Playlist (103)

lucien a écrit:

Cololi a écrit:

Tu fais bien de le préciser, car le reste de ton post ne présage pas vraiment de ça

pourquoi ?

Beh la date de naissance déjà tout simplement, + allemand + pochette

d’accord.
je te répondrais que les Allemands ont pour moi plus que les Français une grande tendance au post-moderne, tout ça, et accordent en général une plus grande importance à la tradition.
et l’illustration est de Goethe... mais chez Wergo, il est vrai.

Barraqué, Sonate.  Woodward

Scriabine: concerto pour piano (Oppitz, Kitaenko, Orch. de la Radio de Francfort)

Scriabine: Le poème de l'extase op. 54 (Kitaenko, Orch. de la Radio de Francfort). Kitaenko rajoute une partie de choeur à la fin du Poème  … Jamais entendu ça ...

Oui, c'est la 2è version où j'entends ça.

Xavier a écrit:

Oui, c'est la 2è version où j'entends ça.

Tu sais s'il s'agit d'une autre édition de la partition ? J'ose imaginer qu'il ne s'agit pas d'une lubie du chef …

Lukas Geniusas en finale de Tchaikovsky :

Pyotr Tchaikovsky. Piano Concerto 2 in G major, Op. 44
Sergei Rachmaninov. Piano Concerto 3 in D minor, Op. 30

Comme pour 1812 ? Ces Russes ne respectent rien.

Ce serait d'autant plus savoureux vu les leçons que Kitajenko donne sur les faux chefs…

Haydn: Symphonie No. 93 - Leonard Bernstein: New York Philharmonic Orchestra

Bon, je termine mon cycle Mozart.

Mozart: Symphonies n^os 40 & 41 / Les Musiciens du Louvre, dir. Minkowski.

Décapant et incisif, c'est superbe.

Offenbach: La Périchole. Crespin, Vanzo, Bastin. Alain Lombard dirige le trafic (pesamment). Cette Périchole de Strasbourg sent la choucroute.

Milhaud: oeuvres pour violon et orchestre: concerto no 2, concertino de printemps, concerto no 1, Le Boeuf sur le toit. Arabella Steinbacher est l'excellente soliste. Pinchas Steinberg dirige le Münchner Rundfunkorchester. Étiquette Orfeo.

Henry Purcell (1658-1695) :

Le Roi Arthur, semi-opéra en cinq actes

= Alfred Deller, Consort and Choir ; The King's Musick

(Harmonia Mundi, 1976)

Ces jours ci

Iannis Xenakis (1922-2001)
Naama; A l'ile de Gorée; Khoaï; Komboï (Elisabeth Chojnacka, harpsichord; Sylvio Gualda, percussion; Ensemble Xenakis/Huub Kerstens)
Le disque!

Avec un petit bonus (en forme de partoche?)

Spoiler:

KarlHeinz Stockhausen (1928-2007)
Oeuvres pour clarinette basse et piano
Volker Hemker (Clarinette), Steffen Schleiermacher (Piano)
(sauf à vrai dire les pièces pour piano seul -Klavierstckücke-)


Claudio Monteverdi (1567-1643)
Quinto Libro dei Madrigali
Concerto Italiano / Rinaldo Alessandrini

Sonates 28 à 32 de Beethoven jouées par Malcolm Binns sur plusieurs pianofortes datant de 1814 à 1835. J'ai préféré le Erard de 1818 dans la 28ème. Pour la 30ème, un son étrange que celui du Broadwood 1814. Une erreur selon moi. Il me reste la 32ème à écouter jouée sur un Conrad Graf de 1835.

Escaich: Le Dernier Evangile/Nelson

+

Scriabine: Symphonie n° 1 (Kitaenko, Siniawskaia, Fedin, Figuralchor, Orch. Radio de Francfort).

Scriabine: Prométhée op. 60 (Kitaenko, Krainiev, Choeur de la Radio Bavaroise, Orch. Radio de Francfort).

Wagner: La Walkyrie, acte 3/Solti 1961

Penderecki: Powialo na mnie morze snow

Bravo Xavier, tu peux aller dormir, on prend la relève


Ici :
Bach, Cantate BWV 26, Richter
Bach, Cantate BWV 106 "Actus Tragicus", Richter
Je peux pas dire grand chose sur l'interprétation (j'imagine que c'est "dépassé" vu la tiédeur des avis sur Richter en général) puisque je ne connais pas bien ce répertoire, mais global.

Bach, Concertos brandebourgeois 5 et 6 - Hogwood

anaëlle a écrit:

Haydn: Symphonie No. 93 - Leonard Bernstein: New York Philharmonic Orchestra

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Bartok:Concerto pour piano n°2 (Kovacevich/Davis)

Le 2ème mouvement est étonnant, notamment ce début en nappes qui sonne inhabituellement français (Honegger,Dutilleux...) pour du Bartok.

Confirmation que ce concerto est un des plus grands chefs d'oeuvre de Bartok (mais oui) et un des plus grands concertos du XXème siécle.

Franchement côté inspiration je le mets pas loin de la Musique pour cordes, du 4ème quatuor, du Mandarin Merveilleux et du Chateau de Barbe Bleue.

arnaud bellemontagne a écrit:

Confirmation que ce concerto est un des plus grands chefs d'oeuvre de Bartok (mais oui) et un des plus grands concertos du XXème siécle.

cette affirmation m’étonne beaucoup, je suis le seul ?

Je l'ai découvert il y a peu : c'est en plus une version assez stimulante non ?

lucien a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Confirmation que ce concerto est un des plus grands chefs d'oeuvre de Bartok (mais oui) et un des plus grands concertos du XXème siécle.

cette affirmation m’étonne beaucoup, je suis le seul ?

Qu'est-ce qui t'etonne?

Haydn:
Symphonie No.94 "Surprise"

Symphonie No.95
+
Moins d'humour et de légèreté que dans la précédente. Le Finale me fait beaucoup penser à du Mozart.
Leonard Bernstein : New York Philharmonic Orchestra

Sibelius: Pelléas Et Mélisande - Paavo Järvi: Estonian National Symphony Orchestra

Je sens que Sibelius est en train de devenir l'un de mes compositeurs préférés ... La mort de Mélisande est

Tu connais le Pelleas et Melisande de Schoenberg?

Walter Braunfels Grosse Messe op37 Honeck/Stuttart (Decca)
L'auteur des "Les Oiseaux" , magnifique opéra du XX siècle , a ecrit des oeuvres sacrées ... Le resultat est de première grandeur . ( le Te Deum est top aussi )
Partant de Bruckner et Strauss ,sa musique est d'une grace mozartiene . Elle donne une émotion sincère , je crois . c'est exultant !

Respighi: La trilogie romaine (Sinopoli, New York Philharmonic)

Wagner, Der fliegende Holländer, Janowski


Daland - Matti Salminen
Senta - Ricarda Merbeth
Le Hollandais - Albert Dohmen
Mary - Silvia Hablowetz
Le Pilote - Steve Davislim
Erik - Robert Dean Smith

Orchestre Symphonique de la Radio de Berlin
Choeur de la Radio de Berlin

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu connais le Pelleas et Melisande de Schoenberg?

Non, je ne savais même pas que Schoenberg avait écrit un Pelleas ...

Strauss, Arabella, Acte I, Joseph Keilberth, Orchestre et choeurs du Bayerische Staatsoper, 1968, Della Casa, Fischer-Dieskau, Rothenberger, Kohn, Malaniuk, Uhl, etc.

anaëlle a écrit:

Sibelius: Pelléas Et Mélisande - Paavo Järvi: Estonian National Symphony Orchestra

Je sens que Sibelius est en train de devenir l'un de mes compositeurs préférés ... La mort de Mélisande est

Oui !

La version de Paavo Järvi est en plus complète il me semble (avec les parties chantées, non ?).

Richard STRAUSS
—
Deutsche Motette
Stephen Cleobury : BBC Singers ...

Jolie découverte !

Joseph MARX
—
Herbstsymphonie
Leon Botstein : American Symphony Orchestra

C’est fou ce que ça peut rappeler Daphnis et Chloé, un peu trop ... Je ne sais pas si c'est une très bonne suprise ( c’est vraiment très beau ! ) ou une petite déception ( parce que forcément, comparé à Daphnis    ). Tout de même, c’est super sympa ! Jouissif

Nikolaï ROSLAVETS
—
Aux heures de la nouvelle lune
Ilan Volkov : BBC Scottish Symphony Orchestra

Alors ça !    Sans être à 100% enthousiaste là encore, ça confirme au moins, cette fois c’est sûr, que Roslavets ... !!!

Rav-phaël a écrit:

Richard STRAUSS
—
Deutsche Motette
Stephen Cleobury : BBC Singers ...

Jolie découverte !

Jolie ??  

En même temps, c'est pas moi qui t'ai conseillé d'y écouter le Morphée Vocal Ensemble dirigé par Marc Chandeux-Sables.

Citation :

Joseph MARX
—
Herbstsymphonie
Leon Botstein : American Symphony Orchestra

[font=Arial]C’est fou ce que ça peut rappeler Daphnis et Chloé,

Benedictus a écrit:

● Rameau: Pièces de clavecin
Céline Frisch (clavecin Jean-Henry Hemsch, 1751)
Alpha, 2007
Pas forcément saillant en termes d’interprétation, mais il y a quand même une belle éloquence dans l’articulation et les phrasés. Belle sonorité aux harmoniques très riches. Mélo, Plenum, xoph, vous en pensez quoi*, vous? Sinon, j’ai assez envie d’essayer Cuiller et Esfahani** - vous recommanderiez?

* Du coup réécouté ce disque:
J'aime toujours autant. Au delà du clavecin somptueux, j'y entends à l'oeuvre plus que la plénitude du son, une façon de faire émerger à partir d'une gangue indécise une fluidité radieuse (ou une dynamique percutante). J'aime particulièrement une forme de lenteur qui inscrit les "retards" comme suspension vers des ouvertures irrésolues. (Bon, c'est un peu beaucoup verbeux, on mettra ça sur le compte de la canicule)
** Pour Esfahani  , je n'ai pas écouté son album Rameau, mais ce n'est qu'une question de temps (mais si c'est à la hauteur de ses disque CPE Bach ou Byrd/Bach/Ligeti, il n'y a pas trop de temps à perdre)
Pour Cuiller , pas non plus écouté mais si c'est à la hauteur de ... (etc)

xoph a écrit:

Pour Cuiller, pas non plus écouté mais si c'est à la hauteur de ... (etc)

J'ai commencé à écouter, avec l'impression que l'interprète, même au-delà de la Première Suite encore tournée vers le Grand-siècle, rapproche Rameau des horizons poétiques et des lignes classiques de Couperin voire Chambonnières.
Toucher riche et très subtil, assez éloigné des caractères sanguins portraitisés par Spieth ou Pinnock.
Pour un résultat délectable, d'une extrême finesse.
Superbe qualité d'enregistrement.

Domenico Scarlatti (1685-1757) :

Sonates Kk. 104-105, 87, 124-125, 516-517, 244-245, 408-409, 420-421, 544-545

= Virginia Black, clavecin Dowd

(Emi, juin 1986)

Mozart: Symphonies n° 29, 34, 35, 40 et 41 (DVD, Böhm, Wiener Philharmoniker) .

Je viens de recevoir le coffret des enregistrements de Böhm à Vienne et Londres. Je sens que je vais me taper du classique classicissimus dans les prochaines semaines (DGG, 23 cd).

Mozart: sonates K. 123456 jouées par Marc-André Hamelin. 2 disques Hyperion. Très, très beau.

Wagner: Siegfried. Version Levine DGG. 45 minutes chaque jour, c'est mon écoute en auto de la semaine.

Scriabine: Symphonie n° 2 (Kitaenko, Orch. Radio Francfort)

Scriabine: Rêverie op. 24 (idem)

Scriabine: Symphonie n° 3 (idem)

Beaucoup de belles choses dans ces deux symphonies. Je regrette par contre les conclusions qui sont bien conventionnelles (accords répétés et soutenus avec roulement de timbales) …

Stockhausen: Kontakte pour sons électroniques, piano et percussions (1959/60), Zyklus (2 versions) (1959), Refrain (1959) (Wambach, Ardeleanu, Rensch).

Kontakte est dépaysant … ; ça rince les oreilles  … J'aime tout particulièrement le moment où l'évier se débouche, ce qui constitue sans doute le climax de l'oeuvre .

Purcell, King Arthur - Gardiner
On se sent mieux après

anaëlle a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu connais le Pelleas et Melisande de Schoenberg?

Non, je ne savais même pas que Schoenberg avait écrit un Pelleas ...

Il faut essayer, c'est un poeme symphonique flamboyant et foisonnant, très loin de l'image de grisaille et d'austérité attribuée à Schoenberg.

Je te dirais même que c'est un des plus beaux poemes symphoniques du répértoire.
Tente la version Karajan.


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Bartok:Musique pour cordes, percussion et celesta (Reiner)

Impeccable.

Muzio Clementi. Un fort intéressant compositeur. Volume 10 de l'intégrale de Pietro Spada, consacré à l'opus 34 (2 sonates et 2 capriccios). La sonate en sol mineur vaut plusieurs de celles de Mozart.

Disque 16 de la même intégrale, comprenant des WoO. Les Variations sur Batti, Batti (air de Zerline dans Don Giovanni) sont remarquables. Un magnifique bis de concert.

Wagner, Tannhäuser, Janowski


Tannhäuser - Robert Dean Smith
Venus - Marina Prudenskaya
Elisabeth - Nina Stemme
Landgrave de Thuringe - Albert Dohmen
Wolfram von Eschenbach - Christian Gerhaher ( )
Walther von der Vogelweide - Peter Sonn
Biterolf - Wilhelm Schwinghammer
Reinmar von Zweter - Martin Snell
Un jeune berger - Bianca Reim

Choeurs de la Radio de Berlin
Orchestre Symphonique de la Radio de Berlin



Il fait une telle chaleur... moi j'aurais bien été me prélasser au Venusberg.

Anaxagore a écrit:

Scriabine: Symphonie n° 2 (Kitaenko, Orch. Radio Francfort)

Scriabine: Rêverie op. 24 (idem)

Scriabine: Symphonie n° 3 (idem)

Beaucoup de belles choses dans ces deux symphonies. Je regrette par contre les conclusions qui sont bien conventionnelles (accords répétés et soutenus avec roulement de timbales) …

D'accord avec toi pour la 2è, par contre pour la 3è je ne le ressens pas comme ça, je trouve qu'on se rapproche déjà de l'esthétique du Poème de l'extase et que ce n'est plus pompeux comme le final de la 2è qui est clairement plat et peu inspiré.