Renée Fleming

Renée Fleming est une soprano américaine née le 14 février 1959 à Indiana, en Pennsylvanie. Renée Fleming a passé son enfance à Rochester dans l'État de New York. Ses parents étaient professeurs de chant. Elle étudie la musique à la Crane School of Music à l'Université de l'État de New York à Potsdam. Pendant ses études, elle devient membre d'un trio de jazz qui joue dans un bar près du campus de l'université. Le saxophoniste de jazz Illinois Jacquet l'invite à se joindre à la tournée de son groupe mais elle choisit plutôt de continuer ses études à la Eastman School of Music de l'Université de Rochester et à la Juilliard School. Son premier grand succès survient en 1988 quand elle chante la Comtesse des Noces de Figaro à l'Opéra de Houston, Texas. En 1989, elle fait ses débuts au New York City Opera et à Covent Garden à Londres. Puis en 1991, c'est le Metropolitan Opera qui la reçoit. En 1997, Renée Fleming chante sa première Manon à l'Opéra Bastille de Paris qui suscite des critiques enthousiastes. Dans sa jeunesse, Renée Fleming aimait la musique populaire et admirait notamment le talent de Joni Mitchell. Outre le répertoire d'opéra habituel, elle interprète de la musique contemporaine, des airs de comédies musicales de Broadway et d'autres styles de musique plus populaire. Renée Fleming a participé aux premières mondiales de divers opéras comme The Ghosts of Versailles de John Corigliano au Metropolitan Opera ou Susannah de Carlisle Floyd à l'Opéra de Chicago. Elle a créé le rôle de Blanche dans la première mise en scène de l'opéra d'André Previn A Streetcar Named Desire à San Francisco.
Caractériser par des mots la qualité de la voix de Renée Fleming n'est pas chose aisée. Il suffit cependant d'entendre le son assez unique que produit la gorge de cette interprète pour comprendre ce qu'est une voix crémeuse ! Le chef d'orchestre Georg Solti est un des premiers à l'avoir ainsi caractérisé. Du début à la fin d'un opéra, les ondes sonores qui parviennent aux oreilles des spectateurs sont continuellement séduisantes et veloutées, n'empêchant pas la cantatrice d'être parfaitement expressive. Dotée d'un indéniable don pour les langues, elle aborde avec succès les opéras dans des langues aussi difficiles, pour une Américaine, que le français (Thaïs de Massenet) ou le tchèque (Rusalka de Dvořák). Les bienheureux spectateurs qui ont pu assister aux représentations de ce dernier opéra à l'Opéra Bastille pendant l'hiver 2004 se souviennent encore de la beauté sonore et de l'émotion qui se dégageait du chant de cette grande artiste. Renaud Machart, journaliste au journal Le Monde a parlé à cette occasion de « sfumato sonore ».

source : wikipédia

http://www.amazon.fr/s/ref=nb_ss_w?__mk_fr_FR=%C5M%C5Z%D5%D1&url=search-alias%3Dclassical&field-keywords=Ren%E9e+Fleming&x=14&y=24

Merci calbo

Et sinon, Calbo, toi tu en penses quoi?

wikipedia a écrit:

Dotée d'un indéniable don pour les langues, elle aborde avec succès les opéras dans des langues aussi difficiles, pour une Américaine, que le français (Thaïs de Massenet) ou le tchèque (Rusalka de Dvořák). Les bienheureux spectateurs

Que certains infââââmes en prennent de la graine !

Xavier a écrit:

Et sinon, Calbo, toi tu en penses quoi?

C'est une belle voix que je regrette d'avoir si peu entendue.

Morloch a écrit:

wikipedia a écrit:

Dotée d'un indéniable don pour les langues, elle aborde avec succès les opéras dans des langues aussi difficiles, pour une Américaine, que le français (Thaïs de Massenet) ou le tchèque (Rusalka de Dvořák). Les bienheureux spectateurs

Que certains infââââmes en prennent de la graine !

Le français n'est pas une langue très difficile pour les anglophones, et ils sont en tout cas très nombreux à très bien le chanter, souvent aussi bien que les francophones. Fleming le chante correctement, sans plus.

Quant au tchèque, pour un rôle...


Cela dit, si je trouve Fleming souvent irritante à cause de ses minauderies, de sa diction (allemande ), de ses glissandi, de son ultralegato permanent, il y a plusieurs rôles où à défaut d'être irremplaçable, elle fait de l'excellent travail. Précisément Rusalka (je la préfère de loin à Subřtová), Thaïs aussi (même si la concurrence est rude, ça reste une belle incarnation). Dans une moindre mesure, certains Mozart sont bons, surtout, si j'ai bon souvenir, Donna Anna, voire Fiordiligi. (Enfin, éviter la Comtesse tout de même, c'est assez terrifiant.)

Dans le répertoire allemand et Strauss en particulier, c'est à fuir résolument. Pour le répertoire anglophone, ça ne les arrange pas, ni le répertoire, ni elle, mais ça reste adéquat.

Bref, ce n'est pas l'antéchrist, mais effectivement, à force de faire la bonne élève, elle minaude un peu...

au départ je n'avais qu'une sympathie assez limitée pour Renée Fleming, mais à force de lire les critiques les plus injustes, je finis par écouter absolument tout ce qu'elle fait, et il faut reconnaître qu'un des atouts majeurs de cette chanteuse réside dans l'éclectisme de son répertoire.
On peut craindre cependant qu'on en vienne à la cantonner à quelques rôles, Thaïs, Russalka, Susannah (de Carlysle Floyd), Streetcar named desire, et quelques Janacek.

Ce qui est extraordinaire c'est qu'elle est capable d'assurer ces rôles sur la longueur et que si la voix semble constamment prête à se briser, elle est en réalité d'une grande solidité et elle tient très bien tout au long de la représentation. Le Thaïs du Chatelet est exceptionnel à cet égard, et pourtant le rôle a priori parait excéder ses capacités vocales, mais non, en live elle s'en sort beaucoup mieux que d'autres, et surtout elle continue à soutenir cet opéra qui sans un nouveau champion aurait sombré dans les oubliettes.
En ce qui concerne son jeu, savoir si elle en fait trop ou pas, je n'ai pas d'avis: savoir s'il faut se battre sur le terrain des choses programmées n'importe ou ne m'intéresse guère non plus, il y a tant de Violetta passables que je trouve plus judicieux de s'intéresser à un répertoire moins fréquenté.

Il semble que René Fleming ait un certain goût pour Haendel (que les amateurs d'Haendel en Europe du moins ne lui rendent pas). Ce que j'en ai entendu me parait très bien tenir en face de certaines chanteuses encensées par la critique et dont je trouve les incursions dans le répertoire baroque extrêmement maniérées.
Sans doute le soutien constant et réciproque de Prévin est-il pour quelque chose dans sa célébrité, mais il faut lui reconnaître qu'elle prend volontiers des risques avec beaucoup d'entrain.
Mes meilleurs souvenirs d'auditeurs sont les galas, celui avec Terfel et Levine, le récent gala d'Oberammergau avec Villazon, ses disques de récital d'extraits d'opéra anglo-américains. Ses essais dans le jazz et le "cross-over" méritent aussi une oreille.
Je trouve qu'elle a gagné depuis quelque temps de très beaux graves un peu rauque qui me rappellent les grandes chanteuses noires américaines.
En somme les critiques qu'on lui adresse sont une chance, et je pense qu'elle a tout intérêt à se consacrer au répertoire le plus négligé et aux créations, ce qui fera tomber d'elles-mêmes les tentatives de comparaison.

Elle a une mauvaise image dans Haendel, mais dans les rôles comme Alcina, sa voix contraste avec celle des autres chanteurs du plateau, lui donnant une présence irréelle qui, je trouve, ne fonctionne pas si mal que ça et va bien au rôle.

Et les auditeurs baroques étaient friands de voix singulières, n'est-elle pas très authentique au fond ?

Il lui manque certainement du style dans les vocalises, et son hyperlegato permanent donne parfois des résultats mollassons.

Elle a un certain intérêt pour les partitions rares, et je me demande si elle n'a pas esquissé un Massenet revival qui a peut-être tourné court. C'est dommage qu'elle limite en partie ses velléités de raretés au récital et n'ai pas fait plus d'intégrales.

Et j'attends avec impatience un grand Korngold en entier, les extraits sont trop frustrants

Morloch a écrit:

et je me demande si elle n'a pas esquissé un Massenet revival

Oui, à elle toute seule. Ce n'est pas elle qui donne Panurge ou le Jongleur, il me semble...

DavidLeMarrec a écrit:

Morloch a écrit:

et je me demande si elle n'a pas esquissé un Massenet revival

Oui, à elle toute seule. Ce n'est pas elle qui donne Panurge ou le Jongleur, il me semble...

Elle t'a fait quoi Renée au juste?

Je le redis, je n'ai rien contre Renée ; ça dépend des rôles et des répertoires. Dans la mélodie française, non merci, même Morloch demanderait grâce à force de se tenir les côtes.

Pour le reste, je l'ai dit, dans certains rôles lyriques pas trop lourds, en français, en anglais ou en tchèque, elle trouve agréablement sa place.


Par ailleurs, ça a l'air d'être une fille sympathique et méritante.

Je suppose que Morloch possède son autobiographie... que j'ai malgré moi !

On te l'a offert contre ton gré?

A vrai dire, je m'en contrefichais pas mal de Renée Fleming, mais on me l'a effectivement offert. Cela s'est avéré assez intéressant finalement.

Ris donc, mais c'est réellement intéressant.

Ce qui me fait marrer c'est le début de ton post . Pour ce qui est du livre de Fleming je te crois sur parole.

Je sais, je risque de fendre le coeur de Morloch.

Oui, j'avais lu son autobiographie qu'elle a du écrire elle-même, vu le ton assez informel. Probablement corrigée, mais elle est à la source des anecdotes, c'est évident.

Elle se révèle très attachante, intelligente, dotée d'un sacré recul et plutôt spontanée. Et elle dit des choses intéressantes sur le monde de l'opéra et sa carrière.

Bon, cela dit, même si j'ai été agréablement surpris, ce n'est pas non plus transcendant.

En principe une autobiographie on l'écrit soit même.
Si je comprends bien je n'ai plus qu'à me la procurer

En principe oui, mais en pratique je soupçonne des petites entorses au principe.

Dans le cas de Miss Renée, il y a une sorte de superlegato écrit avec des grandes inflexions de volume sur certaines syllabes, sans qu'on comprenne dans quel but. Chaque paragraphe commence par un grand fading, les digressions sont en vocalises bizarres et peu agiles.

Des signes qui ne trompent pas ! C'est bien elle l'écrivain...

C'est plus le récit d'un début de parcours vocal qu'une autobiographie au sens propre. C'est ce qui le rend sympa, ce n'est pas une grande histoire édifiante selon laquelle elle aurait toujours été la plus grande et qu'elle l'aurait toujours su, mais plutôt les propos de quelqu'un qui se rappelle comme elle a galéré et qui est sincèrement ravie et surprise de succès arrachés après beaucoup de travail et de la chance. D'ailleurs le livre s'arrête plus ou moins au moment où ça commence à mieux se passer.

Morloch a écrit:

En principe oui, mais en pratique je soupçonne des petites entorses au principe.

Dans le cas de Miss Renée, il y a une sorte de superlegato écrit avec des grandes inflexions de volume sur certaines syllabes, sans qu'on comprenne dans quel but. Chaque paragraphe commence par un grand fading, les digressions sont en vocalises bizarres et peu agiles.

Des signes qui ne trompent pas ! C'est bien elle l'écrivain...

Il semble donc que miss Renée soit donc meilleure chanteuse qu'écrivain.

On sait quoi acheter pour l'anniversaire de Morloch :

http://www.metoperafamily.org/metopera/product/lavoce/index.aspx

On peut gloser sur ses qualités de chanteuse mais quelle sacrée allure!
En particulier sur cette pub.

Toxic a écrit:

On peut gloser sur ses qualités de chanteuse mais quelle sacrée allure!

Son chirurgien esthétique fait du bon boulot en effet.

Mince, j'allais dire à Toxic de ne pas lancer un sujet glissant, que le mauvais goût et l'humour douteux régnaient en maître sur ce forum... trop tard.

C'est surtout un produit marketing, cette apparence, elle est beaucoup plus sans façon lorsqu'elle parle.

Est-ce que le parfum cocotte ?

(histoire d'en rajouter une couche)

déjà Mary Garden (la première Mélisande) avait toute une ligne de cosmétiques dans les années 30, je vous ai déjà mis l'affiche dans le fil "dodo", et vu le rôle qui l'a immortalisée ça avait toutes les chances de sentir le beurre rance.

vartan a écrit:

Est-ce que le parfum cocotte ?

(histoire d'en rajouter une couche)

M'est avis que ça doit sentir la guimauve.

Haute teneur en sucre garantie.

gare que ça ne sente pas la giroflée!

vartan a écrit:

Est-ce que le parfum cocotte ?

(histoire d'en rajouter une couche)

Je n'ai pas osé faire de remarque de ce genre, mais un parfum choisi par Renée, ce doit être quelque chose.

Pour ma part, j'aime beaucoup ces petites friandises :

Un fort potentiel croustillant, un parfum sympatique qui met les papilles en joie. Le chocolat n'a pas la lourdeur désagréable qu'on peut constater dans certaines autres confiseries industrielles dont certains ici sont friands.
Effet secondaire gingivo-adhésif possible, mais cela reste une valeur sûre que je ne puis que chaudement recommander.
A offrir sans modération à vos proches en ces fêtes de fin d'année.

Si vous avez d'autres conseils gourmands à faire partager, n'hésitez pas à les poster dans ce topic.

Ce n'est pas parce que Fleming a sorti un parfum que l'on doit utiliser ce topic pour faire la pub de produits divers.
J'ai vu au fait Thais au cinéma et Fleming a été magnifique, très touchante dans le 3e acte. Je l'ai moins aimé dans le premier. Elle a fait des aigus extraordinaires et sa diction française est excellente. Elle était sublime dans les costumes de Lacroix. J'espère que cela sortira en DVD. Elle a montré encore qu'elle est une grande interprète actuelle de Massenet.

Voici une interview de Fleming : http://www.musicalcriticism.com/interviews/fleming-0609.shtml

J'ai décidé d'ouvrir un fil pour cette soprano qui sans avoir fait toujours les bons choix de rôles est remarquable. C'est une des plus belles voix de soprano actuellement.
Dans l'interview, elle parle du rôle de Violetta, de ses futures prises de rôles et engagements, des rôles qu'elle aurait bien aimé chanter mais qu'elle ne peut pas aborder pour diverses raisons, de son prochain disque consacré au vérisme intitulé "Vérismo". J'ai des doutes sur ce que cela pourra donner car avoir une voix sublime ne fait pas tout. Voici 2 rôles qu'elle va ajouter à son répertoire : Ariadne et Elsa. Je ne suis pas convaincu du tout que cela puisse lui convenir. Ses extraits d'Ariadne dans son dernier disque ne m'ont pas du tout convaincu. Cependant, c'est une artiste que j'apprécie pour sa simplicité. Elle a beaucoup de talent même si je n'ai pas aimé tout ce qu'elle a fait, ce qui me paraît normal. Elle a tendance à en faire trop.

Quelqu'un pourrait il référencer ce fil dans l'index? Merci.

Autant qu'il m'en souvienne, j'avais bien aimé son Ariadne, dans son très beau disque Thielemann.

Après, pour la beauté de la voix, tout dépend si on aime la crème au beurre saveur nougat.

DavidLeMarrec a écrit:

Autant qu'il m'en souvienne, j'avais bien aimé son Ariadne, dans son très beau disque Thielemann.

Après, pour la beauté de la voix, tout dépend si on aime la crème au beurre saveur nougat.

Le côté crémeux de la voix fait l'identité vocale de Fleming même si parfois il m'insupporte. Quand au disque de Thielemann, j'ai écouté les 4 derniers lieder et les airs d'Ariadne et cela n'est pas passé du tout. Il y a trop d'effets. Les 4 derniers lieder doivent être chantés de manière simple. Dans ces pages magnifiques, mes 4 interprètes préférées sont Popp, Janowitz, Tomowa-Sintow et Norman.

sud273 a écrit:

gare que ça ne sente pas la giroflée!

J'adore la giroflée

aurele a écrit:

Dans ces pages magnifiques, mes 4 interprètes préférées sont Popp, Janowitz, Tomowa-Sintow et Norman.

Ah oui, c'est sûr que ce sont des versions où rien ne dépasse.

Il y a un texte, même s'il est un peu prétexte, et Renée en fait quelque chose. C'est une conception plus proche de Stich-Randall que de Várady, en fin de compte. Et ce n'est pas pour me déplaire.

Fleming n'arrive pas à me toucher dans "Im Abendrot" qui est mon lied préféré sur les 4 et le plus émouvant je trouve. C'est celui que réussit le moins Norman. Là dedans, je suis bouleversé lorsque ce sont Janowitz, Tomowa-Sintow et Popp qui le chante. Fleming veut trop en faire au niveau du texte, n'est pas dans la simplicité.

aurele a écrit:

Fleming veut trop en faire au niveau du texte, n'est pas dans la simplicité.

Oui, je suis d'accord, elle fait comme si Eichendorff était un écrivain valable, c'est un scandale.

DavidLeMarrec a écrit:

Oui, je suis d'accord, elle fait comme si Eichendorff était un écrivain valable, c'est un scandale.

Bien sûr que le texte est important mais elle en fait des tonnes.

Il y a quand même de la marge avant que Renée soit une diseuse hystérique, je crois.

Après, c'est sûr que c'est pas franchement naturel comme attitude.

En parlant de Renée Fleming, je viens d'entendre des extraits du Chevalier à la Rose- dans lequel elle interprète bien sûr le rôle de la Maréchale-donné à Baden Baden, et aussi à Paris au TCE, je crois, avec Sophie Koch et Diana Damrau!

Et bien je ne comprends pas tout le mal qu'on peut dire d'elle! Elle a une voix merveilleuse, c'est coulé, d'une beauté de timbre vraiment somptueuse! Certes, c'est un peu sophistiqué, mais quand c'est beau comme ça, que dire?

Euh, les extraits sont sur le site avec plein d'images, très connu!!!

Mais tout le monde n'en dit pas du mal ! Elle a effectivement une voix très belle, et pas seulement au disque. J'ai eu la chance de l'entendre chanter dans plusieurs rôles ; certains lui vont très bien, la Maréchale bien sûr, Manon de Massenet, Rusalka ... Là, le velours, le côté presque sucré de son phrasé font merveille.

machinade a écrit:

Mais tout le monde n'en dit pas du mal ! Elle a effectivement une voix très belle, et pas seulement au disque. J'ai eu la chance de l'entendre chanter dans plusieurs rôles ; certains lui vont très bien, la Maréchale bien sûr, Manon de Massenet, Rusalka ... Là, le velours, le côté presque sucré de son phrasé font merveille.

Oui, je l'ai très appréciée dans Rusalka!

olivier le normand a écrit:

Euh, les extraits sont sur le site avec plein d'images, très connu!!!

Sur quel site ?

Hippolyte a écrit:

Sur quel site ?

sur le tube.

Puis-je dire que je la préfère à Joyce di Donato,
En ce qui concerne les 4 derniers lieders de Strauss, ma référence reste toujours A. Rothenberger

il y a eu dans Fono-forum de février 2009 par Bjorn Woll, une excellente interview où elle regrette de ne pas avoir assez de temps pour faire la cuisine à ses enfants, en chantant, je présume, l'auberge du Cheval blanc de Benatzky !!