Playlist (145)

Beethoven : Symphonie n°4 (Rattle Berlin)

Sibelius : Symphonie n°6 (Berglund)
Mahler : Symphonie n°2 "Résurrection" (Bernstein)

Nielsen - Symphonie n°3

Sibelius: En Saga, Lemminkaïnnen Mikko Franck

Cololi a écrit:

Mahler : Symphonie n°2 "Résurrection" (Bernstein)

La bande-son idéale d'une partie de golf ratée.

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

Mahler : Symphonie n°2 "Résurrection" (Bernstein)

La bande-son idéale d'une partie de golf ratée.

Scriabine: Prométhée/Aimard, Nelsons (sur Mezzo)

 

Version très lente mais pas mal.

Messiaen - Vingt regards sur l'Enfant-Jésus

L. v. Beethoven
* Quatuor op. 131 en Do # mineur
+ Quatuor op. 132
Quartetto Italiano
2 CD Philips, 1962/1966 // 1996

Joaquín Rodrigo (1901-1999) :

Fantasía para un gentilhombre

= Narciso Yepes, guitare ; Odón Alonso, Orchestre symphonique de la Radio-Télévision espagnole

(DG, mai 1969)

L. v. Beethoven
Ouvertures
* Egmont
* Les Ruines d'Athènes
* Fidelio
* Leonore III
+ Coriolan, Prométhée, Leonore I
Orchestre Symphonique de Bamberg
Eugen Jochum
1 CD RCA 'Classical Navigator', 1985 // 1994

Scriabine: Prométhée/Inbal

 

Schulhoff: Landschaften, Menschheit/Soffel, Albrecht

Franz Schubert
* Die Schöne Müllerin
+ Ständchen + Der Musensohn
Fritz Wunderlich, ténor
Rolf Reinhardt, piano (1957)
1 CD RCA 'Classical Navigator', 1995

Debussy: Nocturnes/Barbirolli, orchestre de Paris

Version catastrophique avec un méga-décalage dans Fêtes.
C'est un enregistrement studio??

Jean Sibelius
* Le Cygne de Tuonela
* La Fille de Pohjola
* Les Océanides
* Tapiola
+ Finlandia
Orchestre National d'Écosse
Sir Alexander Gibson
1 CD Chandos 'Collect Series', 1977 // 1990

Charpentier : Messe à quatre chœurs et œuvres de Cavalli (Magnificat à 8), Beretta... - Ensembles Correspondances, Sébastien Daucé



Très beau disque où les larges effectifs ne nous privent pas du détail et de la souplesse. On est dans l'élan musical et pas dans le massif. Cette belle Messe à 16 ne figure pas parmi mes œuvres préférées de Charpentier. En revanche ce que je retiens de ce disque est surtout une rareté, la Missa mirabiles à seize voix de Francesco Beretta, que j'ai trouvé géniale.

L.van Beethoven
$ Sonate N°15 en ré majeur-1801
$ Sonate N°31 en la bémol majeur-1821

Stephen Kovacevich

Label EMI

Arcangelo Corelli
* Concerto Grosso op. 6 no. 8 'Concerto de Noël'
The English Concert
Trevor Pinnock
1 CD Archiv, 1988

Scriabine : Poème de l'Extase (Ashkenazy)

Quelle merveille...

C'est rigolo Easley BlackWood est un nom que je connaissais très bien, mais pas dans le domaine de la musique . En fait, Easley BlackWood (le musicien) est le fils d'Easley BlackWood (le champion de bridge, qui a laissé son nom à la convention la plus mondialement utilisée du bridge moderne).

Xavier a écrit:

Debussy: Nocturnes/Barbirolli, orchestre de Paris

Version catastrophique avec un méga-décalage dans Fêtes.
C'est un enregistrement studio??

C'est sûr que Sir John n'est pas le summum du rythmicien intransigeant  
Sa version de La Mer, sur le même disque, est une de mes préférées : tellement suggestive, un brin mélancolique.

Turina sonates pour violon et piano, El poema de una sanluquena Clara Cernat, Thierry Huillet

Scriabine : Prométhée (Ashkenazy)

Jean Sibelius
* Concerto op. 47
Carl Nielsen
* Concerto op. 33
Maxim Vengerov, violon
Chicago Symphony Orchestra
Daniel Barenboim
1 CD Teldec, 1996

Bartok: Le Prince de bois/I.Fischer (avec chorégraphie, sur Mezzo)

Ligeti : Études (Biret)

Iskender a écrit:

Charpentier : Messe à quatre chœurs et œuvres de Cavalli (Magnificat à 8), Beretta... - Ensembles Correspondances, Sébastien Daucé



Très beau disque où les larges effectifs ne nous privent pas du détail et de la souplesse. On est dans l'élan musical et pas dans le massif. Cette belle Messe à 16 ne figure pas parmi mes œuvres préférées de Charpentier. En revanche ce que je retiens de ce disque est surtout une rareté, la Missa mirabiles à seize voix de Francesco Beretta, que j'ai trouvé géniale.

En salle, j'avais été frustré par le Charpentier, déjà pas sa meilleure œuvre, qui ne dansait pas du tout, du Daucé très contemplatif, presque immobile. En revanche les œuvres des principautés italiennes recelaient des merveilles inédites, dont Beretta en effet, un grand coup !

Complètement fasciné par le Sextuor pour piano et cordes de Weingartner. Un lyrisme extraordinaire.

(avec Oliver Triendl évidemment)

Takemitsu – Bryce, Toward the Sea I… – Aitken (Naxos)

Un des meilleurs disques Takemitsu.

Henry Cowell : Concerto n° 1 pour koto et orchestre (1963) - Kimio Eto, Philadelphia Orchestra, Leopold Stokowski, décembre 1964 : /watch?v=0ri-59PI_sw

DavidLeMarrec a écrit:

Complètement fasciné par le Sextuor pour piano et cordes de Weingartner. Un lyrisme extraordinaire.

(avec Oliver Triendl évidemment)

Je découvre, c'est magnifique ! L'octuor sur le même disque est loin d'être révoltant aussi. Les bouffées héroiques de l'Allegro initial, les épanchements torrentiels vers la fin de l'Andante, cela me touche beaucoup.

(Je continue d'écouter beaucoup de choses et espère pouvoir partager un jour prochain, mais hélas, ma Saison en Enfer flirte avec le Prélude à l'éternité. Disons, Pavel Haas compositeur, c'est formidable. Symphonie étrange mais stimulante, Fata Morgana est un chef d'œuvre, hanté par le thème du second quatuor et des Tři čínské písně, op. 4.)

Rameau : Hippolyte et Aricie / Minkowski / Fouchécourt / Gens

Szymanowski oeuvres pour violon et piano Ulf Hoelscher, Michel Béroff

Bartok : Le Prince de Bois (Dorati)

DavidLeMarrec a écrit:

Un des meilleurs disques Takemitsu.

Ah oui ! Il est superbe celui-là.
Je l'avais sélectionné parmi tes propositions dans le sujet Takemitsu. Un conseil plus qu'excellent
Bryce

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Koechlin : Sonate pour piano et alto (Pesthy & Chou)

Debussy: Prélude à l'après-midi d'un faune/Heras-Casado, Les Siècles



Debussy: Ibéria/Heras-Casado, Les Siècles



(concert sur Mezzo)

Johannes Brahms
* Symphonie no. 4
* Variations sur un thème de Haydn
Staatskapelle Dresden
Kurt Sanderling
1 CD RCA ' Classical Navigator', 1974 // 1995



Deux oeuvres magnifiques par un orchestre de premier plan.

Mohirei a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Un des meilleurs disques Takemitsu.

Ah oui ! Il est superbe celui-là.
Je l'avais sélectionné parmi tes propositions dans le sujet Takemitsu. Un conseil plus qu'excellent
Bryce

Ravi que ça t'ait plu ! La plus belle version de Toward the Sea (I), également !

Ravélavélo a écrit:

Johannes Brahms
* Symphonie no. 4
* Variations sur un thème de Haydn
Staatskapelle Dresden
Kurt Sanderling
1 CD RCA ' Classical Navigator', 1974 // 1995



Deux oeuvres magnifiques par un orchestre de premier plan.

Oh oui ! Quelle fermeté de geste, quelle aération de la captation aussi ! (Pour des sommets de l'histoire de la musique, en effet.)

Arenski, Chostakovitch, Mendelssohn – Trios n°1 – Trio Zeliha (Mirare)
→ Trois chefs-d'œuvre ultimes, dont le rare Arenski, d'où émane une générosité thématique russe au carré, à la façon de ce que fait Kalinnikov dans la symphonie. La structure et l'harmonie ne sont pas aussi inventives que chez Tchaïkovski, mais l'expansivité mélodique y est réellement comparable. L'étonnant Chostakovitch de jeunesse demeure tout aussi grisant par ses poussées de sève à la fois conquérantes et désolées. Quant au sommet de sombre fièvre que constitue le trio de Mendelssohn, on l'aura peu souvent entendu aussi généreux et lisible.
→ Dans un son pur à la française, le Trio Zeliha se distingue, pour chaque pupitre, par une netteté, un charisme, un abandon absolument hors du commun, du diamant soyeux… Ce n'est ni très russe, ni très allemand, mais le discours de chaque pièce semble porté à son point d'ébullition, là où la musique nous renverse par delà les styles – avec une sobriété d'exécution qui leur fait honneur, a fortiori à leur âge, dans un répertoire qui appelle facilement l'emphase.
→ Je les ai entendus jouer ce programme en salle, une des grandes expériences de ma vie de mélomane. Je n'ai tout simplement jamais entendu un trio, en plus de son grand élan collectif, qui soit à ce point à un tel niveau individuel (Galy, Quennesson, Gonzales Buajasan) dans chaque partie. Rare d'avoir une violoniste aussi intouchable techniquement, un violoncelliste avec un tel grain, un pianiste à ce point souple dans les nuances et intégré au discours… Ma crainte est donc que les offres avantageuses d'une carrière soliste ne finissent bientôt par les séparer.

Beretta, Merula, Cazzatti, Giambelli, Benevolo, Cavalli, Charpentier – Messes à chœurs multiples – Correspondances, Daucé (HM)

→ Il manque hélas les deux plus belles pièces de la tournée de concerts (de Legrenzi, évidemment), mais pour le reste, ce tour de la moitié Nord de l'Italie autour des messes et motets à chœurs multiples est un enchantement : découverte de traitements variés, du plus hiératique (Cavalli évidemment, toujours le dernier de la classe celui-là) aux irisations de Beretta. Rarissime, passionnant, très convaincant.

→ Le résultat semble avoir beaucoup mûri depuis les concerts de 2017 (entendu pour ma part dans l'acoustique peu favorable de la Seine Musicale) : j'avais été frustré par le choix de Daucé de magnifier les coloris au détriment de la danse dans ce Charpentier (qui n'est déjà le meilleur de son auteur en termes d'audace et de personnalité)… alors qu'ici, avec encore plus de chatoyances (infinies, réellement), l'impression de mobilité n'est jamais prise en défaut. Grand disque, même pour la version du Charpentier.

Adams : Absolute Jest (2012) - Doric SQ, Royal Scottish National Orch., Peter Oundjian



www.deezer.com/fr/album/61642982

DavidLeMarrec a écrit:

Il manque hélas les deux plus belles pièces de la tournée de concerts (de Legrenzi, évidemment)

J'étais justement ce soir en train de regarder sur la toile le concert de plus de 2 h filmé lors de l'étape au festival d'Oudemuziek aux Pays-bas. On peut du coup entendre le programme complet (je suppose).

DavidLeMarrec a écrit:

Ce tour de la moitié Nord de l'Italie autour des messes et motets à chœurs multiples est un enchantement : découverte de traitements variés, du plus hiératique (Cavalli évidemment, toujours le dernier de la classe celui-là) aux irisations de Beretta. Rarissime, passionnant, très convaincant.

Je ne connais pas ce répertoire comme toi, loin s'en faut. Mais j'adore ces œuvres polychorales de l'école romaine. Et en effet je te rejoins, le fameux Magnificat de Cavalli m'a laissé une impression totalement neutre, alors que comme je l'ai dit plus haut j'ai été conquis par la Missa mirabiles de Beretta; j'y suis retourné plusieurs fois cette semaine. À noter que la pièce de Benevolo présente sur ce disque est un extrait de la fameuse Missa si deus pro nobis, qu'Hervé Niquet a enregistrée il y a deux ans et qui dans le genre est un truc de dingue que j'écoute régulièrement.

Aribert Reimann : Requiem (1982).  Varady, Dernesch, DFD / RIAS (Gerd Albrecht)
Volker David Kirchner : Requiem (1988).  Bayo, Vermillion, von Halem / Riga, Hamburg (Gerd Albrecht)

Chostakovitch, symphonie 8, Semyon Bychkov, Berliner Philarmoniker

@ Iskender :

J'ai mis notre conversation (et ma réponse) dans le fil adéquat : https://classik.forumactif.com/t8834-musique-polychorale-du-xviie-siecle-rome-italie-france .