Playlist (59)

Horatio a écrit:

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

*Niko a écrit:

Horatio a écrit:

Dvorak : 8e symphonie, Neumann II puis Giulini/Philharmonia

Sans doute ma version préférée !

Pas la mienne malheureusement .

Tu m'en vois désolé !

'Faut qu'on se trouve d'urgence un nouveau terrain d'entente !

____________________
Prokofiev : Cendrillon, Prévin

Oui ça devient vraiment inquiétant.


Images pour orchestre, Debussy - Argenta

808 a écrit:

tu nous le sors à tous cou(p)s

Parce qu'il le fait souvent... Écoute-le par exemple en suivant en même temps avec une édition Urtext en main, une de celles qui respectent les indications de phrasés de la partition autographe. (Pour Beethoven, l'édition Schenker sur IMSLP est déjà pas mal du tout.) Le plus souvent, les notes et les accords sont égrenés les uns après les autres, de manière verticale ; les indications de phrasés ne sont même pas observées. Il se rattrape grâce à la qualité de la sonorité, bien que les nuances soient souvent imposées par paliers, avec bien peu de demi-nuances, et grâce au soutien harmonique souvent très fort des voix centrales, mais pour moi ça ne remplace pas l'absence de fluidité horizontale.

Je comprends que ça ne gêne pas si on est sensible à d'autres aspects du jeu, mais en ce qui me concerne ça me dérange beaucoup.

Pour poursuivre avec l'orchestre à cordes :

Schoenberg : Verklärte Nacht, Karajan DG

Scherzian a écrit:

808 a écrit:

tu nous le sors à tous cou(p)s

Parce qu'il le fait souvent... Écoute-le par exemple en suivant en même temps avec une édition Urtext en main, une de celles qui respectent les indications de phrasés de la partition autographe. (Pour Beethoven, l'édition Schenker sur IMSLP est déjà pas mal du tout.) Le plus souvent, les notes et les accords sont égrenés les uns après les autres, de manière verticale ; les indications de phrasés ne sont même pas observées. Il se rattrape grâce à la qualité de la sonorité, bien que les nuances soient souvent imposées par paliers, avec bien peu de demi-nuances, et grâce au soutien harmonique souvent très fort des voix centrales, mais pour moi ça ne remplace pas l'absence de fluidité horizontale.

Je comprends que ça ne gêne pas si on est sensible à d'autres aspects du jeu, mais en ce qui me concerne ça me dérange beaucoup.

je te crois sur parole, c'était une taquinerie parce que tu avais utilisé la même expression pour d'autres, par exemple brendel (mais pour celui-là j'imagine que ce n'est pas avec de bonnes raisons qu'il tord le cou des pauvres phrases beethovéniennes ? ou peut-être si, l'enfer est pavé etc. etc.)

808 a écrit:

je te crois sur parole, c'était une taquinerie parce que tu avais utilisé la même expression pour d'autres, par exemple brendel (mais pour celui-là j'imagine que ce n'est pas avec de bonnes raisons qu'il tord le cou des pauvres phrases beethovéniennes ? ou peut-être si, l'enfer est pavé etc. etc.)

C'est souvent pour de bonnes raisons (pédagogiques ou autres, pour mettre en relief l'harmonie, la forme ou la structure). Mais Alfred Brendel, lui, il ne se rattrape pas sur la qualité de la sonorité et sur le soutien des voix intermédiaires.

Ligeti : Ramifications
Ligeti : Concert pour 13 instruments

Mariefran a écrit:

Brahms, Quatuors à cordes 1 et 2. Janacek Quartet

C'est excellent ça, non ?

Scherzian a écrit:

808 a écrit:

je te crois sur parole, c'était une taquinerie parce que tu avais utilisé la même expression pour d'autres, par exemple brendel (mais pour celui-là j'imagine que ce n'est pas avec de bonnes raisons qu'il tord le cou des pauvres phrases beethovéniennes ? ou peut-être si, l'enfer est pavé etc. etc.)

C'est souvent pour de bonnes raisons (pédagogiques ou autres, pour mettre en relief l'harmonie, la forme ou la structure). Mais Alfred Brendel, lui, il ne se rattrape pas sur la qualité de la sonorité et sur le soutien des voix intermédiaires.

Encore que je ne suis pas sûr que les raisons pédagogiques soient de bonnes raisons.
Et le relief harmonique de Brendel, cous tordus ou non, il est inexistant.

Chopin- Etudes, opus 10 et opus 25- Alfred Cortot

La classe, effectivement, il ne tape jamais!

On peut lui reprocher plein de choses, mais quel art et quelle science du piano!

La Brucknermania continue:

Symphonie n°7 (Celibidache/Munich)

Aïe Aïe, la concerto de chambre (Ligeti). Quelle musique à perdre la tête ça ne rate jamais.

alexandre. a écrit:

Mariefran a écrit:

Brahms, Quatuors à cordes 1 et 2. Janacek Quartet

C'est excellent ça, non ?

Très belle version, oui

Je me suis passé 5 fois "Mon coeur s'ouvre à ta voix " de Samson et Dalila, par Callas. Et je pense que je vais recommencer

alexandre. a écrit:

Encore que je ne suis pas sûr que les raisons pédagogiques soient de bonnes raisons.

Moi non plus, c'est la porte d'entrée du musée. Mais la pédagogie, « interroger le texte » comme on lit parfois, ça me semble une raison un peu moins mauvaise que d'autres, même si elle reste hors de propos. (D'accord pour le jeu de Brendel.)

J. S. Bach - Motets - La Petite Bande, S. Kuijken

hammerklavier a écrit:

hier soir, j'ai ecouté en podcast le matin des musicien de jeudi dernier.

lors de l'emission a été diffusé :

Arthur Lourié (1892-1966)
Synthèses op. 16 (1914)
Marie-Catherine Girod (piano)

Mikhail Matiusin, Alexei Kruchenykh & Kazimir Malevich
Victoire sur le soleil (opéra futuriste, 1913)


Nikolai Foregger & son orchestre de bruits
Danses mécaniques (extrait du ballet, 1923)

Arseny Avraamov (1886-1944)
Symphonie de Sirènes
Reconstruction du concert de Bakou, 1922, par Leopoldo Amigo & Miguel Molina

Joseph Schillinger (1895-1943)
Melody(1929)
Lydia Kavina (theremin), Joshua Pierce (piano)

Dimitri Chostakovitch (1906-1975)
Odna (« Seule ») op 26, musique de film (1929)
Irina Mataeva (soprano), Anna Kiknadze (mezzo soprano), Dmitry Voropaev (ténor), Mark van Tongeren (chant harmonique), Barbara Buchholz (theremin), Vokalensemble der HfMDK Frankfurt & Frankfurt Radio Symphony Orchestra, Mark Fitz-Gerald


J'ai été frappé par k'avant gardisme de ses musique composé entre 1913 et 1923. Les expérimentation de shaeffer ou henry sont a peine plus "audacieuse" que La symphonie des sirènes ou l'extrait de l'opéra "victoire sur le soleil". ET a l'écoute j'urai daté le piano de synthèse en début de la deuxième moitité du 20ième que 1914... Bref tres etonnant. Je ne savais pas qu'il y avait eu autant d'expérimentation dans la russie de ces années là.

Intéressant!
Tu sais si ça peut se réécouter?

arnaud bellemontagne a écrit:

Strauss:Helene d'Egypte (Botstein)

Je découvre.

Tu as de la chance d'avoir encore des Strauss à découvrir...

Chopin - Nocturnes - Samson François

Willaert - Vespro della Beata Vergine - Capilla Flamenca / Snellings

Symphonie n°1; Mahler - Boult, LPO

Symphonie n°3; Sibelius - Sakarai, Philharmonique d'Islande

Xavier a écrit:

hammerklavier a écrit:

hier soir, j'ai ecouté en podcast le matin des musicien de jeudi dernier.

lors de l'emission a été diffusé :

Arthur Lourié (1892-1966)
Synthèses op. 16 (1914)
Marie-Catherine Girod (piano)

Mikhail Matiusin, Alexei Kruchenykh & Kazimir Malevich
Victoire sur le soleil (opéra futuriste, 1913)


Nikolai Foregger & son orchestre de bruits
Danses mécaniques (extrait du ballet, 1923)

Arseny Avraamov (1886-1944)
Symphonie de Sirènes
Reconstruction du concert de Bakou, 1922, par Leopoldo Amigo & Miguel Molina

Joseph Schillinger (1895-1943)
Melody(1929)
Lydia Kavina (theremin), Joshua Pierce (piano)

Dimitri Chostakovitch (1906-1975)
Odna (« Seule ») op 26, musique de film (1929)
Irina Mataeva (soprano), Anna Kiknadze (mezzo soprano), Dmitry Voropaev (ténor), Mark van Tongeren (chant harmonique), Barbara Buchholz (theremin), Vokalensemble der HfMDK Frankfurt & Frankfurt Radio Symphony Orchestra, Mark Fitz-Gerald


J'ai été frappé par k'avant gardisme de ses musique composé entre 1913 et 1923. Les expérimentation de shaeffer ou henry sont a peine plus "audacieuse" que La symphonie des sirènes ou l'extrait de l'opéra "victoire sur le soleil". ET a l'écoute j'urai daté le piano de synthèse en début de la deuxième moitité du 20ième que 1914... Bref tres etonnant. Je ne savais pas qu'il y avait eu autant d'expérimentation dans la russie de ces années là.

Intéressant!
Tu sais si ça peut se réécouter?

Oui ça peut se réecouter encore pendant 3 semaines en archive sur le site de la radio.

Je place ici le lien :
normalement y'a qu'a cliquer sur réecouter et ça lance un reader en streaming: http://sites.radiofrance.fr/francemusique/em/matin-musiciens_jeudi/emission.php?e_id=100000068

Le volet 1 (dispo dans archive) etait également interessant, car introduisant cette "école russe" d'avant la dictature et la prise du pouvoir sur les recherche musicale. promethée de scriabine, RiverRun de takemitsu et la symphonie 1 de Popov.

alexandre. a écrit:

Mariefran a écrit:

Brahms, Quatuors à cordes 1 et 2. Janacek Quartet

C'est excellent ça, non ?

Scherzian a écrit:

808 a écrit:

je te crois sur parole, c'était une taquinerie parce que tu avais utilisé la même expression pour d'autres, par exemple brendel (mais pour celui-là j'imagine que ce n'est pas avec de bonnes raisons qu'il tord le cou des pauvres phrases beethovéniennes ? ou peut-être si, l'enfer est pavé etc. etc.)

C'est souvent pour de bonnes raisons (pédagogiques ou autres, pour mettre en relief l'harmonie, la forme ou la structure). Mais Alfred Brendel, lui, il ne se rattrape pas sur la qualité de la sonorité et sur le soutien des voix intermédiaires.

Encore que je ne suis pas sûr que les raisons pédagogiques soient de bonnes raisons.
Et le relief harmonique de Brendel, cous tordus ou non, il est inexistant.

mais oui, brendel-c'est-pas-bien, ON SAIT.

Bruckner : Symphonie n°6 (Celibidache/Munich)

Pour le moment dans les deux premiers mouvements, c'est superbe. Un interprétation fluide, majestueuse et naturelle. Beaucoup d'intensité dans l'adagio.
Si ça se confirme dans le scherzo et le finale, elle pourrait bien faire partie de mes versions références.

arnaud bellemontagne a écrit:

La Brucknermania continue:

Symphonie n°7 (Celibidache/Munich)

Ca n'est pas la plus réussie de l'intégrale je trouve. J'en attendais beaucoup à ma première écoute et j'en suis sorti déçu. Je crois me souvenir ici que la lenteur est plus pesante que narrative ou habitée. Et puis il me semble que j'avais entendu des balances cuivres/cordes déséquilibrées dans le mouvement lent. Pas de souvenir particulier du scherzo et du finale.
Tu as accroché ?

Dvorak : Quatuor n°13 (Prager Streichquartet)

*Niko a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

La Brucknermania continue:

Symphonie n°7 (Celibidache/Munich)

Ca n'est pas la plus réussie de l'intégrale je trouve. J'en attendais beaucoup à ma première écoute et j'en suis sorti déçu. Je crois me souvenir ici que la lenteur est plus pesante que narrative ou habitée. Et puis il me semble que j'avais entendu des balances cuivres/cordes déséquilibrées dans le mouvement lent. Pas de souvenir particulier du scherzo et du finale.
Tu as accroché ?

Je te reponds sur le fil dédié.

Ici:

Mahler:Symphonie n°9 (Bernstein DG)

Excellent!

Alexandre Scriabine : Sonates pour piano n°2 en sol dièse mineur (opus 19), n°5 (opus 53), n°6 (opus 62) et n°9 (opus 68) -- Sviatoslav Richter.

Quelque part entre sublime (2 et 9) et ineffable (5 et 6).

C'est vrai qu'il joue pas trop mal le Slava

Bartok ~ Quatuor n°5 (Hagen)

Peri : Euridice

Schubert ~ Sonate D784 (Sofronitzky)

Rah, le son de ce coffret brillant classic est quand même bien pourri... Mais bon la substance est bien là !

Charpentier : leçons H.121, H.139, H.136 pour le jeudi Saint
Charpentier : leçons H.105, H.140, H.95 pour le vendredi Saint
Lambert : 9 leçons de Ténèbres
Bernier : Office des Ténèbres du jeudi Saint
Delalande : 3ème leçon pour le mercredi, 3ème leçon pour le jeudi et troisième leçon pour le vendredi
Couperin : leçons de Ténèbres du premier jour
Gouffet : 3 leçons de Ténèbres et 3 répons
Gilles : lamentations de Jérémie

D960, toujours Sofro.
Superbe...

Gesualdo: Madrigaux livre V

Je regarde la partition c'est vraiment de la folie cette musique...

Xavier a écrit:

Gesualdo: Madrigaux livre V

Je regarde la partition c'est vraiment de la folie cette musique...

Il paraît oui ! Tu veux dire que tu trouves ça très aventurier d'un point de vue harmonique pour l'époque ou bien que c'est complètement barré ?

Debussy, Images 1 et 2, Children's corner. Michelangeli

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Strauss:Helene d'Egypte (Botstein)

Je découvre.

Tu as de la chance d'avoir encore des Strauss à découvrir...

Oui il me reste encore Daphné, Danaé, Guntram, Intermezzo, La Femme Silencieuse...

*Niko a écrit:

Xavier a écrit:

Gesualdo: Madrigaux livre V

Je regarde la partition c'est vraiment de la folie cette musique...

Il paraît oui ! Tu veux dire que tu trouves ça très aventurier d'un point de vue harmonique pour l'époque ou bien que c'est complètement barré ?

Les deux!
Chaque mot est prétexte à une modulation, un nouveau type d'écriture, etc... ça module sans arrêt, et certains enchaînements sont vraiment semblables à certains Schoenberg des 10 premiers opus, avec juste 3 siècles d'avance... et je n'exagère pas!

arnaud bellemontagne a écrit:

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Strauss:Helene d'Egypte (Botstein)

Je découvre.

Tu as de la chance d'avoir encore des Strauss à découvrir...

Oui il me reste encore Daphné, Danaé, Guntram, Intermezzo, La Femme Silencieuse...

Oh là là, du lourd!
A part Guntram, qui s'écoute bien quand même, mais bon. (et Feuersnot malheureusement je ne l'ai toujours pas écouté "sérieusement", faute d'avoir le livret)

Mais Bruckner d'abord!

C'est encore plus lourd.

Tchaikovsky : Snegourochka (Guennadi Provatorov, 1977 : Anatoli Lomonssov, Andrei Martinov, Larissa SIimonova, Youri Elnikov)

C'est vraiment magnifique cette composition!!

Clerambault : Cantates, Niquet, Minkowski

Brahms, Quatuor avec piano 2. Richter, Borodin Quartet

Vivaldi

Concertos pour basson RV 481, 498 et RV 501 'La Notte'
Concertos pour hautbois RV 451 et 461
Double concerto pour hautbois et basson RV 545

(Azzolini, Westermann, Sonatori de la Gioiosa Marca )

Massenet : Chérubin (Pinchas Steinberg, 1991 : Frederic von Stade, Samuel Ramey, Dawn Upshaw, June Anderson, Michel Sénéchal...)
Mais ça m'a l'air fort mignon tout ça! A voir pour la suite, mais en tout cas, le premier acte est vraiment chouette, léger et frais... avec quelques archaïsme comme il avait fait pour Manon...

hammerklavier a écrit:

J'ai été frappé par k'avant gardisme de ses musique composé entre 1913 et 1923. Les expérimentation de shaeffer ou henry sont a peine plus "audacieuse" que La symphonie des sirènes ou l'extrait de l'opéra "victoire sur le soleil". ET a l'écoute j'urai daté le piano de synthèse en début de la deuxième moitité du 20ième que 1914... Bref tres etonnant. Je ne savais pas qu'il y avait eu autant d'expérimentation dans la russie de ces années là.

Convaincu ?
@Horatio pour Cendrillon : Dans mes BRAS !!!

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Prokofiev

Suite Scythe Op. 20 (1914-15)/Rattle (avec la partition)

C'est à peine croyable ! C'est juste ahurissant ! En voyant tous ces détails que je n'ai jamais fait attention auparavant, je me dis que je ne vais jamais arriver à écrire une musique aussi riche ! Genre, une clarinette basse ppp sous une ligne de flûte mp... Je ne pourrai pas l'imaginer !

Polyeucte a écrit:

Tchaikovsky : Snegourochka (Guennadi Provatorov, 1977 : Anatoli Lomonssov, Andrei Martinov, Larissa SIimonova, Youri Elnikov)

C'est vraiment magnifique cette composition!!

En voilà un fin connaisseur !

Vinoschlislavastovsky a écrit:

hammerklavier a écrit:

J'ai été frappé par k'avant gardisme de ses musique composé entre 1913 et 1923. Les expérimentation de shaeffer ou henry sont a peine plus "audacieuse" que La symphonie des sirènes ou l'extrait de l'opéra "victoire sur le soleil". ET a l'écoute j'urai daté le piano de synthèse en début de la deuxième moitité du 20ième que 1914... Bref tres etonnant. Je ne savais pas qu'il y avait eu autant d'expérimentation dans la russie de ces années là.

Convaincu ?

Convaincu que toute l'avant garde ne s'est pas fait en europe occidentale comme je le croyais. J'avais tendance a penser que stockhaussen ou henry était les pionner dans ces musique faites de son concret, de bruit mis en place selon une parition et un mode d'écriture occidentale. Et j'entends la symphonnie de sirène de 1922 qui a tout de la musique concrete, qui est de la musique concrete (sons de char, de mitriallette, locomotive a vapeur, explosion, etc etc).

Vinoschlislavastovsky a écrit:

En voilà un fin connaisseur !

Après, je préfère la version dirigée par Gauk, avec une Zara Doloukhanova vraiment géniale!! Mais bon, la qualité sonore est moins bonne
Mais cette Snegourotchka montre vraiment le talent féérique de Tchaikovsky...

Schubert, Sonate D.960. Annie Fischer
Liszt, Sonate en si mineur. Annie Fischer

Stravinsky

Jeu de Cartes (1935-36)/Craft (avec la partition)

Certes, c'est beaucoup moins brouillonnant que l'opus 20 de Prokofiev, mais il y a tellement de passages fabuleux que je me demande si je devrais mettre à terme ma vocation de compositeur...

P.S. Oui bon. Stravinsky avait déjà passé la cinquantaine, avait déjà écrit l'Oiseau de Feu, Pétrouchka, Le Sacre et la plupart de ses chef-d’œuvres, mais je ne peux m'empêcher d'être pessimiste quant à mes capacités d'apprentissage de l'orchestration. C'est tellement compliqué !

Roberto Alagna chante un siècle d'opéra à Versailles. (Dvd) 2009

La Marseillaise version Berlioz, ça a de la gueule.

Glass - Concerto pour violon n1 - Kremer

Rach 3 - Ashkenazy/Previn

Sibelius : 5e symphonie, Bernstein/Vienne