Votre déception du jour... (2)

Bon, mais pour être plus constructif, ça va venir...
Forcément, ils ont trouvé des sujets qui les concernent un peu tous et toi tu restes à côté... Mais déjà petit à petit tu vas logiquement entrer un peu dans leur conversation, et puis eux vont aussi t'intégrer il me semble.

Faut pas laisser tomber à mon avis. Il est quand même beaucoup plus agréable de travailler dans une ambiance sympa que sans pouvoir blaguer/discuter avec ses collègues!

Läbip a écrit:

C'est pour ça qu'on vient sur les forums.

Parmi mes camarades et collègues, je suis le garçon fade gentillet de service. Je ne vais pas aux fêtes, ne mange pas avec eux, n'ai rien à leur dire (pas d'histoires de fesses, pas de passions communes ...). Moralité : ils n'ont rien à raconter sur moi non plus. Tant mieux !

Finalement ça fait peur, tu n'es pas le seul, on se demande de qui sont formées les foules qui peuplent les forums, et qui l'ont est soi-même

Pipus a écrit:

Cololi a écrit:

C'est plus fin que cela. Je ne mange qu'avec 2/3 collègues (triés) ... jamais en gros groupe (les phénomènes grégaires m'effraient plus que tout il faut dire). Et ne je dévoile jamais ce que je pense véritablement, et je me fais passer pour quelqu'un comme eux c'est à dire naïf, terre à terre, très content de soi et son époque ...

Même en petit comité tu n'es pas plus à même de te laisser un peu dévoiler (en tout bien tout honneur) ?

Mais je te comprends. Je suis plus à l'aise à deux ou trois personnes qu'en grand groupe. En petit comité les gens se sentent moins obligés d'amuser la galerie et on peut plus aisément discuter calmement et découvrir les gens.

Le pire c'est quand ça part sur les blagues des guignols, déjà je ne regarde jamais la télé - et franchement, les guignols.......

Je vais donner un exemple : mes collègues ne savaient pas que je faisais des études par exemple ... (pendant 2 ans je l'ai caché) ... Mais c'est ici une chose concrète (qui certes peut dévoiler pas mal sur la personne, mais ça reste quand même limité) ... j'essaye de ne pas me dévoiler vraiment. Le principal c'est de donner l'impression que tu fonctionnes comme eux.

Et tu peux me croire c'est pas facile quand ils commencent à raconter que leur week end fut génial car ils ont dévalisé les centres commerciaux du coin ... le commentaire des derniers résultats sportifs ... sans parler des profondes analyses politiques ("c'est toujours moi qui paye", "il y a trop de gens qui branlent rien dans ce pays" ... enfin tu connais la suite) ... ou encore que leur rêve c'est le dernier téléphone ... ou bagnole. Les récits de vacances sont gratinés aussi ... en gros plus il y a de monde, moins il est question de culture ... mieux c'est.
Plus les immondices que certains balancent sur d'autres dans leur dos ...

Tout ça est à désespérer de l'être humain

Cololi a écrit:

Plus les immondices que certains balancent sur d'autres dans leur dos ...

Ben c'est bien ça non?

En tout cas, je dois avoir des collègues sympas, parce que je peux parler de plein de choses avec eux... Oui, même ceux avec qui je ne mange pas...

Ben oui, les gens sont médiocres, que voulez-vous, on ne l'est pas forcément moins qu'eux d'ailleurs même si on peut en avoir l'illusion : d'où la nécessité de ne pas négliger ses amitiés en dehors du lieu de travail, de fréquenter des gens qui cultivent le même type de médiocrité que soi !  
Je travaille dans un endroit où les femmes sont en majorité, et quand elles ne parlent pas de leurs élèves elles parlent de leurs gosses... On n'a pas grand-chose à partager, mais se montrer agréable et à l'écoute permet d'avoir la paix. Il suffit de prendre un peu de distance par rapport à tout ça.

J'ai des collègues sympas aussi, pour cela j'ai de la chance. C'est plus que je me dis qu'ils doivent se dire de moi "Qu'est-ce qu'il est ch***t ce mec...". Je me mets trop la pression dans la vie je crois (plus que beaucoup d'autres en tout cas...).

Pipus a écrit:

J'ai des collègues sympas aussi, pour cela j'ai de la chance. C'est plus que je me dis qu'ils doivent se dire de moi "Qu'est-ce qu'il est ch***t ce mec...". Je me mets trop la pression dans la vie je crois (plus que beaucoup d'autres en tout cas...).

Ah mais ça tu t'en fiches! Petit à petit tu vas faire ta place...
Franchement, quand j'ai commencé à bosser, j'osais pas trop aller dire bonjour et embêter les gens... maintenant, aucun soucis et ce sont pourtant pour beaucoup toujours les mêmes collègues. Ils se sont fait à moi, et moi je me suis fait à eux... faut un certain temps d'adaptation!

Des fois on cause de choses qui ne m'intéressent pas passionnément, et puis des fois, c'est moi qui cause de choses qui ne doivent pas vraiment les passionner, mais c'est logique!

Anthony a écrit:

Ben oui, les gens sont médiocres, que voulez-vous, on ne l'est pas forcément moins qu'eux d'ailleurs même si on peut en avoir l'illusion : d'où la nécessité de ne pas négliger ses amitiés en dehors du lieu de travail, de fréquenter des gens qui cultivent le même type de médiocrité que soi !  
Je travaille dans un endroit où les femmes sont en majorité, et quand elles ne parlent pas de leurs élèves elles parlent de leurs gosses... On n'a pas grand-chose à partager, mais se montrer agréable et à l'écoute permet d'avoir la paix. Il suffit de prendre un peu de distance par rapport à tout ça.

Oui. Se croire au dessus d'eux c'est faire preuve de la même médiocrité qu'eux (c'est un raisonnement sans fin ...).
Mais comme je le disais ... moi aussi je fais mine de ... car je sais bien qu'on est vite exclu sinon.
Et il y a des gens sympas à mon boulot, je ne dis pas le contraire (même si ils ne partagent pas mes passions - au sens antique bien sûr ).
Il y en a même un paquet pour qui j'ai un énorme respect ... mais sur le plan professionnel seulement, car ils font des choses que je me sais beaucoup trop médiocre pour les réaliser. En même temps sur le plan spirituel ... c'est un peu le vide par contre.

Cololi a écrit:

des profondes analyses politiques ("c'est toujours moi qui paye", "il y a trop de gens qui branlent rien dans ce pays" ...

Avec un peu d'éducation, on pense la même chose mais on ne le dit pas

Dans l'ensemble, je vous trouve assez cynique, désabusé, complexé, envers ces conversations à table qui sont quand un de nos sports nationaux réputés dans le monde entier.

Bien sûr comme dans tout rituel social, y a dès règles tacites et des bonnes pratiques à acquérir.

Mais ça doit surtout rester un moment de plaisir de convivialité et de spontanéité, non ?

Ah mais je suis pour la spontanéité ... mais là en l'occurrence cela montre plus la bêtise qu'autre chose.
Je n'ai rien à leur dire et certains me répugnent au plus haut point
Non pour ce qu'ils racontent ... mais pour l'absence totale de doute en eux ... c'est la vraie bêtise, la plus profonde ... celle qui rend les hommes violents.

Cololi a écrit:

Ah mais je suis pour la spontanéité ... mais là en l'occurrence cela montre plus la bêtise qu'autre chose.
Je n'ai rien à leur dire et certains me répugnent au plus haut point  
Non pour ce qu'ils racontent ... mais pour l'absence totale de doute en eux ... c'est la vraie bêtise, la plus profonde ... celle qui rend les hommes violents.

Mais dans ce cas là, pourquoi tu leur parles et pourquoi tu manges avec eux??

Cololi a écrit:

Pipus a écrit:

Cololi a écrit:

C'est plus fin que cela. Je ne mange qu'avec 2/3 collègues (triés) ... jamais en gros groupe (les phénomènes grégaires m'effraient plus que tout il faut dire). Et ne je dévoile jamais ce que je pense véritablement, et je me fais passer pour quelqu'un comme eux c'est à dire naïf, terre à terre, très content de soi et son époque ...

Même en petit comité tu n'es pas plus à même de te laisser un peu dévoiler (en tout bien tout honneur) ?

Mais je te comprends. Je suis plus à l'aise à deux ou trois personnes qu'en grand groupe. En petit comité les gens se sentent moins obligés d'amuser la galerie et on peut plus aisément discuter calmement et découvrir les gens.

Le pire c'est quand ça part sur les blagues des guignols, déjà je ne regarde jamais la télé - et franchement, les guignols.......

Je vais donner un exemple : mes collègues ne savaient pas que je faisais des études par exemple ... (pendant 2 ans je l'ai caché) ... Mais c'est ici une chose concrète (qui certes peut dévoiler pas mal sur la personne, mais ça reste quand même limité) ... j'essaye de ne pas me dévoiler vraiment. Le principal c'est de donner l'impression que tu fonctionnes comme eux.

Et tu peux me croire c'est pas facile quand ils commencent à raconter que leur week end fut génial car ils ont dévalisé les centres commerciaux du coin ... le commentaire des derniers résultats sportifs ... sans parler des profondes analyses politiques ("c'est toujours moi qui paye", "il y a trop de gens qui branlent rien dans ce pays" ... enfin tu connais la suite) ... ou encore que leur rêve c'est le dernier téléphone ... ou bagnole. Les récits de vacances sont gratinés aussi ... en gros plus il y a de monde, moins il est question de culture ... mieux c'est.
Plus les immondices que certains balancent sur d'autres dans leur dos ...

Tout ça est à désespérer de l'être humain

Ce qui explique pourquoi je mange tout seul.
C'est franchement agréable de manger et de penser au rythme de sa cadence intérieure.

@Polyeucte : je me retrouve dans ce que tu dis. Cela fait 15 ans que je bosse et je bouge beaucoup à gauche à droite, je rencontre pas mal de gens. Mais j'ai un vrai soucis de confiance en moi (je me crois quasi-systématiquement plus stupide que les autres) et plus je vieillis, plus c'est exacerbé avec les gens que je ne connais pas encore (ensuite ça s'estompe avec le temps) : soit je me crois bien meilleur, soit je me pense totalement à l'ouest.

@Melo : Justement pour l'instant ce n'est ni un plaisir, ni un instant de spontanéïté. Ca le deviendra mais pour l'instant je mange avec mes collègues dans le même état d'esprit que si j'allais à une réunion de négo à fort enjeu avec des concurrents

J'ai essayé de faire pareil que Cololi quand je suis arrivée au Canada. Dissimulation, 'je fais croire je suis comme vous'. Ça n'a pas été une réussite, mais surtout de mon coté (ça ne me convenait pas). Et puis j'en ai eu rapidement marre qu'on me corrige mon anglais (en soit, ça c'est bien) surtout quand il n'y a pas de fautes parce les collègues en question ont un vocabulaire de 1500 mots dans leurs bons jours. Ça a fini de me persuader que je ne pouvais bosser avec des humains  

Cololi a écrit:

l'absence totale de doute en eux ... c'est la vraie bêtise, la plus profonde ... celle qui rend les hommes violents.

Si j'osais, je dirais que dans ce genre de contextes, ils m'ont l'air passablement normaux.
Peut-être qu'ils en ont marre de jouer les dociles au boulot, les mielleux le soir avec bobonne, et qu'ils profitent du repas entre collègues pour défouler leur instinct primaire de beer buddies.

Pipus a écrit:

je mange avec mes collègues dans le même état d'esprit que si j'allais à une réunion de négo à fort enjeu avec des concurrents

A moins d'être dans un repas relax entre vrais amis en petit nombre, où l'on peut tomber le masque, les bouffes entre copains ou collègues relèvent quand même d'un certain esprit d'émulation : effectivement faut trouver les sujets intéressants, prendre l'air intelligent et sûr de soi, avoir de la répartie...
Y a une forme de chantage du bel esprit et des bonnes manières.
Sans vouloir faire de la psy de comptoir, tu témoignes peut-être dans ces circonstances d'un petit manque de confiance.

Entre collègue-confrères, ça va encore, le plus chiant c'est les repas d'affaires. Ca gâche le plaisir. Sauf quand c'est le prétexte pour se laisser inviter

Ca peut aussi être rigolo, avec des profils JKD (jeune-cadre-dynamique) qui maîtrisent les aspects de la convenance mais où la conduite sent l'artifice, et à qui l'on a envie de demander de se déplastronner.

Ceci dit, quand on est le cadet du groupe, on n'en mène pas forcément large.

Lors d'un mission en Allemagne, vers mes 24 ans, je me rappelle un dîner avec un Directeur commercial d'une grosse boîte. En petit comité. Les convives ne pratiquant pas tous la langue de Goethe, l'Anglais était choisi, chacun avec son accent natif.
Je suivais un peu distraitement la discussion quand j'entendis le vénérable Monsieur évoquer la tradition locale des "egg-nuts". J'essayais d'imaginer ce qu'il désignait ainsi, avant de comprendre qu'il parlait des Huguenots [hugueneuts]...  

@Fuligo : Ah c'est donc toi :

Spoiler:

Mélomaniac a écrit:

Sans vouloir faire de la psy de comptoir, tu témoignes peut-être dans ces circonstances d'un petit manque de confiance.

Oui cela a toujours été un problème pour moi. Je ne sais pas précisément d'où ça vient... d'un autre côté je pense qu'il est bien d'avoir une période d'observation afin de savoir où l'on met les pieds et de quelle manière on peut s'y comporter.

DavidLeMarrec a écrit:

je ne suis pas comme ces gens.

En clair et sans décodeur, ça signifie ?

Mélomaniac a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

je ne suis pas comme ces gens.

En clair et sans décodeur, ça signifie ?

Que David est quelqu'un de charmant et affable avec ses collègues alors que nous (?) sommes des ours.

On attend une autre exégèse...

DavidLeMarrec a écrit:

Ô toi qui lis ce forum et qui recevras peut-être un jour mon CV, prends note : je ne suis pas comme ces gens.

Ca tombe bien frère lai ... vous êtes libre

Mélomaniac a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

je ne suis pas comme ces gens.

En clair et sans décodeur, ça signifie ?

Que ce n'est pas parce qu'on est sur un forum qu'on déteste forcément les gens qu'on voit dans la vie de tous les jours. Je ne voudrais pas que ma femme, mes maîtresses et mes domestiques découvrent croient que les méprise.

Vaste débat.

Rituels épulaires entre collègues et misanthropie : frère impétrant de la chaire de psycho-sociologie, vous avez 12 000 signes à votre disposition, copie attendue avant 18h00

Pipus a écrit:

J'ai des collègues sympas aussi, pour cela j'ai de la chance. C'est plus que je me dis qu'ils doivent se dire de moi "Qu'est-ce qu'il est ch***t ce mec...". Je me mets trop la pression dans la vie je crois (plus que beaucoup d'autres en tout cas...)

Sinon, tu peux peut-être essayer de leur faire lire cette page du forum, Pipus : https://classik.forumactif.com/t5761p900-# , il devraient au moins respecter ta différence (désolé, je ).

Plus sérieusement, pourquoi vouloir à tout prix s'intégrer en dehors du temps de travail à un groupe de moutons collègues dont les préoccupations sont, à partir de 11h15, le menu du restaurant d'entreprise puis, pendant le déjeuner, les programmes télé, leurs plans de carrière respectifs, nos impôts qui engraissent des fainéants même pas vraiment d'chénou et tutti quanti.

Il y a bien mieux dans ces cas-là (j'y ai été confronté aussi, ayant un temps embrassé la même carrière que Cololi et toi) pour faire de la pause-déjeuner un moment agréable à vivre, comme l'a dit arnaud : musarder au soleil ou sous un arbre en lisant ou en écoutant de la musique, aller piquer une tête à la piscine du coin ou à la plage pour les vernis, se balader et grignoter un sandwich, enfin bref s'abstraire du contexte professionnel pendant cette pause destinée à se sustenter mais aussi à se relaxer.

Spoiler:

Étrangement, j'ai toujours lié amitié avec les gens après avoir été en classe avec eux. Le contexte scolaire (je ne sais pas pour le contexte professionnel) ne favorise pas forcément le développement d'amitiés profondes. Les gens parlent du boulot et ils sont préoccupés; pourquoi auraient-ils envie de parler de sujets complexes et intimes ?

Le mieux, c'est peut-être de participer à / organiser des soirées, des sorties ... En dehors des jours de travail. C'est comme ça que j'ai rencontré mes meilleurs amis

(Et crois-moi, j'ai toujours eu des problèmes d'intégration, de la maternelle à la fac)

DavidLeMarrec a écrit:

pareil.

J'aime beaucoup cette conversation et je m'y retrouve en partie.

Mes collègues (de même niveau hiérarchique s'entend) sont des personnes plutôt intéressantes avec qui je peux discuter de centres d'intérêts communs. Je mange bien volontiers avec eux. On aime tous les potins

Ceci étant, ma position/ma fonction dans l'entreprise fait qu'ils n'ont pas forcément envie de manger trop souvent avec moi mais je m'accommode très bien de déjeuner seul, à mon rythme.

Oriane a écrit:

Les gens parlent du boulot et ils sont préoccupés; pourquoi auraient-ils envie de parler de sujets complexes et intimes ?

Il ne s'agit pas de ça.
C'est la profondeur spirituelle de ces personnes proche du zéro absolu ... ce qui va de pair avec leur absence de doute (et en 1° lieu de doute en eux).

Je ne crois pas que nous parlions tous des mêmes milieux par ailleurs.

Anthony a écrit:

Je travaille dans un endroit où les femmes sont en majorité, et quand elles ne parlent pas de leurs élèves elles parlent de leurs gosses... On n'a pas grand-chose à partager, mais se montrer agréable et à l'écoute permet d'avoir la paix. Il suffit de prendre un peu de distance par rapport à tout ça.

Et de toute façon, la récré ne dure qu'un gros quart d'heure ...

Règle de base: On ne choisit jamais les gens avec lesquels on travaille.
Règle subséquente: La vie sociale est un grand théâtre dans lequel nous sommes tous amenés à jouer un rôle, qui diffère selon les moments, les endroits et les interlocuteurs (un peu creux mais bien tourné, trouvez pas ? on dirait du Paul Guth). Traduction: être faux-cul, ça s'apprend.

-Message effacé par crainte d'être blessant, et pour m'épargner une potentielle longue discussion alors que je n'en ai pas le temps.

Salut, chers collègues.

néthou a écrit:

Règle de base: On ne choisit jamais les gens avec lesquels on travaille.

Pas tout à fait : avec un peu d'expérience, on peut assez facilement renifler, quand on est en approche d'un job, l'ambiance de la structure professionnelle, qui augure de la suite possible, notamment des relations avec les éventuels futurs collègues...

Je ne veux/peux plus travailler.

Pison Futé a écrit:

Je ne veux/peux plus travailler.

Je ne veux plus déjeuner...


Aller, courage! Faut tenir le coup!
Ou alors une petite pause cet après-midi et retour au boulot demain!

Pison Futé a écrit:

Je ne veux/peux plus travailler.

Toute ma compréhension

Merchi.

Polyeucte a écrit:

Pison Futé a écrit:

Je ne veux/peux plus travailler.

Je ne veux plus déjeuner...


Aller, courage! Faut tenir le coup!
Ou alors une petite pause cet après-midi et retour au boulot demain!

Po possible : lundi, c'est le concours.

Pison Futé a écrit:

Po possible : lundi, c'est le concours.

Alors, on s'accroche en se disant que dimanche, repos bien mérité pour être fraiche et reposée lundi!
T'as fait le plus dur...

Après, tu seras LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIBRE!!!

Oui, c'est ce que j'essaye de me dire.

Bon, allez, hop, hop, c'est parti pour travailler.. Merci en tout cas

Pison Futé a écrit:

Je ne veux/peux plus travailler.

Allez mon petit courage . Va courir dans le parc le plus proche de chez toi; ça te permettra de penser à autre chose et de remettre tes idées en ordre

It's the eye of the tiger
It's the thrill of the fight
Rising up to the challenge
.....

Courage ! T'auras fini les écrits au tout début des beaux jours.

Pendant les épreuves, un biscuit ou un demi-biscuit + une gorgée d'eau (mais pas plus) toutes les 1h30. Ni plus, ni moins ! Ne rien rédiger du développement au brouillon, rien ! Que du plan détaillé + intro/conclu. De temps en temps, regarde les mines déconfites de tes camarades pour te remonter le moral, mais pas trop non plus. C'est un concours, il s'agit d'être moins médiocre que les autres. Ne pas culpabiliser si tu finis avec un peu d'avance, ça peut même être bon signe. Ne travaille pas entre chaque épreuve, repose-toi, fais des promenades.

Bon courage !!

Déception du jour: voir les photos d'aurores boréales prises dans les régions avoisinantes ces derniers jours. Elles sont superbes. On a tout loupé parce qu'il neigeait chez nous Et un gros évènement comme ça qui dure sur plusieurs jours, ça n'arrive pas si souvent...

En même temps les aurores boréales c'est rarement sous les latitudes tropicales...

Mais normalement il fait froid ici mais il neige assez peu. Ça accumule bien a terre car la neige n'a jamais l'occasion de fondre, mais on a peu de jours de neige par an. Du coup c’était vraiment de la malchance, 4 jours de neige ininterrompue juste au mauvais moment...

C'est sur que c'est pas de bol . J'espère qu'il y en aura une autre un jour

Il faudrait peut-être déménager un peu plus au nord…

Pison Futé a écrit:

Merchi.

Polyeucte a écrit:

Pison Futé a écrit:

Je ne veux/peux plus travailler.

Je ne veux plus déjeuner...


Aller, courage! Faut tenir le coup!
Ou alors une petite pause cet après-midi et retour au boulot demain!

Po possible : lundi, c'est le concours.

Quel concours passes-tu?

Destructions de musées et de sites archéologiques par Daesh.
 Pendant un certain temps ils se sont comportés en trafiquant d'antiquité - maintenant c'est la destruction systématique.
 J'admets bien volontiers que la perte d'une vie humaine est pire que la destruction d'une oeuvre d'art.
 Après, il faut s'interroger sur la finalité de ces actions.
 On a comparé ces gens aux nazis, et à beaucoup d'égard, c'est vrai - mais en matière d'épuration culturelle les nazis éliminaient de la vue du public  les œuvres "dégénérées", mais ils les détruisaient rarement.
Là on a une mise en scène médiatisée, dont on se demande si elle n'est pas avant tout destiné au public occidentale - comme les mises en scènes d'exécution, l'objectif est de terroriser et d'essayer de faire croire que personne ni rien n'est à l'abri de leurs exactions...
Incidemment ces événements posent pour moi une question : beaucoup de pays du "Sud" réclament la restitution d'oeuvre d'art qui sont dans nos musées, sur la base d'arguments parfois discutables, parfois légitimes - y accéder n'est-ce pas dans certains cas prendre le risque de voir des trésors artistiques irrémédiablement détruits ?

  Montfort

Je crois que j'aurais du passer l'agrégation de géographie...

Pison Futé a écrit:

Je crois que j'aurais du passer l'agrégation de géographie...

Allons jeune padawan, ne vous ai je pas appris que la géographie n'est pas une vraie discipline ?

Je doute que les géographes soient d'accord avec vous frère convers