Votre dernier film visionné.

Picrotal a écrit:

sud273 a écrit:

Picrotal a écrit:

Ah ben voilà, maintenant je comprends...

MAIS Indigènes se propose comme un film axé sur la réalité, tout le démontre dans le fond comme dans la forme. Dés lors, cet élément pertubateur au milieu pose tout de même problème concernant la crédibilité que l'oeuvre prétend obtenir de la part du spectateur.

Ah j'oubliais :

L'armée française aurait renoncé à employer des volontaires handicapés? la chair à canon a surtout besoin de jambes, des bras est-ce bien utile?

Dans ce cas, que le film ne « triche » pas en cherchant à dissimuler constamment le handicap de Debbouze, et qu'il l'incorpore dans son scénario... Mais on ne peut pas à la fois se targuer de réalisme et se montrer aussi peu crédible vis-à-vis d'un acteur vedette...

Dans un cas comme l'autre, c'est irréaliste. Et ridicule. L'Armée d'Afrique n'était pas à la ramasse au point d'accepter des atrophiés, surtout pour les envoyer en première ligne (où un manchot qui se bat à la grenade aurait surtout représenté un danger pour ses petits copains autour de lui...). Au contraire, en AFN, les volontaires se bousculaient au portillon et on a en sans doute refusé qui avaient leur 4 membres...

Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull

J'aime bien, mais je suis un petit peu sceptique quand même Trop de marge octroyée au fantastique à mon goût.
De très belle chose dans la réalisation (toute la chasse dans la jungle ), un très bon LaBeouf (il est arrivé à me faire verser une larme) … John Williams magnifique dans la scène avec les fourmis.
Je n'attendais rien de ce film… pour cause, j'avais oublié qu'il sortait, m'en suis rappelé depuis peu, et je suis donc content du résultat. Mais comme souvent avec Steven faut s'accrocher (il a parfois des idées purement visuelles qui sont totalement incohérentes) 'fin c'est du Spielberg quoi, il s'embarrasse pas avec les invraisemblances.

J'ai pas capté l'entièreté de la dernière scène à cause d'un coup de fil … qui m'a fait bien plaisir d'ailleurs.
A part ça les conditions étaient très bonne: 20 spectateurs dans la salle tout au plus. Exactement dans cette salle-là, tout juste au milieu du 7ème rang

Pour le téléphone, pense à l'éteindre quand tu vas au cinéma pour ne pas laisser les gêneurs te gâcher ton plaisir .

Three Bad Men, un western muet de John Ford de 1926, très surpris par la complexité et la subtilité de l'intrigue qui ne passe que par l'image, attendri par l'histoire d'amour gnangnan pas si gnangnan que ça d'ailleurs, pris par l'histoire de rédemption et de sacrifice, j'ai même ri des comparses comiques pourtant un tantinet lourds. Une séquence d'ultra grand spectacle de la ruée vers le Dakota, avec des milliers de figurants qui font la course en chariot - sans effets spéciaux et ça fait peur.

John Ford était le plus grand, et dès le début.

Halloween, de Rob Zombie. C'est franchement valable et en tout cas c'est tout sauf un remake inutile ou une pâle imitation. Après, ça ne surclasse certainement pas l'original de Carpenter, mais à l'impossible nul n'est tenu !

The Blob

Tout l'horrifique nanar de série B est là. Les ados libidineux, la petite ville passe-partout américaine avec son lot de réacs et de flics incrédules, de coffee-bar qui servent de la tarte au kilomètre.

Une gelée rosée et sulfurique venue d'ailleurs dissout les habitants de cette ville qu'on déteste déjà tellement elle est moyenne.

Telle une muqueuse émoustillée (ce qui n'est pas sans rappeler cette idée fréquente de mettre en parallèle le déchaînement des pulsions sexuelles des protagonistes avec l'agressivité de la chose) elle se tapit derrière les portes, au plafond, dans les éviers pour fondre sur ses proies avec une rapacité qui fait plaisir à voir. Quelques scènes amusantes, comme celle où une jeune fille voit avec effroi son boyfriend hurlant plongé dans une masse de gelée carnivore qu'elle tente de sauver en lui tirant le bras... qui lui reste dans la main.

Sinon rien de bien extraordinaire, une scène finale grandiose où la gelée aussi grande qu'un immeuble déclenche une panique réjouissante dans toute la ville. On pense à certaines scènes du chef d'oeuvre grec "L'Attaque de la Moussaka géante".

Bien rigolé.

Si tu aimes Le Blob, peut-être aimerais-tu Mutations (Slug, en titre original). C'est un chouya plus gore et moins comique, mais ça reste traité au second degré et c'est assez fendard pour qui aime le genre.

Merci, je chercherai ça.

Les diables, de Ken Russell.

Il a fait un Malher, aussi.

Pépé le Moko — Pas mal, pas le meilleur Duvivier non plus...
L'Effet Papillon 2 — Pire que le 1, c'est dire...
Shaun of the dead — Toujours un plaisir à revoir, je ne m'en lasse pas !

Hier, j'ai regardé L'attaque des fourmis géantes. Avec un titre pareil, je n'ai pas voulu manquer ce film.

Un peu déçu. Le début était inquiétant, plein de promesses mais très classique. Après ça se gâte : pas assez de rebondissements, des fourmis en images de synthèse qui ne font pas illusion et une fin un peu trop gentille et convenue.

Picrotal a écrit:

Pépé le Moko — Pas mal, pas le meilleur Duvivier non plus...

C'est le moins qu'on puisse dire.

Cela dit, il y a toujours ce savoir-faire sur la qualité de l'image... C'est un bon exemple de l'éloignement du réalisme au profit de l'esthétique.

DavidLeMarrec a écrit:

Picrotal a écrit:

Pépé le Moko — Pas mal, pas le meilleur Duvivier non plus...

C'est le moins qu'on puisse dire.

Cela dit, il y a toujours ce savoir-faire sur la qualité de l'image... C'est un bon exemple de l'éloignement du réalisme au profit de l'esthétique.

Jugement relatif, Carne serait un bien meilleur exemple... Que Duvivier soit bondé de parti-pris et de raccourcis, c'est un fait, mais sa représentation de la Casbah s'apparente beaucoup plus à une volonté naturaliste façon Zola qu'à une sublimation poétique ou esthétique au détriment du réalisme... !

Même si l'esthétique est là, je n'en disconviens point...

Picrotal a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Picrotal a écrit:

Pépé le Moko — Pas mal, pas le meilleur Duvivier non plus...

C'est le moins qu'on puisse dire.

Cela dit, il y a toujours ce savoir-faire sur la qualité de l'image... C'est un bon exemple de l'éloignement du réalisme au profit de l'esthétique.

Jugement relatif, Carne serait un bien meilleur exemple... Que Duvivier soit bondé de parti-pris et de raccourcis, c'est un fait, mais sa représentation de la Casbah s'apparente beaucoup plus à une volonté naturaliste façon Zola qu'à une sublimation poétique ou esthétique au détriment du réalisme... !

Tu as tout a fait compris ce que je veux dire, et tu le dis très bien : il y a beaucoup de raccourcis, de télescopages visuels qui font que la finition n'est pas tant portée sur la vraisemblance que sur le soin esthétique et une certaine part onirique, même si le récit n'est pas exactement de type onirique (ce que confirme le choix de Gabin...).

Encore une fois, ce n'est pas le sujet mais bien le traitement dont je parle.

Pour l'Indiana Jones, je suis très contente. Certes, je ne m'attendais pas à qu'il soit le meilleur mais ça tient bien la route ! Et puis Harrisson Ford a encore de très beaux restes.
Seule la dernière scène m'a donné une impression mitigée à part cela, le film était très bien construit.
Et pour la musique, du très bon Williams ! D'ailleurs, il me semble que la musique qui accompagne la course poursuite dans la ville est basée sur la course de podracer de l'épisode I de Star Wars...

En tout cas, une très bonne soirée...

DavidLeMarrec a écrit:

Jugement relatif, Carne serait un bien meilleur exemple... Que Duvivier soit bondé de parti-pris et de raccourcis, c'est un fait, mais sa représentation de la Casbah s'apparente beaucoup plus à une volonté naturaliste façon Zola qu'à une sublimation poétique ou esthétique au détriment du réalisme... !

Tu as tout a fait compris ce que je veux dire, et tu le dis très bien : il y a beaucoup de raccourcis, de télescopages visuels qui font que la finition n'est pas tant portée sur la vraisemblance que sur le soin esthétique et une certaine part onirique, même si le récit n'est pas exactement de type onirique (ce que confirme le choix de Gabin...).

Encore une fois, ce n'est pas le sujet mais bien le traitement dont je parle. [/quote]

Sincèrement non je ne te suis pas. Les raccourcis dont je parlais ne concerne pas l'histoire en soi mais la vision que donne Duvivier de l'Algérie et de la Casbah, mais sincèrement je ne la trouve nullement traitée de manière onirique... Tous ces raccourcis sont à mon avis beaucoup plus motivés par les a-priori classiques du métropolitain vis-à-vis des colonies que par une volonté esthétique.

Et le choix de Gabin ne s'oppose pas à l'onirisme, un film comme Le Quai des brumes le démontre amplement je pense.

C'est pas pour ergoter vainement, c'est que vraiment je ne partage pas ton point de vue...

Très bon cet Indiana. Des clins d'oeil et du second degré comme d'hab même dans la façon d'imaginer les protagonistes venant d'ailleurs. On reste dans cette idée de la guerre froide et du maccarthisme avec de belles trouvailles comme celle de l'épisode du village factice, la bagarre des perfectos et des minets... Sympa l'épisode des fourmis aussi.

U peu trop d'effets spéciaux quand même, mais ça fonctionne bien. Meilleur que l'épisode 2.

D'ailleurs à 11 heures: 35 personnes dans une salle pour 400 c'est confortable.

vartan a écrit:

D'ailleurs à 11 heures: 35 personnes dans une salle pour 400 c'est confortable.

Et en plus c'est avant l'apéro donc on n'est pas encore beurré et on ne dort pas pendant le film !

On va vraiment se faire passer pour des ivrognes ici

Zoilreb a écrit:

On va vraiment se faire passer pour des ivrognes ici

Non, j'avais pensé à amener ma flasque de Lillet au cas où il y ait un entracte.

Picrotal a écrit:

Sincèrement non je ne te suis pas. Les raccourcis dont je parlais ne concerne pas l'histoire en soi mais la vision que donne Duvivier de l'Algérie et de la Casbah, mais sincèrement je ne la trouve nullement traitée de manière onirique... Tous ces raccourcis sont à mon avis beaucoup plus motivés par les a-priori classiques du métropolitain vis-à-vis des colonies que par une volonté esthétique.

D'accord, on ne parlait pas de la même chose. Je ne parlais pas du sujet (effectivement très schématique) mais bien de la réalisation. Qui ne cherche pas à tout prix à imiter le vrai sous toutes ses coutures.

Citation :

Et le choix de Gabin ne s'oppose pas à l'onirisme, un film comme Le Quai des brumes le démontre amplement je pense.

C'est tout de même en général de pair avec une recherche de "couleur locale" (plutôt parisienne). Je voulais dire que c'était potentiellement lisible comme un signe d'intention du réalisateur - pas qu'on ne puisse pas embaucher Gabin pour autre chose.

Mais justement, quand Gabin a accepté de tourner sous Carné après avoir adoré Drôles de drames, c'est précisément parce qu'il savait qu'on allait lui donner l'occasion de jouer autre chose que le rôle d'un titi parisien sur le retour... ! Et c'est exactement ce qui se passe dans Le Quai des brumes. C'est aussi ce qui se passait avec Renoir dans La Grande illusion, d'ailleurs. Et là encore on peut parler d'un film nettement plus axé sur l'esthétique (et le message) que sur la réalité.

... ce qui est parfaitement compatible avec ce que je dis précédemment, au demeurant.

En fait vous n'êtes pas du même avis mais vous êtes quand même d'accord. Enfin, l'un plus que l'autre. Ou l'inverse si j'ai bien compris ?

Tu te bidonnes, mais est-ce que tu as trouvé cette Chimay blanche ?
Je viens d'aller en faire quelques approvisionnements (David veut absolument goûter ça).

vartan a écrit:

Tu te bidonnes, mais est-ce que tu as trouvé cette Chimay blanche ?
Je viens d'aller en faire quelques approvisionnements (David veut absolument goûter ça).

Il déroge au Lait Cassis ?

DavidLeMarrec a écrit:

... ce qui est parfaitement compatible avec ce que je dis précédemment, au demeurant.

Non.

Jorge a écrit:

Il déroge au Lait Cassis ?

Oui, il est déchu de l'Ordre Galactocasse.

Pourtant les vertus de cette boisson sont reconnus depuis longtemps !

En 1712, l'abbé Pierre Bailly de Montaran, habitant Bordeaux, écrivit un ouvrage intitulé «Les propriétés admirables du cassis».

vartan a écrit:

En 1712, l'abbé Pierre Bailly de Montaran, habitant Bordeaux, écrivit un ouvrage intitulé «Les propriétés admirables du cassis».

Désolé, mais ce n'est pas une garantie de sérieux suffisante à mon goût...

Pourtant en matière de boisson, je t'assure qu'on s'y connait ici. Et David n'est pas le dernier à lever le coude.

Après avoir fait croire à Xavier que je carburais à la sangria, le voilà qui recommence.

Vous savez bien que les ermites doivent rester sobres. Et puis j'aurais trop peur de tacher mon unique peau de bête, que mettrais-je cet hiver ?

vartan a écrit:

Tu te bidonnes, mais est-ce que tu as trouvé cette Chimay blanche ?
Je viens d'aller en faire quelques approvisionnements (David veut absolument goûter ça).

Non, et je n'ai même pas cherché
La semaine prochaine, j'y vais.

La Véritable histoire du petit chaperon rouge — Faudra m'expliquer pourquoi tant de gens vomissent sur ce film, c'est très drôle et très bien écrit !

DavidLeMarrec a écrit:

Après avoir fait croire à Xavier que je carburais à la sangria, le voilà qui recommence.

Vous savez bien que les ermites doivent rester sobres. Et puis j'aurais trop peur de tacher mon unique peau de bête, que mettrais-je cet hiver ?

Pourtant tremper quelques petites sauterelles dans une Chimay ça donne du goût.

Le Dahlia noir — De temps en temps, il arrive que Brian de Palma soit capable de faire des films. C'est rare. Et ce n'est pas le cas pour ce machin creux.

Picrotal a écrit:

De temps en temps, il arrive que Brian de Palma soit capable de faire des films. C'est rare.

Quand même... Je veux bien qu'on n'aime pas, mais franchement...

(soit dit en passant je n'ai pas du tout mais alors pas du tout aimé le Dahlia noir, je crois même que c'est le seul film de De Palma qui m'ait autant ennuyé)

Pour défendre ce Dahlia Noir, il faut tout de même remarquer qu'il y a des beaux plans, un travail sur la forme, le montage, des tentatives de faire quelques choses. Les séquences filmées d'Elizabeth Short, film dans le film, ont un certain impact et donnent un sentiment de malaise réel. Dans mon sale état d'esprit actuel, je préfère un cinéaste qui essaie et se plante que quelqu'un qui se contente d'ouvrir le robinet à eau tiède.

Après, le film ne fonctionne pas, c'est vrai. Et il déforme le livre original qui est, lui, un véritable chef d'oeuvre, inadaptable ?

Sinon, de Pepe le Moko j'ai suivi les échanges, je trouve que ce film a un charme unique. Si on l'analyse trop je crois qu'on ne peut trouver que des défauts mais je préfère me laisser prendre par son ambiance.

Xavier a écrit:

Picrotal a écrit:

De temps en temps, il arrive que Brian de Palma soit capable de faire des films. C'est rare.

Quand même... Je veux bien qu'on n'aime pas, mais franchement...

J'accroche pas avec de Palma, rien à faire. Carrie est excellent, L'Impasse est bon, Le Fantôme de l'opéra se défend, et on peut trouver deux trois qualités à Scarface, mais autrement sa filmographie me laisse atrocement froid. Des films rasoirs, poseurs, qui sonnent atrocement faux.

Morloch a écrit:

Pour défendre ce Dahlia Noir, il faut tout de même remarquer qu'il y a des beaux plans, un travail sur la forme, le montage, des tentatives de faire quelques choses. Les séquences filmées d'Elizabeth Short, film dans le film, ont un certain impact et donnent un sentiment de malaise réel. Dans mon sale état d'esprit actuel, je préfère un cinéaste qui essaie et se plante que quelqu'un qui se contente d'ouvrir le robinet à eau tiède.

On est d'accord, y-compris pour le film dans le film (le seul moment où le jeu d'acteur est convaincant d'ailleurs), mais bon des réalisateurs qui essayent et qui y arrivent il y en a tout de même pas mal en ce moment, eet malgré son excellente réputation Brian de Palma n'en fait plus partie ddepuis longtemps !

Picrotal a écrit:

J'accroche pas avec de Palma, rien à faire.

Je veux bien, mais de là à dire qu'il ne sait pas faire des films...

C'est comme si je te disais que Bach ne sait pas faire de la musique parce que ce n'est pas ma tasse de thé...


Et Sisters, Obsession, Blow out... C'est pas des films non plus?

Xavier a écrit:

Picrotal a écrit:

J'accroche pas avec de Palma, rien à faire.

Je veux bien, mais de là à dire qu'il ne sait pas faire des films...

C'est comme si je te disais que Bach ne sait pas faire de la musique parce que ce n'est pas ma tasse de thé...


Et Sisters, Blow out... C'est pas des films non plus?

C'est certainement sévère comme jugement, mais bon, il se tape une si bonne réputation que je pense assez logique que la critique soit aussi forte que les propos élogieux qu'on lui adresse et qu'il ne mérite pas.

Sisters est intéressant mais filmé avec les pieds, c'est une véritable horreur dans tous les sens du terme. Blow out, j'avoue, je ne crois pas l'avoir vu...

Je ne comprends pas vraiment pas l'engouement autour de Brian de Palma en fait. On le classe parmi les grands réalisateurs alors que bon, il ne le mérite pas plus que ça...

Un peu comme Bach, en fait.

J'ai un peu la même position que Picrotal sur De Palma, un réalisateur certainement virtuose, dont la filmographie contient des réussites indéniables (je pense à Carrie, L'Impasse) mais qui ne me touche absolument pas. Sa volonté affichée de prolonger l'oeuvre de Hitchcock m'a toujours laissé dubitatif, et à vrai dire Body double, qui aligne les références sans grande subtilité (Fenêtre sur cours, Vertigo, Psychose, etc...) m'a beaucoup agacé.
Quant à son remake de Scarface...

Après il y a toute une partie de sa filmo (Obsession, Sisters, et surtout Phantom of the opera) que je ne connais pas du tout et qui pourrait peut-être m'enthousiasmer davantage.

Mission impossible, Mission to Mars, Le Dahlia Noir, c'est qu'en plus il n'arrête pas de progresser!..

Bart Simpson a écrit:

Après il y a toute une partie de sa filmo (Obsession, Sisters, et surtout Phantom of the opera) que je ne connais pas du tout et qui pourrait peut-être m'enthousiasmer davantage.

A mon avis, certains de ses meilleurs films sont là, mais attention, avec Obsession et Pulsions, on est plus que jamais dans l'Hitchcock-like!

Picrotal a écrit:

Blow out, j'avoue, je ne crois pas l'avoir vu...

Je ne comprends pas vraiment pas l'engouement autour de Brian de Palma en fait.

Regarde Blow out alors peut-être.

Le dernier Indiana Jones, avec mes filles comme prétexte. Un pur bonheur ! Surprise de voir aussi peu de monde dans la salle. C'était en Vo, c'est peut-être pour ça.
Esprit BD obligatoire, tant les invraisemblances sont énormes. Harisson Ford toujours aussi vif, c'est lui qui mène la danse bien qu'accompagné d'un jeunot. J'ai ri, eu un peu peur, été dégoûtée (épisode des fourmis). Les rebondissements se laissent aisément deviner mais on passe un bon moment.

Ah oui, l'épisode des fourmis... Mais ça, c'est soft par rapport au Temple maudit lorsqu'on retire le corps des prisonniers.

Oui, le jeunot assez inoffensif. Une gentille fille aurait été plus sympa. En plus il surjoue que c'en est une pitié.

vartan a écrit:

Oui, le jeunot assez inoffensif. Une gentille fille aurait été plus sympa. En plus il surjoue que c'en est une pitié.

Au début, il m'a déplu dans son jeu, mais après, c'était pas trop mal.