 (Karajan)
Schulhoff : Symphonie n°1 (Albrecht)
Schulhoff : Symphonie n°2 (Albrecht)

C'est assez incroyable on y entend de tout : du Bartok, du Debussy ... mais plus étrangement ça me fait penser à Chostakovitch ... et à du jazz.

Cololi a écrit:

Striggio : Messe pour 40 et 60 voix (Niquet)

C'est bien ? ça sent bon le délire polychoral comme je les aime  

Cololi a écrit:

Schulhoff : Symphonie n°1 (Albrecht)
Schulhoff : Symphonie n°2 (Albrecht)

C'est assez incroyable on y entend de tout : du Bartok, du Debussy ... mais plus étrangement ça me fait penser à Chostakovitch ... et à du jazz.

Oui pour Bartók et Debussy, et pour Chosta tu vas voir, comme je l'écrivais l'autre jour les 3 et 5 c'est plus "soviétique".

Iskender a écrit:

C'est bien ? ça sent bon le délire polychoral comme je les aime  

Si tu cherches ça, effectivement ça risque de te satisfaire.

Stravinski : Les noces (Benstein)

Steve Reich : Music For 18 Musicians



Very good trip.

Dans le genre very good trip et délire polychoral diphonique:

• Stockhausen: Stimmung, N°24 (1968) pour 6 vocalistes:

Electric Phoenix: Nicole Tibbels, Judith Rees, Nancy Long, Daryl Runswick, Michael Dore, Terry Edwards (voix); John Whiting (électronique)
En public, Londres, IV.1997
Prima Facie

Toujours aussi (et une chouette, version qui ne passe pas à côté de l’humour de l’œuvre.) Voir ici.

(Arnaud, tu as déjà écouté Stimmung? C'est très reicho-compatible!)

Jamais.
A essayer, donc.

Ah, oui, vraiment!

Schoenberg : Pierrot lunaire (Boulez / Schäfer)

Mahler : Symphonie n°1 (Solti Chicago)


La symphonie préférée du sieur Tournemire.  

J'avoue ! C'est la 1° symphonie (tous compositeurs confondus) que j'ai entendue aussi je crois.

A mon sens une des plus brillantes "premières" jamais composées.

Pohjola: Symphonie n°1/Oramo

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Denisov: At the turning point/Deubner



Silvestrov: Bessoonitsa. Homer/Deubner

Karlheinz Stockhausen : Mantra pour deux pianistes et électronique        1969-70 / Heisser, Neuburger
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Wolfgang Amadeus Mozart : Fantaisie pour orgue        1971 / Latry

Franz Liszt : Sonate pour piano        1852-53 / Grosvenor

Pierre Boulez : Sur incises pour trois pianos, trois percussions et trois harpes        1998 / Ensemble Intercontemporain (Boulez)
 + / 
J'ai toujours un peu de mal avec la seconde partie que je trouve un peu longue ; par contre, la première est extraordinaire. 

(Labor, sonates de chambre, avec Triendl. Nouveauté de vendredi.)

Du niveau du Quatuor piano-cordes paru l'an dernier.

C'est quel style?

Benedictus a écrit:

C'est quel style?

Postromantisme type germanique, bien fait, avec en supplément une belle veine mélodique.

Aujourd’hui:

• Debussy: Sonate pour violon et piano¹. Sonate pour violoncelle et piano². Sonate pour flûte, alto et harpe ³. Berceuse héroïque. Page d’album. Élégie. Les Soirs illuminés par l’ardeur du charbon.⁴:

Isabelle Faust (violon), Alexander Melnikov (piano)¹. Jean-Guihen Queyras (violoncelle), Javier Perianes (piano)². Xavier de Maistre (harpe) Antoine Tamestit (alto), Magali Mosnier (flûte)³. Tanguy de Williencourt (piano)⁴
Berlin, XII.2016, VI.2017 & I-II.2018¹ ² ⁴; Paris, VI.2017³
Harmonia Mundi

Quel bonheur, ce disque! Des interprètes sobres et pudiques, des sonorités fines au grain très typé (pas mal d'instruments anciens) - assez idéal pour moi.

Chostakovitch : Symphonie n°7 "Leningrad" (Bernstein)

Georg Friedrich Haendel (1685-1759)

retour sur

Sonatas in several parts

L'assemblée des honnestes curieux
Amandine Beyer, Alba Roca, violons
Antoine Torunczyk, hautbois
Baldomero Barciela, viole de gambe
Chia-pin Kuo, clavecin

https://classik.forumactif.com/t9478-haendel-sonates-en-trio-ou-instruments-seuls-et-b-c#1193074

Debussy : La Mer (Abbado Lucerne)
Mahler : Symphonie n°2 (Abbado Lucerne)

Rameau : Les Indes galantes (Christie)

Ce soir:

• Schoenberg: 5 Klavierstücke, op. 23 (1923):

Maurizio Pollini (piano)
Munich, Residenz, V.1974
Deutsche Grammophon «20th Century Classics»

• Schoenberg: Serenade, op. 24 (1923) pour clarinette, clarinette basse, mandoline, guitare, trio à cordes et voix masculine grave:

John Shirley-Quirk (baryton-basse), Pierre Boulez / Ensemble InterContemporain : Michel Arrignon (clarinette), Guy Arnaud (clarinette basse), André Saint-Clivier (mandoline), Marie-Thérèse Ghirardi (guitare), Jacques Ghestem (violon), Gérard Caussé (alto), Pierre Strauch (violoncelle)
Paris, Centre Georges Pompidou, IRCAM, Espace de projection, 10.IV.1979
Sony Classical

Ça faisait un moment que je voulais réessayer la période dodécaphonique de Schoenberg - et en fait, ça me plaît beaucoup plus que dans mon souvenir. J’avais le souvenir de quelque chose d’assez rigide - en fait, l’impression que j’ai à présent, c’est au contraire celle d’une musique subtilement retorse et mobile qui ne cesse de créer des attentes et des impressions de reconnaissance pour mieux les déjouer ensuite.

Igor Stravinsky (1882-1971) :

L'Oiseau de feu, ballet

= Antal Dorati, Orchestre symphonique de Detroit

(Decca, octobre 1982)

Ma toute première version de L'Oiseau en CD !
Oui ça fait trente ans mais j'ai commencé très jeune.

Benedictus a écrit:

Ça faisait un moment que je voulais réessayer la période dodécaphonique de Schoenberg - et en fait, ça me plaît beaucoup plus que dans mon souvenir. J’avais le souvenir de quelque chose d’assez rigide - en fait, l’impression que j’ai à présent, c’est au contraire celle d’une musique subtilement retorse et mobile qui ne cesse de créer des attentes et des impressions de reconnaissance pour mieux les déjouer ensuite.

je trouve même l’opus 23, qui est une de mes œuvres préférées de Schönberg, très jazzistique

Mahler : Symphonie n°3 (Chailly)

Sur Medici:

Dutilleux: Symphonie n°2/Bychkov, orchestre philharmonique tchèque
Takemitsu: How slow the wind/P.Järvi NHK
Schoenberg: La Nuit transfigurée/Pähn, Keersmaeker

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Stravinsky: L'Oiseau de feu/Dohnanyi Vienne

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@ Arnaud : Version incroyable du final, qui semble se déployer à l'infini en étageant des tensions toujours croissantes…

Oui, c'est sur ce point que cette version fait la différence avec la version Boulez.

Mahler : Symphonie n°4 (Bernstein Sony)


Quelle version!

Pergolesi : Messa romana P.47 - Concerto italiano, Rinaldo Alessandrini
****

Mahler : Symphonie n°6 - MusicAeterna, Teodor Currentzis
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Dvořák : Quintette avec piano, op.81 - Boris Gildburg, Pavel Haas quartet
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Stravinsky : L'oiseau de feu, ballet intégral. City of Birmingham, Andris Nelsons (Orfeo, 2009)
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Mozart : Concerto pour clarinette (de basset) - Martin Fröst, Deutsche Kammerphilharmonie Bremen
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• Chostakovitch: Symphonie n°11 en sol mineur «L’Année 1905»:

Eliahu Inbal / SWR Symphonieorchester
Stuttgart, XI.2018
SWR Classic

Version très peu «russe», mais tout à fait impressionnante, et à mon goût: plutôt «abstraite», mais impressionnante de densité et de tension. Voir ici.

Magnus Lindberg (*1958) :
Accordion Jubilees pour accordéon (2003/18)
Dos Coyotes pour violoncelle et accordéon (2002/19)
Jeux d’anches pour accordéon (1990)
Metal Work pour percussion et accordéon (1984)

Janne Valkeajoki, accordéon
Tomas Nuñez, violoncelle
Jerry Piipponen, percussion

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler : Symphonie n°4 (Bernstein Sony)


Quelle version!

Ah oui, quelle saveur dans cette version !

Les vieux Bernstein / NYP, quoique peu colorés (orchestre probablement, captation sûrement) sont toujours des valeurs sûres en matière de discours et d'énergie.

Et puis, surtout entre Reri Grist et le petit braillard, hein...

Philippe Leroux (*1959) :
SPP pour saxophone soprano et piano (2000)
AMA pour piano (2009)
Conca Reatina – Ruban de Möbius pour saxophone soprano (2015–17)
Répéter... Opposer pour piano (2018)
Dense... Englouti pour piano (2011)
Noûs pour saxophone soprano et piano (2019)

Claude Delangle, saxophone soprano
Odile Catelin-Delangle, piano

Très honnêtement, dans Mahler 4, la chanteuse, je m'en moque un peu.

(Mais Grist est un peu ce qu'on peut avoir de mieux, oui. )

Lucien Goethals (1931–2006) :
Pampa pour mezzo et 8 instruments (1979)
Lecina pour mezzo, flute, violon et violoncelle (1966)
Cuatro poemas de Federico García Lorca pour mezzo et 7 instruments (1998)
Cáscaras pour mezzo et 5 instruments (1969)

Lucienne Van Deyck
Spectra (Filip Rathé)