Playlist (142)

Penderecki: De natura sonoris II/Wit

Mozart: Requiem/Currentzis



Je découvre: grande version!

Byrd: Quelques pièces pour consort de violes/Phantasm
Ave verum/Hilliard ensemble

Encore une petite tentative pour faire aimer Havergal Brian,ce génie vraiment méconnu en France,ou bien simplement délaissé,et j'avoue que je ne comprends toujours pas pourquoi,je donnerais facilement sans hésiter, tout Vaughan Williams ,en échange pour savourer ,ce corpus incroyablement riche des 32 symphonies de Brian, parce qu'il m'apporte plus .Ainsi va la vie des mélomanes ,,et il y a des choses plus surprenantes, que ce mutisme à son propos,il y a des compositeurs qui ne prennent pas,on ne sait pourquoi, même dans leur propre pays? Pourtant chez Brian, ce n'est pas qu'il ne nous fournisse pas de la matière, 32 symphonies, c'est un corpus imposant, mais bien moins imposant, si l'on pense qu'on trouve facilement 2 ou 3 symphonies sur chaque disque de lui et fait remarquable chez lui, aucune symphonie n'est semblable dans sa durée, ça peut aller du simple au double et même au triple, ce qui dénote quand même une vigueur tenace et assez incroyable.Il fait des essais dans toutes les directions Moi qui fréquente depuis longtemps ce compositeur,je n'hésiterais pas à dire que je suis amoureux de ce compositeur,et il ne peut s'agir ,selon moi,que de passion ou de rejet avec ce compositeur, c'est le plus souvent tout ou rien.Dire que j'ai depuis longtemps,une secrète et formidable jubilation, à l'écoute de ses symphonies, va t'il faire pencher la balance, je ne le pense pas vraiment , dire que c'est un merveilleux orchestrateur, qui nous réserve toujours de très belles surprises, il est imprévisible ,dire qu'il a un style très particulier et même singulier,tout en restant tonal,dire que pour moi, il n'est pas particulièrement anglais mais universel,que plus on l'écoute, plus sa musique reste ancrée en nous et que souvent les jugements sur lui, manquent de vraie et longue cohabitation avec ce musicien merveilleux et aussi pourquoi, je m'emmerdrais à parler de lui, si je n'y croyais pas, je ne peux que citer, qu'une parole de l'évangile, croyez, vous serez récompensés. Quelques réflexions en vitesse à l'écoute de ce disque

Xavier a écrit:

Mozart: Requiem/Currentzis



Je découvre: grande version!

Ma chouchoute ! On ne fait pas plus vivant et urgent – le col legno dans le Dies iræ devrait ravir Benedictus !

Włodzimierz Kotoński : Muzyka kameralna na 21 instrumentów i perkusję (1958)
AUKSO (Marek Moś)

Włodzimierz Kotoński : Musique en relief, cykl 5 miniatur na 6 grup orkiestrowych (1959)
OSFN w Warszawie (Stanisław Wisłocki)

Włodzimierz Kotoński : Trio na flet, gitarę i perkusję (1960)
Gabriele Betti, Andrea Orsi, Daniele Sabatani

Włodzimierz Kotoński : Canto per complesso da camera (1961)
Internationales Kranichsteiner Kammerensemble (Bruno Maderna)

Włodzimierz Kotoński : Musica per fiati e timpani (1963)
OSFN w Warszawie (Witold Rowicki)

Włodzimierz Kotoński : Kwintet na instrumenty dęte (1964)
Den Norske Blåsekvintett Oslo

quel compositeur.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Mozart: Requiem/Currentzis

Je découvre: grande version!

Ma chouchoute !  On ne fait pas plus vivant et urgent – le col legno dans le Dies iræ devrait ravir Benedictus !

Oui, j'adore ce col legno! D'ailleurs, tiens, je viens de le remettre - quel dommage qu'il n'ait pas plutôt gravé une réduction pour orchestre à cordes!

Włodzimierz Kotoński : Pour quatre na klarnet, puzon, wiolonczelę i fortepian (1968)
London Sinfonietta

Włodzimierz Kotoński : Muzyka na 16 talerzy i smyczki (1969)
WOSPRiTV w Katowicach (Jerzy Maksymiuk)

Włodzimierz Kotoński : Harfa Eola na sopran i 4 instrumentalistów (1973)
Roswitha Trexler, soprano
Karlheinz Böttner, Hubert Rutkowski, Czesław Pałkowski, Bernd Dyckhoff

Nuits, Véronique Gens, I Giardini

Włodzimierz Kotoński : Etiuda na jedno uderzenie w talerz, muzyka konkretna (1959)
Włodzimierz Kotoński : Mikrostruktury na taśmę (1963)
Włodzimierz Kotoński : AELA na taśmę (1970)
Włodzimierz Kotoński : Les ailes na taśmę (1973)

Strauss, Die Frau ohne schatten, Acte I, live Vienne 25 mai 2019, Christian Thielemann, Orchester & Chor der Wiener Staatsoper, Stephen Gould, Camilla Nylund, Nina Stemme, Wolfgang Koch, Evelyn Herlitizus, etc.

Je profite de la parution sous le label Orfeo pour écouter ce live que j'avais loupé à l'époque sur France Musique lors de sa diffusion et qui n'avait pas été disponible en réécoute. Je n'avais pas vu non plus la production sur le site du Staatsoper.

• Verdi: Moc przeznaczenia:

Plinio Clabassi (Markiz), Maria Callas (Leonora), Carlo Tagliabue (Don Carlos), Richard Tucker (Don Alvaro), Rina Cavallari (Curra), Elena Nicolai (Preziosilla), Dario Caselli (Burmistrz), Nicola Rossi-Lemeni (Ojciec Gwardian), Renato Capecchi (Brat Melitone), Tullio Serafin / Orkiestra i Chór Teatr Skali z Mediolanu
Mediolan, VIII.1954
EMI

Libretto abrakadabrant, więcej niesamowita muzyka.

aurele a écrit:

Strauss, Die Frau ohne schatten, Acte I, live Vienne 25 mai 2019, Christian Thielemann, Orchester & Chor der Wiener Staatsoper, Stephen Gould, Camilla Nylund, Nina Stemme, Wolfgang Koch, Evelyn Herlitizus, etc.

Je profite de la parution sous le label Orfeo pour écouter ce live que j'avais loupé à l'époque sur France Musique lors de sa diffusion et qui n'avait pas été disponible en réécoute. Je n'avais pas vu non plus la production sur le site du Staatsoper.

C'était visible gratuitement sur leur site jusqu'à hier, j'ai fini l'acte 3 hier soir d'ailleurs.

Wagner : Tannhauser Acte II (Solti)

Une fin d'acte splendide (oeuvre et version).

KHACHATURIAN
Concerto pour violoncelle et orchestre
**
André Navarra – Pierre Dervaux

BALAKIREV
Concerto pour piano n° 1
***
Howard Shelley – Vassily Sinaisky

Ravel: La Valse/Roth

Schoenberg: Notturno pour harpe, violon et orchestre à cordes (1896)/Blunier



6 lieder avec orchestre opus 8/Uhl, Blunier

Sergueï Prokofiev : Sonate n°7 pour piano        1942 / Volodin
 +

Mozart (arr. Lichtenthal) - Requiem - Pandolfis Consort

C'est un arrangement pour consort de violes?

Non c'est un quatuor, sur instruments anciens, mais un quatuor quand même.

Ah, oui, d'ailleurs, Lichtenthal, ça doit être le même arrangement que celui enregistré par la Quatuor Debussy (que j'avais beaucoup aimé.)

Benedictus a écrit:

Ah, oui, d'ailleurs, Lichtenthal, ça doit être le même arrangement que celui enregistré par la Quatuor Debussy (que j'avais beaucoup aimé.)

C'est ça, je crois que je préfère celle des Debussy (mais c'est ma première écoute de celle-ci).

Andrzej Dobrowolski : Muzyka na taśmę magnetofonową nr 1 (1962)
Eugeniuz Rudnik, réalisation

Andrzej Dobrowolski : Muzyka na orkiestrę smyczkową i 4 grupy instrumentów dętych (1964)
NOSPR w Katowicach (Wojciech Michniewski)

Andrzej Dobrowolski : Muzyka na taśmę magnetofonową i obój solo (1965)
Janusz Banaszek, hautbois
Eugeniusz Rudnik, réalisation

Andrzej Dobrowolski : Muzyka na smyczki, 2 grupy instrumentów dętych i 2 głośniki (1966–67)
OPR w Warszawie (Monika Wolińska)

Andrzej Dobrowolski : Muzyka na taśmę magnetofonową i fortepian solo (1971–72)
Zygmunt Krauze, piano
Eugeniusz Rudnik, réalisation

mabuse a écrit:

Spoiler:

Est-ce que tu connais ça, Mélo ?

Non, c'est un des rares albums de la série Great Conductors que je n'ai pas en stock.

Robert Schumann (1810-1856)
• Six études en forme de canon pour piano à pédalier, Op. 56
(arrangement pour 2 pianos de Debussy)

Eric Le Sage & Frank Braley, pianos

------------
Claude Debussy (1862-1918)
• Études, Livre II, L. 136: VII à XII

Nelson Goerner, piano

Gustav Mahler (1860-1911) :

Symphonie n°2 en ut mineur

-IV. Urlicht

= Christa Ludwig, mezzo-soprano ; Leonard Bernstein, Orchestre philharmonique de New York

(DG, avril 1987)

BEETHOVEN

Symphonie n° 5
*****
Symphonie n° 7
****
Karajan 62

aurele a écrit:

Strauss, Die Frau ohne schatten, Acte I, live Vienne 25 mai 2019, Christian Thielemann, Orchester & Chor der Wiener Staatsoper, Stephen Gould, Camilla Nylund, Nina Stemme, Wolfgang Koch, Evelyn Herlitizus, etc.

Je profite de la parution sous le label Orfeo pour écouter ce live que j'avais loupé à l'époque sur France Musique lors de sa diffusion et qui n'avait pas été disponible en réécoute. Je n'avais pas vu non plus la production sur le site du Staatsoper.

Je regarde le 1er acte sur le site du Staatsoper : https://www.staatsoperlive.com/event/0/3a92fdb7-ad06-44db-8f68-a51f706655e6/watch (vidéo disponible jusqu'à demain je crois)

Orchestre superbe, mise en scène sommaire de Vincent Huguet.

Mélomaniac a écrit:

Gustav Mahler (1860-1911) :

Symphonie n°2 en ut mineur

-IV. Urlicht

= Christa Ludwig, mezzo-soprano ; Leonard Bernstein, Orchestre philharmonique de New York

(DG, avril 1987)

mickt a écrit:

aurele a écrit:

Strauss, Die Frau ohne schatten, Acte I, live Vienne 25 mai 2019, Christian Thielemann, Orchester & Chor der Wiener Staatsoper, Stephen Gould, Camilla Nylund, Nina Stemme, Wolfgang Koch, Evelyn Herlitizus, etc.

Je profite de la parution sous le label Orfeo pour écouter ce live que j'avais loupé à l'époque sur France Musique lors de sa diffusion et qui n'avait pas été disponible en réécoute. Je n'avais pas vu non plus la production sur le site du Staatsoper.

Je regarde le 1er acte sur le site du Staatsoper : https://www.staatsoperlive.com/event/0/3a92fdb7-ad06-44db-8f68-a51f706655e6/watch (vidéo disponible jusqu'à demain je crois)

Orchestre superbe, mise en scène sommaire de Vincent Huguet.

Ah, c'est encore en ligne!

J'ai été un peu déçu par la mollesse de Thielemann au I, et l'orchestre n'est pas toujours si irréprochable. (1er solo de violon décalé lors de l'entrée de l'Impératrice, par exemple)

Sinon, très belle distribution, belle représentation.
La mise en scène est simple mais pas mal.

Xavier a écrit:

mickt a écrit:

aurele a écrit:

Strauss, Die Frau ohne schatten, Acte I, live Vienne 25 mai 2019, Christian Thielemann, Orchester & Chor der Wiener Staatsoper, Stephen Gould, Camilla Nylund, Nina Stemme, Wolfgang Koch, Evelyn Herlitizus, etc.

Je profite de la parution sous le label Orfeo pour écouter ce live que j'avais loupé à l'époque sur France Musique lors de sa diffusion et qui n'avait pas été disponible en réécoute. Je n'avais pas vu non plus la production sur le site du Staatsoper.

Je regarde le 1er acte sur le site du Staatsoper : https://www.staatsoperlive.com/event/0/3a92fdb7-ad06-44db-8f68-a51f706655e6/watch (vidéo disponible jusqu'à demain je crois)

Orchestre superbe, mise en scène sommaire de Vincent Huguet.

Ah, c'est encore en ligne!

J'ai été un peu déçu par la mollesse de Thielemann au I, et l'orchestre n'est pas toujours si irréprochable. (1er solo de violon décalé lors de l'entrée de l'Impératrice, par exemple)

Sinon, très belle distribution, belle représentation.
La mise en scène est simple mais pas mal.

Les vidéos de Vienne sont disponibles 72h il me semble (ça devient vraiment dur de tout suivre). Justement j'aime bien le côté pas du tout tonitruant et assez tranquille de Thielemann. L'impression que tout respire, toutes les lignes se détachent et vivent leur petite vie. (je commence le 2e acte)

Beethoven : Quatuor n°16 (Belcea)

Après les grandioses 14 et 15, il m'a toujours paru déroutant cet ultime quatuor...

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven : Quatuor n°16 (Belcea)

Après les grandioses 14 et 15, il m'a toujours paru déroutant cet ultime quatuor...

J'ai réussi à me glisser dans à peu près tous à force d'écoutes, de concerts, de suivi de partition… Le Seizième m'échappe toujours totalement.

Brahms : 2e concerto pour piano, Gutiérrez/Previn/RPO

Prokofiev : 2e concerto pour piano, Gutiérrez/Järvi/Amsterdam

Versions exceptionnelles. J'aime particulièrement l'attention que Gutiérrez porte aux nuances et à l'articulation. Son toucher est charnu, précis, pas inutilement percussif. Le Prokofiev est d'une étrangeté qui fascine. Le Brahms est porté par une respiration libre et ininterrompue, grâce à l'excellente entente entre chef et soliste.

Escaich: Psalmos/Langrée

Horatio:


Henze: Nachtstücke und Arien/Barainsky, Stenz

aussi à Horatio!

Xavier a écrit:

Henze: Nachtstücke und Arien/Barainsky, Stenz

Aujourd’hui:

• Mozart: Requiem, KV 626:

Simone Kermes (soprano), Stéphanie Houtzeel (alto), Markus Brutscher (ténor), Arnaud Richard (basse), Teodor Currentzis / MusicAeterna, The New Siberian Singers / Vyacheslav Podyelsky
Novosibirsk, II.2010
Alpha

Effectivement conforme à mon souvenir: intéressant mais agaçant. Voir ici.

• Patrick OZZARD-LOWE: Sonate pour piano nº2 (1996-2007):

Andrew Zolinsky (piano)
Londres, XI.2017
Kairos

J’ai spontanément beaucoup aimé cette œuvre dont le langage semble suivre délibérément une espèce de mouvement involutif depuis Barraqué vers une tonalité «ouverte» post-debussyste (mais sans clore le mouvement ni sonner «néo.») Voir ici.

Mes salutations, ô maîtres de ces lieux  

De Falla : Les Nuits dans les jardins d'Espagne, Larrocha/Dutoit

Mahler : Symphonie n°6 - Tokyo NHK symphony orchestra, Paavo Järvi (2020 - ⓔ2017)



Oui il sort pas mal de disques Mahler comme de Paavo Järvi. Si les récentes parutions de Järvi avec le NHK d’œuvres déjà sur-représentées au catalogue ne se détachent pas particulièrement, (et peuvent même laisser circonspect à l’écoute du récent Bartók dont j’avais parlé et qui est ratage total) celui-ci est à marquer d’une pierre blanche et se détache de tous ces disques d'artistes installés qui sortent par exemple sur les labels d'orchestre.

La prise de son est exceptionnelle : aérée, extrêmement détaillée dans un parfait équilibre. Les cordes sont tranchantes, ça frotte, les cuivres impressionnants sans envahir l’espace (la classe de ces trombones !), les instruments tels que la harpe, celesta, glockenspiel, détaillés.
Sans se placer sur le champ de l’innovation comme certains de ses contemporains et dans un parti-pris sans doute plus tradi, Järvi propose une lecture très narrative, toujours tendue. Tout s’enchaîne magnifiquement, il y a une vision d’ensemble et non pas une sorte de passage au crible par épisode. Après il y manque parfois non pas un supplément d’âme car il y a beaucoup d’investissement interprétatif ici, mais un petit plus. On voudrait certaines ruptures plus désespérées comme dans le climax du mouvement lent (placé en 3è comme il sied àmha ), et plus de folie dans le final. Bon je ne connais pas mon Mahler comme Benedictus, Mélo ou d’êtres ici, mais c'est pour moi une grande version de cette 6ème (œuvre où très peu de versions emportent mon adhésion).

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https://classik.forumactif.com/viewtopic.php?t=9368