Chopin - Nocturnes, polonaises, préludes, etc...

Cello a écrit:

Après, si les voyoux du forum écoutent cela, je n'en sais rien mais ça ne me préoccupe pas particulièrement: c'est moi qui verrai.

Libre à toi de t'intéresser aux petits cailloux et autres rejections de hiboux, laids comme des poux, plutôt qu'aux petits bijoux jolis comme des choux que l'on a envie de prendre sur ses genoux !...

Ah ne vous battez pas encore. Vous m'avez donné les éléments, à moi de voir. Je vais réécouter tout ça bien à mon aise.

poisson a écrit:

adriaticoboy a écrit:

poisson a écrit:

adriaticoboy a écrit:

poisson a écrit:

Il y a au moins deux autres nocturnes qui ne sont pas sur ce cd, non?

Il manque juste les deux nocturnes posthumes, sans n° d'opus, en ut mineur et ut dièse mineur.

mince je cherchais une excuse pour racheter des nocturnes...

Si si, c'est très valable comme excuse, ces deux nocturnes sont très beaux, et Arrau les a tous enregistrés.

Donc ça justifie ça par exemple

Toutafé, mais considère aussi l'édition "remasterisée", sans les Impromtus mais avec la Berceuse et la Barcarolle:
http://www.amazon.fr/dp/B00005IB57
On a déjà pas mal parlé ici de cette version, il faut juste lire les 20 pages !

poisson a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Tant qu'à faire, on peut chanter et prendre Ohlsson par exemple.

Ohlsson juste dans les Nocturnes ou attendre un peu et prendre le piano complet?

Là, je répondais pour les Nocturnes (et Préludes). Dans les Polonaises, je trouve ça un peu plus rigide.

Pour l'intégrale, Magaloff est vraiment une réussite remarquable, si tu n'as rien contre une pédale élégante mais très présente.

DavidLeMarrec a écrit:

poisson a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Tant qu'à faire, on peut chanter et prendre Ohlsson par exemple.

Ohlsson juste dans les Nocturnes ou attendre un peu et prendre le piano complet?

Là, je répondais pour les Nocturnes (et Préludes). Dans les Polonaises, je trouve ça un peu plus rigide.

Pour l'intégrale, Magaloff est vraiment une réussite remarquable, si tu n'as rien contre une pédale élégante mais très présente.

D'accord. *note* Par contre l'intégrale Magaloff c'est juste un doux rêve...

A cause du prix ?

Dans ce cas, tu ne prends pas de risque avec Ohlsson : ce n'est pas conventionnel, mais c'est de la qualité assurée. (Il y aussi El-Bacha, mais pour tout constituer, ça doit revenir cher.)

Sinon, Brilliant a l'air très correct, mais je ne peux pas garantir que ce soit enthousiasmant en tout point.

DavidLeMarrec a écrit:

A cause du prix ?

Même à cause de la disponibilité. Le prix doit être un effet de la rareté...

DavidLeMarrec a écrit:

Dans ce cas, tu ne prends pas de risque avec Ohlsson : ce n'est pas conventionnel, mais c'est de la qualité assurée. (Il y aussi El-Bacha, mais pour tout constituer, ça doit revenir cher.)

*note* je vais aller voir si je peux en écouter...

Je réécoutais les Noctures par Pires, version dont j'avais gardé un souvenir sirupeux en essayant cette fois de me convaincre que je me m'étais trompé et qu'il s'agissait d'une très grande version.

Du mal avec cette pianiste, vraiment. Ici, son parti-pris me semble être de souligner le côté lyrique de ces pièces et ça fonctionne assez car Pires a un son magnifique, mais elle le fait de façon très uniforme, avec des rubatos appuyés mais qui ne sont théâtraux ni élégants. C'est du Chopin décoratif, conçu pour le salon, en tout cas c'est ce que je ressens à son écoute. Et au bout d'un moment, j'ai l'impression qu'elle passe complètement à côté de ce qu'attends dans ces pièces et continue, imperturbable, à faire du joli.

Pour écrire une méchanceté un peu gratuite, à la réécoute, j'ai plus une impression de guimauve que de sirop; sirop pourrait suggérer quelque chose d'excessif et, en réalité, pas de ça ici : tout est mesuré et uniforme.

Bon, il est évident que c'est très bien joué et que le son est très beau et je dois dire des bêtises car beaucoup d'amateurs de piano vénèrent Pires, mais je crois qu'elle ne correspond pas à ma sensibilité (si au moins c'était du sirop, miam !)

Si ça peut te rassurer, bien que j'adore cette pianiste, je partage ton avis sur cette vision des nocturnes. J'ai aussi ressenti ce côté joli son décoratif mais sans vraiment de substance.
Autant, je l'ai trouvé extraordinaire dans les sonates de Mozart (2ème intégrale), autant ici, je trouve ça assez inintéressant.
Je reste client d'Arrau pour les nocturnes. La il y a un côté sirop, mais sirop de qualité.

Ouf, je croyais être le seul à être avec un petit cœur froid et glacé

Arrau est réellement génial dans ces Nocturnes, mais je trouve qu'il ya toujours chez lui un mélange d'austère et de sirupeux, enfin je ne sais pas trop comment définir ça, mais j'adore.

Ce cd absolument magique est a acheté d'urgence. Le programme est génial, avec des nocturnes, la barcarolle, la polonaise-fantaisie, et 2 etudes. C'est un poème musicale grâce au touché et à la sensibilité que donne ce pianiste merveilleux, et aussi grâce à cette gigantesque musique Un véritable bijoux Chopinien

La version légendaire des Préludes par Guiomar Novaes (1950 Vox), jamais rééditée en CD, est maintenant sur Musique Ouverte.

Ceux qui ne connaissent pas encore cette géniale pianiste brésilienne découvriront une interprétation unique, un jeu d'une poésie et d'une subtilité incroyable, qui semble issu d'une sorte de croisement entre la liberté d'un Cortot et la simplicité d'un Rubinstein.
Dans ces Préludes, c'est surtout la maîtrise rythmique de Novaes qui impressionne: le rubato est absolument parfait, au point de passer presque inaperçu. Point d'emphase ou de sentimentalisme ici, simplement un chant pur et discret.

adriaticoboy a écrit:

un jeu d'une poésie et d'une subtilité incroyable,

Citation :

le rubato est absolument parfait, au point de passer presque inaperçu. Point d'emphase ou de sentimentalisme ici, simplement un chant pur et discret.

Entièrement d'accord, un équilibre parfait entre lyrisme et sobriété, avec de sucroît un très beau son.

... ce qui, justement, laisse peu de rapport avec les exemples :

Citation :

qui semble issu d'une sorte de croisement entre la liberté d'un Cortot et la simplicité d'un Rubinstein.

Le beau son et le lyrisme, chez l'un comme chez l'autre...

Disons que Novaes me fait parfois penser à un Rubinstein qui serait un peu plus coloré et fantaisiste, mais qui garderait toujours sa classe, et cette espèce de pudeur, en demi-teinte.
Pour Cortot, c'est vrai que le rapprochement est moins évident, le jeu de Novaes est tellement plus propre et moins extravagant que celui du Français, mais on retrouve chez les deux pianistes cette fluidité, cette espèce de magie de l'instant, ce sentiment que la musique se crée et se réinvente naturellement sous les doigts, sans aucune barrière technique ou stylistique.

Oui, vu comme ça... Mais c'est terriblement subjectif comme rapprochement, j'ai l'impression de lire une dissertation sur la nuance bleutée exacte du sang des rois.

Disons que la comparaison me paraît valoir avec beaucoup d'autres dans ce cas.

Quelqu'un a écouté les disques de Rafael Blechacz....Des avis ?

Richard a écrit:

Quelqu'un a écouté les disques de Rafael Blechacz....Des avis ?

Les préludes sont pas mal, je trouve....

Oui, j'ai les Préludes par lui et je trouve ça magnifiquement assumé, avec une maturité rare. Désolé de ne pas développer, mais je pense que nous tenons là un vrai grand pianiste.

Zeno a écrit:

Oui, j'ai les Préludes par lui et je trouve ça magnifiquement assumé, avec une maturité rare. Désolé de ne pas développer, mais je pense que nous tenons là un vrai grand pianiste.

Qui est ce sur ton avatar ?

Zeno a écrit:

Oui, j'ai les Préludes par lui et je trouve ça magnifiquement assumé, avec une maturité rare. Désolé de ne pas développer, mais je pense que nous tenons là un vrai grand pianiste.

Blechacz a une sonorité superbe, c'est indéniable, avec des attaques de notes ou un détaché qui peuvent être incroyables. Mais musicalement ses Préludes de Chopin je trouve que c'est consternant de mauvais goût.
On a droit à un Chopin où l'expression et l'art du rubato consistent à faire attendre chaque note jusqu'à la nausée et jusqu'à la destruction de toute notion de pulsation. J'ai rarement entendu Chopin aussi racoleur (et dieu sait qu'il y a eu des précédents dans le genre).

Pardonne-moi de te contredire aussi abruptement, j'exprime juste mon avis sur ce disque qui est pour moi dans la lignée des ratages que DG a produit ces derniers temps avec certains de ses nouveaux pianistes .

Je ne me sens pas du tout attaqué. Je continue à adorer ce qu'il fait, et je ne suis pas le seul.
Mais ta vision des choses est complètement respectable. Nous n'entendons pas Chopin de la même façon, disons. Moi, je l'aime comme ça.

Richard a écrit:

Zeno a écrit:

Oui, j'ai les Préludes par lui et je trouve ça magnifiquement assumé, avec une maturité rare. Désolé de ne pas développer, mais je pense que nous tenons là un vrai grand pianiste.

Qui est ce sur ton avatar ?

C'est Takemitsu.

Cependant, pour les préludes je prèfère Cortot et Pollini...

pianissimo a écrit:

Cependant, pour les préludes je prèfère Cortot et Pollini...

C'est également dans ce sens que je penche. Certains trouvent Pollini un peu froid, moi je trouve qu'il allie respect du texte et expression de façon inouïe. Ses Chopin comme ses Beethoven, je trouve ça très poétique.

Iskender a écrit:

pianissimo a écrit:

Cependant, pour les préludes je prèfère Cortot et Pollini...

C'est également dans ce sens que je penche. Certains trouvent Pollini un peu froid, moi je trouve qu'il allie respect du texte et expression de façon inouïe. Ses Chopin comme ses Beethoven, je trouve ça très poétique.

Poétique, je n'ai jamais eu ce sentiment là à propos de Pollini. En revanche, on ne peut pas dire que ça manque d'émotions...
Je n'ai jamais entendu l'adagio de la Hammerklavier aussi remuant que par lui...

Iskender a écrit:

Blechacz a une sonorité superbe, c'est indéniable, avec des attaques de notes ou un détaché qui peuvent être incroyables. Mais musicalement ses Préludes de Chopin je trouve que c'est consternant de mauvais goût.
On a droit à un Chopin où l'expression et l'art du rubato consistent à faire attendre chaque note jusqu'à la nausée et jusqu'à la destruction de toute notion de pulsation. J'ai rarement entendu Chopin aussi racoleur (et dieu sait qu'il y a eu des précédents dans le genre).

Pardonne-moi de te contredire aussi abruptement, j'exprime juste mon avis sur ce disque qui est pour moi dans la lignée des ratages que DG a produit ces derniers temps avec certains de ses nouveaux pianistes .

Zeno a écrit:

Je ne me sens pas du tout attaqué. Je continue à adorer ce qu'il fait, et je ne suis pas le seul.
Mais ta vision des choses est complètement respectable. Nous n'entendons pas Chopin de la même façon, disons. Moi, je l'aime comme ça.

Je ne dirais pas, comme Zeno, que nous tenons un pianiste majeur, parce qu'on a encore peu à se mettre sous la dent. Mais dans le cadre de ses Préludes, c'est quand même une maîtrise totale de tous les paramètres, un rubato certes très présent, mais toujours calibré au service de l'expression. Oui, c'est du beau son, c'est de la belle technique, c'est du beau piano, et peut-être un peu de moins de la belle musique comme certains grands en font.

Si on est absolument attaché à R. Serkin / Pollini / Gould et même Ohlsson et Arrau dans Chopin, il est sûr qu'on doit être un peu dépité. Si on aime son Chopin international, avec de la pédale, de la rondeur, du rubato, c'est quand même au cordeau, parfaitement pensé et équilibré de tout côté.
Pas nouveau, non, juste parfait.

Peut-être la version idéale pour débuter Chopin, en fin de compte : pas de parti pris trop fort, mais tout y est dans le courant majoritaire.

J'ai découvert hier les 7 Polonaises les plus connus de Chopin c'est à dire les 2 op.26, les 2 op.40, l'op.44, l'op.53 et l'op.61 dans la version Pollini enregistrée en novembre 1975. Je ne m'y connais pas du tout dans ce répertoire et ce n'est pas facile pour moi de commenter ce genre de musique puisque je ne m'y connais pas du tout en terme de musique pour piano, surtout que je ne pratique pas cet instrument. Mes commentaires vont donc vous sembler banals.

J'ai trouvé ces polonaises agréables à écouter même si ce n'est pas transcendant pour une première écoute. Pollini joue cela avec beaucoup de finesse, de détachement également à mon avis. Cela me paraît excellent sur le plan technique. Après, je ne sais pas s'il faut les jouer de cette manière c'est à dire un peu comme une démonstration de virtuosité, je ne pense pas que ce soit la meilleure option mais ce n'est pas une version désagréable.

J'ai cet enregistrement "the originals" par DG et je l'adore ! Pollini joue à la perfection ces polonaises. La force de la polonaise est parfaitement scandée (ex : op 40-1 et opus 53) et la douceur pour les passages chantant (ex : trio de la 1ère polonaise : un délice sous ses doigts).
La polonaise-fantaisie est une réussite absolue.

Un de mes disques préférés.

C'est quand même singulier de débuter par Pollini dans Chopin.

Moi je trouve ça tiré au cordeau, raide, avec un son trop dur dans les fortissimo (et comme ils sont nombreux dans ces pièces...)

C'est un peu sec, c'est vrai. Mais dans le scherzi, Pollini, c'est tout bonnement excellent (les premiers et quatrième particulièrement).

Comme KID A et David, je trouve ces Polonaises de Pollini très très moyennes. On a l'impression qu'il s'est amusé à déchiffrer analyser ces pièces avec son ami Pierrot.
Et la prise de son est en effet pour le moins loupée, très dure. Typique des enregistrements de piano DG des années 7O. Argerich en a beaucoup souffert aussi.

Prise de son loupée ? Pour ma part, j'ai un son impeccable.

"Loupée", c'est peut-être exagéré, mais ce n'est certes pas un modèle d'enregistrement de piano. Les basses manquent de profondeur, les aigus sont cassants, et puis ça manque d'air et d'espace de façon générale.
Après, OK, c'est net et sans bavure, ce n'est donc pas rédhibitoire pour l'auditeur moyen, mais quand on compare aux prises de son Philips ou Denon par exemple, ces enregistrements DG des années 70 déçoivent beaucoup.

A découvrir dans le Diapason de janvier 2010 un dossier consacré à Chopin (et surtout à la manière de jouer Chopin) et surtout deux disques cadeaux (ou presque): une sélection de pièces et la sonate n°2 jouées par Guiomar Novaès, et dans le CD des extraits des Diapason d'Or, une intégrale composite des Ballades par Josef Hofmann, Vlado Perlemuter, Raoul Koczalski, et Samson François- très intéressant de comparer leur manière de jouer avec celle de nos pianistes "actuels" si je puis dire!

Je viens de passer commande des 24 études, sonnates 1 à 3, nocturnes et ballades par Vladimir Ashkenazy ainsi que 14 valses et 4 impromptus par Arthur Rubinstein.

Parmi les interprétations des concertos que je trouve intéressantes, il y a Krystian Zimerman qui a d'aillleurs lancé sa carrière en remportant le concours Chopin à Varsovie en 1975. Sauf erreur de ma part, je n'ai retrouvé aucun commentaire sur celles-ci dans ce fil. Qui les a déjà écoutées et quels sont vos avis ?

Frédéric L a écrit:

Parmi les interprétations des concertos que je trouve intéressantes, il y a Krystian Zimerman qui a d'aillleurs lancé sa carrière en remportant le concours Chopin à Varsovie en 1975. Sauf erreur de ma part, je n'ai retrouvé aucun commentaire sur celles-ci dans ce fil.

C'est normal: les Concertos, on en parle ailleurs !
https://classik.forumactif.com/discographie-f2/chopin-les-concertos-pour-piano-t1119.htm
(Tu verras d'ailleurs, dès la première page, que j'en dis du mal. Mais depuis j'ai changé d'avis.)

adriaticoboy a écrit:

C'est normal: les Concertos, on en parle ailleurs !

Oops, mais il faut avouer que l'absence de classement n'aide pas et que la fonction "recherche" semble assez alléatoire (dans ce cas une recherche sur "Zimerman" m'a juste sorti le fil sur l'interprète - par contre une recherche sur Chopin m'aurait aidé à poster dans le fil sur les concertos c'est un fait ).

adriaticoboy a écrit:

(Tu verras d'ailleurs, dès la première page, que j'en dis du mal. Mais depuis j'ai changé d'avis.)

On en reparle donc dans le bon fil

Il y a un index discographique en haut de la rubrique, tenu par Kia et trés bien fait.

Guillaume a écrit:

Il y a un index discographique en haut de la rubrique, tenu par Kia et trés bien fait.

Effectivement, pour sûr cela aide !

Ah...ces novices

Année Chopin oblige, nous allons être ensevelis sous les parutions discographiques!!

Je tiens cependant à mentionner d'eux d'entre elles qui valent je pense le détour!

D'abord les Nocturnes par Nelson Freire, dont la poésie dans Chopin n'est plus à démontrer:



Et des inédits de Martha Argerich !

Ca c'est une grande nouvelle ! Chopin va donc enfin sortir de son injuste oubli et arriver un peu dans les salles de concert !

En plus, qu'on reconnaisse enfin une pianiste discrète comme Martha Argerich, tout cela augure d'une grande année de découvertes.

Bon, sinon, c'est sûr que les Nocturnes de Freire, je les attends depuis longtemps, ce devrait vraiment être dans le meilleur de ce qui a été enregistré.

Pour Freire, je suis d'accord avec toi! de toute façon, chaque nouveau disque de Freire, je l'attends avec impatience!

Pour Argerich, s'il y a des inédits dans sa discographie, cela peut éventuellement être intéressant! Mais ce n'est pas une découverte à proprement parler, je te le concède! Et puis, elle a fait des preuves depuis longtemps dans Chopin!

En revanche, il y a une interprète dont on parle, mais je ne sais ce qu'il faut en penser, c'est Edna Stern!

Freire il y avait déjà un enregistrement des nocturnes, non?

Oui, mais pas l'intégralité des Nocturnes!

olivier le normand a écrit:

En revanche, il y a une interprète dont on parle, mais je ne sais ce qu'il faut en penser, c'est Edna Stern!

J'avais trouvé ses Etudes symphoniques absolument atroces, dégoulinantes, molles, trop de pédale...

poisson a écrit:

Freire il y avait déjà un enregistrement des nocturnes, non?

olivier le normand a écrit:

Oui, mais pas l'intégralité des Nocturnes!

J'espère qu'il est mieux enregistré que cet enregistrement qui date de 1974/1976 et qui, autant que je me souvienne, est assez réverbérant.

De toute façon, j'arrête avec les Nocturnes !!!

J'ai Freire qui réverbère, Pollini qui souffle comme une locomotive. Heureusement que j'ai aussi Arrau, peut-être bien la référence, mais aussi un "outsider" dans Chopin (en tout cas pour moi) : Barenboim, dont je trouve le jeu très sobre, ce qui diffère d'Arrau. Du coup, j'alterne avec beaucoup de plaisir ces 2 versions.

Christophe