Playlist (102)

Ah, oui, j'aurais pu mettre ces Earth Dances dans ma liste.
D'ailleurs, globalement, je signe aussi pour à peu près tout ce qui est sur la liste d'Emeryck.

Bon, sinon, à l'instant:
● Krenek: Symphonie nº4.
Alun Francis / NDR Radiophilharmonie
CPO, 2006
Très chouette, mais je préfère la 2ᵉ, plus postromantique-décadente.

et maintenant:
● Langgaard: Symphonie nº4 «Løvfald»
Neeme Järvi / Orchestre Symphonique de la Radio Nationale Danoise
Chandos, 1991

Debussy: Images/Hamelin



Tiens, Hamelin ne m'avait pas habitué à ça, une grosse faute de lecture dans l'Hommage à Rameau. (le ré bécarre joué dièse à 3'58)
Sinon, c'est pas mal du tout.

7) Philippe Boesmans (1936-) :

Conversions

= Pierre Bartholomée, Orchestre philharmonique de Liège

(Cyprès, 1998)

Une oeuvre assez sombre, distendue, blafarde, luisante, parcourue d'éclairs d'inquiétude...

Debussy: Préludes livre II/Hamelin

8 ) Hans Werner Henze (1926-2012) :

Musen Siziliens, concerto pour choeur, deux pianos, instruments à vent et timbales sur des fragments des Eglogues de Virgile

Pastorale - Adagio - Vivace

= Choeur d'enfants du Dresden Kreuzchor ; Joseph Rollino, Paul Sheftel, piano ; Membres de l'Orchestre de la Staatskapelle de Dresde

(DG, octobre 1966)

Il fallait bien finir cette soirée par une oeuvre ravissante...

Benedictus a écrit:

Ah, oui, j'aurais pu mettre ces Earth Dances dans ma liste.
D'ailleurs, globalement, je signe aussi pour à peu près tout ce qui est sur la liste d'Emeryck.

En fait il y avait un sujet précisément dédié à ce type de conseils: https://classik.forumactif.com/t1232-la-musique-contemporaine-pour-le-profane-conseils-cd

Reçu aujourd'hui :
Schulhoff : Concerto pour Piano et petit Ensemble.

Roland Kluttig/Deutsches Symphonie-Orchester/ Piano : Frank-Immo Zichner , 2007 (mais pas clairement daté).

J'écoute toujours un concerto à l'aune de ce qu'en a dit très justement Lucien : très/trop souvent une sonate ou une symphonie avortée : souvent quelque chose de superfétatoire : Ou l'orchestre, ou le soliste.
Ici c'est selon : le Piano singe l'Orchestre et l'Orchestre écrase avantageusement le soliste.
Mais le piano est souvent épaulé d'autres instruments isolés de l'orchestre.
Mais il y a mieux !!!
Le Sostenuto ! (Mvt 2)
Au début du deuxième mouvement le piano chante avec la harpe et la clarinette sous un Tic Tac aux cordes à la Herrmann .
S'en suit le très jolie chant du piano se démarquant trop peu de la roue dentée des violons, toujours traumatisé, comme un papillon dans un univers d'engrenages.
Le troisième mouvement confirme.
Le piano est désailé. On n'en entend que des miettes, des paillettes versicolores dans la graisse des machines. Même lors de son duo avec le violon soliste, il est morcelé, systématique, comme battent encore des ailes les insectes pris dans la glue, en vain, et mourront de vouloir la liberté, d'épuisement à vouloir s'échapper. (Alors qu'une mouche moins conne pourrait téter la mélasse de son piège pendant des années de mouches et ne pas se préoccuper de ses ailes !)
Bref.
Si c'est cela un Petit Orchestre, comme il sonne et est employé, je veux bien revoir tout mon Mahler.

tod a écrit:

J'écoute toujours un concerto à l'aune de ce qu'en a dit très justement Lucien : très/trop souvent une sonate ou une symphonie avortée : souvent quelque chose de superfétatoire : Ou l'orchestre, ou le soliste.

j’ai dit ça, moi ?

Oui !
Et cela fait deux fois que j'emploie ta citation.
Et deux fois que tu t'en défends !
Elle me parait assez éclairante pourtant.

Chopin, Polonaises op. 44, 53 et 61 - Pollini

Mendelssohn, Symphonie n°1 - Masur

Mâche : Andromède pour trois pianos, double chœur et grand orchestre     1979 / Heisser, Kœrner, Frémy, Farge, Boulfroy, Amy
 +

Louvier : L'Isola dei Numeri pour piano     1991 / Leclère
  +

Louvier : Agrexandrins (Livre I) pour piano     1981 / Siruguet

Andreï Eshpaï : Le Cercle-Apocalypse (1980)/Emin Khachaturian

Magnard:Symphonie n°4 (Sanderling)

Mouébof.

Rimsky-Korsakov:Shéhérazade (Reiner)

Un peu surcotée cette oeuvre.

arnaud bellemontagne a écrit:

Magnard:Symphonie n°4 (Sanderling)

Mouébof.

Rimsky-Korsakov:Shéhérazade (Reiner)

Un peu surcotée cette oeuvre.

Parfaitement d'accord !

Cette semaine :

=> Polyphème de Cras ;
=> Friedenstag (Sinopoli) trois fois ;
=> Acte I des Meistersinger de Wagner (Kubelik et Marc Albrecht) deux fois ;
=> Don Juan et Metamorphosen de Strauss par Marc Albrecht-Strasbourg et Mercurio-National Tchèque ;
…parce qu'il y avait du boulot à faire.

Sinon, côté choses intéressantes :

=> Madetoja, intégrale des symphonies, suites symphoniques (Saraste, Segerstam, Panula…). Très chouette.

=> Bliss, Colour Symphony (Hickox, Handley deux fois), The Enchantress (avec Finnie), Concerto pour violon (dispensable), Concerto pour violoncelle.

=> van Gilse, symphonies 1,2,3 (deux fois les 1 et 2). Assez déçu à la réécoute de la 3, qui ne décolle que dans le mahlérisme du dernier mouvement, le reste ressemble un peu au Schmidt de la Quatrième symphonie en plus atone ; c'est bien, mais pas angulaire pour moi.

=> Offenbach, Geneviève de Brabant, Cariven.

=> Trois albums Sibelius deux à trois fois chacun : musiques de scène par Turku et Segerstam (Ouverture en la mineur, Kuolema, Twelfth Night avec Torikka, Kung Christian II) ; Suites historiques (complètement dans le style des symphonies 1,2,3,5 !) et Kung Christian II par NZSO-Inkinen ; Sibelius rares par NZSO-Inkinen (Chevauchée de nuit, Pan, Belshazzar, Dryade, Intermezzo de danse, numéros bonus de Kuolema…).

=> Gubaidulina pour accordéon : De Profundis, Silenzio, Et expecto. Très beau, très direct, très touchant. (Publié chez Castigo.)

=> Rautavaara avec NZSO-Inkinen : Apotheosis, Manhattan Trilogy, Symphonie n°8…

arnaud bellemontagne a écrit:

Magnard:Symphonie n°4 (Sanderling)

Mouébof.

Rimsky-Korsakov:Shéhérazade (Reiner)

Un peu surcotée cette oeuvre.

+

A moitié d'accord.

Si vous voulez dire que ce n'est pas forcément l'oeuvre absolue n°1 de Rimsky qu'il faudrait connaître avant toutes les autres, je suis d'accord.
Si vous voulez dire que ce n'est pas génial, pas d'accord.

(Hier et un peu avant.)

Ferenc Liszt : S. 178 -- VVS (1960).
LvB : Opus 28 -- VVS.
Franz Schubert : D. 784 -- VVS (1953).

C'est du piano (solo). Pour moi, c'est magnifique (les trois). Mais ce n'est que l'avis d'un pianoteux.

Tu n'as pas un peu l'impression de poster par énigmes?

S.178 c'est quelle oeuvre?
VVS c'est qui?

Et maintenant,

=> Lotta Wennäkoski – Nosztalgiaim – Avanti ChbO (chez Alba)
Très étonnant, de la musique tonale qui se meut comme de l'atonale, en quelque sorte. Super beau, il y a des aplats Takemitsu !

Xavier a écrit:

Tu n'as pas un peu l'impression de poster par énigmes?  

 J'ai fait pire que ça, il y a quelques années, ou alors pour « condenser » quand je suis pris dans une frénésie (genre : LvB : 58 -- ESH) et que je ne vais pas recopier trente-six fois le même message...

Citation :

S.178 c'est quelle oeuvre?

 (T'es sérieux ?) C'était la sonate en si mineur. (Pour Beethoven, c'était la sonate dite Pastorale ; pour Schubert, une de ses sonates en la mineur.) De l'archimainstream (un peu de compassion pour les statisticiens du XXVe siècle, qu'ils ne croient pas qu'on était tous barges tout le temps).

Citation :

VVS c'est qui?

Ah non, hein, c'est pas possible, tu te paies ma tête.  

Ben pour moi, la sonate en si, c'est la sonate en si, c'est plus facile de la citer comme ça, non? Je ne connais pas la numérotation des oeuvres de Liszt...
Ce n'est pas comme pour Mozart dont les numéros de Köchel sont très connus pour certaines oeuvres, comme le 488 par exemple...

VVS c'est Sofro ? Je dis ça parce que bientôt j'inviterai les statisticien du XXVème à venir voir ce que l'on favorisait comme pianiste.

DavidLeMarrec a écrit:

=> Friedenstag (Sinopoli) trois fois ;
=> Acte I des Meistersinger de Wagner (Kubelik et Marc Albrecht) deux fois ;
=> Don Juan et Metamorphosen de Strauss par Marc Albrecht-Strasbourg et Mercurio-National Tchèque ;
…parce qu'il y avait du boulot à faire.

Sinon, côté choses intéressantes :

Tu rejoins Mélo et la triste compagnie des déclassés.

Xavier a écrit:

A moitié d'accord.

Si vous voulez dire que ce n'est pas forcément l'oeuvre absolue n°1 de Rimsky qu'il faudrait connaître avant toutes les autres, je suis d'accord.
Si vous voulez dire que ce n'est pas génial, pas d'accord.

C'est quand même pas d'une folle inspiration.C'est agréable et bien fait, pas de doutes la-dessus.Mais c'est loin d'être le chef d'oeuvre qu'on nous vend partout.

Scherzian a écrit:

 J'ai fait pire que ça, il y a quelques années, ou alors pour « condenser » quand je suis pris dans une frénésie (genre : LvB : 58 -- ESH) et que je ne vais pas recopier trente-six fois le même message...

j’ai retrouvé pour l’occasion l’une de mes vieilles interventions en playlist :

lucien, le 27 mai 2013, a écrit:

bee son 29 30 31 32 гри

Anthony a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

=> Friedenstag (Sinopoli) trois fois ;
=> Acte I des Meistersinger de Wagner (Kubelik et Marc Albrecht) deux fois ;
=> Don Juan et Metamorphosen de Strauss par Marc Albrecht-Strasbourg et Mercurio-National Tchèque ;
…parce qu'il y avait du boulot à faire.

Sinon, côté choses intéressantes :  

Tu rejoins Mélo et la triste compagnie des déclassés.

Oh là là, quelle sinistre prescription… c'est au contraire un honneur de me servir de support pendant que je passe l'aspirateur, peu de compositeurs se hissent jusque là.

Au demeurant, Mélo n'écouterait jamais un orchestre tchèque non homologué par les cercles snobs Diapason. (En plus dirigé par un chef acoquiné à Bocelli.)
Déjà que lorsqu'il écoute un compositeur du XXe siècle, il éprouve le besoin de le dupliquer dans quatre fils…

tu as écouté le Parra ?

arnaud bellemontagne a écrit:

Xavier a écrit:

A moitié d'accord.

Si vous voulez dire que ce n'est pas forcément l'oeuvre absolue n°1 de Rimsky qu'il faudrait connaître avant toutes les autres, je suis d'accord.
Si vous voulez dire que ce n'est pas génial, pas d'accord.

C'est quand même pas d'une folle inspiration.C'est agréable et bien fait, pas de doutes la-dessus.Mais c'est loin d'être le chef d'oeuvre qu'on nous vend partout.

Plutôt d'accord avec Xavier pour le coup.

Avec Sadko je n'ai plus eu aucun doute que Rimski était un génie.

Shéhérazade j'ai toujours trouvé ça chiant, et le reste je ne connais pasje ne m'en souviens pas.

Boulanger Lili d'un soir triste / D'un matin de printemps tortelier (chandos)

Glière Les Sirènes Slovak Philharmonic Orchestra, Stephen Gunzenhauser (naxos)

Barber Knoxville: Summer Of 1915 eleanor Steber/Dumbarton Oaks Orchestra , Strickland

Mel Bonis Quatuor avec piano n°1 ; Soir,matin op76 Mozart piano quartet (Mdg)

Rachmaninov Concerto pour piano n°4 Shelley/Bryden Thomson (chandos)

Schnittke Concerto grosso n°2 ( écoute sur youtube)
C'est excellent ! Jouissif et émouvant . Intégration intelligente de cinq siècles de musique .
Avant internet , je lisais Diapason , Repertoire ou le Monde de la musique pour choisir des CD à écouter.
Schnittke était mal vu , je me rappelle cette trilogie "P(art) S(chnittke) G(orecki) venue d'Est producteur
de musiques "ripolinées" ... N'importe quoi !

Golisande a écrit:

Shéhérazade j'ai toujours trouvé ça chiant, et le reste je ne connais pasje ne m'en souviens pas.

, pour moi , c'est mon enfance : les pleplums , les voyages , l'exotisme , l'aventure .

Xavier a écrit:

Ben pour moi, la sonate en si, c'est la sonate en si, c'est plus facile de la citer comme ça, non?

Si, c'est plus facile de la citer comme ça. (Je ne connais la numérotation des œuvres de Liszt et de Mozart que dans des cas très rares, en plus... Et je ne suis même pas cohérent avec moi-même : le plus souvent, j'utilise les numéros d'ordre par genre de composition, mais je prends parfois les numéros d'opus, etc., par exemple pour les sonates de Beethoven -- aucune idée pourquoi.)

shushu a écrit:

VVS c'est Sofro ? Je dis ça parce que bientôt j'inviterai les statisticien du XXVème à venir voir ce que l'on favorisait comme pianiste.

Oui, c'est lui. Mais « on » ne le favorisait pas (quasi personne ne le favorisait) à la fin du XXe et au début du XXIe. Il a dû attendre le début du XXIVe : un biais que les statisticiens actuels, au XXVe, n'identifient pas toujours correctement. En ces temps reculés, seul un petit groupuscule de mélomanes clairvoyants écoutait ses disques en cachette, sans oser le dire à voix haute, dans des sous-sols éclairés à la bougie, sur du matériel antédiluvien. Des pionniers qui se refilaient leurs bons tuyaux, évoquaient sans honte mais sans rancœur leurs expériences malheureuses avec les disques des mauvaises maisons d'édition surfiltreuses d'aigus, refaisaient sans peur le monde du piano, semaient à tout vent les secrets de leurs solitudes profondes. Toute une époque...  

lucien a écrit:

j’ai retrouvé pour l’occasion l’une de mes vieilles interventions en playlist    :

lucien, le 27 mai 2013, a écrit:

bee son 29 30 31 32 гри

Pas mal, pas mal.  

Spoiler:

@Greg Skywalker (à propos de Shéhérazade de Rimsky) : je ne dis pas que ça n'est pas bien fichu !... Justement, le problème pour moi c'est peut-être que c'est de la musique de film avant la lettre : c'est trop purement illustratif, et pas assez foisonnant et surprenant pour se suffire à soi-même ; en gros, je m'ennuie en écoutant ça un peu comme en écoutant du John Williams sans l'image ...

Golisande a écrit:

@Greg Skywalker (à propos de Shéhérazade de Rimsky) : je ne dis pas que ça n'est pas bien fichu !... Justement, le problème pour moi c'est peut-être que c'est de la musique de film avant la lettre : c'est trop purement illustratif, et pas assez foisonnant et surprenant pour se suffire à soi-même ; en gros, je m'ennuie en écoutant ça un peu comme en écoutant du John Williams sans l'image ...

Je comprends bien ton point de vue . Des fois , J'écoute la BO de Star Wars

Je m'en doutais un peu.

DavidLeMarrec a écrit:

Oh là là, quelle sinistre prescription… c'est au contraire un honneur de me servir de support pendant que je passe l'aspirateur, peu de compositeurs se hissent jusque là.

Au moins tu ne seras pas tout seul. Si ça peut te consoler, Arnaud va bientôt vous rejoindre, lui aussi (pour d'autres raisons : sa phobie des requins et son fil Iron Maiden).

DavidLeMarrec a écrit:

Au demeurant, Mélo n'écouterait jamais un orchestre tchèque non homologué par les cercles snobs Diapason. (En plus dirigé par un chef acoquiné à Bocelli.)

Ça c'est bien vrai, je crois lui avoir à plusieurs reprises recommandé des disques de l'excellent label Hänssler, avec les orchestres d'Allemagne du Sud-Ouest, mais il m'a toujours snobé.

Scriabine: Andante et scherzo pour cordes/Cordes de Hambourg, Anna Preyss-Bator

+

Scriabine: Variations sur un thème populaire russe pour quatuor à cordes/Kuss Quartet

Scriabine: Mazurkas opus 3/Fergus-Thompson

+

Il y a vraiment des bijoux là-dedans.

Johann Caspar Kerll (1627-1693) :

Passacaglia, en ré mineur

= Joseph Kelemen, orgue Egedacher de l'Abbaye des Prémontrés de Schlägl

(Oehms, avril 2004)

Superbe interprétation de ce célèbre morceau virtuose du répertoire baroque.
Bien plus volubile que le récent enregistrement de Kei Koito (DHM), et quasiment au même niveau que la version canonique de Leonhardt (Sony) sur le même instrument.

Luigi Nono (1924–1990),

  Guai ai gelidi mostri pour deux voix d’alto, flute, clarinette, tuba, alto, violoncelle, contrebasse et électronique live (1983)
  Quando stanno morendo, Diario polacco n. 2 pour quatre voix de femme, flute basse, violoncelle et électronique live (1982)

        Heike Heilmann, Petra Hoffmann et Alexandra Lubchansky, sopranos
        Noa Frenkel et Susanne Otto, altos

        Roberto Fabbriciani, flute
        Ernesto Molinari, clarinette
        Klaus Burger, tuba
        Susan Knight, alto
        Christine Theus, violoncelle
        Ulrich Schneider, contrebasse

        EXPERIMENTALSTUDIO des SWR
        Michael Acker, Reinhold Braig, Joachim Haas

        André Richard, direction

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Cantate BWV 215, Preise den Glücke, gesegnetes Sachsen

= Monika Frimmer, soprano ; John Elwes, ténor ; David Wilson-Johnson, basse

Gustav Leonhardt, Orchestre et Chœurs of the Age of Enlightenment

(Philips, novembre 1996)




Cantate BWV 213, Lasst und Sorgen, lasst uns wachen

= Barbara Bonney, soprano ; Richard Wynn Roberts, contreténor ; Ralph Popken, alto ; Christoph Prégardien, ténor ; David Wilson-Johnson, basse

Gustav Leonhardt, Orchestre et Chœurs of the Age of Enlightenment

(Philips, janvier 1994)

Copland:Symphonie n°3 (Bernstein)

Chouette


Ravel:Gaspard de la nuit (Meyer)

Voila une puissante évocation