Self-made playlist (3)

Non, pourquoi? Je le déchiffre pour le plaisir.

D'accord. Ouf, j'ai eu peur.

Canal Lutin, versant je-fais-du-bruit-moi-même :


Berlioz - L'Enfance du Christ (récits)


Clérambault - Pyrame & Thisbé


Destouches - Callirhoé - Objet infortuné (dans sa version originelle avec seconde strophe inédite)


Destouches - Sémiramis - air d'entrée de Sémiramis

Remarquable - et inhabituellement long.

LULLY - Thésée - acte I


La Coste - Philomèle - acte III (deux duos et un air)

Très très beau - surtout le texte de Roy, d'ailleurs (qui serait à quatre tartelettes, mais je ne parle ici que de la musique).

On peut entendre des petites choses ? C'est bien gentil de nous faire saliver mais ...

DavidLeMarrec a écrit:

Destouches - Callirhoé - Objet infortuné (dans sa version originelle avec seconde strophe inédite)

De ton cru ?

Hidraot a écrit:

On peut entendre des petites choses ? C'est bien gentil de nous faire saliver mais ...

Très volontiers, mais pour l'instant, je défriche un peu : comme je le fais sur les partitions d'époque, ce n'est pas aussi fluide lorsqu'il faut à la fois lire les clefs de sol 1, les clefs d'ut 1 & 3, et réaliser le continuo tout en chantant.

J'ai aussi les Leçons de Ténèbres de Lochon qui sont très belles (bien plus que celles de Brossard, par exemple). C'est moins résolument italianisant que Couperin et Lalande, plus lyrique aussi, mais ça a beaucoup de charme, avec des rythmes d'une richesse inhabituelle.

Ah tiens, je n'avais pas dit, mais j'ai fait aussi l'acte I et le duo du IV de Médée de Charpentier (4 tartelettes au moins). Ca, c'est déjà moins exotique.

Les yeux qui fascinent a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Destouches - Callirhoé - Objet infortuné (dans sa version originelle avec seconde strophe inédite)

De ton cru ?

Non, ça ce sont les troisième et quatrième que je n'ai pas osé mentionner.

Il y a deux versions de Callirhoé, et certains passages ont été retirés de la refonte (un bout du dialogue entre Callirhoé et la Reine de Calydon, un bout de cet air, et bien sûr tout le Prologue et toute la fin).

DavidLeMarrec a écrit:

Hidraot a écrit:

On peut entendre des petites choses ? C'est bien gentil de nous faire saliver mais ...

Très volontiers, mais pour l'instant, je défriche un peu : comme je le fais sur les partitions d'époque, ce n'est pas aussi fluide lorsqu'il faut à la fois lire les clefs de sol 1, les clefs d'ut 1 & 3, et réaliser le continuo tout en chantant.

J'ai aussi les Leçons de Ténèbres de Lochon qui sont très belles (bien plus que celles de Brossard, par exemple). C'est moins résolument italianisant que Couperin et Lalande, plus lyrique aussi, mais ça a beaucoup de charme, avec des rythmes d'une richesse inhabituelle.

Ah tiens, je n'avais pas dit, mais j'ai fait aussi l'acte I et le duo du IV de Médée de Charpentier (4 tartelettes au moins). Ca, c'est déjà moins exotique.

Je note alors pour plus tard
Je crois que tu m'avais déjà parlé des leçons de Lochon ... reste plus qu'à les entendre !

Donizetti, Don Pasquale, Come gentil

=> Alma Schindler-Mahler, cycle de 1910.
Avec une accompagnatrice également séduite. (pas par moi, hein, je suis un garçon honnête)

=> Collasse, Enée & Lavinie, acte I.
J'aimais déjà beaucoup le livret. Musicalement, le début est prometteur.

=> Couperin - Première Leçon de Ténèbres du Mercredi Saint
Arrangement perso pour orgue, ça s'y prête très bien.

=> Thésée, acte I.
Ca c'est grand.

Salut David!

Je pensais justement à toi en déchiffrant les feuillets de An Emma de Schubert, en tombant dessus par hasard (avec l'émotion d'un général de guerre revenant sur les lieux d'une effroyable défaite militaire ). Remarquable ce lied, ces modulations rapides sans chichis (vers la mineur en trois accords), et puis le retour en do, avec cette montée chromatique de la basse qui permet d'exposer le V de do juste avant une dernière cadence en la, pour donner un vrai naturel à la modulation à venir... l'intelligence de ces petites choses est savoureuse, on y passerait des heures.

Sinon, avec cela:
Chopin: Nocturne Op.48 No.1 - très sympa à déchiffrer, musique qui parle même quand on ne lui fait rien dire.
Debussy: Les collines d'Anacapri - quelle joie dans ce contrepoint à la main gauche, montant la première fois et descendant la seconde fois lorsque le thème noté "avec la liberté d'un chant populaire" est joué à la main droite.
Liszt: Bénédiction de Dieu dans la solitude - j'ai essayé de voir pour ce gigantesque crescendo d'intensité, vraiment pas facile à mettre en oeuvre. Arriver à augmenter la tension lentement et sans augmenter le volume. Lévy est formidable d'animation là-dedans mais il est du coup obligé de mettre en place d'énormes ruptures dynamiques pour repartir crescendo. Je ne suis arrivé à rien évidemment, à ce niveau-là ce sont des exigences plus psychologiques que techniques...
Mozart: Sonate No.15 - même les sonates en majeur ont leurs délices.

Bonjour Percy !

Tu te fais rare, dis-moi.

Percy Bysshe a écrit:

Je pensais justement à toi en déchiffrant les feuillets de An Emma de Schubert, en tombant dessus par hasard (avec l'émotion d'un général de guerre revenant sur les lieux d'une effroyable défaite militaire ).

Comme s'il pouvait y avoir des défaites dans la connivence. Rien ne peut y être asymétrique, on triomphe ensemble ou on sombre ensemble.

Citation :

Remarquable ce lied, ces modulations rapides sans chichis (vers la mineur en trois accords), et puis le retour en do, avec cette montée chromatique de la basse qui permet d'exposer le V de do juste avant une dernière cadence en la, pour donner un vrai naturel à la modulation à venir... l'intelligence de ces petites choses est savoureuse, on y passerait des heures.

Oh oui, que c'est beau, ça bouge tout le temps discrètement, ça n'a l'air de rien, et ça touche à tout coup.

Citation :

Chopin: Nocturne Op.48 No.1 - très sympa à déchiffrer, musique qui parle même quand on ne lui fait rien dire.

Bien d'accord. J'ai tellement écouté et joué Chopin que je ne le fais presque plus du tout, mais ça reste une musique parmi les plus séduisantes qui soient : un des très rares compositeurs à être capable d'utiliser à la fois les artifices de la séduction facile et la plus haute science. On pourrait citer Puccini, mais Puccini sonne souvent vulgaire, malgré tous ses raffinements.

DavidLeMarrec a écrit:

Bonjour Percy !

Tu te fais rare, dis-moi.

Eh oui... quand on n'écoute quasiment plus rien, on n'a plus grand chose à en dire...

Citation :

Bien d'accord. J'ai tellement écouté et joué Chopin que je ne le fais presque plus du tout, mais ça reste une musique parmi les plus séduisantes qui soient : un des très rares compositeurs à être capable d'utiliser à la fois les artifices de la séduction facile et la plus haute science. On pourrait citer Puccini, mais Puccini sonne souvent vulgaire, malgré tous ses raffinements.

Oui, cette musique est d'une mondanité parfaitement gracieuse et naturelle - ce qui est aussi peu commun en musique que dans une société.

Haydn : Sonate n° Jenesaispluscombien en mi majeur
Prokofiev : Conte de la Vieille Grande-Mère Op. 31, n° 3

C'est l'histoire d'un Crabe se promenant sur les berges d'un fleuve exotique...

=> Lecocq, Ali Baba
Réjouissant, assez recherché pour ce type d'oeuvre (ça ressemble assez à du Hérold, en fait).

=> Dubois, Xavière
Le livret n'est pas très bon, mais la musique est toujours d'une simplicité remarquablement expressive.

=> D'Ollone, Le Retour
Toujours très beau.

Gluck, Armide, Air de Renaud

DavidLeMarrec a écrit:

=> Lecocq, Ali Baba
Réjouissant, assez recherché pour ce type d'oeuvre (ça ressemble assez à du Hérold, en fait).

On ne dira jamais assez de bien de la musique de Lecocq, certainement le meilleur musicien, le plus raffiné, parmi les compositeurs d'opérette. Bien au-dessus d'Offenbach à mon avis.

Roland Dyens : 3 Saudades pour guitare

J'ai enregistré 1 minute 30 du début du final de la Nativité. (bon la suite c'est totalement infaisable )

http://discopathe-anonyme.fr/mp3/Dieu_parmis_nous.mp3

Koechlin: Paysages et marines

Cololi a écrit:

J'ai enregistré 1 minute 30 du début du final de la Nativité. (bon la suite c'est totalement infaisable )

http://discopathe-anonyme.fr/mp3/Dieu_parmis_nous.mp3

J'avais manqué ça !

Bravo, tu as un très joli son.

Sérieusement, ça sonne très bien, félicitations. Quel chemin pour quelqu'un soi-disant incapable de faire de la musique et de chanter en rythme... Et en combien de temps ??

Oh le rythme ... j'ai fait comme je voulais
Je suis incapable de respecter le rythme stricto-sensu, et ça me gonfle prodigieusement.

L'autre jour le prof d'orgue s'est apperçu que je déchiffrais avec grandes peines des accords en clé de fa. J'ai du essayé de lui faire comprendre que lire des accords en clé de fa à la volée ... et pire encore les faire sur le clavier directement ... c'est de la science fiction pour moi.

Mais ça n'empeche pas de jouer du Messiaen (l'extrait ici, il m'a fallut 1 apres midi). La partie rapide oblige à faire des mouvements contraires à la main gauche et droite donc j'ai eu un peu de mal. Et la partie lente a une petite difficulté : vu les écarts il faut faire passer une note de la main droite ... à la main gauche qui se retrouve à 4 doigts à faire en legato absolu, donc faut ramper avec 4 doigts en meme temps à la main gauche.

La suite de l'oeuvre est bien plus dur. P etre un jour je pourrai en jouer des bouts ... mais ça me demanderai des mois (années ?) de travail.

Je crois comme Levi-Strauss que la musique est en grande partie inné (meme si ça demande pas mal de travail). Si on a pas ce gene là ... (et c'est clairement mon cas) on galère un maximum.
Je suis très énervé contre les profs de musique en général, car ils n'arrivent pas à comprendre que ce qu'ils demandent soit très dur voire impossible pour la personne en question.

Cololi a écrit:

Je crois comme Levi-Strauss que la musique est en grande partie inné (meme si ça demande pas mal de travail). Si on a pas ce gene là ... (et c'est clairement mon cas) on galère un maximum.
Je suis très énervé contre les profs de musique en général, car ils n'arrivent pas à comprendre que ce qu'ils demandent soit très dur voire impossible pour la personne en question.

Pas du tout d'accord... la musique et le jeu sur un clavier particulièrement, c'est aussi une gymnastique des doigts qui s'apprend et se bonifie au fur et à mesure... Petit à petit, tes doigts deviennent de plus en plus souples et individuels, les écarts grandissent...
Et pour la lecture en clé de fa à la volée, c'est pareil qu'une langue étrangère... au début, tu tatonnes... et puis au bout d'un certain temps, tu finis par lire ça de manière naturelle!

Après, tu as la musicalité qui là est plus difficile à trouver si vraiment ça ne passe pas...

Par contre, comme tout, quand tu pratiques pas, ça se perd (argh... mes pauvres petits doigts et ma petite tête!!)


Et pour les profs, tout dépend du prof en question... parce que le dernier que j'ai eu (il y a maintenant bien des années...) était super compréhensif sur la difficulté de certaines choses, alors que lui, il se baladait! (grand souvenir d'une fois où il a joué devant moi... avec une tendinite à un doigt... jamais je ne jouerai aussi bien que ce qu'il faisait, diminué pourtant! ).

Cololi a écrit:

L'autre jour le prof d'orgue s'est apperçu que je déchiffrais avec grandes peines des accords en clé de fa. J'ai du essayé de lui faire comprendre que lire des accords en clé de fa à la volée ... et pire encore les faire sur le clavier directement ... c'est de la science fiction pour moi.

[...]

Je crois comme Levi-Strauss que la musique est en grande partie inné (meme si ça demande pas mal de travail). Si on a pas ce gene là ... (et c'est clairement mon cas) on galère un maximum.
Je suis très énervé contre les profs de musique en général, car ils n'arrivent pas à comprendre que ce qu'ils demandent soit très dur voire impossible pour la personne en question.

La clé de fa n'a aucune raison, absolument aucune, d'être plus dure que la clé de sol.
C'est simplement que tu l'as moins pratiquée. (et là les profs peuvent être en partie responsables en effet)
A toi de combler cette lacune en la pratiquant davantage, la clé de fa a d'autres points de repères que la clé de sol, c'est tout, mais sinon elle n'a rien de plus dure.
Et le plus important: reconnaître les intervalles!
Après ça, tu peux lire toutes les clés, tu verras que ce n'est pas plus dur... et même déchiffrer des quatuors au clavier!

La cas précis de la lecture d'accord (et d'intervalles) ... ça demande un travail de fond absolument titanesque (et le mot est faible) quand ça s'adresse à qq un comme moi. Travail que je n'ai ni l'envie ni le temps de faire.
Bref pour arriver à faire qq ch de bien ... il faudrait plusieurs heures par jour de musique (solfège et clavier).

Je rajoute que le travail de robot de respect du rythme m'horripile. Je n'ai pas du tout l'impression de ne pas jouer l'œuvre si il y a quelques approximation rythmique.

Bref ça demande un investissement énorme ... que ne se justifie pour un amateur en rien de mon point de vue (et c'est sur ce point que je suis en désaccord radical avec les profs de conservatoire).

Cololi a écrit:

La cas précis de la lecture d'accord (et d'intervalles) ... ça demande un travail de fond absolument titanesque (et le mot est faible) quand ça s'adresse à qq un comme moi. Travail que je n'ai ni l'envie ni le temps de faire.
Bref pour arriver à faire qq ch de bien ... il faudrait plusieurs heures par jour de musique (solfège et clavier).

Une bonne heure par jour et tu verras déjà les progrès.

Cololi a écrit:

Bref ça demande un investissement énorme ... que ne se justifie pour un amateur en rien de mon point de vue (et c'est sur ce point que je suis en désaccord radical avec les profs de conservatoire).

Ca c'est à toi de voir si tu préfères mettre 3-4 mois à déchiffrer un morceau plutôt que 3-4 jours (je caricature bien sûr), car à l'arrivée le temps que tu n'auras passé à faire progresser ta lecture tu l'auras passé à galérer sur ton morceau plus longtemps, et tu n'auras rien gagné...
Les profs ont certainement plus d'expérience que toi et ne te demandent pas des sacrifices pour rien.
Tu ne vas pas resté coincé toute ta vie sur la clé de fa, c'est quand même bête!

C'est tout à fait vrai (et tu ne caricatures même pas). J'assume ça du coup (même si ça me désole).

Après c'est pas forcément grave, si la musique n'est pas toute ta vie et que tu as d'autres priorités, c'est complètement ton droit...
C'est sûr que pour le prof ce n'est pas toujours facile d'entendre l'élève dire qu'il ne bossera pas plus parce qu'il a d'autres choses à faire, mais ça peut aussi se comprendre.

Pour ma part par exemple je passe complètement à côté de la littérature, du théâtre, de la poésie, etc... pour me consacrer à peu près exclusivement à la musique. C'est un choix; mais il est impossible de tout faire à fond...

Xavier a écrit:

Après c'est pas forcément grave, si la musique n'est pas toute ta vie et que tu as d'autres priorités, c'est complètement ton droit...
C'est sûr que pour le prof ce n'est pas toujours facile d'entendre l'élève dire qu'il ne bossera pas plus parce qu'il a d'autres choses à faire, mais ça peut aussi se comprendre.

Pour ma part par exemple je passe complètement à côté de la littérature, du théâtre, de la poésie, etc... pour me consacrer à peu près exclusivement à la musique. C'est un choix; mais il est impossible de tout faire à fond...

Oui oui tout à fait ! Et franchement je suis gêné depuis que je fais des études vis à vis des 2 profs que j'ai ... même si évidemment je les avais prévenu, et que je leur avais laissé le choix de me refuser pour cette année.
Le musique serait une priorité si j'étais doué

Du coup je me traîne toujours les mêmes lacunes ...

(et si il y a bien une chose que je ne veux/peux pas faire ... c'est choisir)

- Chopin: Opus 10 n°9
- Liszt: Au Lac de Walenstadt

sebby a écrit:

- Liszt: Au Lac de Walenstadt

Superbe ça, la main gauche n'est pas forcément très pratique, mais quel plaisir que la pureté expressive de cette mélodie.

"La main gauche n'est pas forcément très pratique": délicat euphémisme ..... Oui c'est très beau.

- Schönberg: Opus 11 #2,
- Berg: Sonate opus 1.

Villa Lobos : préludes IV et V, étude VII (aie !)

Busoni: Preludietto, Fughetta ed Esercizio (déchiffrage, mais je me disperse)

Poulenc, sonate pour clarinette.

Hier:

Tournemire: Préludes-poèmes

Scriabine: Sonates n°6, 7 et 9 (ça reste vraiment duraille, même après de nombreuses lectures...)

Brahms, sonate de clarinette (1er mvt).

C'est bien marrant d'adapter des airs d'opéra. Là je fais du Gluck.

Mompou: Préludes 5, 6, 7, 9, Suburbis

Xavier a écrit:

Hier:

Tournemire: Préludes-poèmes

Scriabine: Sonates n°6, 7 et 9 (ça reste vraiment duraille, même après de nombreuses lectures...)

Tu as quand même de sacrés doigts pour jouer ça. A l'écoute, les Préludes-Poèmes, ça semble l'une des choses les plus dures écrites pour le piano... et à la lecture, un peu moins, mais quand même injouable ! 

Quant aux Sonates de Scriabine...

Tout ça est très dur, pour Tournemire, je n'ai pas tout joué, loin de là, j'ai déchiffré certains numéros seulement.
Scriabine, je l'ai dans la tête (ça facilite le déchiffrage), moins dans les doigts si ça peut te rassurer.

Il ne s'agit pas de me rassurer ; je suis admiratif, c'est tout.

LISZT Franz
1ère année de Pèlerinage.
Au Lac de Walenstadt

Ca commence à venir.

BACH CBT 1 prélude&fugue do mineur.

Un chouilla moins bien que
<= <=  

=> Rimski - La Fiancée du Tsar - Ouverture et final de l'acte I (à l'orgue)

Le deuxième mouvement du XIème concerto pour orgue de Händel; je devrais l'avoir fini d'ici un an ou deux... c'est ma deuxième tentative...  

DavidLeMarrec a écrit:

=> Rimski - La Fiancée du Tsar - Ouverture et final de l'acte I (à l'orgue)

Sur quel instrument joues -tu ?  

Pat17 a écrit:

Sur quel instrument joues -tu ?  

Jullien de Roquemaure.

DavidLeMarrec a écrit:

Pat17 a écrit:

Sur quel instrument joues -tu ?  

Jullien de Roquemaure.

Hauptwerk donc...  

Est-ce que tu as présenté ton orgue virtuel sur ce forum ? Je ne me souviens que de celui de Cololi...

Pat17 a écrit:

Hauptwerk donc...  

Oh, j'ai pourtant joué sur un autre Quoirin pour de bon !

Mais effectivement, Hauptwerk.

Citation :

Est-ce que tu as présenté ton orgue virtuel sur ce forum ? Je ne me souviens que de celui de Cololi...

En l'occurrence, c'est un prêt. (Magnifique matériel d'ailleurs, console à trois claviers Hoffrichter, système de restitution sur chaîne à très haute fidélité... on retrouve un peu l'impact physique d'un véritable instrument, même si c'est à une densité dix fois moindre.)