Playlist (152)

W. A. Mozart
* Symphonie no.29 K.201
Royal Concertgebouw d'Amsterdam
Josef Krips (Philips)

Dukas: L'Apprenti sorcier/Herrmann



Debussy: Khamma/Holliger

+

Koechlin: Sur les flots lointains/Holliger



Fauré/Koechlin: Pelléas et Mélisande/Holliger

+

Madetoja: Mélodies/Juntunen

+

Gilse: Symphonie n°2/Porcelijn

+

Gilse: Symphonie n°3/Porcelijn

+

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 8 en do mineur Op. 65 (1943)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1961

Bach : Concerto Brandebourgeois n°4 (Café Zimmermann)
Bartok : Concerto pour piano n°2 (Kocsis/Fischer)
Bach : Suite Française n°5 (Gould)

Edison Denisov : Concerto pour violoncelle (1972)
Karine Georgian / Philharmonique de Moscou (Dmitri Kitaenko)

Edison Denisov : Concerto pour piano (1974)
Günter Philipp / RSO Leipzig (Wolf-Dieter Hauschild)

Alexandre Scriabine
* Préludes op.11
Frédéric Chopin
* Préludes op.28
Igor Zhukov, piano (MEL)

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.6
Andris Nelsons / Boston Symphony Orchestra (DG)

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 12 "1917" en ré mineur Op. 112 (1961)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1972

Probablement le maillon faible de ce corpus symphonique.

Анастасия231 a écrit:

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 8 en do mineur Op. 65 (1943)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1961

   

Анастасия231 a écrit:

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 12 "1917" en ré mineur Op. 112 (1961)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1972

Probablement le maillon faible de ce corpus symphonique.

Oui, ça n'est pas réjouissant...

arnaud bellemontagne a écrit:

Анастасия231 a écrit:

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 12 "1917" en ré mineur Op. 112 (1961)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1972
Probablement le maillon faible de ce corpus symphonique.

Oui, ça n'est pas réjouissant...

Honnêtement, c'est loin d'être celle qui me déplaît le plus (c'est probablement la 15), ni celle que je trouve la plus mal fichue structurellement (pour moi, ce serait plutôt la 6), et si je vois bien les critères «objectifs» qui peuvent fonder ce jugement, je ne l'écoute pas forcément avec plus de déplaisir que certaines des plus cotées (4, 5, 8, 9, 10 par exemple.)
J'ai surtout l'impression que la 12, c'est un peu une version ratée de la 11 (que j'aime beaucoup) - un peu comme ce qui se passe avec la 2 et la 3, en fait.

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Анастасия231 a écrit:

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 12 "1917" en ré mineur Op. 112 (1961)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1972
Probablement le maillon faible de ce corpus symphonique.

Oui, ça n'est pas réjouissant...

Honnêtement, c'est loin d'être celle qui me déplaît le plus (c'est probablement la 15), ni celle que je trouve la plus mal fichue structurellement (pour moi, ce serait plutôt la 6), et si je vois bien les critères «objectifs» qui peuvent fonder ce jugement, je ne l'écoute pas forcément avec plus de déplaisir que certaines des plus cotées (4, 5, 8, 9, 10 par exemple.)
J'ai surtout l'impression que la 12, c'est un peu une version ratée de la 11 (que j'aime beaucoup) - un peu comme ce qui se passe avec la 2 et la 3, en fait.

Personnellement, j'aime bien la 15e ; elle préfigure le Schnittke tardif et ses pseudo-citations de la 4e sont assez touchantes. Par ailleurs, j'ai toujours eu du plaisir à écouter la 6e ; une symphonie sans premier mouvement 'fallait le faire hein et puis elle est moins embêtante que la 7e niveau tunnels interminables... Cependant, je suis parfaitement du même avis à propos des symphonies "expérimentales" de jeunesse et "de propagande" plus tardives.

Brahms : Symphonie n°1 - Swedish chamber orchestra, Thomas Dausgaard [Bis, 2022]

Très bien.  Version décantée, aux tempi enlevés et hyper lisible, mais pas minimaliste pour autant. Il y a la matière sonore nécessaire pour Brahms, l'épaisseur même dans le bon sens du terme, et un véritable souffle dans la lecture d'ensemble. Et pour comparer ce qui est comparable, moins de maniérisme et d'effets que chez P.Järvi/Brême. Je trouve ça très réussi, dans un très bon compromis "dépoussiérage" / tradi. Il y a un beau son d'ensemble des vents vraiment travaillé, avec ses cuivres très "orgue", particulièrement remarquables dans une coda qui vaut son pesant de sesterces.

Bach : Suite Française n°6 (Gould)
Bartok : Concerto pour piano n°3 (Kocsis/Fischer)
Bach : Concerto Brandebourgeois n°5 (Café Zimmermann)

van Gilse, Symphonie n°3 - Porcelijn
Sibelius, Tapiola - Blomstedt

DavidLeMarrec a écrit:

Tu devrais vraiment essayer la Sérénade pour ténor, cor et cordes, ça me paraît tellement calibré pour toi !

Oh la Sérénade ! A écouter évidemment.
Je l'avais oubliée !
Dutilleux : Métaboles. 1964.
Toujours par un service de streaming suédois., Orchestre de Seattle, Ludovic Morlot, 2015. Il y a un orchestre à Seattle ? assez bon pour faire des disques ?
Oui, apparemment. J'ai l'impression que les américains comprennent très bien cette musique énergique, ponctuée et syncopée.
ça nous change des œufs en gelée debussièstes !

Dutilleux : L'Arbre des Songes.1985
                     : Symphonie N° 2. 1959
des mêmes.

Image contractuelle.
Cela m'a bien fait envie. Merci M. LeMarrec.
Britten : Sérénade pour ténor, cor & cordes. 1943
C'est délicat, émouvant, moderne et classieux.
Encore meilleur que dans mon souvenir.
Et le morceau final, solo de cors éloignés qui fait écho à l'ouverture plus frontale, est une merveille.

Prokofiev: Alexandre Nevsky/Bychkov



Herrmann: Moby Dick, Sinfonietta/Schonwandt

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.6
Fritz Reiner / Pittsburg (Sony/Columbia Masterworks, 1945)

+

Quelques surchauffes sonores dans les moments forts du premier mouvement (idem dans les deux autres).

tod a écrit:

Il y a un orchestre à Seattle ? assez bon pour faire des disques ?

Mais oui. Seattle ce n'est pas un village de pêcheurs du Nunavut Bel orchestre; j'ai beaucoup aimé ce que j'ai entendu de leur intégrale Nielsen enregistrée live avec Dausgaard. (et j'ai déjà écouté certains Dutilleux avec Morlot)

Mosolov, Concerto pour piano n°1 - Schleiermacher / Kalitzke
Je découvre et j'adore

Thomas Larcher (*1963) : Symphonie nº 2 Kenotaph (2015–16)
BBC Symphony Orchestra (Semyon Bychkov)

évidemment j’ai détesté ce néo-symphonisme (timidement) bruyant et saccadé sans contenu... c’est con, pour une fois que le forum s’éprend tout d’un coup d’un compositeur contemporain que je connais depuis 2015...

"bruyant et saccadé"...c'est mon genre de beauté.

Faudra essayer...

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Prokofiev : Concerto pour piano n°2 (Toradze/Gergiev)

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 15 en la majeur Op. 141 (1971)
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1974



Je ne sais pourquoi mais plus le temps passe et plus j'aime cette symphonie. Étonnant, non ?

arnaud bellemontagne a écrit:

"bruyant et saccadé"...c'est mon genre de beauté.

Faudra essayer...  

Du coup, il vaudrait mieux tenter Gradations de Volodymyr Zagortsev. Là c'est vraiment bruyant et saccadé, qui plus est avec un contenu sonore (avant-garde ukraïnienne oblige) bien plus consistant.

• Thomas Larcher: Symphonie n°2 «Kenotaph» (2015-16):

Hannu Lintu / Orchestre Symphonique de la Radio Finlandaise
En public, Helsinki, I.2019
Ondine

Écouté deux fois. Contrairement à lulu, je n’ai pas détesté, au contraire, ça passe vraiment bien à une première écouté distraite (même si ça m’en a touché une sans faire bouger l’autre outre mesure): ça semble très bien ficelé, on sent que ça brasse et ça recycle beaucoup de choses, on se dit que ça doit produire un effet certain en salle (en tout cas, ça semble écrit pour ça.) Mais à une réécoute plus attentive, l’œuvre m’a plutôt ennuyé, malgré - ou à cause de? - son côté vibrionnant, ses petites agaceries modernistes et la ribambelle des citations: au total, ça m’a paru manquer un peu de fond (sans mauvais jeux de mots sur le contexte.)

• Reger: Fantaisie et Fugue en ré mineur, op. 135b / Schmidt: Quatre Petits Préludes de chorals / J.N. David: Choralwerk VIII «Es sungen drei Engel ein’ süßen Gesang», Concert spirituel en trois mouvements:

Roman Summereder (orgue Mahrenholz-Furtwängler, 1925/27, de la St. Marienkirche, Göttingen)
Göttingen, IX.2004
Ambiente

Ça, c’est du sur-mesure pour moi! Merci à Mefistofele pour la découverte.

Chostakovitch, Symphonie n°4 - Barshai

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 14 pour soprano, basse, orchestre à cordes et percussion Op. 135 (1969)
Iévguénia Tselovalnik, soprano
Iévguéni Nesterenko, basse
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1974

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no.5
New York Philharmonic
Dimitri Mitropoulos (1953)



Un enregistrement historique comme celui de Reiner, (les deux sur le même CD).
Prise sonore ici mieux réussie que Reiner.
Les pizzicati du deuxième mouvement sont superbes, très précis et très incisifs, la rythmique énergique et plutôt rapide.

Frédéric Chopin
* Andante Spianato et Grande Polonaise op.22
Idil Biret, piano (Naxos)

Анастасия231 a écrit:

Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 14 pour soprano, basse, orchestre à cordes et percussion Op. 135 (1969)
Iévguénia Tselovalnik, soprano
Iévguéni Nesterenko, basse
Orchestre Philharmonique de Moscou
Kirill Kondrachine
Studio Melodiya 1974

La version Haitink vaut également le détour.

... Mais la version Rostropovitch mérite le voyage:

est-ce que vous pensez vraiment apprendre quelque chose à Nastia sur les versions de la Quatorzième ?

Non, pas à Nastia, à Arnaud. ( Arnaud.)

(Cela dit, Haitink reste une version à écouter, ne serait-ce que pour les textes chantés dans leurs langues originales par DFD et en esperanto par son épouse.)

Je suis là pour apprendre.

Mais si tu arrives à trouver Rostro, fonce dessus: c'est vraiment une version d'une intensité folle - notamment parce que ça gagne énormément, je trouve, à être entendu par des chanteurs qui chantent dans leur langue.

Benedictus a écrit:

Écouté deux fois. Contrairement à lulu, je n’ai pas détesté, au contraire, ça passe vraiment bien à une première écouté distraite (même si ça m’en a touché une sans faire bouger l’autre outre mesure): ça semble très bien ficelé, on sent que ça brasse et ça recycle beaucoup de choses, on se dit que ça doit produire un effet certain en salle (en tout cas, ça semble écrit pour ça.) Mais à une réécoute plus attentive, l’œuvre m’a plutôt ennuyé, malgré - ou à cause de? - son côté vibrionnant, ses petites agaceries modernistes et la ribambelle des citations: au total, ça m’a paru manquer un peu de fond (sans mauvais jeux de mots sur le contexte.)

Oui, c'est très rhapsodique apparemment, un côté zapping même, mais j'ai trouvé ça extrêmement convaincant pour une écoute en situation réelle. Dans l'absolu, oui, je n'irais pas écouter ça régulièrement au disque.

En revanche, si ça repasse en concert dans deux semaines, j'y vais !

Serge Prokofiev
* Symphonie no.1 'Classique'
Jean Martinon / Radio Luxembourg

• Pachelbel: Hexachordum Apollinis:

Jürgen Essl (orgue Johann-David-Sieber, 1714, de la Michaelerkirche, Vienne)
Vienne, IV.2010
CPO

Un recueil de 6 airs variésqui se révèle une petite merveille! Voir ici.

• Britten: Sérénade pour ténor, cor et cordes, op. 31. Nocturne, op. 60, pour ténor, 7 instruments obligato et cordes:

Martyn Hill (ténor), Frank Lloyd (cor), Richard Hickox / City of London Sinfonia
Kilburn, V.1988
Virgin Classics

Belles retrouvailles avec ces superbes versions. Voir ici.

Antonio Vivaldi
* 12 Concertos op.3 'L'estro armonico'
Fabio Biondi / Europa Galante (Virgin Veritas)

+

Benedictus a écrit:

Mais si tu arrives à trouver Rostro, fonce dessus: c'est vraiment une version d'une intensité folle - notamment parce que ça gagne énormément, je trouve, à être entendu par des chanteurs qui chantent dans leur langue.

Enregistré.

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Nielsen : Symphonie n°1 (Oramo)

A.Merikanto: Symphonies n°1 et 2/Sakari

et

A.Merikanto: Ekho/Komsi, Sakari



Messiaen: Poèmes pour Mi/Daviet, Nagano

+

Sibelius orch.Rautavaara: Die Stille Stadt/Finley, Gardner

Penderecki, Suite pour violoncelle - Noras

Miharu Ogura : "Pierrot's Eyes" pour violoncelle et orchestre à cordes (2ème Prix)
Leo Brauneiss : "Nocturne" pour violon et orchestre à cordes
Federico Ermirio : "Petali" pour violon et orchestre à cordes
Christopher Rozè : "Slide..."
Hannah Lipton : "Galaxy Pond" pour piano et orchestre à cordes
Jeremy Beck : "Elegy" pour piano et orchestre à cordes
Molly Frances Arnuk : "Flight to Trebinje" pour violon et orchestre à cordes
Stephen Yip : "In Silent Way"
Andrea Tarantino : "Primeval Chaos"
Carlos Nunez Medina : "Gravity" (3ème Prix)
Robert Ge : "The Light that breaks through" pour piano et orchestre à cordes
Brian Thomas Field : "Four by Four"
Timothy Doyle : "In a Landscape" (1er Prix)
John Baxter : "The Color of Rain"
Antonino Abate : "Apoidea Garden"
Marko Komonko, violon
Denys Lytvynenko, violoncelle
Nataliya Martynova, piano
Orchestre à cordes (KLK NewMusic)
Roman Kreslenko
Enregistrements Live du 25 mars au 1er avril 2021, 5ème édition du concours international de composition Alfred Schnittke, Lviv

J'aurais dû me contenter de la première pièce avec violoncelle soliste, j'ai l'impression d'avoir écouté (plus ou moins) la même musique pendant plus de deux heures...

Sergueï Prokofiev
* Symphonie no.2
Orchestre Philharmonique de Moscou
Dimitri Kitaenko (Melodiya)

+

arnaud bellemontagne a écrit:

Nielsen : Symphonie n°1 (Oramo)

Grande version d'un chef-d'œuvre absolu. Et tu n'as pas choisi l'interprétation la moins colorée !

Messiaen: Turangalîla-Symphonie/Lintu

Olivier Messiaen
* Quatuor pour la fin du Temps
Ensemble Walter Boeykens (HM)

Franck : intégrale des mélodies - CD1 (Christoyannis / Gens / Cohen)