Lectures (2)

Ça finit toujours par arriver aux personnes perfides. N'empêche que le problème est réel.

alexandre. a écrit:

Et l'orthographe décadent tu y penses ?

Oui j'y pense et je préférerais éviter ce sujet sensible sur lequel je suis bien conscient d'avoir encore beaucoup d'effort a faire mais qui m'a été assez reproché.

Mallarmé et le Symbolisme.

Une lecture délectable pour l'été : "Un si petit Monde" d'Odile Benyahia Kouider.

Ce livre narre les méandres du processus ayant abouti à la prise de contrôle du groupe Le Monde par l'équipe Bergé - Niel - Pigasse - l'auteure est journaliste au Nouvel Obs, donc de l'équipe perdante, mais à ma connaissance aucune des personnes croquées par sa plume souvent trempée dans le vitriol ne lui a fait de procès.
A la fin le processus se réduit à un combat entre le patron du Nouvel Obs, Perdriel, secondé, si on peut dire, par un Denis Olivennes qui tente de tirer la couverture à lui, et l'équipe BNP.
Perdriel, qui a une longue expérience de la presse, a la candeur d'expliquer que son plan impliquera des sacrifices sociaux alors que le trio BNP se présente comme des mécènes qui raseront gratis - Niel aurait expliqué que les 35 millions qu'il envisageait d'investir représentait à peine la variation quotidienne en bourse de ses avoirs !!!
Ils promettent tout à tous : Schweitzer au conseil de surveillance, Fottorino à la direction du journal, Kauffmann à la tête de la rédaction - bien entendu, à peine l'encre des contrats sèche, tous seront remerciés... et le premier acte de gestion sera l'arrivée d'un "cost killer" qui se mettra à éplucher tous les couts - exemple : dans ce groupe de 1200 personnes, il y avait plus de 20 voitures de fonction avec chauffeur.
On reste assez confondu par la propension de ces journalistes, supposés vigilants, à ce faire rouler dans la farine.
L'auteure considère qu'au sein du trio c'est Niel qui devrait finalement prendre l'ascendant parce que c'est un chef d'entreprise redoutable, avec les poches très profondes.
Une fois ce livre refermé, on est amené à voir d'un oeil différent certaines personnalités, comme par exemple Louis Schweitzer...

Montfort

J'ai fini le Côté de Guermantes () et en attendant d'avoir le quatrième volume, j'ai commencé le Faust de Goethe traduit par Nerval... Je vais jamais pouvoir lire ça en entier

T'as raison, faut le lire en allemand

Era a écrit:

J'ai fini le Côté de Guermantes () et en attendant d'avoir le quatrième volume, j'ai commencé le Faust de Goethe traduit par Nerval... Je vais jamais pouvoir lire ça en entier

Tu vas voir Sodome est encore un cran au dessus!

Avant de lire La jeune parque et des poèmes en prose de Valéry, Faust pour moi aussi, mais celui de Lenau - qui n'a pas à pâlir devant celui de Goethe. Enfin, celui de Goethe se lit bien, Era, c'est un théâtre dans l'ensemble assez dynamique.

Enfin, intégrale Adèle Blanc-Sec de Tardi.

J'ai lu Bajazet de Racine. J'adore le théâtre racinien et je n'avais pas encore lu cette pièce. Le personnage de Roxane est le plus intéressant. Je l'ai détesté en lisant la pièce. Bajazet est trop effacé même s'il donne son nom à la pièce. Atalide est la figure tragique de l'amante par excellente, c'est un personnage d'une grande noblesse d'âme. Acomat est l'autre figure majeure avec Roxane. L'intrigue est assez complexe mais progresse bien dans l'économie dramatique. Les vers raciniens sont comme toujours sublimes. Je continue néanmoins à préférer Phèdre et Andromaque.

Les mémoires de Chostakovitch: très intéressant, et puis ça se lit très bien dans une langue simple.

Percy Bysshe a écrit:

Les mémoires de Chostakovitch: très intéressant, et puis ça se lit très bien dans une langue simple.

C'est lui qui écrit ou bien c'est celles recueillies par Volkov ? Dis m'en plus, puisque je suis dans une période Chosta autant faire les choses à fond

PS : t'as eu ça où ?

Ce sont les mémoires recueillies par Volkov, en prenant les notes à l'écrit sous la dictée de Chostakovitch (parce que ce dernier était pétrifié à l'idée de parler dans un magnétophone à cause des nombreuses déclarations publiques qui lui avaient été imposées).
J'ai trouvé ça en bibliothèque. Enfin, si tu veux te les procurer, hum, il y a... ça...
En tout cas, si tu le croises sans avoir à te ruiner (ce qui n'arrivera qu'en bibliothèque tant que le livre n'aura pas été réédité), fonce, c'est vraiment passionnant: il aborde des tas de sujets, ça permet d'avoir une vue d'ensemble sur le personnage.

Il est au conservatoire, je le prendrai quand il rouvrira, merci du tuyau

Caligula de Camus
C'est génial, je crois que j'ai rerament pris autant de plaisir à lire du théâtre !

Nouvelles diverses et éparses de Tchékhov et de Boulgakov... Renversant !

Hallò Docteur !?

aurele a écrit:

J'ai lu Bajazet de Racine. J'adore le théâtre racinien et je n'avais pas encore lu cette pièce. Le personnage de Roxane est le plus intéressant. Je l'ai détesté en lisant la pièce. Bajazet est trop effacé même s'il donne son nom à la pièce. Atalide est la figure tragique de l'amante par excellente, c'est un personnage d'une grande noblesse d'âme. Acomat est l'autre figure majeure avec Roxane. L'intrigue est assez complexe mais progresse bien dans l'économie dramatique. Les vers raciniens sont comme toujours sublimes. Je continue néanmoins à préférer Phèdre et Andromaque.

Alors on a les memes gouts concernant cet auteur .
Le theatre racinien est le sommet de la litterature classqiue, Racine a reussi a transcender les regles claasiques pour en faire des chef-d`oeuvres - a l`epoque, on ne se preoccupait pas des sous-entendus pseudo-freudiens des pieces, mais bien de leur agencement ! Tous les personnages de Racine partagent une meem caracteristique : la faiblesse. Ils veulent, mais ne peuvent pas - le meilleur exemple etant sans doute Bajazet, indecis, qui n`aura au final pas bouge un orteil de la piece (il n`y a qu`a voir comment il s`empetre dasns ses vains discours, notamment lors de l`ultimatum de Roxane). De plus, le destin semble s`acharner contre eux, alors qu`ils n`ont pas d`echappatoires possibles (Bajazet, c`est le serail ; Phedre, c`est le palais. Aucun des deux ne peut se permettre de fuir.). Tous les ingredioents sont reunis pour de formidables tragedies psychologiques (si si).
Personnelement, je viens de finir Iphigenie du meme Racine. Si la mise en place est un peu precipitee - Racine devant jongler avec un personnage etranger a la legende, lequel se retrouvera etre la victime du sacrifice -, les choses se posent a partir du 3e acte, et l`auteur nous gratifie de ses vers magnifiques. Bravi !

Je viens egalement de terminer Les Contes du Jour et de la Nuit de Maupassant... Magistral. Maupassant est un vrai maitre dans l`art d`en dire, de juger le moins possible (realisme), mais quelle force dans cette simplicite ! On ne peut qu`etre touche par ces histoires bouleversantes, qui elevent le quotidien au rang de drame .

Je viens de terminer l'Histoire de la Russie de N. Riasanovsky. Je lui préfère celle de M. Heller, plus détaillée (je déteste arriver au bout d'un livre que j'apprécie : zut, déjà les dernières pages...) et qui aborde aussi l'histoire de l'histoire (l'histoire écrite par les communistes n'était évidemment pas la même que celle écrite avant et après), mais il s'arrête à la révolution de 1917.

(J'ai noté que les deux livres retranscrivent le son bidule par 'chtch', donc on écrit bien Chtchédrine - allusion à un débat récent.)

Le livre de Riasanovsky, en tout cas dans mon édition (Bouquins) comporte pas mal de cartes - plus que celui d'Heller où ça manquait vraiment - mais elles sont peu précises et en noir et blanc. J'ai bien un atlas historique, mais la Russie y est assez négligée (d'ailleurs elle est négligée même dans les atlas géographiques).

Pour la période communiste, Riasanovsky estime que si les arts ont plutôt stagné, la musique s'en est pas trop mal sortie essentiellement parce qu'il y a eu une génération très talentueuse (Chostakovitch et Prokofiev notamment).

Et à présent j'attaque l'Introduction à la géologie de Boillot, Huchon et Lagabrielle. Agréable surprise : le livre est facile à suivre (et ce n'est pas ma branche), ça se lit presque comme un roman (en plus passionnant bien sûr) ! En fait, j'aurais dû commencer par celui-ci avant de m'attaquer à quelques bouquins plus compliqués que je n'ai qu'à moitié compris...

Lasido a écrit:

Je viens de terminer l'Histoire de la Russie de N. Riasanovsky. Je lui préfère celle de M. Heller, plus détaillée (je déteste arriver au bout d'un livre que j'apprécie : zut, déjà les dernières pages...) et qui aborde aussi l'histoire de l'histoire (l'histoire écrite par les communistes n'était évidemment pas la même que celle écrite avant et après), mais il s'arrête à la révolution de 1917.

(J'ai noté que les deux livres retranscrivent le son bidule par 'chtch', donc on écrit bien Chtchédrine - allusion à un débat récent.)

Le livre de Riasanovsky, en tout cas dans mon édition (Bouquins) comporte pas mal de cartes - plus que celui d'Heller où ça manquait vraiment - mais elles sont peu précises et en noir et blanc. J'ai bien un atlas historique, mais la Russie y est assez négligée (d'ailleurs elle est négligée même dans les atlas géographiques).

Pour la période communiste, Riasanovsky estime que si les arts ont plutôt stagné, la musique s'en est pas trop mal sortie essentiellement parce qu'il y a eu une génération très talentueuse (Chostakovitch et Prokofiev notamment).

Et à présent j'attaque l'Introduction à la géologie de Boillot, Huchon et Lagabrielle. Agréable surprise : le livre est facile à suivre (et ce n'est pas ma branche), ça se lit presque comme un roman (en plus passionnant bien sûr) ! En fait, j'aurais dû commencer par celui-ci avant de m'attaquer à quelques bouquins plus compliqués que je n'ai qu'à moitié compris...

j'ai retrouvé le nom de Saltykov-Chtchédrine dans la nouvelle de Tchekhov "Récit d'un Inconnu"...

Alors, arrêtes d'être aussi susceptible en me lisant.

Gogol: Le Nez
Drôle, merveilleusement bien écrit, cruel, efficace, j'ai adoré.


Y a-t-il d'autres nouvelles de Gogol recommandées ?

Le Folio intitulé Le journal d'un fou regroupe la nouvelle du même titre, Le manteau, La perspective Nevsky, Le portrait, en plus du Nez que tu as déjà. C'est du lourd, tout ça.

Merci

Danube de Claudio Magris

Era, à propos des mémoires de Chosta, je voulais te dire qu'après des recherches, j'ai trouvé quelques documents qui remettent en cause la validité du texte, notamment celui-ci venant de la femme de Chosta: http://www.chostakovitch.org/VF/iactextvf2000.htm
Je me suis questionné là-dessus en avançant dans ma lecture et en repérant quelques éléments qui me paraissaient troublant, notamment des échos dans le texte ayant une certaine finesse littéraire (et ne relevant pas de la traduction) et qu'il est peut probable que Chostakovitch ait pu dicter des choses pareilles (les échos en question sont éloignés et très précis). Voilà donc, à prendre avec recul...

C'est bien ce qu'il me semblait, je ne l'ai pas écrit car je n'ai pas retrouvé mes sources mais dans le livre sur le quatuors que je feuillette en ce moment il me semblait bien que l'auteure avait émis une réserve de ce type en citant les Mémoires. Merci de m'avoir prévenu en tout cas

Edit : le texte est édifiant

Les dénégations obstinées de la veuve de Chostakovich sont également à prendre avec méfiance, elle avait tout intérêt à affirmer que l'essentiel était faux, et à obtenir que ceux qui avaient dans un premier temps justifié la validité du document se rétractent (Tischenko particulièrement).
Il est certain qu'il y a du faux, mais il y aussi des articles rédigés par Chostakovich repris dans le texte, et certaines choses correspondent tellement à son humour qu'il y a probablement du vrai. De toute façon c'est un des livres les plus drôles sur la période jamais écrit (et sinistre aussi par endroits). Aucun biographe de Chostakovich ne peut se dispenser d'y faire référence.
Un des arguments en faveur de l'authenticité est que l'auteur, quel qu'il soit, évite soigneusement de parler de sujets épineux de la vie personnelle du compositeur, comme ses relations avec Ulstvolskaya ou les emprunts (consentis mais souvent inexplicables) à Weinberg, Popov, ainsi qu'à peu près tout ce que Chostakovich a pu faire dans l'ombre pour ses élèves juifs (les héberger, payer leurs études, achever certaines partitions).
Il ne faut pas perdre de vue que certains faits toujours considérés comme avérés sont des rumeurs erronées que Chostakovich s'est efforcé de faire courir (la farce de la composition de l'ouverture festive par exemple, le numéro d'opus du premier concerto pour violon, la Lénine-symphonie). Il y a bien des pistes à suivre pour les musicologues, comme qui a composé les symphonies d'Ashrafi, de Khrennikov, qui est la dame qui recopiait les symphonies de William Schumann, combien de symphonies Peiko (au hasard) a-t-il écrit pour d'autres etc.

Proust : A la recherche du temps perdu - Le Côté de Guermantes

Céline, "Mort à Crédit"

Quel talent ! Ca a du être une révolution stylistique à l'époque...

J'entame ceci, 1000 pages au bas mot et j'en ai l'eau à la bouche

Powys:Givre et Sang.

arnaud bellemontagne a écrit:

Powys:Givre et Sang.

Tu diras tes impressions, si tu veux bien.

Je n'y manquerai pas.

En ce moment, avec d'autres choses plus ou moins gigantesques en parallèle (Du côté de chez Swann - j'ai lu cinquante pages et j'ai l'impression d'en avoir lu trois-cent. Mais je vais continuer...), je lis la source historique des Huguenots : la Chronique du règne de Charles IX de Mérimée, qui comme son nom ne l'indique pas est un genre de roman historique, mais beaucoup de choses sont fausses historiquement. Ca a l'air assez drôle par contre, ça me permet de me reposer entre les livres en allemand, la philo, Proust...

Guillaume a écrit:

En ce moment, avec d'autres choses plus ou moins gigantesques en parallèle (Du côté de chez Swann - j'ai lu cinquante pages et j'ai l'impression d'en avoir lu trois-cent. Mais je vais continuer...)

Tu vas connaitre l'absolu bonheur littéraire.

Je me suis plongée dans Hypérion etc etc.
Je lis tous les volumes à la suite !

frere elustaphe a écrit:

Je me suis plongée dans Hypérion etc etc.
Je lis tous les volumes à la suite !

Tu parles de Hölderlin ou de Dan Simmons?

Simmons.

C'est bien aussi hein. (Dans un autre genre que le précédent... )

Quand le loup sort du bois .

Sinon, pour ceux qui aiment les polars : Les ailes du corbeau; Mort à la Fenice; Paris 1200

Octavian a écrit:

C'est bien aussi hein. (Dans un autre genre que le précédent... )

J'assume completement. Je savais bien que ma place n'est pas ici.

Bwâ, tu sais, moi je me suis bien relancé dernièrement dans une relecture du Cycle de Dune... en contrepoint de mes autres lectures un peu plus thésardo-orientées.

Ce cycle est le prochain sur ma liste

frere elustaphe a écrit:

Octavian a écrit:

C'est bien aussi hein. (Dans un autre genre que le précédent... )

J'assume completement. Je savais bien que ma place n'est pas ici.

Mais non au contraire c'est une lecture tout aussi noble que le reste, d'ailleurs je l'ai aussi il faudrait que je le commence

En ce moment, je fais une petite cure Shakespeare (avant d'avaler tout Les Misérables pour les besoins scolaires qui l'année qui débute ) ; après La Tempête (pas mal, un mélange des genres et des thèmes qu'on ne revoit pas souvent), Hamlet (plus j'y pense plus je l'aime - peut-être parce qu'il y a un peu d'Hamlet en moi ), Macbeth (la noirceur, magnifique), Othello (pour le duo Othello-Iago !) et Jules César (le personnage de Brutus est passionnant, mais la palme va aux discours croisés du IIIe acte) - sans oublier Roméo et Juliette bien sûr ! -, je m'essaye au Roi Lear, mais je dois dire que j'ai un peu de peine : la moitié de l'œuvre est occupé par les délires conjugués du roi, de son fou et de Kent déguisé. Un peu hard... (même si le propos psychologique est prenant !).
Concernant la traduction de Shakespeare en français, quasiment toutes mes éditions ont celles de M. Bonnefoy - je le signale, premièrement parce que ce sont de bonnes traductions, mais surtout pour l'art de la prose de ce cher monsieur : ces préfaces sont à mourir de rire (en fait, plus souvent à tomber endormi ). Il a poussé son analyse du texte de Shakespeare comme personne, il a plus à en dire que la plupart des autres, son approche est toujours pertinente et intéressante.... mais voilà, il noie ce trésor sous une prose lourde, redondante, sans fin, sinueuse... Il n'expose que rarement la direction qu'il va emprunter, n'explique pas son plan d'argumentation, et passe d'un concept à un autre sans prendre le temps de récapituler ni de prendre un peu de hauteur... Ceux qui connaissent et qui ont plus d'expérience littéraire me contrediront peut-être (non, sûrement , vu la notoriété et l'autorité qui se dégagent de M. Bonnefoy à la lecture de quelques pages internet), mais c'est là aussi vraiment hard...

Parsifal a écrit:

frere elustaphe a écrit:

Octavian a écrit:

C'est bien aussi hein. (Dans un autre genre que le précédent... )

J'assume completement. Je savais bien que ma place n'est pas ici.

Mais non au contraire c'est une lecture tout aussi noble que le reste, d'ailleurs je l'ai aussi il faudrait que je le commence

Oui c'est excellent Hyperion, un des plus beaux cycles de la SF.

arnaud bellemontagne a écrit:

Parsifal a écrit:

frere elustaphe a écrit:

Octavian a écrit:

C'est bien aussi hein. (Dans un autre genre que le précédent... )

J'assume completement. Je savais bien que ma place n'est pas ici.

Mais non au contraire c'est une lecture tout aussi noble que le reste, d'ailleurs je l'ai aussi il faudrait que je le commence

Oui c'est excellent Hyperion, un des plus beaux cycles de la SF.

Surtout les tomes I à IV ! Après, l'histoire d'Endémion, bon, ça devient plus classique...

Tout à fait d'accord, Endymion est beaucoup moins inspiré qu'Hyperion et la Chute d'Hyperion.

arnaud bellemontagne a écrit:

Tout à fait d'accord, Endymion est beaucoup moins inspiré qu'Hyperion et la Chute d'Hyperion.

J'adore l'atmosphère "fin du monde" de la Chute d'Hypérion - je le lisais avec une musique dramatique en toile de fond