Playlist (127)

Berg: Lulu, acte 1/Koenigs-Kentridge

'Tis the season...



Arnold Schönberg - Erwartung op.17 (1909)
Alessandra Marc, Staatskapelle Dresden, dir. Giuseppe Sinopoli




André Caplet - Le Masque de la Mort rouge (1908)*
Florent Shmitt - Le Palais hanté (1904)

* Frédérique Cambreling (harpe)
Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, dir. Georges Prêtre

Costin Miereanu : Aquarius pour deux pianos et deux célestas        1974-80 / Méfano J., Bou, Ensemble 2e2m (Méfano P.)
 +
Costin Miereanu : Kammerkonzert pour saxophone et ensemble        1985 / Kientzy, Ensemble 2e2m (Méfano)

György Ligeti
* Lux Aeterna
Choeur d'Allemagne du Nord (Hambourg)
Helmut Franz (1968)


/watch?v=lgRZnsAgKng

Giuseppe Verdi
Othello (en français)
Acte I

Chœur et Orchestre de l’Opéra de Paris & Georges Sébastian
Régine Crespin & Simone Couderc
José Luccioni & René Bianco & Louis Rialland & Camille Rouquetty & Pierre Savignol & André Philippe
7 octobre 1955

Label Malibran

Pour vos , je vous trouve quand même petit bras, les gars.

En voilà, de l'horrifique, du vrai:

Du vrai gruthique.

charles.ogier a écrit:

Giuseppe Verdi
Othello (en français)
Acte I

Chœur et Orchestre de l’Opéra de Paris & Georges Sébastian
Régine Crespin & Simone Couderc
José Luccioni & René Bianco & Louis Rialland & Camille Rouquetty & Pierre Savignol & André Philippe
7 octobre 1955

Label Malibran

Kösebo. Même Couderc est la plus belle Emilia de toutes – assez peu de bandesd'elle, hélas.

DavidLeMarrec a écrit:

charles.ogier a écrit:

Giuseppe Verdi
Othello (en français)
Acte I
Chœur et Orchestre de l’Opéra de Paris & Georges Sébastian
Régine Crespin & Simone Couderc
José Luccioni & René Bianco & Louis Rialland & Camille Rouquetty & Pierre Savignol & André Philippe
7 octobre 1955
Label Malibran

Kösebo. Même Couderc est la plus belle Emilia de toutes – assez peu de bandes d'elle, hélas.

En effet, ça fait envie!

Franz Schubert
* Symphonie no.8 'Inachevée'
Sawallisch/Staatskapelle Dresden

Dimitri Chostakovitch
* Concerto no.2 op.102
New York Philharmonic
Leonard Bernstein, piano & direction

'Tis the season...



Richard Dubugnon - Arcanes symphoniques op.30 (2008)

Ana Maria Labin

Cyrille Tricoire, violoncelle ; Dorota Anderszewska, violon ;
Yves Lair, tuba ; Dominique Bougard, trompette

Orchestre national de Montpellier,
dir. Friedemann Layer / Enrique Diemecke / Alain Altinoglu




Guillaume Connesson - Lucifer (2011), musique de ballet en deux actes

Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, dir. Jean-Christophe Spinosi

DavidLeMarrec a écrit:

Du vrai gruthique.

charles.ogier a écrit:

Giuseppe Verdi
Othello (en français)
Acte I

Chœur et Orchestre de l’Opéra de Paris & Georges Sébastian
Régine Crespin & Simone Couderc
José Luccioni & René Bianco & Louis Rialland & Camille Rouquetty & Pierre Savignol & André Philippe
7 octobre 1955

Label Malibran

Kösebo. Même Couderc est la plus belle Emilia de toutes – assez peu de bandesd'elle, hélas.

Benedictus a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

charles.ogier a écrit:

Giuseppe Verdi


Othello (en français)
Acte I
Chœur et Orchestre de l’Opéra de Paris & Georges Sébastian
Régine Crespin & Simone Couderc
José Luccioni & René Bianco & Louis Rialland & Camille Rouquetty & Pierre Savignol & André Philippe
7 octobre 1955
Label Malibran

Kösebo. Même Couderc est la plus belle Emilia de toutes – assez peu de bandes d'elle, hélas.

En effet, ça fait envie!

Après Don Carlos...
J'ai cherché G.Verdi en français, et j'ai trouvé ceci. Je crois bien que D.L.M. a écrit une notule sur les opéras interprétés dans les langues du pays des représentations (?)
Othello: un 1er acte nettement plus dynamique.

La qualité de l'enregistrement (live: nous entendons les déplacements des interprètes) n'est pas mauvaise, cependant assez inégale; il faut bien tendre l'oreille pour suivre le discours.
L'engagement des interprètes est plus perceptible; bon, après, je n'étais pas SUR la scène de Bastille.

Cet après-midi:

• Rameau: Dardanus:

Stephen Bennett (Teucer), Kathryn McCusker (Iphise), Paul Whelan (Anténor), Damian Whiteley (Isménor), Paul Agnew (Dardanus), Pemelope Mills (Vénus), Miriam Allan (Une Phrygienne, Un Songe), Anna Fraser (Une Phrygienne), David Greco (Un Phrygien), Dan Walker, Corin Bone (Deux Songes), Anthony Walker / Orchestra of the Antipodes, Cantillation
En public, Sydney, XI & XII.2005
ABC Classics / Pinchgut Opera

Au total, une belle version (plus comparable à Minkowski qu’à Pichon pour les choix textuels), qui vaut surtout pour l’allant direct et sans apprêts de sa progression, et les premiers rôles masculins (Agnew, Whiteley, Whelan). Voir ici.

• Puccini: Le Villi:

Renata Scotto (Anna), Plácido Domingo (Roberto), Leo Nucci (Guglielmo Wulf), Tito Gobbi (Il Narratore), Lorin Maazel / National Philharmonic Orchestra, Ambrosian Opera Chorus / John McCarthy
Londres, VI.1979
Sony

Une très chouette découverte. Voir ici.

'Tis the season...



Philip Feeney - Dracula (1996), musique de ballet en trois actes
Northern Ballet Theatre Orchestra, dir. John Pryce-Jones

CD trouvé pour une demi-bouchée de pain la semaine dernière, pris "au pif" par curiosité, et que je découvre pour l'occasion. L'œuvre était une commande du "Northern Ballet" de Leeds pour le centenaire de la publication du roman de Bram Stoker. Et c'est ma foi bien chouette ! Pas la composition du siècle, du point de vue strictement musical, mais l'atmosphère d'ensemble fonctionne très bien.

Pour ceux qui veulent se faire une idée, une vidéo avec des extraits captés d'une reprise récente à Atlanta ici : /watch?v=mvfUigq6AZ4

Octavian a écrit:

'Tis the season...



Philip Feeney - Dracula (1996), musique de ballet en trois actes
Northern Ballet Theatre Orchestra, dir. John Pryce-Jones

CD trouvé pour une demi-bouchée de pain la semaine dernière, pris "au pif" par curiosité, et que je découvre pour l'occasion. L'œuvre était une commande du "Northern Ballet" de Leeds pour le centenaire de la publication du roman de Bram Stoker. Et c'est ma foi bien chouette ! Pas la composition du siècle, du point de vue strictement musical, mais l'atmosphère d'ensemble fonctionne très bien.

Pour ceux qui veulent se faire une idée, une vidéo avec des extraits captés d'une reprise récente à Atlanta ici : /watch?v=mvfUigq6AZ4

Belle découverte, j'aurais fait comme toi si j'avais vu cette pépite.
Et puis à propos de ton message posté un peu plus haut:

André Caplet - Le Masque de la Mort rouge (1908)*

J'ai déjà vu un film qui porte ce titre et qui fait référence à une nouvelle d'Edgar Allan Poe.

Franz Schubert
* Symphonie no.3 en ré majeur D 200
Philharmonie Tchèque
Václav Neumann

Beethoven : Quatuors à cordes op.132 et 135. Quartetto SQ


Chopin : Préludes Op.28. Merzhanov

Liszt : Grandes Études de Paganini. Merzhanov

Scriabine : Sonate No.5. Merzhanov

C'est chez qui ce Quartetto SQ (quel nom original !) ?

Et Merzhanov, c'est bien ?

'Tis the season...

... Et pour un final en apothéose (façon de parler) :



Hector Berlioz - Symphonie fantastique (1830) - Berliner Philharmoniker, dir. Herbert von Karajan

Ravélavélo a écrit:

Et puis à propos de ton message posté un peu plus haut:

André Caplet - Le Masque de la Mort rouge (1908)*

J'ai déjà vu un film qui porte ce titre et qui fait référence à une nouvelle d'Edgar Allan Poe.

Oui, et quelle nouvelle !  Et en effet le CD en question, sous la direction de Prêtre, regroupe trois œuvres françaises du début XX^e qui sont toutes inspirées de Poe (je n'ai pas réécouté La Chute de la Maison Usher de Debussy qui précède sur le disque les Caplet et Schmitt). Pour info "Le Masque de la Mort rouge" se veut une "étude symphonique pour harpe chromatique et orchestre à cordes", elle a par la suite été retravaillée et "réduite" par Caplet pour harpe et quatuor à cordes, sous le titre Conte fantastique (c'est cette version qui est le plus souvent enregistrée je crois) (enfin tout est relatif, ça reste Caplet, bien sûr, pas la discographie la plus pléthorique du monde).

Ravélavélo a écrit:

André Caplet - Le Masque de la Mort rouge (1908)*
J'ai déjà vu un film qui porte ce titre et qui fait référence à une nouvelle d'Edgar Allan Poe.

Un grand classique du cinéma bis des années 60, de Roger Corman avec Vincent Price.

Octavian a écrit:

'Tis the season...

Spoiler:

Toi aussi tu es actionnaire de Deutsche Grammophon ?

Bravo pour ta soirée à thème, bien fournie !

Schoenberg : Moise et Aron (Cambreling)

• Mahler: Symphonie nº7 en mi mineur:

Mariss Jansons / Orchestre Philharmonique d’Oslo
En public, Oslo, III.2000
Simax

Une version magnifique, pleine d’élan et qui rend avec détail l’hétérogénéité des textures de l’orchestre mahlérien. Voir ici ou là.

Du coup, je termine la soirée avec:

• Mahler: Symphonie nº6 en la mineur:

Jukka-Pekka Saraste / Orchestre Philharmonique d’Oslo
En public, Oslo, III.2010
Simax

Dans une esthétique assez proche, avec encore plus d’élan et de lumière, mais je trouve ça peut-être un peu moins opérant (parce que le son y semble travaillé de façon plus globale et coloriste ou parce que l’œuvre s’y prête moins bien?)

Benedictus a écrit:

• Mahler:

Mariss Jansons / Orchestre Philharmonique d’Oslo
En public, Oslo, III.2000
Simax

Une version magnifique, pleine d’élan et qui rend avec détail l’hétérogénéité des textures de l’orchestre mahlérien.

Voilà qui me tente beaucoup  ...

Schubert: Winterreise op. 89, D. 911 (Mitsuko Shirai, Hartmut Höll). J'aime beaucoup cette version .

Octavian a écrit:

'Tis the season...



Philip Feeney - Dracula (1996), musique de ballet en trois actes
Northern Ballet Theatre Orchestra, dir. John Pryce-Jones

CD trouvé pour une demi-bouchée de pain la semaine dernière, pris "au pif" par curiosité, et que je découvre pour l'occasion. L'œuvre était une commande du "Northern Ballet" de Leeds pour le centenaire de la publication du roman de Bram Stoker. Et c'est ma foi bien chouette ! Pas la composition du siècle, du point de vue strictement musical, mais l'atmosphère d'ensemble fonctionne très bien.

Pour ceux qui veulent se faire une idée, une vidéo avec des extraits captés d'une reprise récente à Atlanta ici : /watch?v=mvfUigq6AZ4

Oui c'est sympa.

Je me souviens d'un passage (avec un solo de clarinette) qui est très fortement plagié d'Aubade de Poulenc.

Florent Schmitt
Quintette pour piano

Bruce Adolphe (1955-)
Einstein's Light (2015?) (5 pièces pour violon et piano)

Frédéric Chopin : Ballades pour piano        1831-42 / François

Kalevo Aho (1949-)
Concerto pour violon No. 1 (1981)

Sergueï Prokofiev : Sonate n°7 pour piano        1942 / François

Quelle version atypique !

Olivier Messiaen :
- Et exspecto resurrectionem mortuorum (1964)
- Couleurs de la Cité céleste (1964)

Yvonne Loriod (piano)
Percussions de Strasbourg
Orchestre du Domaine Musical, dir. Pierre Boulez

DavidLeMarrec a écrit:

C'est chez qui ce Quartetto SQ (quel nom original !) ?

Faute de frappe : c'est le Quartetto Italiano.

Citation :

Et Merzhanov, c'est bien ?

Je connais trop mal Chopin et Liszt pour te donner un avis éclairé, en revanche j'aime vraiment son Scriabine : c'est très expressif sans trop distordre la partition (c'est pas du Sofro).

@ Anaëlle : Je vois mieux, merci !

Alifie a écrit:

www.deezer.com/fr/album/10228594

C'est pas terrible ça, il n'y a plus de dialogues, c'est quand même assez problématique (et ça sent le studio). Première intégrale de Kaufmann, je crois (en tout cas dans un gros rôle), mais il est assez corseté.

Tu dois avoir plus sympa à disposition sur Deezer (Neuhold, Rieger, selon ce que tu as déjà testé).

Sinon, bien sûr : chef-d'œuvre. Et l'adaptation du librettiste Wohlbrück reste vraiment proche de la nouvelle de Byron-Polidori.

Joseph Haydn
Les sept dernières paroles de Jésus en croix

Yaara Tal (piano)

Label Sony

DavidLeMarrec a écrit:

Alifie a écrit:

C'est pas terrible ça, il n'y a plus de dialogues, c'est quand même assez problématique (et ça sent le studio).

Pas grave, je ne connaissais pas l'oeuvre, très belle en effet, et je n'ai pas le livret, mais j'y reviendrai forcément.

Spoiler:

EDIT : au temps pour moi :

http://operacritiques.free.fr/css/index.php?2009/07/28/1327-heinrich-august-marschner-der-vampyr-le-vampire-operas-adaptations-livrets-librettos-libretti-john-william-polidori-lord-byron-wohlbruck-wohlbrueck-analyses-commentaires-explications

Der Vampyr, j'ai failli me le programmer hier pour la journée thématique citrouille, et puis je n'ai pas eu le temps. J'aurais mieux fait d'écouter ça (version Neuhold) plutôt que la VF du Freischütz, tiens !

Enfin, pour aujourd'hui, autre ambiance :



Henryk Górecki - Symphonie n°3 "des chants plaintifs" (1976)
Dawn Upshaw
London Sinfonietta, dir. David Zinman

Il est formidable le Freischütz de Berlioz ! Et bien sûr beaucoup moins discontinu que la version originale, j'aime vraiment beaucoup plus.

(Oui Alifie, c'est le contraire du silence sur le Vampyr chez moi. Il y a même une notule avec une version française maison du grand récit de Ruthven – imagesonore incluse. )

DavidLeMarrec a écrit:

(Oui Alifie, c'est le contraire du silence sur le Vampyr chez moi. Il y a même une notule avec une version française maison du grand récit de Ruthven – imagesonore incluse. )

Ça m'étonnait aussi ! Pour une 2ème écoute (l'enregistrement que j'ai posté m'a beaucoup plu, je n'ai pas les mêmes préventions que vous autres glottomanes), tu recommandes plutôt Tenner, que tu proposes, puisque libre de droits, sur CSS, Rieger, Neuhold ?

P.S. trouvé l'acte II seulement sur yt dans une captation vidéo sous-titrée en français : /watch?v=Zr-bAwmWSBM (avec un parti-pris de mise en scène assez )

Alifie a écrit:

Pour une 2ème écoute (l'enregistrement que j'ai posté m'a beaucoup plu, je n'ai pas les mêmes préventions que vous autres glottomanes), tu recommandes plutôt Tenner, que tu proposes, puisque libre de droits, sur CSS, Rieger, Neuhold ?

Neuhold ! Sauf si tu veux un truc propre, Rieger est plus soigné.

Ce n'est pas une question de glottophilie, c'est simplement que la version de Froschauer, on sent qu'ils ont tous le nez dans leur pupitre, ça ne vit pas du tout, alors que dans les deux autres (surtout Neuhold), le drame est très présent – et très impressionnant.

Après, en première écoute (je me demande si je n'ai pas commencé moi aussi par des bouts de Froschauer), c'est une grande œuvre, bien sûr, mais qui ne révèle pas son entier potentiel.

Citation :

P.S. trouvé l'acte II seulement sur yt dans une captation vidéo sous-titrée en français : /watch?v=Zr-bAwmWSBM[/size]

Elle a aussi été donnée en France et vidéodiffusée à cette occasion. Ce n'est pas une lecture très lisible ni très habitée, ni très bien chantée, mais ça a le mérite d'être une vidéo sous-titrée du Vampyr.

Pour info, le livret se trouve là : http://kareol.es/autor.htm. Je peux peut-être l'obtenir en anglais si certains n'aiment ni l'allemand, ni l'espagnol, dites-moi et j'irai chercher.

DavidLeMarrec a écrit:

Alifie a écrit:

Pour une 2ème écoute (l'enregistrement que j'ai posté m'a beaucoup plu, je n'ai pas les mêmes préventions que vous autres glottomanes), tu recommandes plutôt Tenner, que tu proposes, puisque libre de droits, sur CSS, Rieger, Neuhold ?

Neuhold !  Sauf si tu veux un truc propre, Rieger est plus soigné.

Je les mets en marque-pages illico !

DavidLeMarrec a écrit:

Alifie a écrit:

P.S. trouvé l'acte II seulement sur yt dans une captation vidéo sous-titrée en français : /watch?v=Zr-bAwmWSBM[/size]

Elle a aussi été donnée en France et vidéodiffusée à cette occasion. Ce n'est pas une lecture très lisible ni très habitée, ni très bien chantée, mais ça a le mérite d'être une vidéo sous-titrée du Vampyr.

Pour la mise en scène, il ont recyclé les décors et les costumes d'une production de Butterfly ?

Découverte du soir bonsoir



Anton Bruckner - Symphonie n°8 (version de 1890) - Wiener Philharmoniker, dir. Pierre Boulez

Vu mon peu de goût à la fois pour Bruckner en règle générale, d'une part, et pour les interprétations de Boulez à la baguette, d'autre part — a fortiori pour un premier contact avec une œuvre —, je me suis un peu demandé ce qui me prenait en lançant ça ("je cherche à me faire du mal ?"). Et puis vlan, tout de suite, le choc. Je viens d'achever les deux premiers mouvements, j'attaque l'adagio, on va voir si la fascination opère jusqu'au bout, mais je dois bien dire que je trouve la chose assez enthousiasmante... et croyez bien que j'en suis le premier surpris !

DavidLeMarrec a écrit:

Il est formidable le Freischütz de Berlioz !  Et bien sûr beaucoup moins discontinu que la version originale, j'aime vraiment beaucoup plus.

(Oui Alifie, c'est le contraire du silence sur le Vampyr chez moi. Il y a même une notule avec une version française maison du grand récit de Ruthven – imagesonore incluse. )

Il est formidable le Freischütz de Berlioz !
Je confirme.
Entendu et vu en avril 2011 à l'O.C.: opéra "dynamisé" par H.B.

Octavian a écrit:

Découverte du soir bonsoir



Anton Bruckner - Symphonie n°8 (version de 1890) - Wiener Philharmoniker, dir. Pierre Boulez

Vu mon peu de goût à la fois pour Bruckner en règle générale, d'une part, et pour les interprétations de Boulez à la baguette, d'autre part — a fortiori pour un premier contact avec une œuvre —, je me suis un peu demandé ce qui me prenait en lançant ça ("je cherche à me faire du mal ?"). Et puis vlan, tout de suite, le choc. Je viens d'achever les deux premiers mouvements, j'attaque l'adagio, on va voir si la fascination opère jusqu'au bout, mais je dois bien dire que je trouve la chose assez enthousiasmante... et croyez bien que j'en suis le premier surpris !

Il faut bien une première fois

Etre hermétique pendant des années à une musique ne signifie pas que ça sera la cas toute sa vie.

Je rajoute, que Bruckner est le maître des mouvements lents. Je crois que même ses contempteurs lui reconnaisse ça.

Cololi a écrit:

Il faut bien une première fois  
Etre hermétique pendant des années à une musique ne signifie pas que ça sera la cas toute sa vie.

Voilà pourquoi un jour tu finiras par aimer Lully et Rihm.

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

Il faut bien une première fois  
Etre hermétique pendant des années à une musique ne signifie pas que ça sera la cas toute sa vie.

Voilà pourquoi un jour tu finiras par aimer Lully et Rihm.

Sans oublier Beethoven.


Par ailleurs je t'assure que les "contempteurs" de Bruckner peuvent très bien lui dénier un tas de choses et notamment son génie du mouvement lent vu que ce que je préférais de lui jusqu'à présent, dans les différentes symphonies que j'avais entendues, c'était la Symphonie n°4 "Romantique" (qui ne comporte pas d'adagio, justement), et en particulier son allegro initial.