QUIZZ : Oeuvres à identifier

1- Son homme en vaut deux, et s’il n’a pas écrit que des chefs-d’œuvre , il n’a pas à rougir de ses autres compositions : la preuve, ses contemporains le trouvèrent vite génial, et le charme opéra tout au long de sa carrière, par exemple pour ce drame.

2- Cet Oyseau des Isles ne jouait pas au tennis en pension, et pourtant on lui doit une sorte d’ace.

3- Un capricieux compositeur amateur de sport qui fait immanquablement songer à une ancienne époque.

4- Comme Bach, avec qui il eut plus d’un point commun, il fit le sien au cours du XXè siècle grâce à certaines œuvres comme celle-ci, qui connut le succès alors qu’elle semblerait plutôt faire allusion aux échecs. A noter qu’il exigeait de bons contrats pour ses passe-pieds.

5- Il connut un triste sort à la fin de sa vie, la félicité l’abandonna, et les problèmes qu’il connut ne furent pas que des bagatelles comme le suggère le titre de cette œuvre.

6- Contrairement à ce que son patronyme laisserait penser, ce compositeur n’est pas espagnol, loin s’en faut. L’amer goût de la guerre n’entama pas sa créativité, et même si, à l’opposé d’un Bach, il ne restera peut-être pas dans les annales, il est l’auteur de plusieurs pièces fort intéressantes, dont celle-ci.

7- Associez l’indécence à une ablation chirurgicale, et vous trouverez le nom de celui qui a laissé une œuvre menue et pourtant talentueuse. 8- Il n’a aucun rapport avec la ville dont il est l’homonyme, et n’a pu résister à l’appel des sirènes américaines. On lui doit des airs pour chœur et soprano, bien que cette partition n’en fasse pas partie.

9- Il y a dans son arbre généalogique d’autres musiciens, mais il en est la branche la plus illustre malgré un sale caractère (la moutarde lui montait souvent au nez). Sa musique n’est jamais plate et il composa entre autres de nombreux opéras dont celui qui est à découvrir.

10- Né dans une rue éponyme, ce compositeur n’est pas d’origine charentaise pour autant et il décède lors d’une triste saison. Sur son œuvre, qui ne manque pas de charme,  je ne dirai que deux mots et c’est tout : peu abondante. A vous de trouver !

11- Lui qui avait tendance à se mettre facilement en boule dans sa jeunesse mena une fin de vie austère. Parmi le catalogue de ses compositions, à noter celle qui se déroule tout à côté d’une isba.

12- Compositeur puissant et nerveux, il a écrit une série d’œuvres dont une qui récupère ce qu’un célèbre chercheur avait égaré.

13- Souvent associé au pétrole, il en fit plusieurs boulettes. Outre cette œuvre pleine de goût, cet homme qui ne vit pas venir la mort de sa sœur composa d’autres partitions inventives et raffinées, prouvant ainsi qu’il n’en était pas un.

14- Son nom aurait pu servir de slogan à une chaîne de supermarchés dans lesquels du reste on vend les produits d’une marque correspondant au titre de l’œuvre à chercher. Très pieux, il présentait paraît-il à ses élèves une belle Vierge derrière un panneau.

15- Elle se marie à 20 ans avec un pianiste, mais loin de n’être que sa partenaire musicale, déjà elle se distingue par ses écrits théoriques (elle était très ferrée sur le sujet grâce à un ami qui lui donna un bon coup de main) et de nombreuses œuvres, parmi lesquelles le cycle qu’on pourrait traduire phonétiquement par l’échanson des dieux.

16- Son prénom et son nom évoquent deux grandes fêtes. Ses compositions se caractérisent par l’emploi de la microtonalité, tout en parlant de l’humaine condition, comme dans cette pièce qui évoque précisément sa famille.

17- Quand le service divin devient celui du vin, on rappelle le souvenir de ce compositeur qui charma les gens de Paris, lesquels lui en surent gré, triomphe après triomphe, par exemple pour cet opéra.

18- Son nom évoque un rapace sur son aire, et il fit au cours de sa vie, nombre de rencontres point inintéressantes, bien au contraire. Quant à son œuvre, elle est gigantesque si on compte toutes ses adaptations et transcriptions, même si celle-ci est une partition originale.

19- Ne vous laissez pas distraire par le grand affolé, qui déposait à l’orgue ses hommages aux pieds du Christ, et cherchez donc cette œuvre  qui parle plutôt de l’horrible plan de Golaud (aucun rapport avec Dukas !).

20- Dire « la musique tue », c’est parler d’un compositeur dont le nom permet bien des jeux de mots tirés par les cheveux, et quand vous aurez résolu ce petit casse-tête, trouvez l’arbre qu’on devrait invoquer si l’on est malade.

21- Ce compositeur, en dépit d’une existence trop courte, veille à ne pas oublier de critiquer la société de son temps dans la plupart de ses œuvres, notamment avec celle-ci, qui est un opéra pas dégueu. A la montée du nazisme, il ne prit pas le maquis mais sans se plaindre s’exila, et partit dans un pays où il reçut un accueil enthousiaste, même de la part du milieu du cinéma, qui fit aussi appel à ses services.

22- D’origine française mais pas né à Marseille, ce compositeur manifeste un certain talent pour l’écriture,  notamment dans le domaine de la critique musicale (il en devint même l’un des symboles). Héraut de la musique de son pays, il n’y a pourtant pas laissé une grande trace et sa gloire n’a pas crû avec les années, même s’il a laissé de nombreuses pièces religieuses, lui qui était très sensible au son des quintes. A vous de trouver de quelle œuvre il s’agit ici, sachant qu’il s’est pris une veste lors de son exécution.

23- Mon nom correspond au métier d’un personnage que j’ai célébré dans la composition campagnarde qu’il vous faut chercher.  J’ajouterai que j’ai fait la connaissance dans ma jeunesse de plusieurs grands musiciens, dont un qui me fut très cher,  et qui ont tout fait pour m’aider à débuter dans la carrière.  

24- Du fait de son caractère de globe-trotter, il passa une bonne partie de sa vie par monts et par vallons. Il dirigea entre autres une maîtrise de garçons, parce que les petites sottes sont plus difficiles à former. A ses œuvres, ce compositeur donna la sobriété qui manquait aux musiciens de son époque, comme dans cette partition de choc dont il faut donner le nom.

25- Ce n’était pas un enfant d’Angola, mais plutôt le père de la musique pour clavier dans son pays. Lui qui adorait se mettre en route avec une belle fugue fut également théoricien et conçut d’ingénieux systèmes mécaniques pour ses instruments de prédilection.

26- Fut-il le cadet de sa fratrie ? Peu importe, il fut un remarquable pédagogue (sa devise était : Quel beau métier,  professeur !) et  d’ailleurs l’une de ses partitions dut très certainement influencer une série télévisée pour enfants.

27- Il ne laisse pas de marbre, ce compositeur bon teint qui a découvert Mozart dans les rondeaux : en général, on adore ou on déteste. Son œuvre est foisonnante, novatrice, réfléchie, et quand une pièce de lui plaît, il suscite l’admiration de ses nombreux admirateurs, comme pour celle qui  est à découvrir ici.

28- Il entra dans l’arène musicale à l’âge de 10 ans et devint le disciple d’un illustre compositeur, s’inspirant (les mauvaises langues diront singeant) avec passion des œuvres de son maître, par exemple pour cette composition. Maître de chapelle chez les nonnes (mais il ne se prénomme pas John pour autant), il exigeait de ses élèves, pour des raisons pratiques,  qu’elles aient toutes deux paires de luths.

29- Ce compositeur n’est pas né dans le Nord en dépit de son patronyme, et sa musique est souvent jouée à la Tonhalle. Malgré son titre, l’une de ses œuvres les plus emblématiques  ne parle pas d’une mauviette.

30- Prophète en son pays, cet homme bien né  ne maniait pas sa baguette avec imprudence ; il fut aussi  un grand concertiste, pierre angulaire d’un célèbre concours,  et sûrement pas un compositeur mineur, comme en témoigne l’œuvre à trouver.

31- Son nom s’apparente à la question qu’on pourrait poser à un marchand de waffles basé sur l’île de Beauté qui aurait mis une enseigne rappelant les sports d’hiver. Venu par deux fois à Paris, il a côtoyé certains confrères français, mais pas Charles Lecocq. Dorénavant célèbre, il devient une des huiles de l’enseignement musical dans son pays et carbure beaucoup pour composer la pièce à chercher.

32- Loin d’être stupide, ce compositeur dont la femme ne s’appelait nullement Nanette eut un début de carrière qui promettait beaucoup. Il a effectivement confirmé ensuite son grand talent et il en a coupé des sons, afin d’écrire des œuvres inspirées par la musique électronique aussi abouties que possible – dont celle qu’on doit trouver.

33- Ce kantor fécond écrivit de très nombreuses œuvres dont ce drame lyrique à trouver : telle est ma nouvelle énigme. Lui qui fréquenta beaucoup les aristocrates, il fait sans aucun doute partie des ducs du trio.

34- Intéressez-vous aux falbalas de Luce qui rêve et partez en Orient où il se l’installe. Ce compositeur, outre son clan, anima deux groupes.

35- On loue ce musicien, qui fut un des leaders en son domaine, pour ne pas dire un boss, en produisant des chants qui ont connu beaucoup de gloses. Question : quel(s) air(s) faut-il trouver ici ?

36- Ce compositeur ne se prénommait pas Pierre. Né dans l’Est de la France,  il a écrit de nombreuses mélodies sur des quatrains qui ont fait parfois tiquer, ainsi que d’autres opus très variés, comme cette pièce majeure consacrée à un frère mineur. Ne faites pas de faux rés en interprétant ses œuvres et dites-moi donc le titre de cette composition vocale en rapport avec un oiseau singulier.

Busoni, c'est sûr. L'oeuvre, c'est moins certain : Fantaisie contrapuntique ?

Amériques de Varese

Korngold, Die tote Stadt ?

Kurt Weil : Dreigroschenoper

Albert Roussel : Le Marchand de sable

Honegger ?

Luigi Nono, mais je ne trouve pas quelle oeuvre.

Mon subconscient me suggère Hugo Wolf

1 Verdi - Le trouvère.
2 Debussy
3 Chausson
5 Mendelssohn - Romances sans parole.
7 Schnittke

Erik Satie

Comme Tod, je pense à Mendelssohn, et même aux Variations sérieuses

Rameau : Platée

Clara Schumann

Dutilleux, l'Arbre des songes.