Playlist (96)

Schumann:Symphonie n°3 (Bernstein)

Bien, sans plus.


Brahms:Ballades (Arrau)

Superbe.

Michel Corrette (1707- 1795)
Six Concertos pour orgue, Op. 26

Olivier Vernet, orgue
quoi, ils ont volé le livret dans ma médiathèque; je suis forcé d'écouter!
presque aussi jouissif que les concertos pour orgue de Haendel.

Alexandre Tansman : Quatuors à cordes Nos. 6 à 8 (1944 ; 1947 ; 1956)/The Silesian Strings Quartet

Magistral !

ovni231 a écrit:

Alexandre Tansman : Quatuors à cordes Nos. 2 à 5 (1922 ; 1925 ; 1935 ; 1940)

Triptyque pour quatuor à cordes (1930)/The Silesian Strings Quartet 
J’approfondis un maximum l'écoute des cinq premiers quatuors (le premier de 1917 étant disparu à jamais) avant de me lancer plus sérieusement dans les trois derniers quatuors qui semblent être la quintessence du travail contrapuntique du compositeur.

ovni231 a écrit:

Alexandre Tansman : Quatuors à cordes Nos. 6 à 8 (1944 ; 1947 ; 1956)/The Silesian Strings Quartet
Magistral !

Et alors c'est vraiment un contrepoint très dense? Ça ressemble à quoi, à qui? (Si tu pouvais comparer avec des compositeurs nés à l'ouest de la ligne Curzon, ça me causerait davantage.)

xoph a écrit:

Michel Corrette (1707- 1795)
Six Concertos pour orgue, Op. 26

Olivier Vernet, orgue
quoi, ils ont volé le livret dans ma médiathèque; je suis forcé d'écouter!
presque aussi jouissif que les concertos pour orgue de Haendel.

Te restera à écouter les six concertos de Arne.

Benedictus a écrit:

ovni231 a écrit:

Alexandre Tansman : Quatuors à cordes Nos. 2 à 5 (1922 ; 1925 ; 1935 ; 1940)

Triptyque pour quatuor à cordes (1930)/The Silesian Strings Quartet 
J’approfondis un maximum l'écoute des cinq premiers quatuors (le premier de 1917 étant disparu à jamais) avant de me lancer plus sérieusement dans les trois derniers quatuors qui semblent être la quintessence du travail contrapuntique du compositeur.

ovni231 a écrit:

Alexandre Tansman : Quatuors à cordes Nos. 6 à 8 (1944 ; 1947 ; 1956)/The Silesian Strings Quartet
Magistral !

Et alors c'est vraiment un contrepoint très dense ? Ça ressemble à quoi, à qui ? (Si tu pouvais comparer avec des compositeurs nés à l'ouest de la ligne Curzon, ça me causerait davantage.)

Il n'y a pas seulement un travail de contrepoint très dense, bien qu'ils y aient pas mal de fugues. Sa musique est une forme de grande synthèse de Prokofiev, Stravinsky, Bartok et Milhaud (principalement pour les harmonies polytonales et l'onirisme du discours).

bon bein d'accord

Xenakis : Metastasis    1955 / Tamaya
 

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Concerto n°5 en mi bémol majeur Op. 73

= Mindru Katz, piano ; John Barbirolli, Orchestre Hallé de Manchester

(Pye, avril 1959)

Wagner: Tannhäuser, acte II
Albert Dohmen, Robert Dean Smith, Christian Gerhaher, Nina Stemme, Marina Prudenskaya, Peter Sonn, Marek Janowski / Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, Rundfunkchor Berlin
Pentatone, 2012
Suite et fin de mon écoute - et des impressions toujours très positives. Commentaire détaillé ici.

Maderna: Quartetto per archi in due tempi, in For Strings
Quatuor Arditti
Montaigne, 1995
Une très, très belle œuvre, d’un impact émotionnel immédiat, quoique rigoureusement sérielle. Des détails là.

Maderna, Quartetto per archi in due tempi (1955).  Ex Novo Ensemble
Maderna, Quartetto per archi in due tempi (1955).  Arditti SQ

Donatoni : Arie pour soprano et orchestre    1978 / Tamayo, Jurado

Decaux: Clairs de lune / Hamelin


Hamelin, encore et toujours parfaitement propre et lisible... mais moi j'aimerais bien un peu plus de courbes, de mystère et de galbe, même si ça reste très bien.

En hommage à la famille Bélier :
Mendelssohn : Lieder ohne Worte - Daniel Barenboïm



En même temps, je me disais : des leaders sans parole, quelle tranquillié !!!

Spahlinger, extension (1979–80).  Polisoidis/Kleeb

mondieumondieumondieu

Jof a écrit:

Decaux: Clairs de lune / Hamelin


Hamelin, encore et toujours parfaitement propre et lisible... mais moi j'aimerais bien un peu plus de courbes, de mystère et de galbe, même si ça reste très bien.

Mon compatriote possède une technique souveraine, une aisance quasi unique dans l'histoire du piano enregistré, connue, mais de par son tempérament, il laisse peu de la passion s'exprimer librement.

J'imagine que ses Scriabine, Debussy, Chopin, Liszt & co doivent en souffrir...

Eh bien, dans Chopin, il se laisse aller sensiblement au point de regretter que ce soit l'inverse comme dans Scriabine justement. Recherche
les Ballades de Chopin surtout la quatrième, jouée en concert par lui accessible par youtube, tu constateras la différence!

Debussy, Pelléas et Mélisande

Karajan, Vienne 1962

C'est beau beau beau. Rien capté à ce que disais Mélisande (ach l'accent chermanique), mais comme je connais l'histoire, ça m'est égal. Et j'aime bien les accents.

En même temps, c'est Debussy, j'ai pas pris beaucoup de risques.

Robert Schumann (1810-1856) :

Liederkreis, Op. 39

In der Fremde
Intermezzo
Waldesgespräch
Die Stille
Mondnacht
Schöne Fremde
Auf einer Burg
In der Fremde
Wehmut
Zwielicht
Im Walde
Frühlingsnacht

= Gérard Souzay, baryton ; Dalton Baldwin, piano

(Philips, juillet 1965)

Je possède ce vinyle et c'est effectivement très bon.

Barber: Sonate pour piano op.26

Ginastera: Sonate pour piano

Robert Guralnik, piano

Mace 1970


C'est le vinyle qui me fit connaître la fameuse sonate de Barber en 1976. Ça demeure encore en 2015 LA référence avec la version
bien plus récente de Daniel Pollack du label Naxos.

Robert Schumann (1810-1856) :

Dichterliebe, Op. 48

Im wunderschönen Monat Mai
Aus meinen Tränen sprießen
Die Rose, die Lilie, die Taube, die Sonne
Wenn ich in deine Augen seh
Ich will meine Seele tauchen
Im Rhein, im heiligen Strome
Ich grolle nicht Und wüssten's die Blumen
Das ist ein Flöten und Geigen
Hör' ich das Liedchen klingen
Ein Jüngling liebt ein Mädchen Am leuchtenden Sommermorgen
Ich hab' im Traum geweinet Allnächtlich im Traume
Aus alten Märchen winkt es
Die alten, bösen Lieder

= Gérard Souzay, baryton ; Jacqueline Bonneau, piano

(Decca, novembre 1953)

...même si l'acoustique des studios West Hampstead est un peu sèche et les micros trop proches de la voix (à mon goût).

En effet car la moyenne des preneurs de son durant les années cinquante, décennie transitoire du 78 tours au long playing, 33 tours et un tier, fit que ces techniciens pensaient 78 tours, qui devait nécessairement placer les capteurs à moins d'un mètre de la voix et de l'orchestre.

D'ailleurs le plus ironique dans la captation du son durant les années cinquante, le plus grand n'était même pas dans le domaine du classique, mais du POP! Je parle de Phil Spector!

Fauré: Sonates pour violon et piano. Edition Brilliant Classics

Requiem: Nadia Boulanger. BBC (BBC Classics, 1968). Quelle version austère !

Halgot Aquinius: quatuor à cordes. . Label Musica Sveciae.

Ketèlbey. Sur un marché persan et autres... - Ambrosien Chorus, London Promenade orchestra, Faris. 1981, Philips
Strauss. Les métamorphoses. Staatskapelle Dresde, Sinopoli. 1996, DGG

Gustav Mahler - Symphonie n°9 (Abbado, Lucerne festival orchestra)

Zad Moultaka (1967–), La Passion selon Marie (Hachô dyôldat Alôhô), oratorio syriaque contemporain (2011)

        María Cristina Kiehr, soprano
        Concerto Soave (dir. Jean-Marc Aymes)
        Les Éléments (dir. Joël Suhubiette)

Haydn:Symphonie n°88 (Furtwangler)

Réjouissant.


Brahms:Symphonie n°4 (Furtwangler 1948)

Fulgurant.


Mendelssohn:Symphonie n°4 (Bernstein)

Rafraîchissant.

Johann Pachelbel (1653-1706) :

Psaumes VI, XII, XIV : quelques fugues, préludes, fantaisies, et chaconnes afférents

= Christian Schmitt, orgue Leu de l'abbaye de Rheinau

(CPO, octobre 2009)

xoph a écrit:

Michel Corrette (1707- 1795)
Six Concertos pour orgue, Op. 26

quoi, ils ont volé le livret dans ma médiathèque; je suis forcé d'écouter!

C'est pas moi, je le jure !


Encore que ça aurait pu

Zad Moultaka (1967–),

  Then thèlo pour chœur d’enfants (2010).  Maitrise RF (Sofi Jeannin)
  Il regno dell’acqua pour ensemble (2013).  L’Instant donné

plenum a écrit:

D'ailleurs le plus ironique dans la captation du son durant les années cinquante, le plus grand n'était même pas dans le domaine du classique, mais du POP! Je parle de Phil Spector!

Ah, Phil Spector... Ce foldingue génial qui va mourir en prison
Cela dit, il a passé le mur du son plutôt dans les années 60, étant né en 1939...

Fauré: Requiem. Version Cluytens. Les solistes sont remarquables.

Elgar: In the South, Falstaff, The Wand of Youth (première suite). Enregistrés dans les années cinquante par Adrian Boult. Un autre sans faute de cet immense chef. Excellente prise de son monophonique.

Fauré: barcarolles, Thèmes et variations et autres pièces. Jean-Philippe Collard

Chris3 a écrit:

plenum a écrit:

D'ailleurs le plus ironique dans la captation du son durant les années cinquante, le plus grand n'était même pas dans le domaine du classique, mais du POP! Je parle de Phil Spector!

Ah, Phil Spector... Ce foldingue génial qui va mourir en prison
Cela dit, il a passé le mur du son plutôt dans les années 60, étant né en 1939...

Eh oui, il mourra en taule. Mais c'est vrai que c'est relié aux années soixante, cette période de transition vers la stéréophonie systématique.

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Charles Noblet

Suites pour clavecin de 1756

Charlotte Mattax Moersch, clavecin Williard Martin, d'après un Blanchet de Paris.

Centaur 2008


Noblet, ainsi que Duphly, Boismortier, Daquin, sont le chant du cygne de l'époque fameuse du clavecin français.

Réédition: Ah j'ai oublié de mentionner Pancrace Royer, dans les derniers grands représentants du clavecin français, d'autant qu'il a composé une des plus belles Allemandes de l'histoire du clavecin!

Dispo aussi via Deezer:http://www.deezer.com/album/4087511

Heinrich Schütz (1585-1672) :

Historia der Geburt Jesu Christi

= Stephan Genz, évangéliste ; Sigiswald Kuijken, Ensemble vocal et instrumental de La Petite Bande

(DHM, décembre 1998)

D’amor ragionando (œuvres de Landini, Matteo de Pérouse, Maître Zacharie, Ciconia et Anthonello de Caserte)
Mala Punica / Pedro Memelsdorff
Arcana, 1994
Merci, Mélo!

Bruckner: Symphonie nº3 en ré mineur (version de 1877 avec le Finale révisé de 1878)
Michael Gielen / SWR Sinfonieorchester Baden Baden und Freiburg
Hänssler, 1999
Merci, Anthony!

Suite de la journée de la gratitude forumesque ici.

Benedictus a écrit:

D’amor ragionando

Che Chosa è quest'Amor, c'est à se liquéfier de volupté non ?
Quelle intelligence, quelle extrême finesse dans cet ars subtilior...
Tout ce disque est une tuerie

Heinrich Schütz (1585-1672) :

Psaumes & Motets

Es erhub sich ein Streit
Freue dich des Weibes deiner Jugend
Syncharma Musicum
Wohl dem, der ein tugendsam Weib hat
Domini est terra
Haus und Güter erbet man von Eltern
Herr, der du bist vormals genädig gewest

Maîtrise de Hannovre, dir. Heinz Hennig

Cantus Cölln, dir. Konrad Junghänel

Musica Fiata, dir. Roland Wilson

(DHM, novembre 1989)

Louis Claude Daquin


Les trois suites pour clavecin

Anne Robert, clavecin Hemsch de 1751

BNL 2012


Aaaah Daquin et son célèbre Coucou de la 3eme suite, mais il y a aussi plein de belles pièces, comme son Allemande de la 2eme Suite,
Les Trois Cadences de la Première suite, etc...

Saviez vous que Daquin a remporté un concours d'improvisations pour le titulariat d'un orgue à Paris au détriment de Rameau? Semblerait même, que Handel de passage aurait refusé de se mesurer!  Dommage que pour l'orgue, il nous ait laissé que des Noëls.

Alfred Schnittke : Trio pour cordes (1985)/Mark Lubotsky, Alexander Ivashkin & Theodore Kuchar
Concerto pour piano à quatre mains (1988)/Irina Schnittke, Viktoria Postnikova & Gennady Rozhdestvensky
Andreï Eshpaï : Symphonie No. 3 (1964)/Vladimir Fedoseyev
Angara, fragments du ballet (1976)/Algis Zhuraitis

Georg Friedrich Haas (1953–), Hyperion, Konzert für Licht und Orchester (2006).  SWR SO BB/F (Rupert Huber)
Jörg Widmann (1973–), Zweites Labyrinth für Orchestergruppen (2006).  SWR SO BB/F (Hans Zender)



première fois que Haas me convainc comme ça !

Landowski

Deuxième Concerto pour piano

Annie D'Arco, piano
Jean Martinon et l'Orchestre de l'ORTF

Erato

Franz Schubert (1897-1828) :

Symphonie n°9 en ut majeur D.944

= Arturo Toscanini, orchestre de la NBC

(RCA, février 1947)

Tichtchenko, Concerto pour violon nº1 (1958).  Liberman/Serov

Haas : Hyperion pour lumière et orchestre    2006 / ?