Playlist (137)

Bach, Suites françaises

Blandine Rannou

Iskender a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Piston, les symphonies

J'adore la 2ème. Quelle(s) autre(s) du corpus conseillerais-tu en priorité ?

Oui, c'est à cause de toi que j'ai remis ça sur le métier, ça faisait très longtemps.

Les quatre premières sont dans cette veine sobre et lumineuse. (La 4, particulièrement !) Les autres sont plus sombres, et on sent peut-être davantage les limites de la simplicité du langage, je trouve.

Les Nuits de tous les Vents...





Au programme ce soir :    W.A. Mozart – L. Beethoven – C. Nielsen – R. Strauss – A. Dvořák

1) Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Divertimento n°8 en fa majeur, K. 213
Divertimento n°13 en fa majeur, K. 253
Divertimento n°14 en si bémol majeur, K. 270
Divertimento n°16 en mi bémol majeur, K. 289

Ku Ebbinge, Maarten Karres, hautbois
Brian Pollard, Frans Berkhout, basson
Adriaan van Woudenberg, Iman Soeteman, cor

(Seon, juillet 1973)

Interprété sur instruments d'époque de facture parisienne fin XVIII° : hautbois Delusse, bassons Savary et Simiot, cors Raoux.

Antonín Dvořák
* Stabat Mater
Atlanta Symphony Orchestra and Chorus
Robert Shaw
2 CD Telarc, 1999



Beau début paisible, belle entrée en matière, l'oeuvre est de longue durée, une heure vingt-cinq minutes, ça m'étonne de voir combien le compositeur laisse s'épanouir son excentricité, son goût du faste à grand déploiement dans sa musique sacrée.

Weinberg : Symphonie n°3 - Göteborgs symfoniker, Thord Svedlund



Pour l'instant parmi celles que j'ai écoutées, c'est de loin celle que j'ai préférée (avec la 10). Du coup ça fait plusieurs écoutes sur ces deux dernières semaines.

Escaich / Quintette pour Piano et Cordes (Quatuor Ludwig)

C'est bon ça...
Je crois que je commence à vraiment aimer la musique d'Escaich, une esthétique qui se reconnait effectivement très vite mais quelle puissance évocatrice !

2) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Quintette en mi bémol majeur, Op. 16

John de Lancie, hautbois
Anthony Gigliotti, clarinette
Mason Jones, cor
Sol Schoenbach, basson
RudolfSerkin, piano

(Columbia, septembre 1953)

Polyeucte a écrit:

Couperin : Concerts Royaux (Christophe Rousset - Les Talens Lyriques, 2018)
Très agréable à écouter. je ne suis pas forcément un grand admirateur de ces pièces, mais c'est beau et bien joué...

Certes, mais très -trop- policé==>musique sédative

3) Carl Nielsen (1865-1931) :

Quintette pour vents, Op. 43

James Galway, flûte
Björn Carl Nielsen, hautbois
Niels Thomsen, clarinette
Jens Tofte-Hansen, basson
Björn Fosdal, cor

(RCA, mars 1985)

• Rautavaara: Symphonie nº7 «Angel of Light» (1994):

Leif Segerstam / Orchestre Philharmonique d’Helsinki
Helsinki, VIII.1995
Ondine

Retrouvé ce disque que j’étais persuadé de ne plus avoir. D’accord, il y a là un beau savoir-faire d’orchestrateur, mais quel robinet d’eau tiède...

4) Richard Strauss (1864-1949) :

Sonatine n°1 en fa majeur pour instruments à vent "De l'atelier d'un infirme"

= Edo De Waart, Ensemble à vent des Pays-Bas

(Philips, septembre 1971)

Le titre curieux s'explique par les circonstances de la composition, au printemps 1943, quand Strauss écrivit cette Sonatine alors qu'il souffrait d'accès de grippe.
Un hommage aux sérénades mozartiennes, qu'il réserva à la postérité (il s'opposa à une retransmission radiophonique avant sa mort).

Esprit Joseph Antoine Blanchard : Te Deum (Daniel Cuiller - Ensemble Stradivaria - Choeur Marguerite Louise, 2018 : Michiko Takahashi, Romain Champion, Sebastian Monti, Cyril Costanzo)
François Colin de Blamont : Te Deum (Daniel Cuiller - Ensemble Stradivaria - Choeur Marguerite Louise, 2018 : Michiko Takahashi, Romain Champion, Sebastian Monti, Cyril Costanzo)

Wahoo!! On avait déjà eu le Te Deum de Madin par Cuiller... un peu le même style, mais un travail sur le choeur vraiment magnifique! ça part dans tous les sens, c'est puissant mais pas sans finesse... première écoute très positive!!

Boris Alexandrovitch Tchaikovsky (1925-1996)
Thème et huit variations pour orchestre (1973)
Concerto pour piano et orchestre de chambre (1971)
Boris Tchaikovsky, piano
Orchestre Symphonique de la Radio de Moscou
Vladimir Fedoseyev, direction
LP Melodiya 1981

Spoiler:

5) Richard Strauss (1864-1949) :

Symphonie pour instruments à vent "Le Joyeux atelier"

= Edo De Waart, Ensemble à vent des Pays-Bas

(Philips, janvier 1971)

Trois quarts d'heure de Strauss aimable et récréatif : une partition tardive (juin 1945), écrite par un vieux compositeur, meurtri par la destruction de son Allemagne natale,
désabusé (« la musique que je continue de griffonner, pour le bénéfice de mes héritiers, des exercices pour mes poignets »), et qui connaissait là son premier enregistrement.

Catégorie orchestrale -rang 199°/250




Hans Schmidt-Isserstedt (1900-1973)


6) Antonín Dvořák (1841-1904) :

Sérénade n°2 pour instruments à vent en ré mineur, Op. 44

= Hans Schmidt-Isserstedt, Orchestre symphonique de la NDR

(DG, décembre 1963)

Comme l'écrit le musicologue Jan Smaczny, « à bien des égards, Mozart était encore très présent sur la scène musicale pragoise de la seconde moitié du XIX° siècle »
et Dvořák fut influencé par l'esprit, le style et la forme du siècle précédent quand il composa ses deux Sérénades dans les années 1870.
Moins connue que sa comparse pour cordes, la seconde (pour hautbois, clarinettes et bassons par paires, trois cors, contrebasson, violoncelle et contrebasse) rend
un évident hommage à la Gran Partita K. 361 du Salzbourgeois dont Dvořák partageait le génie mélodique.
Pour autant, le terroir bohémien s'exprime dans le Menuetto où alternent la sousedska et le furiant, deux typiques vecteurs du folklore musical tchèque.
Et l'harmonie enrichie s'ancre résolument dans son époque, évitant le simple pastiche néoclassique, comme l'attestent les tentations modales du finale qui annonce
la période américaine de l'auteur de la Symphonie du Nouveau Monde.
Le premier mouvement, moderato quasi marcia, défile vigoureusement comme une marche un brin pompeuse, mais irrésistiblement prenante, qui reviendra conclure
la sérénade en une sorte de bis -Dvořák était bien conscient que cet air rythmé tellement catchy ne pouvait que conquérir l'auditeur.
Le serein pastoralisme de l'andante con moto permet d'exhaler une ambiance magique, où la clarinette peut épancher son lyrisme dans un écrin bucolique,
qui se gonfle d'émotion dans l'épisode central ponctué par les pizzicati.

J'avais découvert cet opus dans l'enregistrement londonien d'István Kertész (Decca, décembre 1967), qui en reste une des meilleures versions. Certains chefs gravèrent
les deux sérénades en couplage (Arthur Winograd chez MGM, Neville Marriner chez Philips, Christopher Hogwood chez Decca, Charles Mackerras chez Emi, Hugh Wolff
chez Teldec, Myung-Whun Chung chez DG...) mais je ne connais aucun disque qui offre une lecture totalement satisfaisante de chacune d'elles.
Pour les Mélomaniac d'Or je me suis donc résolu de vous proposer ce que la discographie offre de mieux (du moins mes versions favorites) pour chaque sérénade.
En l'occurrence Hans Schmidt-Isserstedt (que j'adore dans Brahms) s'avère un peu épais et pataud dans la Sérénade pour cordes mais d'une vitalité,
d'une verdeur idéales dans celle pour vents.
Notamment, l'accroche du quasi marcia s'avère incomparablement mordante, et crépite rageusement comme une cohorte de fourmis sanguinaires.
La saveur aigrelette des souffleurs hambourgeois pépie dans un Menuet délicieusement acidulé, croustillant, sans allégeance courtoise, -même si on aurait souhaité
davantage de verve dans le trio central qui demeure toutefois d'une exemplaire articulation, se dégourdissant comme une robuste danse villageoise.
L'Andante respire ici à pleins poumons, et le chef allemand sait comment creuser l'ambiance (les cors bourrus, le vibrato des anches digne des orchestres tchèques
les plus idiomatiques) tout en garantissant une mobilité qui évite l'ensablement. Torride !
Sous cette baguette, le finale promeut d'abord une sorte de solennité belliqueuse qui plante un décor intriguant dans un tempo qui reste mesuré mais très habité.
Plutôt qu'une vaine cavalcade, Schmidt-Isserstedt dialectise et dramatise mieux qu'il ne danse, mais le modèle mozartien n'aurait certainement pas récusé cette théâtralisation,
que parachève une grandiloquence assumée.
Si vous cherchez une approche fine et décantée, privilégiez Wolff et ses pupitres de Saint Paul ou Marriner et ses Academycians. Mais pour une interprétation vivifiante
et roborative comme il sied à ce genre de sérénades briguant l'air vif d'une certaine ruralité Mitteleuropa, Schmidt-Isserstedt demeure insurpassable et indémodé.
D'autant que la captation s'avère aussi nette qu'ample et aérée.

♫    

♫     Franz Liszt, Le Rossignol [ S. 250/1 ], arrangement pour Harpe seule.
       Paul Hindemith, Sonate pour harpe.

     

Ludwig Thuille
Lieder

Voir ICI

Korngold / Symphonie en Fa# (Albrecht)

Rien à voir avec le sucre du Concerto pour Violon (que j'aime beaucoup par ailleurs...), musique moderne, puissante, un cri !

Hindemith / Kammermusik 1, 2 3 et 5 (Chailly)

Excellent tout ça, cette force motorique ainsi que la curiosité d'alliages d'instruments me plaisent beaucoup !
Le premier mouvement du 5 !

W. A. Mozart
* Sonate no. 15 K. 545
Mitsuko Uchida, piano
1 CD Philips/Time-Life 'Great Composers'

Danny Elfman concerto pour violon "Eleven Eleven"
Sandy Cameron
L'Orchestre national royal d'Ecosse
John Mauceri

Un concerto assez long (45 minutes, on n'a pas fait aussi long depuis Reger?) en 4 mouvements. Perso je ne vois pas le temps passé ce qui est un bon signe. L'auteur explique il est inspiré du modèle du 1er de Chostakovitch. Je trouve par contre il est très inspiré de Prokofiev dans le 1ere mouvement, à la limite du plagia, et c'est très beau et tant mieux. Le 2e mouvement est un point fort aussi, inventif est très américain avec des mélanges de Bernstein et Adams. Dommage que le dernier mouvement ne tient pas la promesse car assez quelconque, du coup ça donne un peu un gout d'inachevé.

Anton Bruckner
* Psaumes 112 & 114
Corydon Singers
English Chamber Orchestra
Matthew Best
1 CD Hyperion, 1987

Marc Monnet : Eros machina pour guitare électrique, guitare basse et bande magnétique        1977-78 / Ducret

Marc Monnet : Chansons imprévues pour voix, clarinette(s) et contrebasse        1992 / Kübler, Angster, Celea
 +
Marc Monnet : Strange pour clarinette        1989 / Angster

Marc Monnet : Fantasia oscura pour contrebasse        1989 / Celea
 +

C'est vraiment pas terrible.

Bruno Luong a écrit:

Danny Elfman concerto pour violon "Eleven Eleven"

Oh, je ne savais pas qu'Elfman donnait aussi dans la musique "sérieuse", j'irai écouter ça !

Je ne connais pas encore, mais c'est donné en septembre prochain à la Philharmonie. (avec des extraits de musiques de films)

Luigi Nono : ...sofferte onde serene... pour piano et bande magnétique        1976 / Hinterhäuser, Richard
 +

Bruno Luong a écrit:

Danny Elfman concerto pour violon "Eleven Eleven"

Un concerto assez long (45 minutes, on n'a pas fait aussi long depuis Reger?) (...)

Le concerto d'Elgar est postérieur à celui de Reger je crois bien. (détail sans importance, je précise juste en passant ). Comme j'ai pu constater que nos intérêts convergent souvent, et que j'écoute pas mal de musique américaine je note; ça a l'air tentant.

Escaich / Concerto pour Orgue (Latry - Rophé)

Une orgie sonore tout simplement...

Emeryck a écrit:

Marc Monnet : Eros machina pour guitare électrique, guitare basse et bande magnétique        1977-78 / Ducret

Marc Monnet : Chansons imprévues pour voix, clarinette(s) et contrebasse        1992 / Kübler, Angster, Celea
 +
Marc Monnet : Strange pour clarinette        1989 / Angster

Marc Monnet : Fantasia oscura pour contrebasse        1989 / Celea
 +

C'est vraiment pas terrible.

C'éclair qu'en changeant le prénoms ainsi qu'en rajoutant une lettre au nom ça ne peut garantir qu'un immense peintre soit également un non moins illustre compositeur.

Alifie a écrit:

https://open.spotify.com/album/2VpxiQF5dIGbfweKDR1Dca

Ah bah tiens, Andrei Rubtsov fait mu-muse avec papa Bach.

Boris Alexandrovich Tchaikovsky (1925-1996)
Quintette pour piano (1962)
Quatuor Borodine
Boris Tchaikovsky, piano
LP Melodiya 1976

Spoiler:

       

Boris Ivanovich Tishchenko (1939-2010)
Concerto pour violon N° 2 Op. 84 (1982)
Sergei Stadler, violon
Orchestre Philharmonique de Leningrad
Vassily Sinaisky, direction
LP Melodiya 1987

Spoiler:

Iskender a écrit:

Bruno Luong a écrit:

Danny Elfman concerto pour violon "Eleven Eleven"

Un concerto assez long (45 minutes, on n'a pas fait aussi long depuis Reger?) (...)

Le concerto d'Elgar est postérieur à celui de Reger je crois bien. (détail sans importance, je précise juste en passant ). Comme j'ai pu constater que nos intérêts convergent souvent, et que j'écoute pas mal de musique américaine je note; ça a l'air tentant.

Les gars, écoutez le 2e de Tishchenko et vous verrez que c'est physiquement possible d'écrire un concerto pour violon de plus de cinquante minutes... (qui plus est c'était son anniv' aujourd'hui, quatre-vingts ans ça se fête non ?)

ovni231 a écrit:

Iskender a écrit:

Bruno Luong a écrit:

Un concerto assez long (45 minutes, on n'a pas fait aussi long depuis Reger?) (...)

Le concerto d'Elgar est postérieur à celui de Reger je crois bien. (détail sans importance, je précise juste en passant ).

Les gars, écoutez le 2e de Tishchenko et vous verrez que c'est physiquement possible d'écrire un concerto pour violon de plus de cinquante minutes... (qui plus est c'était son anniv' aujourd'hui, quatre-vingts ans ça se fête non ?)

Oui, et puis quelle densité dans l'écriture orchestrale, chez Boris Ivanovitch!  
Je m'étonne quand même, Vino, que tu n'aies pas aussi mentionné celui de Boris Alexandrovitch qui fait lui aussi ses trois quarts d'heure... (superbe version dirigée par Serov chez Northern Flowers.)

Benedictus a écrit:

ovni231 a écrit:

Iskender a écrit:

Bruno Luong a écrit:

Un concerto assez long (45 minutes, on n'a pas fait aussi long depuis Reger?) (...)

Le concerto d'Elgar est postérieur à celui de Reger je crois bien. (détail sans importance, je précise juste en passant ).

Les gars, écoutez le 2e de Tishchenko et vous verrez que c'est physiquement possible d'écrire un concerto pour violon de plus de cinquante minutes... (qui plus est c'était son anniv' aujourd'hui, quatre-vingts ans ça se fête non ?)

Oui, et puis quelle densité dans l'écriture orchestrale, chez Boris Ivanovitch!  
Je m'étonne quand même, Vino, que tu n'aies pas aussi mentionné celui de Boris Alexandrovitch qui fait lui aussi ses trois quarts d'heure... (superbe version dirigée par Serov chez Northern Flowers.)

38 minutes version Pikaizen-Kondrashin-Philharmonie de Moscou-studio-référence absolue !

Ah, je connais juste Pikaizen / Serov / Odense - 44 minutes (d'ailleurs, j'avais beaucoup aimé le côté ample, très articulé et parfois contemplatif: pas sûr du coup que j'accrocherais autant à Kondrachine, si c'est plus véloce.)

Vous oubliez Schéhérazade.2 de John Adams, très belle réussite, 47 minutes.

Benedictus a écrit:

Ah, je connais juste Pikaizen / Serov / Odense - 44 minutes (d'ailleurs, j'avais beaucoup aimé le côté ample, très articulé et parfois contemplatif: pas sûr du coup que j'accrocherais autant à Kondrachine, si c'est plus véloce.)

Certes, mais je ne sens plus du tout ce balancement magique (presque comme une berceuse) dans la première grande section chez Serov et les danois, c'est complétement fondu. Kondrashin est parfait dans cette œuvre amha et chez Boris Tchaikovsky en général.

Xavier a écrit:

Vous oubliez Schéhérazade.2 de John Adams, très belle réussite, 47 minutes.

Moi, je n'oublierai jamais le remix légendaire de Philip Glass (3h56 !).

C'est vrai que c'est plutôt coul Schéhérazade. 2

Xavier a écrit:

Vous oubliez Schéhérazade.2 de John Adams, très belle réussite, 47 minutes.

Exact: j'avais bien aimé (alors que je n'avais pas du tout accroché à son premier concerto pour violon.)

Pour le coup,

Boris Alexandrovich Tchaikovsky (1925-1996)
Concerto pour violon (1969)
Viktor Pikaizen, violon
Orchestre Symphonique d'Odense
Edward Serov, direction

Un chef-d’œuvre évidemment, mais je saute quelques épisodes (snif) pour entendre ce que donnent les cuivres et malheureusement ça manque cruellement d'acier (et 'y a des fausses notes). Et puis le passage col legno qui suit est dans un tempo trop lent. J'ai l'impression que c'est Célibidache qui dirige, un peu hors à propos. Pardon Benedictus.

Ah oui, c'est bien meilleur. (l'Adams récent est meilleur en général je trouve)

Edit : La version Serov-Odense dure 42'32'' (le reste c'est l'applaudissement de Carl Nielsen) mais je pinaille hein. De toute façon c'est dix minutes de moins que le 2e de Tishchenko.

♫     Benjamin Britten, Le Prince des pagodes, Leonard Slatkin, BBC Symphony Orchestra. j'ai trouvé très évident le parallèle avec Markevitch fait par greg skywalker, je pense aussi à Rued Langgaard et sa Musique de sphères, et toutes ces curieuses musiques, étranges, qui ont l'air de venir du même ailleurs, mais on ne sait pas où...

Xavier a écrit:

Vous oubliez Schéhérazade.2 de John Adams, très belle réussite, 47 minutes.

Je n'ai pas oublié mais le compositeur ne considère pas comme un concerto pour violon, plutôt "symphonique dramatique" de la manière de Berlioz, c'est donc une musique qui conte une histoire.

Ludwig Thuille
Lieder

Voir ICI

Alberto Posadas : Liturgia fractal pour quatuor à cordes         2003-07 / Quatuor Diotima
 +
Ça, c'est quand même bien !